LAFAUTEAROUSSEAU - Page 202
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Il y a les paroles, et puis il y a les actes, après... Ou, plutôt, en l'occurrence, "il n'y a pas"...
Selon le Canard Enchainé du 25 janvier dernier, Macron a "pulvérisé la requête" du CEMA sur l'achat de chars et canons supplémentaires lors d'un conseil de défense en décembre. L'armée de Terre devra, jusqu'en 2040, "se contenter de 200 Leclerc rénovés".Et croiser les doigts pour le MGCS ? (anglicisme pour "Main Ground Combat System"), ou : "Système Principal de Combat Terrestre" (quel charabia, inutile et grotesque !), projet d'armement franco-allemand qui était conçu pour remplacer les chars Léopard et Leclerc.La seule question est : le Canard dit-il vrai ? On attend avec impatience un démenti de l'Élysée, sinon cela voudra dire que, comme d'habitude, le Système et la République idéologique nous désarment... -
Les hérésies chrétiennes dans le Coran (1/3), par Annie Laurent
On a longtemps voulu croire, y compris dans les milieux académiques, que l’islam serait apparu par la seule prédication de son prophète, à l’instar du récit traditionnel musulman.
On expliquait alors sa similarité avec nombre d’hérésies et mouvements religieux du VIIe siècle comme résultant de leur influence sur Mahomet, qui aurait en quelque sorte composé sa religion comme un cocktail savant à partir d’elles.
C’est dans cette pensée que s’inscrivait encore l’académicien Roger Arnaldez (1911-2006) : « Persuadé de la vérité du monothéisme, le Prophète [Mahomet] se trouvait plongé dans un milieu d’une complexité extraordinaire. Il est peut-être vain de chercher à déterminer quelles sectes il a connu, comme s’il avait été à l’école de l’une d’elles. En réalité, il a dû entendre, et sans doute écouter, un ensemble hétéroclite de doctrines qui lui parvenaient pêle-mêle, au hasard des rencontres » (À la croisée des trois monothéismes, Albin Michel, 1993, p. 55).
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Au Cinéma : L'envol, par Guilhem de Tarlé
Art et Essai : L’Envol : un film italien de Pietro Marcello, avec Raphaël Thiéry (Raphaël, le père), Juliette Jouan (Juliette, sa fille), Noémie Lvovsky (Adeline), Louis Garrel (Jean) et Yolande Moreau (la fée),
librement adapté du roman russe Les Voiles écarlates d’Alexandre Grine
L’Envol… La bande-annonce était tentante, avec de très belles photos, mais l’heure quarante de ce long-métrage nous a paru longue avec un scénario confus que ni mon épouse ni moi-même n’avons réussi à comprendre. Entrant dans la salle, j’ai entendu une spectatrice dire que le nom seul du réalisateur la faisait venir « les yeux fermés »… Les a-t-elle ouverts ? C’est vrai que les critiques étaient positives du précédent Martin Eden (2019), que mon épouse avait bien aimé, même si, personnellement, « j’aurais pu ne pas le voir »…Peut-être cet Envol est-il trop intellectuel pour moi, qui fait lire et chanter par l’héroïne l’Hirondelle de Louise Michel, dont, attendant la fin, je faisais mien la supplique :
« Écoute, je voudrais m’en aller avec toi ».
