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A l’affiche : Maestro(s), un film français de Bruno Chiche, avec Pierre Arditi et Miou-Miou (François Dumar et sa compagne Hélène), Yvon Attal, Pascale Arbillot et Nils Othenin-Girard (Denis Dumar, son « ex » jeanne, et leur fils Mathieu), André Marcon (Alexandre Mayer).
« Ah ! je ris de me voir si belle en ce miroir ».
La concurrence est rude en cette fin d'année quand, après Novembre, après la Tempête, ces Maestros m'ont ramené en Syldavie au temps où Bianca Castafiore interprétait Gounod et Les Bijoux de Faust à la Scala de Milan. Ils m'ont replongé aussi au sein d'un parti quand le numéro 1 se voulait l'unique numéro, refusant l'idée même d'un numéro 2 et de toute réussite en dehors de lui, jusqu’au coup d'éclat, rouge, au pied de la statue de Jeanne d'Arc (ce qui n’enlève rien à la clairvoyance de ce qu’on appelle aujourd’hui un lanceur d’alerte).
Là où il y a de l'homme, il y a de l'hommerie, et le grand chef d'orchestre François Dumar devrait se féliciter de se surpasser dans son fils Denis plutôt que de le jalouser… une fois encore, nul n’est parfait ! Je suis pour ma part davantage choqué par la véritable perfidie, la grande lâcheté, que pourtant personne ne dénonce, de cet Alexandre Mayer qui envoie à l’abattoir le fils de François Dumar, au lieu de lui présenter personnellement ses excuses pour le quiproquo, par ailleurs malheureusement dévoilé dans la bande annonce.
Maestro(s)… Un coup de maître, néanmoins, un grand film, une belle symphonie que je recommande aux mélomanes et à ceux, dont je déplore être, qui ne le sont pas.
"La Rédaction propose l’utilisation d’un nouvel outil : Le dingomètre. Le dingomètre permettra de mesurer le degré de dinguerie des interventions de Sandrine Rousseau.
Nous avons ouvert deux nouvelles "chroniques d'accroche" permanentes il y a peu, qui paraissent tous les jours sur la page d'accueil de notre Blog.
Ces deux chroniques sont "en cours de rédaction", "en construction", si l'on veut, mais nous préférons ne pas attendre avant de publier ce qui est déjà rédigé, et qui précède donc... la suite à venir :
Voici donc le dernier ajout que nous avons publié hier sur la première de ces deux chroniques, et qui concerne la supercherie que recouvre le mot "diversité" :
• on parle de "diversité" : non, c'est une supercherie ! Il s'agit
- de la dé-francisation du Pays par le Système;
- de la dé-possession des Français de leur terre;
- du changement de peuple par la République idéologique...
La France, et avant elle la Gaule (dont elle est la continuatrice) ont connu une remarquable stabilité démographique pendant deux mille ans. Nous étions "la Chine de l'Europe" sous Louis XVI, le pays le plus peuplé, avec près de 30 millions d'habitants; et il naissait environ un million de petits français par an (aujourd'hui, autour de 700.000, pour une population plus que doublée, et, sur ces 700.000, dans plusieurs endroits de France, la moitié, voire les deux tiers et parfois plus, sont d'origine étrangère...). Il a fallu les 5 millions de Français "perdus", "évaporés" à cause de la Révolution, des Empires et des Républiques pour que la France commence à manquer de bras : 600.000 morts (directs et indirects) de la Révolution, de ses carnages (canonnades de Lyon, noyades de la Loire, Génocide vendéen...), un million et demi de morts des folles guerres napoléoniennes, 500.000 habitants perdus après les Traités de 1815, encore un million et demi de morts en 14, et 600.000 en 39 !
Quel pays au monde pourrait supporter une telle saignée démographique en si peu de temps ?
Alors, oui, au début du XXème siècle, la France, pour la première fois de son histoire, a fait appel à des étrangers : mais ils venaient tous d'Europe : Espagne et Portugal, Italie, Pologne... et leurs "fondamentaux" étaient ceux de notre vieille Europe chrétienne, et latine pour la plupart d'entre eux. Ils se fondaient rapidement dans le pays d'accueil et s'assimilaient très vite. Tout a changé depuis les années 1975/76 avec les scélérats "décrets Chirac" sur le regroupement familial, qui instituait l'immigration/invasion et le changement de peuple, par "l'importation" démentielle, à marche forcée, de masses africaines, aux moeurs, coutumes, traditions (vestimentaires, alimentaires, culturelles...) et, souvent, religion (Islam), pouvant difficilement s'intégrer aux nôtres; voire étant purement et simplement inassimilables. Et ressemblant à une greffe qui ne "prend" pas, parce qu'elle ne peut pas prendre...
