Découvrir le GAR (Groupe d'Action Royaliste)...
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Art et Essai : Le Grand chemin, un film français de 1987 (reprise en août prochain), de Jean-Loup Hubert, avec son fils Antoine Hubert (Louis). Anémone (Marcelle) et Richard Bohringer (Pelo).
Décidément je dois être un bien horrible personnage pour ne pas partager l’émotion de mon épouse, de la salle et des critiques, devant ces souvenirs d’enfance du réalisateur. « Tout ce qui est conté, nous dit-il, est vrai (…) à l’exception des scènes en haut de l’église». L’action se passe en 1960 dans la France de notre enfance qui fait couler des larmes nostalgiques aux yeux des spectateurs, mais ce long-métrage m’a paru superficiel et sans intensité.
Cette réalisation date de 1987, et l’on ne peut donc pas évoquer un effet de mode, mais déjà j’avais été déçu par L’Île rouge dans lequel (sur laquelle) le réalisateur, Robin Campillo, raconte sa prime jeunesse, en 1972, à Madagascar.
Plus curieux, ce scénario d’un enfant confié à un couple « qu’un lourd secret sépare », en pleine campagne, se retrouve pratiquement à l’identique dans la production irlandaise d’avril dernier, The quiet girl, adaptée d’une nouvelle de 2011, Les trois lumières (Claire Keegan).
Finalement, à force de sortir de 10 à 20 films par semaine, qui disparaissent de l’affiche aussi vite qu’ils y apparaissent, l’imagination ou l’innovation n’arrivent sans doute pas à suivre et le « copié-collé » semble avoir de beaux jours devant lui.
D'accord avec Éric Zemmour, sauf sur le terme de "guerre civile" : nous l'avons dit cent fois, il s'agit, il s'agira, d'une guerre de libération nationale; une guerre de libération du pays de cette partie de population "étrangère" dont on constate que "la greffe ne prend pas", car cette partie de population est et reste "étrangère" à tous les sens du terme :
• étrangère d'abord à notre Peuple historique, évidemment, et par définition, puisque venue... de l'étranger,
• mais aussi et surtout étrangère à nos moeurs, coutumes et traditions;
• étrangère à nos codes et nos lois;
• étrangère à notre manière d'être et de vivre;
• étrangère à notre façon de considérer le monde, les choses et les gens;
• étrangère à nos héritages gréco-romains et judéo-chrétiens;
• étrangère à tout ce qui est, qui fait la France.
C'est cela qu'il faut dire et répéter sans cesse : la greffe de population imposée par le Système depuis les scélérats "décrets Chirac" de 75/76 ne prend pas, on le voit bien, pour une large part de cette population (alors qu'une autre part ne pose aucun problème et fait maintenant partie du pays : après s'être intégrée, elle s'est assimilée...).
Et lorsqu'une greffe ne prend pas, sur un corps, le-dit corps la rejette, tout simplement; l'expulse...
1. Extrait vidéo 1'24 :
https://twitter.com/ZemmourEric/status/1674729867877679105?s=20
2. Dans Le Figaro :
Après qu’un délinquant franco-algérien de 17 ans a été abattu par un policier à Nanterre, une série d’émeutes touche depuis plusieurs nuits de nombreuses villes françaises. Alimentée par des personnalités politiques et médiatiques plus soucieuses de leur image auprès de ces populations que d’apaiser une situation intolérable, la crise n’est pas sans rappeler celle de 2005, mais son intensité semble la dépasser et fait craindre un embrasement plus intense encore.
La mort tragique du jeune Nahel est déjà hors de propos dans cette crise. Pour les émeutiers, il s’agit d’un prétexte comme hélas il y en aura d’autres, eu égard à la multiplication des refus d’obtempérer et des provocations et violences envers les forces de police, sans doute mal préparées et mal équipées, mais assurément mal dirigées ; leurs états-majors ont en effet eu beaucoup moins de scrupules pour réprimer les gilets jaunes ou pour interdire un cortège en l’honneur de Jeanne d’Arc.
C’est que, forte avec les faibles et faible avec les forts, ou plutôt complaisamment laxiste avec les populations immigrées ou issues de l’immigration, la République n’a rien à opposer à ces personnes qui haïssent la France d’autant plus qu’elle les y encourage, à force d’auto-flagellation ou de promotion d’un progressisme déracinant.