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
De l'Ambassade d'Arménie :
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Vaincre ou mourir, par Guy Adain
VAINCRE OU MOURIR
Vaincre ou mourir, c’était sa devise, il n’a pas vaincu, et il est mort !Peut être pas complètement puisque 227 ans après, on en parle encore, accusé de fourberie, il agace, met en fureur et fait naître la haine.Et pourquoi tant de hargne envers ce qui n’est plus qu’une simple Image d’Épinal jaunie par le temps ?Je n’ai pas vu le film faute de programmation dans ma ville, mais je suis déjà convaincu puisque « Brigand de coeur » moi même, j’ai toutes les raisons d’exciter la Terreur des « Abelicides ».Les Bleus ont gagné, les Bleus gouvernent notre pays, le Royaume de France s’est enfoncé dans la nuit de l’oubli et c’est la « Républilaïque » qui règne monarchiquement sur la France !Les Bleus pourraient sans crainte laisser passer « La Charette » !Le risque que nos coeurs se révulsent n’est pas bien grand.Laissez nous rêver !Vous avez vaincu, nous savons mourir ! Ressusciter est plus difficile…Pas impossible… pour des Français, que quelques « Gilets jonquilles » nostalgiques du… Temps jadis, puissent émouvoir le Peuple de France…Le Roi ne reviendra pas par la force, ni la par la…reconquête.Il pourrait revenir, par amour, par amour de son Peuple aimant.Les Caïn Bleus finalement seront tristes et malheureux, ils voudront le pardon et la rédemption.Ils ne seront plus éblouis et fascinés par les Lumières, mais ils laisseront leur coeur se faire éclairer par la flamme de l’amour.Laissons ce film vaincre ou mourir et le Peuple de France souvent plein de bon sens jugera ! -
Paris, ce lundi 30 janvier : Les Eveilleurs vous invitent...
Plus que huit jours pour vous inscrire à notre soirée du 30 janvier prochain avec Gabrielle Cluzel et Elisabeth Lévy qui incarnent si bien l'impertinence à la française !
Réforme des retraites, droit de grève, euthanasie, crise énergétique : nos invitées vous apporteront les clés de compréhension nécessaires de cette actualité française bien chargée.
S'INSCRIRE -
Lundi 30 janvier : Hommage au "Colonel Armand", Armand Tuffin de La Rouërie...
Portrait d'Armand Tuffin de La Rouërie, huile sur toile de Charles Willson Peale, 1783, Philadelphia History Museum at the Atwater Kent
Ce Lundi 30 Janvier 2023 à 11h00, rendez-vous devant la Mairie de Saint-Denoual ou au Manoir de La Guyomarais.
« Les bretons n’oublient pas »
Comme tous les ans des Bretons prendront le chemin de La Guyomarais, commune de Saint-Denoual entre Lamballe et Plancoët, où le 30 janvier 1793 le Marquis de La Rouërie s’est éteint, terrassé par la maladie et la nouvelle de la mort de son Roi.
Notre assemblée se rassemblera devant la stèle érigée par le Gouvernement des USA en l’honneur du Marquis de La Rouërie, héros de la guerre d’indépendance américaine sous le nom de « Colonel ARMAND » et fondateur de l’Association Bretonne, au pied des drapeaux américain et blanc fleurdelisé aux armes de France.
Après lecture du beau texte gravé sur la stèle, un hommage sera prononcé en mémoire du Marquis. Il portera cette année sur l’engagement du Marquis dans la défense des libertés bretonnes. Nous évoquerons la permanence de ce combat en faveur des libertés, cultures et langues régionales qui fut mené jusqu’à ce jour par les penseurs, écrivains, poètes et musiciens en opposition à l’universalisme de la Révolution et non moins attachés à la France. Jusqu’à 1789, le Roi de France ne parlait il pas de « ses peuples »…
Mais cette année, à l’initiative de Madame Jocelyne LE GOFFIC, notre hommage prendra une forme musicale. A la bombarde, notre amie sera accompagnée de trois sonneurs de bombardes et cornemuse du Bagad de La Richardais.
« Bretons ! vous devez recouvrer vos anciennes franchises et vos anciens droits, rempart de votre liberté ».
Puis, suivant un sentier étroit et boisé aboutissant à la clairière, nous nous déploierons autour de la sépulture du Marquis, simple amas de pierres orné d’une plaque gravé à son nom et de la devise « La mort qui l’emporta fut sa fidélité » et surmonté d’une croix fleurie de lys. Le Marquis avait étudié l’art des fleurs, nous déposerons les nôtres ».
« Les bretons se souviennent »
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J’AI VU « VAINCRE OU MOURIR, par P.P. Blancher (Groupe d'action royaliste)
Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?
Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !
Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.
« Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…
Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.
Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.
Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.
Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.
Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.
Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !
P-P Blancher
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
On commémore en ce moment la libération du Camp d'Auschwitz.
