Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

(vidéo 3'36)
https://twitter.com/vtremolet/status/1651474745936826370?s=20
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lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Cherbourg, seule ville de France à posséder une "Rue Louis XVI"...
(tiré de notre Éphéméride du 4 avril)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
La filière nucléaire va recruter 100 000 personnes d'ici 2027 !
Excellente nouvelle pour la réindustrilisation de notre pays et pour nos territoires car cette filière créera des emplois qualifiés, non délocalisables et sur tout le territoire français !
Certes, on a perdu beaucoup de temps et de compétences...
Certes, une bonne partie du Pays légal a saboté ou laissé saboter notre excellence nucléaire, qui nous donnait la première place dans le monde, avec Super Phénix (assassiné en 89) et Astrid (abandonné par Macron) et avec toutes nos centrales (l'abandon de Fessenheim acté par Ségolène Royale et une certaine Borne...)...
Mais il n'est jamais trop tard pour se reprendre, et pour recommencer à bien faire et à revenir sur les misérables accords politicards escrolos/socialos...
Certes il va être difficile de se reprendre (comme c'est dit ici sur France info) , car détruire est plus facile et plus rapide que construire, recommencer et repartir...
Mais, de nouveau, reprenons, et vite, notre marche en avant !
VIVE LE NUCLÉAIRE !
A l’affiche : The Whale, un film américain de Darren Aronofsky, avec Brendan Fraser (Charlie, professeur d’anglais), Sadie Sink (Ellie, sa fille), Ty Simpkins (Thomas, évangéliste de la New Eglise), Hong Chau (Liz, la sœur du compagnon de Charlie), d’après la pièce éponyme de Samuel D. Hunter (2012).
Si nous avions compris à la lecture du synopsis qu’il s’agissait de l’histoire d’un homme devenu boulimique après le suicide de son « compagnon », nous ne serions certainement pas allés voir ce long-métrage car nous en avons marre de cette banalisation des paires homosexuelles… Oui, ça a toujours existé, mais ce n’est pas une raison pour en faire la promotion ni pour glorifier ceux que l’on doit plaindre…
Comme par hasard c’est la secte, évidemment chrétienne, qui est responsable et coupable du suicide !
Charlie ne cesse de dire et répéter, à propos de tout, qu’il est « désolé »… eh bien oui ! nous aussi nous sommes « désolés » d’avoir dépensé temps et argent devant cette « baleine » dont nous aurions pu user plus intelligemment, par exemple en lisant ou relisant Moby Dick d’Herman Melville auquel ce film se réfère de façon très artificielle.
Oui, il va falloir un "plan Marshall" pour les classes moyennes, assassinées par ce Système qui détruit tout, démolit tout, casse tout... et ce "tout" c'est, tout simplement : la France !
"Plus notre société se proclame inclusive, plus sa partie centrale a l’impression d’en être exclue". C’est l’édito politique de Vincent Trémolet de Villers sur Europe1...
(vidéo 3'33)
https://twitter.com/vtremolet/status/1650752786701664256?s=20
Les Français cherchent un grand dessein national ?
Il est introuvable depuis cinquante ans ?
Alors, nous, révolutionnaires royalistes, leur proposons l'alter-révolution : la révolution (royale) de cette révolution (idéologique) qui nous a donné ce monstrueux Système, qui nous tue...
Et, non pas la "restauration" mais la "ré-instauration" de cette Royauté qui a fait la France, et qui en avait fait la première puissance du monde, au moment où éclata, justement, cette funeste et mortifère révolution de 89, qui nous tue aujourd'hui, comme tout le monde le voit bien, mais sans remonter à la source, à la cause du mal...
"Pour des Renaissances, il est encore de la foi..." (Jacques Bainville)
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
Mélenchon a encore frappé !
Le grand-prêtre des "revenants de la section des piques" de 1793 vient encore de proférer une de ses insanités, qui sont à ranger du coté de son ignoble "La Police tue !"
À propos des jeunes Français qui veulent devenir réservistes (de la Police ou de la Gendarmerie) il ose écrire :
"Le coup d'état permanent.... La macronie organise ses projets de répression. Quels besoins justifient ces recrutements hasardeux ? Les manifestations ? Ces volontaires porteront une arme. Leur formation dure deux fois quinze jours."
