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Arts & Ciné : Le sixième enfant, un film français de Léopold Legrand, avec Benjamin Lavernhe et Sara Giraudeau (le couple d’avocats, Julien et Anna), Damien Bonnard et Judith Chemia (le ferrailleur Franck Meyer et son épouse Meriem Meyer),
adapté du roman d’Alain Jaspard, Pleurer des rivières (2018).
• Dans cette "Une", évidemment pas d'article de l'immense Jacques Bainville, décédé deux ans et presque huit mois auparavant, le 9 février 36. Il avait tout prévu ("la guerre pour dans vingt ans", disait-il en 18, se rendant compte que Clemenceau allait "tout lâcher" et être le "perd la Victoire", selon le mot de Maurras). Il aura assisté à la montée du nazisme, qu'il dénonça le premier, dès 1930 (voir ici, et ici aussi) mais n'aura pas vu le cataclysme final...
• L'article de Daudet, "Fausses nouvelles et fausses actions" occupe toute la première de colonne de gauche, sur les six de la "Une". Il renvoie aux clauses insensées du calamiteux Traité de Versailles et commence par ces mots : "Il n'y aurait rien de plus fou, de plus imbécile, de plus criminel, que d'engager une guerre européenne sur la question aux trois quarts acceptée, aux trois quarts résolue des Allemands sudètes réunis de force à cette formation hétérogène : la Tchécoslovaquie de MM Bénès et Philippe Berthelot..." Il s'achève par cet avertissement : "... Ce qu'il importe actuellement, c'est de poursuivre à fond la bande de la guerre, par la plume et par la parole. Je compte que tous les patriotes français vont s'y employer. Cette terrible alerte doit nous servir de leçon."
• "La Politique", de Maurras, s'étend sur la moitié inférieure des quatre colonnes centrales et presque toute la sixième et dernière colonne. Après avoir consacré son deuxième paragraphe au "temps que "nous" avons perdu", voici ce qu'il écrit dans le troisième ("Voeux, avis, appréhensions") : "...il faudrait jouer serré et, dans l'hypothèse favorable d'un règlement heureux de la crise, si une trêve nous est ainsi accordée, ne rien oublier des principes vitaux qu'il faut ajouter aux principes de la paix :
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Quand un cyclone aux USA fait prendre conscience, ici, en France, de ce qui se cache dans la tête des soi-disant "anti-racistes", "bonnes âmes" auto-proclamées, qui ont fait en réalité de leur mauvais esprit un très juteux fonds de commerce...
Arts & Ciné : Chronique d’une liaison passagère, un film français d’Emmanuel Mouret, avec Sandrine Kiberlain (Charlotte), Vincent Macaigne (Simon) et Georgia Scalliet (Louise).
Une fois encore, nous commencerons la semaine par un petit sourire, tiré de notre Page facebook Lafautearousseau Royaliste
D'abord, cela vous rappellera surement quelque chose, non ?
Ensuite, nous avons des semble-dirigeants si stupides, si inconséquents et incompétents qu'après tout, s'il faut les dénoncer et les combattre, il vaut peut-être mieux en rire, aussi...
Ceux qui ont coché la dernière case, vous avez dit quoi ? On n'a pas bien entendu, à l'Élysée ni à Matignon...
A l’affiche : Une belle course, un film français de Christian Carion, avec Line Renaud et Alice Isaaz (Madeleine), Dany Boon (Charles, le chauffeur de taxi) et Jérémie Laheurte (Ray, le mari de Madeleine).
Nous ne sommes ni en République, ni en Démocratie; nous sommes dans une "république idéologique", qui est un Totalitarisme, celui de la Nouvelle religion républicaine, et dans une démocratie idéologique, "à son image et à sa ressemblance" : dans une vraie république, une vraie démocratie - comme en Suisse, par exemple - les citoyens peuvent démettre un politicien pareil, qui s'est fait élire sur un programme et ne l'applique pas, ou en applique un autre...
(extrait vidéo 0'31)
https://twitter.com/GDeguin/status/1575551465548292097?s=20&t=UssMCBgmlOzpeWs41N8lSQ
A l’affiche : Avatar, un film américain de James Cameron, avec Sam Worthington (le Marine Jake Sully), Zoe Saldana (la Princesse Neytiri), Sigourney Weaver (Dr Grace Augustine) et Stephen Lang (Colonel Miles Quaritch).
L'absolue nécessité du nucléaire français et sa bienfaisance "prouvées" par nos ennemis allemands ?
L'article du HuffPost est un aveu : celui de l’Allemagne, qui reconnaît donc - mais nous dénigre misérablement au passage... - "qu’elle ne pouvait fermer ses centrales nucléaires que si le nucléaire français assurait à 100% derrière"... comme le dit François Momboisse :
La centrale nucléaire Isar, ici le 4 août, va devoir tourner cet hiver contrairement à l’engagement de l’Allemagne de se passer de l’énergie nucléaire d’ici fin 2022...
