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Première "Lettre de prison" de la longue série de notre album consacré à ces remarquables correspondances que le Maître entretint tantôt avec ses Camarades qu'avec "son cher Jacques" ou "sa chère petite Ninon", nous vous proposons ce jour une lettre datée du 25 mars 1950 depuis la Maison Centrale de Clairvaux à Xavier Vallat...Oui, le nom de Vallat peut inspirer le pire, à juste titre ; néanmoins, nous avons voulu publier cette lettre en ce qu'elle est particulièrement révélatrice de l'anti-germanisme de Charles Maurras et de l'Action française.
En d'autres termes, cette lettre est conforme à ce qu'écrivait Charles Maurras dans "Devant l'Allemagne éternelle", qui selon son auteur est "le bréviaire de sa pensée sur l'Allemagne", ouvrage dont il ne renie, ni ne retranche rien comme il l'a dit devant ses accusateurs devant la Cour de Sureté de l'Etat à Lyon.
Chez Bercoff, à Sud Radio, Romain Bessonnet a bien fait de le rappeler :
"Les bombardements en Yougoslavie sans prévenir les Russes en 1999 a été le péché originel de l'Occident. L'OTAN a attaqué avec sa seule bonne conscience occidentale"
C'est en 1953 - un an après la mort de Maurras - que Michel Mourre fit paraître son excellent ouvrage, sobrement intitulé : Charles Maurras. 144 pages, au format 11/18 : il s'agit d'un "grand petit livre", pour reprendre la façon de parler de Pierre Boutang, présentant comme "un immense petit livre"L'Avenir de l'Intelligence de Maurras (ouvrage lui aussi très court).
Treize ans plus tard, Jean de Fabrègues fit à son tour paraître son excellent Charles Maurras et son Action française. Dans un article paru dans Le Monde, le 26 novembre 1971, et intitulé La doctrine de Maurras, Gilbert Comte ne s'y était pas trompé :
"Excepté deux biographies assez dissemblables, mais excellentes, écrites par Michel Mourre en 1953 et Jean de Fabrègues treize ans plus tard, les études approfondies consacrées depuis la guerre à Charles Maurras nous sont généralement venues de l'étranger, grâce aux travaux du critique américain Léon S. Roudiez, de son compatriote l'historien Eugen Weber, ou du philosophe allemand Ernst Nolte. Trop de rancunes laissées par les controverses de la IIIe République, les blessures plus graves encore de Vichy, décourageaient des recherches aussi sereines dans notre pays."
Lutte de titans, Héros... : voilà bien des mots familiers aux connaisseurs de la mythologie gréco-romaine. La Préface de Pierre Dominique est bien l'hommage qu'il méritait rendu à l'homme-Héros Maurras et une "restitution", au sens étymologique du terme, de la vérité du Martégal, de la vérité sur ce que fut l'homme et son action titanesque, entreprise à partir, en gros, de sa trentième année.
En prenant deux siècles de recul - et de hauteur - Pierre Dominique remonte aux sources lointaines du Mal contre lequel se dressa Maurras : aux années 1750 (il écrit, lui, en 1953) époque où la secte des Encyclopédistes a semé en plein Paris, dans cette France de la douceur de vivre dont parlait Talleyrand les germes et semences de cette affreuse idéologie qui allait ensanglanter non seulement la France (avec le Génocide vendéen, le premier des Temps modernes) mais toute l'Europe et se propager jusqu'aux extrémités de la terre : l'Extrême-Orient, avec les fleuves de sang des tyrannies sanglantes de Mao, Ho Chi Minh, Pol Pot...; l'Afrique, et ses féroces dictatures marxistes-léninistes...; l'Amérique, avec les horreurs d'un Castro, d'un Che Guevara, d'un prétendu "Sentier lumineux"...