Le "pan sur le bec", très largement mérité, n'a pas tardé : il est venu de Officiers et Commissaires de Police :
A l’affiche : Dalva, un film belge d’Emmanuelle Nicot, avec Zelda Samson (Dalva, une petite fille de 12 ans), Jean-Louis Coulloc’h (Jacques, son père), Sandrine (Marina, sa mère), Alexis Manetti (Jayde, l’éducateur en foyer).
C’est un véritable soupir de soulagement que poussa mon épouse à la dernière image de ce qu’elle juge comme un « bon film », et peut-être n’a-t-elle pas tort au vu des récompenses nombreuses qui lui sont attribuées dans divers festivals.
Je ne partage pas cet enthousiasme en regard des photos très souvent trop sombres, et des dialogues mal articulés prononcés à voix basse. Certes le sujet de cette fille en préadolescence qui se prend pour une femme se prêtait à une atmosphère lugubre. Je ne suis pourtant pas convaincu par la mise en scène qui raconte la fin de l’histoire en se contentant de faire allusion à ce qui s’est passé avant. Suggérer permet trop souvent d’éviter de raconter l’envers du décor, jeter un voile sur ce qui n’est pas réaliste. Comment cette enfant a-t-elle pu vivre aussi longtemps en dehors des contraintes quotidiennes et loin des yeux de la société qui l’entoure ? Précisément comment n’a-t-elle jamais eu l’occasion de jeter un regard sur son environnement, en s’enfermant dans son placard comme sur une île déserte ?
Je suis simpliste et j’ai besoin de voir les points sur le i pour croire en la faisabilité de la chose ; je n’ai pas l’imagination suffisante pour imaginer l’inimaginable.
En outre Dalva est victime de deux crimes, dont le premier – le départ de sa mère – est évacué comme de rien… et pourtant ceux-ci ne font-ils pas d’abord le procès de notre époque qui promeut la séparation facile et laisse les enfants se perdre dans des familles décomposées ?
Malheureusement, je ne vois même pas qu’Emmanuelle Nicot veuille le « suggérer ».
J’en suis désolé devant les thuriféraires, son « coup d’essai » - puisqu’il s’agit d’un « premier long-métrage » - n’est pas un « coup de maître ».
Évidemment deux enquêtes ont été ouvertes, dont une à l’IGPN !
Évidemment, les trois policiers qui ont fait leur tavail sont accusés, mis en garde à vue, le chauffeur suspendu !
CE SYSTÈME POURRI EST EN PLEINE "RÉVOLUTION", AU SENS PREMIER DU TERME :
DÉFENDRE LES DELINQUANTS,
AU LIEU DE SOUTENIR CEUX QUI MAINTIENNENT
(OU ESSAYENT DE MAINTENIR)
NOS RUES SÛRES ET SANS DANGERS POUR LES CITOYENS...
CONCLUE QUI VOUDRA !
En attendant, entièrement d'accord avec Police & Réalités
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Mardi 13 Juillet 1926 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7627391
Maurras, Bainville, Daudet et Pujo la remplissent presqu'entièrement, laissant juste deux "bas de colonne" (la deuxième et la sixième) à la réception de Primo de Rivera - chaleureusement salué par le journal (2ème colonne) et au compte-rendu de "la réunion triomphale de Nîmes" (6ème colonne), qui réunit 40.000 personnes autour de Léon Daudet...
• l'article de Daudet, justement ("Le silence de Lannes"), est à "sa" place : colonne de gauche (et, ici, première moitié supérieure de la deuxième colonne).
Il est consacré aux suites de l'assassinat de son fils Philippe par une collusion entre les anarchistes et la police politique du Régime et à la poursuite de l'enquête...
• l'article de Bainville (qui signe toujours, modestement, "J.B.") est lui aussi a "sa" place : sixième colonne, en haut. Intitulé "L'éclipse", il est économique : Bainville s'y inquiète de "la faiblesse de notre monnaie" et de "notre devise dépréciée", ce qui "entraîne des conséquences qu'il était facile de prévoir"; avec un mark à huit francs, Bainville s'inquiète de cette Allemagne qui se relève si bien et si vite de sa défaite de 18, c'est-à-dire d'il y a huit ans à peine !...
