LAFAUTEAROUSSEAU - Page 218
-
Ce papillon a été édité et affiché par les royalistes de l'Action Française dans les rues des villes de France vers 1935 : n'est-il pas d'une brûlante actualité, la mondialisation ayant pris le relais des "internationalistes" de l'époque ?En tout cas, oui, les Corporations, rénovées, modernisées et valorisées, peuvent permettre une meilleure garantie du Travail en France et une plus grande solidarité professionnelle.
-
Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
• Quand il s'agit de transformer la France en foutoir et pétaudière, d'en faire la poubelle du monde en accueillant volontairement ou en laissant entrer (par faiblesse, incompétence ou incapacité) n'importe qui...
• quand il s'agit de faire revenir des djihadistes assassins partis tuer en Syrie ou ailleurs, ou alors des complices ou familiers d'assassins...
le Système est là, on peut compter sur lui !
Mais quand une famille iranienne, vraiment en danger de mort car elle s'est convertie au christianisme, demande normalement et pacifiquement le droit d'asile, là, c'est différent ! Quatre demandes d'asile refusées, car "leur sincérité n'a pu être prouvée".
Et en plus, ce Système pourri nous prend pour ce que l'on n'est pas : parce que, les envahisseurs de l'Océan viking, leur sincérité avait été prouvée, peut-être ?
SYSTÈME POURRI !
-
Au Cinéma, avec Guilhem de Tarlé, pour "un très grand film qu'on ne peut que recommander" : Reste un peu...
A l’affiche : Reste un peu, un film français de Gad Elmaleh, avec Gad Elmaleh, ses parents et sa sœur (Régine, David et Judith), Nicolas Port, frère de Saint-Jean, Curé de la Paroisse Ste Cécile à Boulogne-Billancourt (Père Barthélémy), Mehdi Djaadi et Roschdy Zem (Mehdi et Roschdy).
"T'es catho toi ?
- C'est plus compliqué que ça"Il y a dans cette esquive la peur de s'affirmer, mais c'est effectivement compliqué d'être catho, avec le Père, le Fils, le Saint-Esprit, un seul Dieu en 3 personnes ! et en plus de ça il y a la Ste Vierge, la Mère du Fils, la mère de Dieu !
Elle a manifestement pris Gad Elmaleh par la main pour le mettre sur le chemin, mais le chemin, ce n'est pas Elle, c'est le Fils ("Je suis le chemin"). Et ce chemin, il mène où ? Vers le Père.Si l'on sait que cette voie est "étroite", on voit surtout qu' elle est longue... Il est long le chemin...
Et Gad Elmaleh au tout début de ce chemin, tenu par la main de Marie, pourrait chanter avec Joe Dassin :
« Qu'il est long, qu'il est loin, ton chemin, papa
C'est vraiment fatigant d'aller où tu vas »(pour notre part, nous sommes allés voir ce film à Romorantin, 65 km, 1h1/4 de route, en l’absence de programmation dans l’Indre !)
Ce film, présenté comme une "comédie", et effectivement j’ai éclaté de rire à plusieurs reprises, n’en est pas moins réellement un drame ; le drame que vit le réalisateur qui ressent s'affronter au-dedans de lui d'un côté son identité et sa religion juive, qui est celle de sa famille et de ses amis, de l'autre l'appel de Marie.
Marie était peut-être juive, mais elle a trahi et c'est à cette même trahison qu'elle veut conduire Gad Elmaleh.
L'acteur Mehdi Djaadi, l’un des catéchumènes du film, raconte, lui aussi, paraît-il, dans un autre spectacle intitulé Coming out, sa conversion de la religion musulmane au catholicisme... Je n'ai évidemment aucune compétence pour en juger, mais je la pense plus aisée, qui ne comporte certainement pas avec la même intensité la caractéristique de trahison.
En regard de cette « histoire vraie » de Gad Elmaleh j'utiliserais pour ma part le terme enraciné de « Confession ».
Finalement la question que pose ce long-métrage est simple : peut-on être juif et chrétien ?
"Tu changes de Dieu, tu changes de parents !" répond la mère de Gad Elmaleh.