Oui c'est bien une lutte titanesque contre une idéologie qui ne l'était pas moins que Maurras a livré, à partir du jour où, comme il l'a dit lui-même, il est "entré en politique comme on entre en religion"
Il annonçait, dans L'Avenir de l'Intelligence, "l'âge de fer" dans lequel nous nous trouvons. Son disciple fidèle, et commentateur zélé, Pierre Boutang, parlait, lui, de "l'âge héroïque" qui était celui qui attendait tous les Français qui lutteraient pour rétablir "l'ordre légitime et profond"...
lfar une fois de plus d'accord avec le toujours excellent Alexandre del Valle :
"Crise #Ukraine#Russie. L’abandon de #NordStream2 "libérera l’Europe de l’étau géostratégique russe" , selon un responsable américain. En réalité, l’Europe sera pieds et poings liés au gaz de schiste #US, et aux gaz des pays musulmans azéri, qatari, algérien..."
Oui, le bilan de cette bien triste "affaire d'Ukraine" est facile à faire : la Maison blanche et ses caniches européens (dont le Pays légal de France, hélas) auront peut-être réussi à couper l'UE de la Russie - seulement pour un temps, espérons-le... - pour nous refiler le gaz de schiste US - beaucoup plus cher que celui de Poutine - et ont rapproché encore plus Moscou et Pékin...
(tiré de notre Éphéméride du 10 juillet. Attention : si les sanctions ont bien été levées le 10 juillet 39, ce n'est que dans son numéro du 16 juillet, dont vous voyez ici la "Une" que le journal a célébré l'évènement...)
1939 : Pie XII lève les sanctions contre L'Action française
"L’interdiction de lire le journal " L’Action française " est levée, à partir du jour de la promulgation de ce décret." :
Le 29 décembre 1926, certains ouvrages de Charles Maurras ainsi que le journal L'Action française avaient été mis à l'index par Pie XI. Sanction aggravée quelques mois plus tard : le 8 mars 1927 les adhérents du mouvements furent interdits de sacrements...
Il n'est pas exagéré de penser que la mise à l'index de 1926 fut l'un des plus rudes coups portés au mouvement royaliste, et l'un de ceux qui contraria le plus ses espoirs de réussite.
• Jacques Chirac, carpette des États-Unis, d'avoir non seulement "laissé faire" mais aussi d'avoir participé de fait à "l'affaire du Kosovo", en envoyant des troupes au sein de l'Otan; et ainsi de s'être rendu complice de l'agression de la Serbie orthodoxe; de l'interventionnisme pirate des USA au Kosovo, et de la création d'un État mafieux musulman en arrachant une terre chrétienne à nos amis/alliés les Serbes (on rappellera juste que Hashim Thaçi président pantin mis en place par l'administration états-unienne est déféré devant le Tribunal pénal international de La Haye pour crimes de guerre...; et, comme si cela ne suffisait pas, du bombardement de la Serbie...
• Nicolas Sarkozy, carpette des États-Unis, qui nous a fait ré-intégrer le commandement intégré de l'Otan : folie, qui - de plus est - nous a privé du rôle possible d'arbitre crédible puisque - Poutine a raison sur ce point - comment parler avec un Président (aujourd'hui Macron) qui est juge et partie ?
• François Hollande de n'avoir pas bougé le petit doigt, de n'avoir rien fait pour tenter de remédier à la situation et d'y faire "revenir" la France, comme si le coeur de l'Europe n'existait pas, ou ne l'intéressait pas...
• Emmanuel Macron, carpette des États-Unis, dont il est aussi le "petit télégraphiste" aujourd'hui, ayant été l'architecte du pacte de corruption offrant Alstom aux États-Unis, les rendant ainsi propriétaires des turbines de nos sous-marins nucléaires; Emmanuel Macron, donc, d'avoir avalisé ces décisions aberrantes prises -certes - avant lui, et dont il n'est pas directement responsable, mais qui le devient puisque, président, il n'a rien fait pour nous sortir de ce guêpier de l'Otan en Europe. Poutine avait prévenu, lors de l'affaire lamentable du Kosovo : cela leur reviendra à la figure - dit-il en substance - comme un boomerang. Nous y sommes...
• Et nous accusons enfin, et surtout, le Système et la République idéologique, qui n'ont pas de politique étrangère, et qui donc ne peuvent pas servir les intérêts du Peuple français et du Pays; qui nous ont inféodé doublement aux USA - la Maison blanche a toujours "joué" contre la France, depuis le calamiteux Traité de Versailles - et à la fiction techno-bureaucratique européenne.
