Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Bien vu, Collard ! Et bien dit !
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Bien vu, Collard ! Et bien dit !
(Court extrait - 1'31 - de son discours lors de sa réception à l'Académie française, au fauteuil de Max Gallo, le 3 mars 2022)
Si l'on excepte juste la désolante référence à "la République (qui) s'est bâtie sur la haine des tyrans", référence désolante pour lui et propos qui n'est rien d'autre qu'une fable absurde, le reste est, évidemment, très bon et tout à fait d'actualité...
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 22 Albums, 48 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : notre note du mercredi 22 novembre 2017, Patrick Buisson sur France Inter : « En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée »
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
Le président Macron n’est certainement pas le responsable de toutes les calamités qui tombent sur la France ou l’Europe, même si un certain nombre d’entre elles prennent leur source dans une politique imprévoyante et démagogique depuis des décennies et dont il est aussi le fidèle héritier. Ce n’est pas lui qui a inventé la COVID, pas plus que l’invasion de l’Ukraine par les Russes. Il n’en demeure pas moins que le Président de la République sait habilement « surfer » sur la couardise d’une bonne partie de Français plutôt âgés qui constituent l’essentiel de son électorat. Les militants de canapé qui s’expriment souvent courageusement derrière un clavier pour, sans vergogne, et avec la plus grande véhémence, condamner les non-vaccinés hier, et ceux qui prennent un peu de distance face à la médiatisation du conflit aujourd’hui.
Sa démarche diplomatique, reste cependant difficile à mener pour la raison simple, qu’il ne dispose pas des moyens de faire évoluer la position du camp dit « occidental », n’ayant de mandat ni de Bruxelles, la vraie instance de décision européenne, ni de Biden, le seul chef de l’OTAN. Les mains vides, il se présente donc pour parler des heures avec Poutine sans apporter de propositions concrètes n’étant pas mandaté. Que se disent ils en dehors des échanges moralisateurs d’usage. On peut se le demander. Entre chaque tentative, il fait des déclarations publiques résolument hostiles au Kremlin, communication oblige, et annonce sur les médias aux Français que cela va de plus en plus mal.
Tout le monde loue ses efforts malheureusement inutiles, et beaucoup, au vu des sondages en hausse, montrent qu’ils sont prêts à reconduire ce « chef de guerre » qui mouille la chemise pour la paix, même si son impuissance apparaît trop évidente pour les observateurs éclairés.
On est donc, semble-t-il, reparti pour un tour au nom de l’unité nationale derrière le chef, un nouveau quinquennat plein de « celles et ceux » et de « en même temps » pour satisfaire l’union de la gauche bourgeoise et libérale et la droite molle et craintive. Déjà habitués au confinement, les va‑t’en guerre du LREM, en admiration légitime devant le patriotisme ukrainien, sont déjà tout disposés à se terrer dans d’improbables abris, et attendre que le chef de l’Etat, qui est aussi le chef des armées, avec des munitions pour trois jours, arrête l’ogre Russe sur le point de se ruer sur la France.
Après tout, on a le « Clémenceau » qu’on mérite et peut être que pour la postérité il sera appelé un jour le « père La Victoire ». Son entrée en campagne plutôt sobre, qui n’est en fait qu’une formalité, le place tout de suite au-dessus de la mêlée avec l’avantage certain d’être aux affaires du pays (et même du monde) en ces temps du retour du tragique. Du haut de cette estrade, il ne jette même pas un œil sur les candidats concurrents, lesquels n’auront d’autres recours que de chercher à séduire les abstentionnistes, énorme réservoir, et les distraire de leurs parties de pêche déjà programmées pour le premier tour des présidentielles.
Comme le dit Stéphane Massé (sur tweeter) :
"Cette déclaration le jour même où il annonce enfin sa candidature. Erreur de com ou lucidité ?"
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44 : À Senlis et à Chantilly, au mariage du prince Jean et de la princesse Philoména... (4/4)
L'apocalypse ukrainienne
Comme Emmanuel Macron était persuadé entretenir une relation spéciale avec Poutine, il a cru, ou voulu faire croire, qu’il arriverait à retenir la Russie. La France est donc le seul pays occidental à ne pas avoir encouragé son millier de ressortissants à quitter l’Ukraine. On ne sait pas s’il faut rire aigrement de la naïveté du président français, croyant être diplomate tout en humiliant régulièrement la Russie depuis cinq ans, ou s’indigner d’un calcul purement électoraliste, d’ailleurs salué par un grotesque visuel du parti présidentiel osant proclamer, quelques jours à peine avant l’invasion de l’Ukraine, que Macron avait ramené la paix. La suite ICI
La guerre (par Hilaire de Crémiers)
Il est difficile de savoir si Poutine a réfléchi à toutes les conséquences de sa décision d’envahir l’Ukraine. Les premiers résultats sont là. Le sentiment national ukrainien s’est ressaisi. Plus il y aura de morts, plus il y aura d’attaques de villes – et ce n’est pas fini –, plus la population dans sa majorité se rebiffera devant de tels procédés. Il devait penser que l’affaire serait expédiée en un rien de temps. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Si la guerre s’installe dans la durée, il n’échappera pas à une résistance qui trouvera dans le passé des motifs puissants de se durcir. La suite ICI…
Conseil constitutionnel : l’OVNI de la République ? (par Jean Bouër)
En 1958, lorsque de Gaulle mit la Constitution sur les rails, le Conseil constitutionnel ne devait pas être cette instance influente où l’on place certains proches. En 2022, à l’heure de la démocratie d’opinion et des nominations verrouillées, il en va autrement, alors même que cette institution rend des décisions importantes. Avec le Conseil constitutionnel, nous avons un « cocktail » qui résume certaines tares des démocraties modernes : opacité, expertocratie, fait du prince, recasage… La suite ICI…
L'Homme nouveau, mythe moderne (par Christophe Boutin)
Les actuels débats sur le transhumanisme imposent de s’interroger sur sa généalogie. Entre les deux guerres, c’est la notion d’« homme nouveau » qui traduit la volonté d’adapter l’homme aux nouvelles conditions de son existence et, notamment, de tirer les conséquences d’un rapport à la technique redéfini lors du Premier conflit mondial. Un ouvrage collectif fait découvrir les réflexions convergentes venues de sources diverses, et rappelle que les régimes totalitaires furent loin d’avoir le monopole, ou même la primauté, de cette quête. La suite ICI…
"Affaire d'Ukraine" : d'accord avec Jean-Michel Cadenas :
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43 : À Senlis et à Chantilly, au mariage du prince Jean et de la princesse Philoména... (3/4)
Dans actuBordeaux :
Voici la Petite Feuille Verte n°87. Après l’examen des relations entre le Saint-Siège et l’Université-Mosquée d’El-Azhar sous les pontificats de Paul VI à Benoît XVI (PFV n° 86), celle-ci présente les changements intervenus dans ces rapports depuis l’élection du pape François en 2013. Il y est notamment question de la Déclaration intitulée "La Fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune", que les deux responsables religieux ont signée conjointement à Abou Dhabi le 4 février 2019.
Outre les circonstances de l’événement, Annie Laurent analyse le contenu du texte et ce qu’il faut en attendre dans le domaine du dialogue islamo-chrétien...