Ainsi la République idéologique, après avoir, pendant un siècle, commencé à changer le peuple dans son mental - par l'école, en le déchristianisant et en lui mentant sur son Histoire, qu'il lui rendait odieuse - continue-t-elle son travail mortifère qui consiste à tuer la France, en changeant, maintenant, le peuple par le physique, par l'immigration. Qu'elle appelle, en mentant sur les mots et par les mots : "diversité". Là où il faut lire et dire "changement de peuple forcé"...
Écoutez cette courte vidéo (6') dans laquelle François Davin (Fondateur/Directeur de lafautearousseau) explique le pourquoi du comment...
"Pourquoi il est légal de pavoiser l'Assemblée Nationale aux couleurs LGBT mais illégal d'exposer une crèche pour Noël à la mairie de Béziers ?"
(par décision d'un Tribunal de semble-Juges, la crèche de l'Hôtel de Ville de Béziers a été retirée, ndlr).
Semble-Juges, mais aussi plus et pires que semble-Juges : collabos actifs et conscients de la dé-francisation de la France par le Système. Les mêmes accepteront sans broncher toute manifestation que l'on voudra organiser pour telle ou telle fête d'une certaine religion d'envahisseurs...
Avant-Première : Tempête, un film français de Christian Dugay, avec Pio Marmaï, Mélanie Laurent et Carmen Kassovitz (le couple d’éleveurs et leur fille Zoé), Kacey Mottet Klein (le palefrenier), Danny Huston et Carole Bouquet (le couple de financiers).
Tempête … Malgré les défenseurs du droit du sol qui affirment que quand on naît dans une écurie, on est un cheval, Zoé n'en est pas un, mais elle veut, contre vents et marées, devenir jockey !
Allez hop ! à cheval ! en selle ! trottez et galopez vers ce Grand Prix pour sauter sur ce qui sera peut-être le podium cinématographique de l’année.
Je recommande, un film pour tous publics, particulièrement sain à tous points de vue mais aussi autour des accidents de la vie, et qui enseigne de ne pas céder au découragement. « On est en train de tout perdre, dis-moi ce qui nous reste ? »… à la question de son épouse, le père de Zoé répond : « Nous ! »
Évidemment d'accord avec le tweet de Philippe de Villiers, qui reprend la démonstration de Maurras :
"en démocratie, l'argent monte trop haut..." :
"25.000 lobbyistes à Bruxelles, des valises d'argent liquide qui circulent, hier des perquisitions au parti de Macron. En politique, tout s'achète, tout se vend : députés, votes, Etat. Bientôt, il n'y aura plus que 2 partis : les corruptibles et les corrompus. Pauvre France !"
Une seule solution :
la Révolution a tué le Roi, ouvrant toutes grandes les portes aux forces de l'argent, devenu Argent-Roi à la place du Roi. Et la République idéologique instaurée en 1975, qui proclame s'établir sur les fondements de cette Révolution, a institutionnalisé ce fait.
Il faut donc l'alter-Révolution, la Révolution royale, qui remettra l'argent à sa place, qui est de servir, et qui remettra le Roi au sommet de l'État, indépendant de tous ces pouvoirs auxquels notre Système l'a abandonné : l'Argent, les Partis, les groupes de pression, l'étranger...
"Notre société n’a que des banques pour cathédrales; elle n’a rien à transmettre qui justifie un nouvel “appel aux conservateurs”; il n’y a, d’elle proprement dite, rien à conserver. Aussi sommes-nous libres de rêver que le premier rebelle, et serviteur de la légitimité révolutionnaire, sera le Prince chrétien." (Pierre Boutang)
Une double page pour le film du @PuyduFou sur #Charette et les Guerres de #Vendée dans le dernier numéro (décembre 2022) du magazine de la Région des @paysdelaloire :
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir et utilisez le zoom...)
Face à la Révolution et à son Totalitarisme oppressif, terroriste, sanguinaire, les premiers Résistants, défenseurs héroïques de la liberté de l'homme intérieur...
Aux origines du grand combat, de la "Guerre de Géants" (Napoléon) qui dure encore, aujourd'hui...
Arts & Ciné : Les Bonnes étoiles, un film sud-coréen de Hirokazu Kore-eda, avec Ji-eun Lee (la maman) et Song Kang-Ho (Sang-hyun, propriétaire d’un pressing), prix d’interprétation masculine au festival de Cannes.