Amie et alliée de la Russie, notre soeur européenne et chrétienne, la France aurait pu jouer un rôle de conseiller envers Poutine, voire même réussir à empêcher la Russie de faire telle ou telle chose. Et cette alliance aurait fait contre-poids aux deux super puissances (Chine et États-Unis) en même temps qu'elle nous aurait rendu plus fort (nous, la France et l'Europe) face à l'invasion musulmane.
Aujourd'hui, nous voilà distraits, par une sorte de "guerre d'un autre âge", des vrais dangers mortels qui nous menacent : hégémonisme Chinois, Islamisme conquérant. Et voilà que Poutine, stupidement poussé dans les bras de la Chine par la faute d'une non-politique étrangère de la France et de l'Europe, tombe dans ce que l'on pourrait appeler "le côté obscur de sa force".
Nous approuvons l'action de Poutine en Syrie, à laquelle il a évité de devenir un nouvel Irak ou une nouvelle Lybie, comme nous approuvons sa politique sérieuse contre le terrorisme et l'islamisme, qu'il a su mettre au pas. Mais, comme une pièce de monnaie, Poutine a deux faces : la positive - que l'on vient d'évoquer trop rapidement sans doute - et celle que l'on aurait pu éviter de voir ré-apparaître, si l'on avait été ses amis et ses alliés, au lieu d'être les caniches des USA et de l'Otan : Poutine fut formé dans et par le KGB, aux temps de la sinistre URSS. Ses vieux démons, dans la mesure où on l'exclut follement de notre alliance, amitié, fréquentation, l'obligent, en quelque sorte, à se recentrer sur ses mauvais côtés hérités de la nostalgie certaine de l'ex URSS. La République idéologique fait avec Poutine exactement ce qu'elle a fait avec Mussolini avant la Seconde Guerre mondiale : par idéologie, alors, le Système a refusé de s'allier avec lui, qui ne demandait que cela (il a arrêté une première fois Hitler en mobilisant ses troupes sur le Brenner...) et l'a poussé dans les bras d'Hitler. Bravo !
Re-belotte, aujourd'hui : celui que tout nous désigne comme ami et allié contre la Chine et l'Islamisme, la République idéologique a réussi à le jeter dans les bras de la Chine et à le faire retomber dans des actes d'un autre âge. Re-bravo !
Tout cela, parce que la France n'est pas indépendante : l'État français, s'il est républicain idéologique, n'est pas libre. Il est soumis, il "appartient", soit aux Partis, soit à l'Argent, soit à l'étranger, soit à toute sorte de groupe de pression... Il faut"séquestrer" l'État, comme le disait Renan; ou encore le "libérer", comme le disait Maurras; le "Reprendre", comme le disait Boutang ou "nationaliser l'État, par la Royauté"... comme le disait Léon Daudet.
Nous sommes "désarmés", dit Bock-Côté ? Oui, certes, mais : par qui et par quoi ? Par le système, qui a matériellement et spirituellement conduit la décadence de notre pays, première puissance du monde au moment où la Révolution - dans laquelle il trouve son fondement idéologique - a éclaté. Et s'il faut lire Raymond Aron, comme le dit Bock-Côté, parce que "on y trouvera quelques leçons", il faut lire également Bainville et Maurras : on y trouvera, aussi, quelques leçons...
Bref, il nous faut une révolution, et cette révolution ne peut être que royale...
C'était prévisible, c'était prévu, et nous ne cessons de le dire dans ces colonnes, depuis la création de notre journal, le 28 février 2007 : les envahisseurs islamistes, volontairement installés chez nous par le Système, pour détruire par dilution/dissolution tout ce qui représente la France traditionnelle, ont commencé par rester silencieux mais par s'installer solidement; et, dès qu'ils sont devenus forts et nombreux, ils imposent leur loi; et ils feront pareils partout en France, jusqu'à ce qu'ils aient fait de notre Pays une République islamique ou que nous les chassions, "par tous les moyens même légaux".
L'affaire du petit Nolan, harcelé à l'école par les élèves musulmans au prétexte qu'il "mange du porc" a fait du bruit. Maintenant, c'est Dimitri Pavlenko lui-même qui annonce avoir changé son fils d'école, car il est harcelé lui aussi :
En une minute et quarante sept secondes, Éric Zemmour explique pourquoi Poutine ne fait pas ou plus confiance à Macron : par ce que l'État français est cornaqué par une puissance étrangère, les USA.
