"Le Bien commun" d'avril est paru...
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Quand l'État républicain idéologique, le Système est incapable de protéger les biens et les personnes, ce qui est son premier devoir; pire : quand il protège, de fait, la délinquance et les délinquants, alors, oui,
LES CITOYENS ONT LE DROIT ET LE DEVOIR
DE SE PROTÉGER ET DE PROTÉGER LA SOCIÉTÉ !
Que le Système fasse son travail, plutôt que de faire la preuve de son incapacité !
Que le semble-Président Macron fasse son travail, ou alors qu'il laisse la place !
Rendez-vous dimanche prochain, dans les urnes (même si c'est sans illusions...)
Macron accumule les scandales. Deux réactions, d'André Bercoff et Jean-Do Merchet :
• André Bercoff
COMMUNIQUE DE PRESSE
Paris, le 30 mars 2022
L’affaire Alstom, une haute trahison macronienne
Pour dénoncer le scandale d’État qu’est l’affaire Alstom, les militants d’une quinzaine de sections de l’Action française ont apposé dans la nuit du 29 au 30 mars une série d’affiches sur différents sites français de l’entreprise Alstom.
La vente de la branche énergie d’Alstom au géant américain en 2014 n’est ni plus ni moins qu’un acte de trahison de la part de nos élites, à commencer par Emmanuel Macron alors ministre de l’Économie, et pour qui cette vente fut un tremplin vers la présidence. Cette affaire représente la quintessence des maux de la République : corruption, mensonge, intimidation, prise d’intérêts, trahison, destruction d’emplois.
Ce sabotage industriel commença dès 2012 quand Emmanuel Macron, tout frais secrétaire général adjoint de l’Élysée commanda aux consultants d’A.T Kearney une étude sur les avantages d’une fusion Alstom-GE, fusion qui permit à Jérôme Pécresse de gagner 430 000 euros et une promotion et à Julien Denormandie, collaborateur dans cette affaire, de devenir président de l’association de financement de la campagne d’En Marche ! puis ministre.
À travers cette action, c’est toute la trahison de nos élites néo-libérales que L’Action française dénonce.
Monsieur Macron et d’autres avec lui – dont beaucoup sont passés par la moulinette Young Leaders, le programme des États-Unis destiné à circonvenir et s’attacher la fine fleur des jeunes dirigeants étrangers – sont responsables de la vente d’un secteur hautement stratégique pour notre industrie nucléaire, qui conduisit à la dilapidation de nos brevets technologiques, à la destruction de 3000 emplois sur le sol français, à la délocalisation de la production de cette industrie en Amérique du Nord.
Plus récemment, comble de l’absurde, EDF racheta cette branche deux fois le prix de vente pour une entreprise de taille réduite avec un carnet de commande en berne ainsi qu’un savoir-faire parti à l’étranger.
L’Action française témoigne de son soutien aux travailleurs touchés par ce scandale et dénonce la désindustrialisation massive de la France, l’affaire Alstom n’en étant qu’une parmi d’autres.
C’est dans les urnes, en ne renouvelant pas le mandat d’Emmanuel Macron les 10 et 24 avril prochain, que les Français pourront faire entendre leur voix pour que soit mis un terme à la destruction de notre pays.
Évidemment, nous n'affirmons rien, pour l'instant, mais nous attendons soit un démenti ferme et probant, soit des éclaircissements, à cette question de Valérie Boyer :
En lançant une guerre diplomatique et économique sans précédent contre la Russie, l’Amérique avait plusieurs objectifs d’importance variable : resouder le camp occidental sous la bannière de l’OTAN, isoler diplomatiquement la Russie, vendre son gaz de schiste et ses armes à l’Europe.
Sur ces deux derniers points, les affaires sont en bonne voie. Les Allemands vont mettre fin à près de quatre-vingts ans de pacifisme et inaugurent cette nouvelle ère par l’annonce d’un achat massif d’avions américains. Bien joué et spectaculaire démonstration de l’unité européenne. Ah le beau couple franco-allemand !
À l’affiche : Goliath, un film français de Frédéric Tellier, avec Gilles Lellouche (Patrick, avocat), Emmanuelle Bercot (France, militante anti pesticide), Pierre Niney et Laurent Stocker (Mathias et Paul, lobbyistes), Jacques Perrin (Vanec, scientifique).
Mélenchon prétend aimer le peuple, mais, si c'est le cas, c'est de loin, et il dit à ce pauvre petit peuple : "il faut éviter de me toucher, les gens...". Écoutez ces six secondes de mépris, de supériorité hautaine envers "les petits, les obscurs, les sans grade...", que Goldnadel a bien fait de relever :
" "Ne me touchez pas, les gens !...". Tout le mépris et la duplicité de la gauche en six mots."
https://twitter.com/GWGoldnadel/status/1508449924274429959?s=20&t=MSopsAfDCKSocpUyCfvm3Q
2,4 milliards en quatre ans !
SYSTÈME POURRI !