Édith Stein (sainte Thérèse Bénédicte de la Croix), le cardinal Jean-Marie Lustiger, la philosophe Simone Weil (dont le film dit qu’elle n'était pas baptisée, ou alors in articulo mortis), l’écrivain Judith Cabaud répondent Oui, mais Gad Elmaleh nous montre combien cette conversion est difficile.
Chapeau bas, pour ne pas dire kippa basse, en tout cas à cet humoriste qui a eu le courage, avec sa famille, de s'interroger et de nous interroger publiquement.
Reste un peu, c'est la supplication de la mère de Gad à son fils, c'est surtout la prière de Gad à sa mère céleste.
C'est en tout cas un très grand film qu'on ne peut que recommander à ceux qui croient au Ciel et à ceux qui n'y croient pas.
Rappelons pour conclure les propos de Jésus à Nicodème : « Le vent souffle où il veut : tu entends sa voix, mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va ». -
Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
LA HONTE POUR CE SEMBLE-GOUVERNEMENT !
LA HONTE POUR BORNE ET MACRON !
Ca y est, c'est fait : ce semble-gouvernement qui a fermé Fessenheim, centrale ultra-sûre et ultra propre, qui produisait 5% de notre électricité, vient de remettre en route la très polluante centrale à charbon de Saint Avold, fermée depuis mars dernier.
C'est "leur" progrès ! C'est "leur" défense de l'environnement, "leur" façon de protéger la Nature, de limiter les émissions de CO2 etc.. etc...
"On" va donc ("on", c'est-à-dire Macron et Borne) re-polluer à tout va, en nous demandant, "en même temps", de baisser notre chauffage, de raccourcir nos douches, de moins prendre nos voitures etc... etc...
GOUVERNEMENT DE PIEDS NICKELÉS,
BANDE DE CHARLOTS !
(extrait vidéo 2'28)
https://twitter.com/Eric_Anceau/status/1597514053189914624?s=20&t=A6X5zu20gY-Sh3qvenRLwg
-
Une interview du Comte de Paris donnée à notre ami Frédéric de Natal pour le quotidien "Royaliste"...
"Je suis fier de mon ascendance brésilienne que je dois à ma grand-mère."Une interview du Comte de Paris donnée à Frédéric de Natal pour le quotidien de la NAR sur ses liens avec la famille impériale brésilienne et l'importance de sauvegarder l'environnement de ce pays. -
Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Circule sur tweeter... Pas mal, et si juste, si révélateur de l'état lamentable dans lequel se trouve ce semble-gouvernement... qui garde néanmoins intacte sa capacité de nuisance contre la France et les Français :
• fermeture criminelle de Fessenheim, provoquant manque d'électricité et envolée des prix (puisque combinée à la soumission imbécile aux directives technocratriques non moins imbéciles de "Bruxelles"...)
• sanctions stupides contre la Russie, qui nous privent de gaz et donc, là aussi, provoquent une flambée des prix qui peut tuer notre économie réelle...
• poursuite et aggravation de la politique favorisant l'invasion de la France (Océan Viking !...) et la dramatique insécurité et dangerosité qui va avec et qui gangrène notre Société....
(simple début de liste des méfaits de notre semble-gouvernement et de la malfaisance du Système, évidemment non exhaustive...)
-
Au cinéma, pour une chronique très "sur l'essentiel" de notre ami Guilhem de Tarlé...: Une Terre sans abeilles ?
Art et Essai : Une Terre sans abeilles ?, un film français de Nicolas Dupuis et Elsa Putelat.
La bibliothécaire de Mâron en Berry a de la suite dans les idées qui a organisé, à quelque semaines d’intervalle, deux séances de cinéma sur "la nature (qui) souffre et personne ne l'entend". Ce fut d'abord . "Attention fragile : les étangs de Brenne", qui attirait précisément notre attention sur la fragilité de la biodiversité, puis, en ce 25 novembre, "Une terre sans abeilles ?", question sibylline au bourdonnement eschatologique.
Je ne sais pas d'où vient le conte que raconte Armand Toupet, romancier du siècle dernier, selon lequel Ste Solange, la patronne du Berry, serait "la madone des abeilles", titre que je n'ai retrouvé nulle part ailleurs. Toujours est-il que c'est à ce conte que je pensais, cette "madone" que j'implorais à la perspective de ces ruches vides.