On peut employer les mots que l’on voudra, et les formules les plus diverses. On peut parler, comme Boutang, de "Reprendre" l’État; ou de le "séquestrer", comme le disait Renan; ou encore de le "libérer", comme le disait Maurras. Léon Daudet, pour sa part, parlait de "nationaliser l'État, par la Royauté"... : voilà la vraie, l'alter-révolution.
Il faut libérer l'État en ré-instituant à son sommet un espace a-démocratique - le Roi - qui le préservera de toute influence : de l'étranger (comme ici, pour l'affaire russo/ukrainienne), des partis, des groupes de pression au services d'intérêts autres que le seul intérêt national (mieux appelé encore, BIEN COMMUN) et, surtout, de l'Argent...
L’Alsace est alsacienne et entend le rester envers et contre toutes les tentatives centralisatrices/jacobines. Ce n'est parce qu'un François Hollande de rencontre, un soir, sur un bout de table, a dessiné, tout seul, une aberrante et improbable carte qu'il pensait "de France" que les Provinces historiques doivent subir l'oukase et disparaître du paysage; ne même plus être nommées...
Anne de Kiev épousa Henri 1er, le troisième roi capétien (fils de Robert le Pieux, lui-même fils d'Hugues Capet, fondateur de la dynastie). Elle fut reine des Francs de 1051 à 1060 et mère du roi Philippe 1er : c'est par elle que ce prénom de Philippe, alors inusité en Occident, entra dans la famille royale de France, illustré ensuite par un Philippe Auguste ou un Philippe le Bel et, de nos jours, par un Philippe VIII célébré par Maurras comme le grand roi qu'il aurait fallu à la France et qui lui a manqué; qui aurait peut-être pu éviter la tragédie de la Guerre de 14...
De politique étrangère, la République idéologique n'en a pas et ne peut pas en avoir : de par sa nature même, et la fluctuation de l'opinion et des groupes de pression, le temps long lui est forcément inconnu : Maurras l'a admirablement montré dans son Kiel et Tanger.
On le voit bien aujourd'hui, même quand cette politique "étrangère" s'applique à ce qui se passe à nos portes, dans notre Europe, envahie par un Islam conquérant et où deux peuples frères et amis, européens et chrétiens, dont nous avons besoin pour résister au troisième assaut musulman contre notre vieille Europe, sont à deux doigts d'entrer en guerre l'un contre l'autre.
Et pourquoi (pour quoi) ? Parce que les USA et leur bras armé, l'Otan, s'arrogent le droit de faire ce qu'ils veulent en Europe, considéré comme une sorte d'arrière cour par la Maison blanche malfaisante, en tout cas toujours hostile, depuis 14, à tout ce qui aurait été bon pour la France.
Exemple, hier : le Kosovo, état mafieux voulu et imposé par les USA, d'où les musulmans ont chassé la majorité des habitants chrétiens et persécutent de fait la minorité chrétienne qui s'accroche héroïquement à sa terre; et notre ami/alliée la Serbie honteusement bombardée. Les USA, via l'OTAN, et l’U.E. à leur botte ont ouvert une boîte de Pandore dans l’ex-Yougoslavie...
Aujourd'hui, ils jouent avec le feu en essayant, depuis des années, d'otaniser l'Ukraine : quel intérêt, pour nous, Européens ? Notre vraie guerre est contre l'Islam, et la Chine. Et, dans ces deux guerres, nous avons besoin de la Russie. Or, elle est traitée en paria depuis des années par les USA, par l'UE bureau-technocratique et par un Pays légal français qui - nous en revenons au début de notre réflexion - n'a pas de politique étrangère, tout simplement parce qu'il ne peut pas en avoir...
Un Roi de France, au-dessus de tout et de tous (Partis, Argent, influences étrangères, groupes de pression de tous ordres...) mènerait envers la Russie une politique d'entente et d'amitié, qui n'exclurait pas des divergences, parfois, mais qui nous permettrait, au moins, d'avoir des moyens réels d'influer sur les décisions russes.