• Bizarrement, on ne voit pas condamner Clemenceau et le Pays légal du Système, qui nous ont "donné" Hitler lorsqu'ils refusèrent, en 1918, de démembrer l'Empire allemand, qui n'avait même pas cinquante ans d'âge, et signèrent le calamiteux Traité de Versailles, dont l'une des multiples conséquences cataclysmiques fut... la Shoah et les Camps...
• une "persécution d'Israël" que nous pouvons être fiers, nous royalistes d'Action française, d'avoir été les premiers à dénoncer, par la plume de notre Maître Jacques Bainville, dès 1930 : huit ans plus tard, le même Pays légal, représenté par le pâle/falot inconscient/insensé Édouard Daladier serrait la main de "monsieur Hitler", à Munich !
• Lire Jacques Bainville (XXXI) : Sur "l'énergumène" Hitler, dès 1930...
• Lire Jacques Bainville (XLIII) : Dénonciation des persécutions antijuives et du racisme hitlérien...
Moyennant quoi Maurras fut condamné, en 1945, pour "intelligence avec l'ennemi" par ce même Système qui nous avait "donné" Hitler, alors que la politique que préconisait l'Action française aurait évité la Seconde guerre mondiale, le nazisme etc... etc... !
Voilà comment la République idéologique "écrit" (pardon : ré-écrit l'Histoire) : en la falsifiant !...
Justice et Vérité pour nos Maîtres !
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Au Cinéma : Youssef Salem a du succès , par Guilhem de Tarlé
A l’affiche : Youssef Salem a du succès : un film français de Baya Kasmi, avec Ramzy Bedia (Youssef) et Noémie Lvovsky (Lise, éditrice).
Youssef Salem a du succès… comment peut-on encore nier le Grand Remplacement lorsque celui-ci s’affiche, se filme et se distribue dans toutes les salles de cinéma ?
Après le très bon Les Miens de Roschdy Zem, c’est le tour de Youssef, dont on peut penser qu’il n’aura aucun succès tellement ce long-métrage est médiocre.
C’est à nouveau l’histoire, comme dans l’excellent Citoyen d’honneur, d’un auteur d’origine algérienne, bien intégré dans la société française, qui raconte sa famille avec ses mœurs et sa mentalité. Mais tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse, et Baya Kasmi n’a pas la verve de ses prédécesseurs. Dommage, les premières images de ce jeune couple sur une plage algérienne donnait à espérer une belle histoire…Le film aurait dû s’arrêter là.
La scène de l’éditrice au soir du Goncourt est d’une nullité crasse, et je m’interroge sur la raison d’être de la case « lesbienne » : formalité obligatoire pour le financement du film, « modernité » du réalisateur ou illustration d’une civilisation française et européenne décadente ?
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Tous ceux qui le peuvent, à 14h00 devant la statue de Marie aujourd'hui samedi 28 janvier à la Flotte en Ré...
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"Une excellente réponse de notre Camarade Frederic de Natal ! : Réponse au député Antoine Léaument (LFI) : en finir avec la vulgate révolutionnaire..."
Juste une précision, afin qu'aucune ambigüité n'existe : nous ignorons pourquoi, au milieu de ce très bon texte, l'Incorrect met un "lire aussi : Louis de Bourbon...", qui vient là comme un cheveu sur la soupe, et dont on ne comprend pas bien la présence, ni l'intérêt, ni le rapport avec le texte de Frédéric de Natal. C'est donc l'occasion de rappeler - afin que nul ne vienne chercher une mauvaise querelle... - que l'Action française reconnaît en la personne du Prince Jean, Comte de Paris, et de son fils, le Prince Gaston, Dauphin de France, les représentrants actuels de la Famille de France.
Et, naturellement, lafautearousseau...
Par contre, le second "lire aussi", "Les roycos sont dans la rue" est très bon, et confirme ce que nous venons d'écrire...
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
D'accord avec Nicolas Meilhan :"C'est quand même une gigantesque blague ce marché de l'électricité : le coût de production de 80% de notre électricité n'a pas augmenté d'un iota à 5 centimes du kWh mais nous aurions dû en payer 7 fois ce prix : on arrête quand ce délire @BrunoLeMaire ?" -
Solidarité Kosovo ! Contre vents et marées: retour en images sur le convoi de Noël...
Site officiel : Solidarité Kosovo
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