Ce documentaire me rappelle une étude sur la mortalité - ou plutôt la surmortalité - des abeilles, publiée en 2004 par Philippe de Villiers : Quand les abeilles meurent, les jours de l'homme sont comptés, où il raconte qu'Albert Einstein regardait l'abeille comme la "sentinelle" du monde : "Si l'abeille venait à disparaître, disait Einstein, l'homme n'aurait plus que quelques années à vivre".
C’est le cri d’alarme des réalisateurs qui met en regard, selon la formule de Philippe de Villiers "le pot de miel des apiculteurs contre le pot de fer de l’industrie agrochimique".
La solution à ce duel ? les agrochimistes l’imaginent dans l’agrochimie… avec des abeilles OGM !
Sainte Solange, reviens… ils sont devenus fous !
-
Conférence de Jean Paul Gourévitch à Zurich ce 29 novembre 1922 : "Les enjeux des diasporas"
Le DIRCAS communique :
29 novembre 2022 à 19h00, Hôtel Glockenhof-Zurich, Sihlstrasse 31, 8001 Zürich (Salle « SIHL »)
Joël BROQUET,
Président Délégué-Carrefour des Acteurs Sociaux (CAS)
Directeur du Partenariat Eurafricain
Vous prie de bien vouloir assister à la conférence
LES ENJEUX DES DIASPORAS EN EUROPE
de Jean-Paul Gourévitch (PhD),
Essayiste, Expert international en ressources humaines, Spécialiste de l'Afrique et des migrations,
Ancien consultant international sur l'Afrique pour la Banque Mondiale et l'Unesco,
Auteur de« Les Migrations en Europe » (2007),
« Les Migrations pour les nuls » (2014),
« La France
en Afrique 1520-2020 vérités et mensonges » (2020)
La conférence débutera à 19h000 précises, durera jusqu’à 20h30, et sera suivie d’un verre de l’amitié au Lobby de l’hôtel au cours duquel l’auteur pourra dédicacer ses ouvrages. Fin prévue 21h00-21h15
(participation aux frais pour la soirée CHF 30)
Accès : Train, S-Bahn, Tram : Zürich Gare Centrale (5 minutes à pied de l’Hôtel Glockenhof)
Rsvp : Stéphane LEBRAVE
Délégué du Carrefour des Acteurs Sociaux en Suisse Alémanique
stephane.lebrave2019@gmail.com
tél. +41 78 727 35 36 -
Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Le "jeu" (?) répugnant de la FNAC qui fait polémique.
D'accord avec Grégoire de Fournas :
"Case 1 : « je bloque une fac »Case 2 : « je tabasse un militant de droite »Case 3 : « j’attaque un meeting du RN »Case 4 : « je lance un cocktail Molotov sur les CRS »La @Fnac, vous n’avez pas honte ?""Jeu" (?) pourri, né d'un cerveau pourri : c'est par la tête que pourrit le poisson...
"Vous n'aurez pas ma haine" ? La Fnac, vous n'aurez pas notre argent !
-
Grandes "Une" de L'Action française : Mort de Clemenceau, le "Perd la Victoire"...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
---------------
Voici la "Une" du lundi 25 novembre 1929, qui annonce la mort de... celui qui nous a donné Hitler, la Seconde Guerre mondiale et toutes les horreurs qui sont venues avec...
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k763972n/f1.item.zoom
Plusieurs surprises, dans cette "Une"...
-
Racines chrétiennes de la France...
La crèche de lafautearousseau est installée...
-
Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
SCANDALEUX !
Le parquet de Paris a demandé un non-lieu dans l’enquête sur l’empoisonnement à grande échelle lié à l’utilisation du chlordécone aux Antilles françaises.
JUSTICE POUR LES ANTILLES !
-
Découvrez les coulisses de la restauration du bureau de Louis XIV...
Découvrez les coulisses de la restauration du bureau de Louis XIV. Il rejoint les collections du château de Versailles après presque 2 siècles. Aujourd’hui restauré dans son état de 1685, il est exposé dans le Salon de l’Abondance.
