Un nouveau numéro de “Royaliste” (numéro 1247 , daté du 2 janvier) vient de paraître...
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Bonne année cinématographique (et plus si possible) 2023
C'est seulement le 14 mars que nous avons entamé l'année cinématographique 2022, devant un film nul - Les Bodin's en Thaïlande - mais il fallait bien mettre un terme à plusieurs mois d'abstinence due à l'im"pass"e sanitaire à laquelle nous avons refusé de nous soumettre.
Nous avons d'ailleurs, depuis, boycotté Maria rêve avec karin Viard qui, sans davantage de compétence que moi, refusait que l'hôpital prenne en charge ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner contre le Covid. Ils devaient, disait-elle, "assumer leur position jusqu'au bout". Nous l'avons "assumée" en nous refusant d'aller rêver avec Maria.
Nous avons aussi renoncé à Avatar dont les 3h1/4 étaient au-delà de nos capacités. Déjà nous avions trouvé "beaucoup trop long" le premier Avatar de 2h3/4...
6h d'avatar, et ce n'est pas fini... J'ai lu que, sauf avatar, "la saga Avatar s'étalera sur 5 films" (!) d'ici 2028 !
Le palmarès ci-dessous est néanmoins établi à partir des 103 films vus en 2022 et précisément 95 sorties de 2021, 2022 ou avant premières 2023.
N'en déplaise à certains qui me reprochent d'être trop souvent négatif, j'ai émis un avis favorable pour 43 d'entre eux, dont 19 très favorables.
Sur le podium, j'élève d'abord Reste un peu pour son originalité et le courage de Gad Elmaleh.
En 2ème position, presque dans le même registre, Notre-Dame brûle dont j'avais aimé l'envers du décor, les aléas, les grains de sable, les "tourbillons" en quelque sorte, du sauvetage.
Sur la 3ème marche Novembre, qui met à l'honneur les forces de l'ordre à la suite de l'acte de guerre islamiste du 13 novembre 2015.
Le classement dans lequel j'inscris les 7 autres du "top 10" est évidemment plus arbitraire
1. Les Harkis, qui dénonce la trahison gaulliste avec l'abandon raciste et la livraison à la barbarie FLN de ceux "qui, sous (nos) couleurs, qu'ils croyaient les leurs, se battaient pour la France".
2. A plein temps, qui dénonce l'individualisme de notre société libérale-libertaire dont on dit qu'elle "libère" la femme
3. Le sixième enfant qui traite du désir de maternité
4. Tempête pour surmonter, même à cheval, les accidents et autres "tourbillons" de la vie
5. Le Tourbillon de la vie, précisément sur les hasards de l'existence
6. Maestro(s) quand les chiens ne font pas des chats, et la problématique du disciple, et du fils, qui dépasse le maître
7. Revoir Paris, à nouveau sur le terrorisme vu cette fois avec les yeux des rescapés
Et puis encore 2 en bonus
• Les Miens, à savoir un portrait de la famille de Roschdy Zem, bien assimilée, qui ressemble de ce fait à n'importe quel portrait de famille avec ses discussions, ses disputes et ses joies
• Et enfin la comédie Citoyen d'honneur qui est, par le biais d'un hommage à la littérature française, un véritable hommage à la colonisation française. Merci Kad Merad.
On observera que ces douze "meilleurs" films sont, "divine surprise", français !
Bravo
Souhaitons nous une bonne production française à nouveau en 2023, si, après le covid, les coupures d'électricité ne nous ferment pas définitivement les salles obscures.
Bonne année quand même, et que Dieu nous garde.
"Pays légal" de Bruxelles ou "Pays légal" du Système, de la République idéologique, même combat !
D'accord avec Fabien Bouglé :
A l’affiche : Le Tourbillon de la vie, un film français, premier long-métrage d’Olivier Treiner, avec Isabelle Carré et Grégory Gadebois à savoir Anna et Pierre, les parents de Julia, la pianiste interprétée par Lou de Laâge.
"On s'est connu, on s'est reconnu
On s'est perdu de vue. On s'est r'perdu d'vue".
Le Tourbillon de la vie... pour moi, c'est Jeanne Moreau.
Mais c'est, en ce "bout d'an" 2022, un tourbillon cinématographique, peut-être un peu confus, néanmoins magnifique,
avec des scènes qui vont et qui viennent, « re-vont » et reviennent, qui tournent et retournent.
Le Tourbillon de la vie, c'est d'être là, ou pas là, c'est d'être au bon endroit au bon moment ou au mauvais endroit au mauvais moment, c'est la succession des événements, des faits, des aléas, des hasards qui orientent et désorientent une vie.
Avec des si, on met Paris dans une bouteille... Le Tourbillon de la vie, c'est imaginer, « réinventer » sa vie - comme on dit maintenant - si telle petite chose, telle seconde ne s'était pas, ou au contraire, s'était produite.
C'est, de ce fait, la vanité d'imaginer ce que sera demain... un message dont il faut retenir l’optimisme, même si Nul ne sait ni le jour ni l'heure...
Finirai-je ce commentaire ?
"Il suffirait de presque rien..." chantait Serge Reggiani
Julia est musicienne, et après le spectacle, emporté par le Chœur des Esclaves,
"chacun pour soi est reparti
dans l'tourbillon de la vie".
1er janvier 2023
Françaises, Français,
Mes chers compatriotes, Chers amis,
En ce début d’année 2023, permettez-moi de vous présenter tous mes vœux pour la nouvelle année.
« Gouverner, c’est prévoir ». Cette maxime d’Adolphe Thiers nous donne à méditer sur la vertu de prudence dont nos gouvernants devraient s’inspirer. Depuis plusieurs années, les diverses crises qui secouent notre société ne cessent d’entamer en profondeur un modèle économique, politique et social qui s’essouffle. Il est temps de jeter sur notre monde un regard lucide pour préparer ce que nous souhaitons laisser à nos enfants et aux générations futures. Un avenir commun que nous devons forger sous le sceau de la liberté dans l’unité et de la paix dans la justice. Une société au cœur de laquelle nous replaçons l’homme, afin de redonner un souffle à notre nation millénaire.
En France les nombreuses réformes engagées ont profondément creusé les inégalités sociales et réduit nos rapports sociaux à minima sous l’effet de mesures de plus en plus contraignantes. Face à ces mauvais choix, souvent contraires aux aspirations des Français, une voie de vraies réformes est certainement possible qui quitte le confort des cercles restreints pour s’adresser au plus grand nombre. La voie vers un modèle social plus solidaire et juste, un modèle économique plus responsable et équitable, un modèle politique plus décentralisé et indépendant.
Pour un futur apaisé, il faut absolument sortir de ces rapports de forces violents et conflictuels qui émaillent trop souvent nos paroles et nos comportements. Nous devons rétablir une relation de confiance entre les différentes composantes de notre communauté nationale. Il faut écarter au plus vite ces idéologies qui font la part belle aux idées saugrenues et privatives de nos libertés. Nous devons redonner toute sa place au principe de subsidiarité pour un modèle politique équilibré comme le dit très bien l’adage « le prince en ses conseils et le peuple en ses états ». Il est nécessaire d’éviter l’engrenage mortifère d’une société qui ne protège pas ses enfants et ses personnes âgées. C’est une société vivante avec la famille comme première cellule sociale que nous devons appeler de nos vœux.
Notre communauté nationale est riche dans sa diversité. Nous sommes capables d’unir nos talents pour construire un avenir meilleur et réaliser notre bien commun. Il nous faut en avoir la vision à long terme et la volonté. Notre destin est entre nos mains.
Belle et heureuse année 2023
Une hirondelle ne fait pas le printemps, mais elle l'annonce...
Vivons-nous le début du repli des cingleries de foldingues en tous genres ?
En Italie, c’est fini pour "Parent 1" et "Parent 2" : le gouvernement Meloni revient sur les délires de la gauche et annonce le retour de MÈRE et PÈRE sur les cartes d’identité !
FORZA, ITALIA !
Il fut l'ami, le bras droit et le continuateur de cet autre immense Pape que fut Saint Jean-Paul II, tombeur du communisme et beau défenseur de la Foi, autant qu'il lui fut possible...
En guise d'hommage respectueux au Pape Benoît, lafautearousseau redonne, simplement, les deux Grands Textes de notre série qui lui sont consacrés :
GRANDS TEXTES (13) : Discours du pape Benoît XVI au collège des Bernardins.
Début de fronde contre la malfaisante et mortifère techno-bureaucratie "bruxelloise" ? Il faut le souhaiter...
(dans Boulevard Voltaire, l'article de Stéphane Buffetaut) :
"Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais a affirmé que l’Italie et la Pologne en avaient "marre des diktats de la bureaucratie européenne" et voulaient "une vraie démocratie européenne"..."
La Grande Mosquée de Paris annonce porter plainte contre Michel Houellebecq après des "propos très graves qu’il a tenus au sujet des musulmans de France" : elle fait référence à une conversation publiée dans la revue "Front populaire", dans laquelle Michel Houellebecq estime que "le souhait de la population française de souche" est "que les musulmans cessent de les voler et de les agresser".
En somme, la grande mosquée de Paris dépose plainte contre Michel Houellebecq, qui a le tort de dire la vérité... La question est donc : Y-a-t-il encore de la liberté de pensée et de parole pour les écrivains et les philosophes chez nous ? Ou bien les décrets d'application de la Charia vont-ils paraître incessamment sous peu au Journal Officiel de la (soi-disant) République (soi-disant) française ?
SOUMISSION ?
À L'ISLAM, À SA CHARIA
?
NON ! JAMAIS !
Rien à rajouter, rien à retrancher dans ce court billet que nous avoins publié ici-même le 7 avril 2017 :
Arts & Ciné : Les Huit montagnes, un film de Charlotte Vandermeersch et Felix van Groeningen, avec Luca Marinelli (Pietro) et Alessandro Borghi (Bruno)
adapté du roman éponyme de Paolo Cognetti (2016).
"Ils quittent un à un le pays
Pour s'en aller gagner leur vie
Loin de la terre où ils sont nés".
En 1984, ils ne sont plus que 14 dans le village de Grana au Val d'Aoste, y compris Pietro et sa maman en période d'été.
"Pourtant que la montagne est belle" !
Et c'est vrai que la montagne est belle, et les photos de ce trop long métrage (2h1/2) magnifiques… c'est le seul intérêt, insuffisant pour moi, de cette histoire d'amitié.
Mon épouse a sans doute raison, je n'ai aucune empathie.
"Parce que c'était lui, parce que c'était moi"... très peu pour moi.
Entièrement d'accord, évidemment, avec Pierre Gentillet :
"...Le peuple français n’est pas un cocktail migratoire qu’on modifie au gré des besoins du marché. C’est une réalité historique, culturelle et organique, majoritairement hostile au projet d’immigration économique de Macron. Augmentez les salaires au lieu de faire venir des immigrés !..."
(extrait vidéo 1'41)
https://twitter.com/Pierre_GTIL/status/1607790169981157377?s=20&t=n63pYc8Jef2T1n5-lE9n0g
C'est une réflexion en deux parties, si l'on peut dire, que nous envoie, cette fois-ci, notre ami Marc Rousset :
• d'abord, sa propre analyse, que vous allez lire en premier;
• et, ensuite, un entretien d'Oscar Lafontaine, traduit en français, paru à la fin du mois de novembre dernier...
Voici donc, pour commencer, l'article de Marc Rousset...