Les Bonnes étoiles… C'est le 7ème long métrage de Hirokazu Kore-eda à mon actif. Je n'ai aucun souvenir de I Wish, en 2012 ; j'ai bien aimé Tel père tel fils à la télévision en 2017 alors que je m'étais ennuyél'avant-veille en visionnant Après la tempête au cinéma ; quant aux 3 autres, j'aurais pu ne pas les voir, et il en est de même de ce dernier. Les films de ce réalisateur japonais me semblent avoir, tous, les mêmes caractéristiques, à savoir trop longs, trop lents, trop compliqués. Mon épouse et une autre spectatrice se disaient ne pas avoir compris la fin... moi non plus, et j'espère qu'il n'y a que la fin...
Je n’aurais d’ailleurs certainement pas vu ces Bonnes étoiles si j’avais lu auparavant l’interview de Kore-eda au quotidien régional, mais c’est sans doute le journaliste lui-même qui ne les a pas vues tellement les propos progressistes qu’il prête au réalisateur ne cadrent pas avec la philosophie du film.
Je me suis en effet quand même réjoui de ces trafiquants d'enfants, "sacrément amateurs", gauches et maladroits, finalement sympathiques et touchants, à la Laurel et Hardy, incapables de vendre l'enfant auquel ils s'attachent.
Je me suis réjoui surtout du moyen du délit - aujourd'hui, en 2022, en Corée du Sud – à savoir une « boîte à bébés » qui permet aux mères d'abandonner leur enfant après la naissance. Au lieutenant de police qui condamne cet abandon alors qu'il suffisait de ne pas mener sa grossesse à son terme, So-young, la mère du petit Woo-sung, répond avec bon sens que son geste est bien préférable à un avortement qui aurait tué l’enfant dans son ventre. Le réalisateur confirme par ailleurs : « Je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place."
Merci pour cette belle vérité qui me console de ces deux heures dix à subir la langue coréenne en VOSTF. C'est décidé, je retournerai voir du Kore-eda.
Le premier phénomène, c'est Théo Hernandez, qui "remplace" dignement son frère Lucas, lequel, blessé en début de compétition lui a laissé sa place : à la cinquième minute, il marque un but aussi in-marquable que remarquable et "lance" la dynamique de l'équipe !... Encore un qui montre qu'impossible n'est pas français !
Les deux frères : si l'un n'est pas là, l'autre y est pour lui !...
Le second homme de la rencontre, c'est l'immense Grizou, Antoine Griezmann, le véritable "pilier porteur" de l'équipe : cette fois, il n'a ni marqué ni fait de passe décisive (lui qui en a le record, avec ses 28 !...), mais il a fait toute le reste, tout le temps : attaquer, défendre, relancer, sauver la situation, être partout où il fallait, à chaque fois qu'il le fallait. Quel talent ! Quel joueur ! Quel exemple de bon esprit et de la meilleur mentalité qui soit !
Bien sûr, ne pas oublier les deux autres "phénomènes permanents" que sont LLoris et Varane, qui nous assurent une défense au-delà de l'excellence : LLoris - contrairement à la sottise qu'ont pu écrire quelques commentateurs peu inspirés de l'Outre-Manche - est bien le point fort, et le point fort en permanence, de notre équipe; et Varannes est comme son "double"...
Un seul regret pour hier : Adrien Rabiot a manqué; vraiment...
Bravo à Fabien Bouglé, par sa juste dénonciation de la folie suicidaire des soi-doisant "énergies renpuvelables", contre-exemple allemand à l'appui :
"L'Allemagne a dépensé plus de 600 milliards d'euros dans les #éoliennes et panneaux solaires improductives. Résultat : l'Allemagne pollue le ciel européen avec ses fumées de centrales à #charbon climaticide. Bravo un bel exemple pour la France @AgnesRunacher"
Effectivement, ce chapitre est totalement inconnu en métropole, sauf de quelques érudits ! Je souhaiterais me procurer ce livre - Pouvez m'indiquer son éditeur ? Avec mes remerciements - Excellente journée"
Éditeur : Via Romana, 92 pages, 15 euros
Préfaciers : Philippe Pichot-Bravard et Reynald Secher
(ndlr : et, de plus, Odile de Lacoste est la soeur de notre excellent ami et chroniqueur régulier Antoine de Lacoste...)