Macron, lui, s'est pris pour Jupiter, qui montrait ses muscles : on les a vus, ses muscles : ils sont en plastique !
Et, pendant que notre diplomatie est impuissante et que les menaces s'accumulent sur nos têtes (Islam, Chine...) notre politique officielle aberrante reste celle de l'isolement de la Russie, de sanctions imbéciles qui nous sanctionnent plus nous-mêmes qu'elle... Et, comme hier avec Mussolini naissant, qu'elle a poussé par idéologie dans les bras d'Hitler, la République idéologique pousse Poutine dans les bras de la Chine. Et nous distrait de notre combat urgent : la lutte, tous les frères Européens unis et confondus, contre l'islamisation du vieux continent...
À noter : hier soir, chez Christine Kelly, dans Face à l'info, Dimitri Pavlenko a longuement cité Jacques Bainville et ses Conséquences politiques de la paix, établissant un parallèle pertinent entre les réflexions de Bainville au lendemain de l'épouvantable tragédie de 14/18 et l'illusion de la promesse faite aux Russes, lors de l'effondrement de l'URSS, que l'Otan ne "pousserait" pas ses territoires vers l'Est, englobant d'anciens pays de l'Empire du Mal. "Illusion" : tout est là. Quand un gouvernement, un peuple croient en des illusions, il ne faut s'attendre qu'à des lendemains qui déchantent...
Bravo à Dimitri Pavlenko de l'avoir rappelé hier, et d'avoir cité notre immense Jacques Bainville.
Sur Public Sénat : Catherine Deroche, rapporteur (LR) de la commission d’enquête sénatoriale sur la situation de l’hôpital et du système de santé, pointe l'état catastrophique dans lequel le Système a mis l'Hôpital :
"La situation ne s’annonce guère réjouissante pour les Français qui auront besoin de consulter des professionnels de santé dans les années à venir."
Mediapart (évidemment ! même s'il nous arrive, parfois, de le citer car, nous, nous ne sommes pas sectaires, nous n'avons pas d'oeillères et nous disons, comme Molière, "je prends mon bien où je le trouve..."); Mediapart, donc, lance une campagne "anti Bolloré".
On reconnaît bien là l'esprit du commissaire politique Plenel, qui aurait fait merveille au Goulag ou au KGB, à la Stasi, à la Securitate et autres organismes du même tonneau...
Nous nous contenterons, pour lui répondre, de ce qu'a dit immédiatement Goldnadel, avec qui nous sommes "en phase", une fois de plus... :
"#StopBollore c’est Stop la démocratie. Vive l’audiovisuel de sévice public privatisé à gauche. Défense de parler d’immigration. #StopBollore c’est l’extrême gauche qui enrage de perdre son monopole médiatique et son magistère moral et intellectuel. Restent le bâillon et la trique."
Voici la courte chronique de Raphaël Ebenstein, sur France info, ce samedi 19 février, qui se passera de trop longs commentaires : le Système nous a amené à une dette de la France qui représentera en fin d'année 2.970 milliards d'euros, soit 113% du PIB.
Cette République idéologique qui nous gouverne - si mal !... - promettait monts et merveilles avec ses grands mots creux ("hommes petits qui criez de grands mots", chantons-nous, nous autres, royalistes, dans La Royale...) : elle n'a réussi qu'à... échouer, lamentablement, entraînant vers un abîme abyssal le pays le plus riche et le plus prospère du monde lorsque la Révolution a éclaté.
Depuis 1875 et la funeste instauration de la République idéologique fondée sur les "évangiles malfaisants" (l'expression est de Bainville) des "principes de 89/93", le Système, dont cette fausse république a accouché, entraîne inexorablement la France vers le grand déclassement : "La France, premier-né de la civilisation européenne, sera la première à renaître à l'ordre ou à périr"; disait avec justesse Louis de Bonald.
À force de nous diriger vers le néant, nous arrivons à ses lisières. Raison de plus pour ne pas se décourager, mais pour trouver au contraire, là où la folie abonde, ce qui fera surabonder l'instinct de survie : en menant, à temps et à contre-temps, la seule action qui vaille de l'être, selon la consigne qui nous a été donnée par Léon Daudet, une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime".