Solidarité Kosovo ! FIN DE SAISON DE LA CULTURE SOUS SERRES...
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Réflexions vagabondes et spontanées sur un article de "The Telegraph", qui étrille ce qu'est devenu la France et le bilan de Macron :
"Autrefois le pays le plus beau, le plus brillant et le plus civilisé du monde, il est maintenant pris dans une spirale de déclin apparemment irréversible..."
On remerciera nos excellents ennemis de toujours, les Anglais, pour l'éloge flatteur de ce qu'était la France sous la Royauté - car c'est forcément d'elle et de ce qu'elle a fait de la France qu'il s'agit, lorsqu'on parle de cet "autrefois... beau... brillant... civilisé..." - et l'on partagera l'analyse du désastre que représente, à lui seul, le premier quinquennat Macron, que le second ne va qu'amplifier...
Pourtant - et tout particulièrement en ces jours où nous faisons mémoire du 70ème anniversaire de l'entrée dans la Vie de Charles Maurras - nous signalerons au "Télegraph" cette maxime de notre Maître : "Tout désespoir en politique est une sottise absolue". Et aussi celle-ci, de son ami et de notre autre Maître, Jacques Bainville, pour nous le plus grand historien de tous les temps : "...Pour les Renaissances, il est encore de la foi".
Car, oui, certes, les apparences nous sont clairement contraires, à nous autres, Français en général; et à nous autres, royalistes, en particulier, qui essayons depuis un siècle de redresser la barre. Le Système malfaisant, la République idéologique mortifère, qui règne sans partage depuis bientôt 150 ans, ont saccagé "le plus beau Royaume du monde, après celui des Cieux", comme le disait le Hollandais Grotius; le pays le plus riche, le plus peuplé, le plus avancé et le mieux géré de toute l'Europe, que l'on appellait - car il l'était - "la Grande Nation"...
Mais il nous semble que l'on peut, et qu'il faut, nuancer le juste tableau que trace le Telegraph, et son pessimisme, au moins sur deux points :
• il faut d'abord noter que tous les grands pays du monde vont mal, même si les causes de leurs problèmes sont, évidemment, toutes différentes, et si les causes du mal français sont pour une large part propres à la France : les États désunis d'Amérique vont très mal, et s'acheminent lentement mais sûrement vers un "éclatement de fait" entre des communautés devenant trop différentes, jusqu'à l'hostilité, même si elles restent encore, pour l'instant, dans le même cadre politique; le Royaume désuni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord va très mal lui aussi, et s'est peut-être auto-enterré avec sa peut-être dernière vraie souveraine (pour lui et pour le Commonwealth); l'Allemagne découvre avec effroi qu'elle est un colosse économique aux pieds d'argile, et s'affaisse lentement sur elle-même, grignotée par ses immigrés turcs (entre autres) et le vieillissement de sa population (comme le Japon qui lui, au moins, s'est préservé des problèmes de l'immigration); la Chine aussi est confronté à des problèmes aussi immenses qu'elle, et, pour ce qui est de la Russie...
• mais surtout il ne faut pas perdre de vue que les causes "essentielles" du mal français sont politiques, dûes à la malfaisance et à la nocivité de son Système, qui a "réussi" (!), en cent cinquante ans, à l'épuiser, démographiquement, économiquement et, surtout, mentalement, moralement, spitituellement. C'est là que l'on retrouve notre Maurras, à qui nos excellents ennemis Anglais pourraient accoler, comme surnom, le titre d'une série télévisée anglo-saxonne qui passe régulièrement sur nos chaînes télé : "Good doctor". Oui, Maurras a disséqué le mal, en a montré l'origine, et proposé le remède. Sera-ce suffisant ? Ou bien la France - mais avec elle, on l'a dit, l'ensemble du monde... - sera-t-elle engloutie par la spirale inéluctable de la décadence, car nous sommes, en effet dans une période de décadence ? Le Telegraph a, d'ailleurs, bien pris soin de mettre un "apparemment" devant son "irréversible"...
Tout en étant lucidement réalistes, nous voulons donc espérer contre toute espérance, sachant que les virus aussi sont mortels; que la cause idéologique de tous nos maux peut fort bien s'effondrer dans les années qui viennent, victime elle-même de ses propres ferments de dissolutions (comme cela se passa en 1991 pour une URSS qui avait toutes les apparences, dix ans avant sa chute cataclysmique, de devoir vivre encore longtemps).
"On a vu souvent rejaillir le feu / d'un ancien volcan qu'on croyait trop vieux" chantait Jacques Brel.
Oui, comme le disait Maurras, et tant qu'il reste des Français sains et jeunes de corps et d'esprit, "Tout désespoir en politique est une sottise absolue"; et comme le disait son ami Jacques Bainville, "Pour les renaissances, il est encore de la Foi"...
Charles Prats l'a relevé, et il a bien fait :
Art et Essai : Le Pharaon, le sauvage et la princesse, un dessin animé français de Michel Ocelot
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
(Bourvil)
Le Pharaon, le sauvage et la princesse…
Des pharaons à la Turquie du XVIIIème siècle, en passant par l’Auvergne du Moyen-Âge d’après un conte d’Henri Pourrat, un film d’animation avec des seigneurs et des princesses, avec de l'amour courtois, des gentils et des méchants, sans autres explosions que celles des couleurs des dessins, sans Superman, sans effets spéciaux...
Courez-y vite avec vos enfants, vos petits-enfants, pour leur donner le goût du Beau, du Bien, du Vrai... et même sans eux, allez-y pour vous reposer de notre monde impitoyable.
Le constat que fait ci-dessous Eugénie Bastié est juste, et fait depuis longtemps; reste à savoir ce qu'est "la droite" : si elle est dans le Système, l'accepte, en est l'un des rouages, qu'elle ne vienne pas se plaindre si le-dit Système la stérilise, l'étouffe, l'annihile... car le Système, lui, c'est la Révolution, "le chaos figé des conservateurs du désordre" d'aujourd'hui ne faisant qu'accomplir la tâche fixée par "le chaos explosif des révolutionnaires" d'hier.
Exactement comme l'Islamisme n'est rien d'autre que l'Islam en marche...
D'Eugénie Bastié :
"Si la droite est dominante dans le champ politique la gauche domine toujours le champ culturel. Les professeurs, les journalistes et les artistes, qui sont les principaux vecteurs de la transmission sont majoritairement de gauche."
Nous, ce que nous voulons et menons, en appelant tous les Français à nous rejoindre, c'est "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)
A l’affiche : Le Petit Nicolas - Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?, un film d’Amandine Fredon et Benjamin Lassoubre, avec la participation de la romancière Anne Goscinny (fille de René) qui a notamment collaboré au scénario, et de Jean-Jacques Sempé, qui a validé les dessins.
ON NE PARLE PAS DE CORDE DANS LA MAISON D'UN PENDU ! :
L'ANTISÉMITISME DE LA NUPES N'A RIEN À FAIRE À L'ASSEMBLÉE NATIONALE...
IL N'Y A PAS CINQ MOIS, DEUX DÉPUTÉES LFI (Danielle Simonnet et Danièle Obono) POSAIENT FIÈREMENT AUX CÔTÉS DE L'ANTISÉMITE FURIEUX JÉRÉMY CORBYN, EXCLU JUSTEMENT DE SON PARTI TRAVAILLISTE POUR CAUSE D'ANTISÉMITISME :
ALORS, LA MANOEUVRE GROSSIÈRE DES BOYARD ET AUTRES LFI, QUI TENTENT DE FAIRE OUBLIER LEUR ANTISÉMITISME ET LEURS INNOMBRABLES PROBLÈMES INTERNES EN ACCUSANT LES AUTRES, NE TROMPERA PERSONNE,
ET EN TOUT CAS, PAS NOUS !
Tiens, tiens ! Deux LFI "toutes gaîtes", comme disait Coluche (Danielle Simonnet et Danièle Obono), entourent cet antisémite furieux de Corbyn.