(Vidéo complète - 4'26) : youtu.be/OXWPV4GH-oY
(extrait vidéo 2'20)
https://twitter.com/maurrassiferien/status/1595345643534536705?s=20&t=qq3QIPv3v5Tazq3T-PWitg
http://www.lescarnetsdeversailles.fr/2016/04/un-tresor-decailles-et-de-cuivre/
-
Au Cinéma : Les Lendemains de veille…, par Guilhem de Tarlé
A l’affiche : Les lendemains de veille, un film français de Loïc Paillard, avec Natacha Krief (Cleo), Bérénice Coudy (Anne-Sophie – mais appelez-la « Anne-So »), Marica Soyer (la fille à papa, Lola), Lucile Krier (Malo), Etienne Beydon (Blaise, le mari d’Anne-So) et Sylvain Mossot (Romain, le fiancé de Lola).
Les Lendemains de veille… Ils s’intitulent une « communauté », je crois que c’est Lola qui parle d’une « famille » tandis que son papa paraît viser juste : « une bande de branleurs », pour un quasi remake de Plancha, à savoir une bande de copains et copines (et plus, même sans affinités) qui se retrouvent dix ans après, sauf que c’est pour prendre connaissance du testament de l’un d’eux qui s’est pendu.
Le début et la fin sont déjantés, et stupides, ce qui permet à peine de parler de « bon petit film », comme l’a exprimé le seul (jeune) couple qui était dans la salle en même temps que nous.Curieusement la case « exotique », « diversité » ou « chance pour la France » n’est pas cochée, mais, dans un autre registre, on assiste à une parodie de mariage « trouple », de deux hommes avec Malo – qui est, il est vrai, très charmante.
On subit aussi, de la part d’Anne-So qui allaite son bébé, une propagande avorteuse poussant Cléo, en cachette de « (sa) meuf » avec qui elle vit « en couple », à aller se faire avorter en Espagne – les délais sont passés pour la France - d’un enfant conçu lors d’une soirée « chargée ». C’est pourtant cette même Anne-So(tte) qui avait qualifié de « violence » un bisou à un bébé, « sans son consentement » !
Beaucoup d’exécrable, donc dans cette comédie, particulièrement bien interprétée par chacune des actrices, mais aussi une réflexion poignante sur le temps qui passe pour ces dix trentenaires qui, à force d’avoir voulu « profiter de la vie », se mettent à minauder devant les deux seuls enfants venus « distraire » leurs retrouvailles.
« Mais à la mort du jour
Dans les draps de l’ennui
On se retrouve seul »
(Jacques Brel)
-
Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Pourquoi nous pensons qu'il faut interdire le "vendredi noir" en France...
1. Parce que c'est un "pousse-au-crime", incitant les gens - par bourrage de crâne et matraquage médiatique - à consommer toujours plus, des choses dont ils n'ont pas forcément besoin, alors qu'on commence à prendre enfin conscience que cette société du "toujours plus", du gaspillage et de la sur-consommation perpétuellement croissante, en perpétuelle expansion, est, tout simplement, intenable...
2. Parce que c'est la porte ouverte à toutes les arnaques possibles : pas toujours, mais dans un très grand nombre de cas, on ne propose pas vraiment de "bonnes" affaires au public, mais plutôt aux enseignes, qui "fourguent" leurs invendus ou en profitent pour "déstocker"...
3. Enfin, et peut-être surtout, parce que c'est un aspect supplémentaire de l'imposition aux Français des moeurs et coutumes états-uniennes (venant juste après les grotesques citrouilles et sinistres sorcières de pacotille de leur non moins grotesque et sinistre "fête" (?) du début novembre...)
Mais, bien sûr, dans notre Système, "l'Argent monte trop haut", comme le disait Maurras. Il est le maître, c'est lui qui fait, non pas les Rois, mais les Présidents : il est au pouvoir, il est "l'Argent-Roi". Et roi, avec lui, le fric, le plus bas matérialisme qui soit, "la Fortune anonyme et vagabonde" que dénonçait l'Action française...
Alors, dénoncer le "vendredi noir" et demander son interdiction est, certainement, un voeu pieux. Peut-être, pour certains, mais pas pour nous, qui ne nous contentons pas de demander la suppression d'un fruit pourri, mais qui savons qu'il faut arracher l'arbre mauvais qui produit ce fruit pourri, et tous les autres :
LE SYSTÈME,
LA RÉPUBLIQUE IDÉOLOGIQUE !