Histoire inconnue du grand public et ignorée des manuels scolaires, la victoire de la Vendée créole contre la République en 1794 fut celle des blancs, mulâtres et noirs unis dans une même résistance à la barbarie révolutionnaire. Mais quelles furent les motivations, les figures et les campagnes de cette armée fidèle à son Dieu, fidèle à son roi ? Qui connaît encore l'incroyable destinée de son chef Bernard de Percin, le Charette de la Martinique, celle de Dubuc de Marcoussy le fier artilleur, de Sainte-Catherine et Montlouis Jaham à la tête de leurs compagnies d'hommes de couleur ?
Odile de Lacoste Lareymondie est une enfant de la Martinique. Elle s’est penchée sur les archives de ce moment clef de la contre-Révolution sur cette île paradisiaque, et c’est en pleine lumière que revit sous nos yeux l’épopée de son ancêtre Percin-Canon, aux côtés des principaux témoins et acteurs de ce triomphe des humbles sur les chimères des coupeurs de tête jacobins en Caraïbes.
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Dans la presse
Action Familiale et Scolaire, n°244
C'est dans un style enlevé et avec le souci du détail qu'Odile de Lacoste nous plonge au cœur d'une chouannerie trop méconnue. Ses ancêtres béqués, planteurs à la Martinique, eurent une part active dans le soulèvement contre-révolutionnaire de l'île. Alors que la vie y était harmonieuse, les petits bourgeois de Saint-Pierre furent acquis aux idées subversives des Lumières. Bernard de Percin, surnommé "Percin-Canon", prit donc la tête d'une petite armée composée de nobles, de mulâtres et de noirs unis dans le même combat pour défendre Dieu et leur Roi. Au-delà du récit de cette épopée chouanne victorieuse, c'est l'histoire de la Martinique restée longtemps fidèle aux coutumes de l'Ancien Régime, que nous brosse l'auteur avec talent. (15 ans, ce livre intéressera également les parents) MC
Le Figaro Magazine, 18 septembre 2015
Vendée créole? Le qualificatif étonnera. C'est pourtant bien une réaction contre-révolutionnaire à la Martinique que raconte l'auteur, originaire de l'île. Situation étonnante! Aidés des Anglais, fort d'une bonne connaissance du terrain, ces Vendéens d'outre-mer, noirs, mulâtres et békés, tous unis, portent un coup d'arrêt, lors de la bataille de l'Acajou, aux troupes venues de Guadeloupe, évitant à la Martinique les affres de la Terreur. Une page méconnue, doublée d'un beau récit d'aventures. Philippe Maxence
Le Figaro Histoire, octobre-novembre 2015
On a chouanné ailleurs qu'en métropole mais pour la même cause: Dieu, le roi et les libertés. Contre la République qui voulut s'imposer aussi sur les îles d'outre-mer, la Martinique se souleva, unissant dans un même effort, blancs, mulâtres et noirs. A leur tête Bernard de Percin, véritable Charrette de la Martinique et ancêtre de l'auteur. L'épopée de ces hommes, généralement inconnue, est racontée avec simplicité par Odile de Lacoste Lareymondie dans ce petit livre au titre évocateur qui résume à lui seul le sens de cette résistance antirévolutionnaire: la Vendée Créole. "Le Choc sera d'une grande violence", souligne Reynald Secher, dans sa préface. Mais il permettra d'éviter à la Martinique les horreurs de la Terreur et de garder longtemps un parfum d'Ancien Régime. Philippe Maxence
Valeurs Actuelles, 11 août 2016
L'ampleur de la révolte vendéenne a masqué les nombreuses autres petites "Vendée" qui ont éclos sur le sol français en réaction à la passion destructrice de la tyrannie révolutionnaire: "Rares furent les anciennes provinces françaises qui n'eurent pas leur Vendée", note Philippe Pichot-Bravard dans sa préface. La Martinique eut la sienne, qu'Odile de Lacoste Lareymondie réssuscite dans un récit rapide et enlevé. Bernard de Percin, qui aimait à dire : "Si dans cent ans on exhume mes ossements et qu'on les heurte les uns contre les autres, le son qui en sortira sera celui de "Vive le Roi!"", fut son Charrette. Mais un Charrette victorieux grâce à la protection des Anglais, qui préserva l'île de la Terreur et lui permit de conserver tout au long du XIXème siècle, selon l'auteur, son charme d'Ancien Régime. L.D.
"Les forces serbes viennent de pénétrer la frontière kosovar au niveau de Kopaonik, station hivernale frontalière, suite au tensions provoqués par les autorités albanaises du pays contre les minorités serbes."