Et après, "ça" viendrait accuser les autres de racisme ?
Oui, définitivement, Gustave Thibon avait raison...
Était-ce pour cela que le plus poète et le moins politique de tous nos maîtres n'a jamais voulu entrer dans le combat politique ? La question mérite d'être posée, à plus forte raison eu égard à la dernière trouvaille de notre secrétaire d'Etat à la citoyenneté, dite la dame Backès.
Concrètement, le gouvernement de la république va provoquer des assises du sectarisme et du conspirationnisme (vous avez bien lu). Se fendant d'une interview sur la chaîne d'information CNEWS face à Laurence Ferrari, la secrétaire d'État nous explique doctement d'abord que le conspirateur, le sectaire, est quelqu'un qui se "coupe de la réalité" en croyant à des fadaises découlant de "conspirations". Mais comment reconnaître le sectaire ? C'est tout simple : Il ne croit pas aux valeurs de la république.
BIGRE ! En plein dans le mille !
Cela pourrait prêter à rire mais l'État va plus loin : tout citoyen pourra signaler son voisin, son collègue de travail ou autre pour des faits de "sectarisme" et de "conspirationnisme". Toutefois, pour habiller le procédé de bons sentiments et de bonnes intentions, la représentante de l'Exécutif nous précise qu'il ne s'agit de pas de dénoncer son voisin, mais de le sauver. Cela signifie que la république va rééduquer les "sectaires"... Cela rappelle étrangement la Chine populaire de Mao, mais passons. George Orwell l'avait prophétisé dans son livre "1984", Emmanuel Macron l'a fait : il vient de créer un "ministère de la vérité".
Il n'y a pas de quoi être surpris ou choqué, comme nous venons de le rappeler en titre et introduction, Thibon avait raison. Homme de Tradition, homme enraciné, il fut le maître de Pierre Rabhi (n'ayant à recevoir de leçon d'écologie ou de politique de personne); incidemment on peut relever que Gustave Thibon forma un esprit puissant et novateur, dans la tradition de l'École de pensée maurrassienne et d'Action française) : il ne se retira pas du monde mais ne s'y mélangea pas.
Au XXème siècle, Julius Évola avait écrit "Révolte contre le monde moderne". Gustave Thibon l'a mis en pratique et avait bien vu l'horreur de ce prétendu nouveau monde "vieux comme le diable" qui, comme le disait Pierre Boutang, "n'a que des banques pour cathédrales" et dont il n'y a rien à conserver, faisant ainsi écho à la pensée de Thibon que nous avons donné en introduction en ce qu'il confirme l'analyse relative aux "conservateurs du chaos".
Pas d'inquiétude, le monstre froid nous (re)montre son vrai visage. Attendons, restons calmes, soyons des hommes et continuons de nous former en gardant à l'esprit que l'Histoire nous enseigne que toute société de la surveillance, de la terreur, finit toujours par s'effondrer. Maurrassiens, nous considérons que les libertés ne s'octroient pas, mais qu'elles se prennent. Un régime politique, peu importe lequel, ne peut empêcher l'individu d'être lui-même, de penser, de développer ses raisonnements, ses convictions. L'autoritarisme ne résiste jamais à l'analyse et à la méthode.
Vive la France, et pour que vive la France, vive le Roi !
La Rédaction
A l’affiche : Mascarade, un film de Nicolas Bedos, avec François Cluzet et Emmanuelle Devos (Simon et son épouse Carole), Isabelle Adjani (l’actrice Martha), Pierre Niney (Adrien) et Marine Vacth (l’escorte-girl, Margot).
ESCROLOS : FICHEZ LA PAIX AUX "DEUX ROUES" !
Juste intervention de Dimitri Pavlenko chez Christine Kelly :
"On va sauver la planète avec le contrôle technique des deux-roues, on va lire ce genre d’âneries..."
(extrait vidéo 1'10)
https://twitter.com/CNEWS/status/1587512209244147713?s=20&t=tsVuyBPt0BmRkIynh2FQhw