Nous ne sommes en effet pas certains de voir MM. Mélenchon, Plenel ou Mmes Rousseau, Autain et Diallo aller au-devant des émeutiers pour les ramener à la raison à grand coups de catéchisme woke, LGBT ou multiculturaliste. Nous ne sommes pas davantage certains de voir MM. Darmanin, Ndiaye ou Mmes Borne et Abdul-Malak aller pacifier nos banlieues en récitant la litanie des valeurs républicaines.
Où sont-elles passées, ces valeurs républicaines sensées garantir le pacte social ? Où est-elle, cette République une et indivisible, laïque, démocratique et sociale sensée mettre fin aux injustices et aux séparatismes en tous genres ?
L’Action française, pour l’avoir prévenu depuis trop longtemps, constate amèrement la faillite du régime, trop désincarné pour donner une réponse sérieuse à l’« incommunauté ». Elle adresse un message de soutien aux Français directement confrontés à cette violence injustifiable, et enjoint tous nos concitoyens à ne pas se résoudre à ce que la République entraîne notre pays dans sa faillite.
La France des colères ? Ou la convergence des haines ?
Guillaume Bigot a raison :
"La haine de la France n'est pas le vecteur commun des luttes mais celui des caïds et des islamistes qui veulent le chaos !"
(extrait vidéo 0'45)
https://twitter.com/Guillaume_Bigot/status/1674655515081572352?s=20
J-P L., de Calais, bien reçu votre chèque généreux, ce matin, au siège de l'Association lafautearousseau.
Toute la Rédaction se joint à moi pour vous remercier.
Nous apprécions encore plus ce geste d'amitié, de sympathie et d'encouragement en cette période où la censure de facebook, aussi stupide qu'injustifiable, nous gêne grandement en nous empêchant de "partager" nos notes (et pour une durée non indiquée !...) en direction de publics "extérieurs", ce qui nous permet de toucher des personnes que nous ne pourrions probablement pas atteindre par ailleurs...
Encore merci à ceux qui vous ont précédé, et, d'avance, merci à ceux qui nous témoigneront leur amitié, leur soutien, leur encouragement...
François Davin,
Blogmestre
1. Guillaume Bigot a raison :
"2023 : c’est pareil qu’en 2005 mais en pire !..."
(extrait vidéo 1'56)
https://twitter.com/Guillaume_Bigot/status/1674268363164463104?s=20
2. Guillaume Bigot a encore raison, sauf sur l'emploi des termes : il ne s'agira pas d'une "guerre civile" (opposant des citoyens français entre eux) mais d'une "guerre de libération nationale" (opposant les Français à cette greffe de population africaine imposée depuis près de cinquante ans, et qui ne "prend" pas...) :
"Les gens qui nous gouvernent et qui espèrent acheter l'apaisement au prix du déshonneur vont récolter et le déshonneur et la guerre civile !..."
(extrait vidéo 2'01)
https://twitter.com/Guillaume_Bigot/status/1674148003886555136?s=20
"C'est par les mots que l'on désigne les idées, et c'est sur les idées que l'on s'entend", disait notre grand Jacques Bainville.
Voilà pourquoi, chaque jour, sur la Page s'accueil de notre Quotidien sur le Net, nous proposons au lecteurs ces deux courts textes d'accroche :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici la "Une" du Lundi 6 juillet, dernier numéro évoquant longuement la mort de "Léon" :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k768412d/f1.image
Ce numéro ne comporte que deux pages, comme celui du vendredi précédent...
La "Une" du lendemain, mardi, ne comportera plus que des télégrammes de condoléances (dont celles du Maréchal Pétain) : trois "Une" auront donc été consacrées à celui qui permit au journal de voir le jour, quatre si l'on tient compte du fait que le numéro du samedi est aussi celui du dimanche...
Il est encore, pour l'essentiel, largement consacré à la mort de Daudet. Les iniques sanctions vaticanes ont été levées depuis trois ans par le nouveau Pape, Pie XII, et l'on peut donc lire, par exemple, dans la "Une" des choses telles que celles-ci : le message de condoléances de "Florent du Bois de la Villerabel, Archevêque d'Aix, Arles et Embrun" :