• l'article de Pujo ("La jaunisse") est consacré à Georges Valois : hélas, la rupture est consommée avec lui, et, considéré avec le recul du temps, c'est un épisode qui fut bien triste pour notre mouvement...
• Enfin, et c'est ce qui nous intéresse ici, Maurras consacre le court deuxième paragraphe de sa "Politique" (toujours en plein milieu de la "Une" : 3ème, 4ème et début de la cinquième colonne ), intitulé sobrement "La Mosquée", à l'inauguration de la Grande mosquée de Paris.
Voici, d'abord, le paragraphe 2 dans son entier :
Comme on le voit dès les premières lignes, Maurras s'y montre, d'emblée, plein d'estime envers "ces majestueux enfants du désert" et, dit-il en fin du premier paragraphe "Notre Garde républicaine elle-même, si bien casquée, guêtrée et culottée soit-elle, cède, il me semble, à la splendeur diaprée de nos hôtes orientaux."
Mais...
Oui : Maurras, visionnaire et prophétique... Notre actualité ne nous le montre que trop, aujourd'hui !
Un siècle après que ce court texte ait été rédigé, il apparaît clairement que Maurras avait vu juste, et que son pressentiment n'était que trop fondé : aujourd'hui, les termes d' "invasion/acculturation" semblent plus appropriés pour parler de la situation que celui de "colonisés" !
Enfin, en annexe du sujet, si l'on peut dire, rien à rajouter, rien à retrancher dans ce court billet que nous avons publié ici-même le 7 avril 2017, presque cent ans après le texte de Maurras :
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Pour lire les articles...
En bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite...
Aujourd'hui, c'est la Saint Georges !
Selon une reprise médiévale des mythes grecs et du combat de l'archange saint Michel contre la bête de l'Apocalypse, saint Georges aurait terrassé un dragon en Libye pour délivrer une malheureuse princesse.
Plus qu'une légende, il s'agit d'une allégorie du combat contre le paganisme et les forces du Mal.
En Gaule, très rapidement, plus de mille localités et de quatre vingts églises se placèrent sous son vocable; sa popularité y resta telle qu'elle lui valut, par la suite, d'être choisi par l'Armée française pour être le saint patron de la cavalerie, qui a adopté comme cri de ralliement Et par Saint Georges, vive la cavalerie !
Saint Georges est aussi le saint patron de la Catalogne.
A l’affiche : Je verrai toujours vos visages, un film français de Jeanne Herry, avec Miou-Miou, Leïla Bekhti, Gilles Lellouche, Adèle Exarchopoulos (les victimes : Sabine, Nawelle, Grégoire, Chloé Delarme), Elodie Bouchez, Jean-Pierre Darroussin et Denis Podalydès (les médiateurs : Judith, Michel et Paul).
Je verrai toujours vos visages … Au titre près, qui n’a rien d’aguichant, un film extraordinaire au sens premier du terme , en fait un docufiction sur la justice restaurative… (Qu’èsaquo ?, comme on dit en Provence).
J’avoue n’en avoir jamais entendu parler auparavant, ce semble être une invention de l’Union Européenne (et, pour une fois, sans doute, une bonne invention) dans une Directive 2012/29 du 25 octobre 2012, reprise dans le droit français par une loi du 15 août 2014 (sous Hollande) et mise en œuvre par une circulaire du garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas, le 15 mars 2017. Elle consiste, avec leur consentement, à organiser un dialogue entre des victimes et des délinquants, qu’elles soient ou non concernées par la même affaire.
Nous avions déjà beaucoup aimé Pupille, de la même réalisatrice en 2018 avec, là encore, sa mère, Miou-Miou, particulièrement réelle dans ce dernier film, Gilles Lellouche, à nouveau excellent, et la très jolie Élodie Bouchez. Jeanne Herry sort, avec ce nouveau long-métrage, des sentiers battus en nous clouant sur nos fauteuils. Un film dur et poignant auquel d’aucuns prêteront sans doute un aspect bisounours avec des « selfies » évoqués à la fin réunissant victimes et délinquants… nous sommes au cinéma, et je veux moi, bien croire que cette procédure aide particulièrement les victimes à « se reconstruire » et à reprendre le dessus sur les mauvais souvenirs de leur agression.
Pour une fois que les socialos s’intéressent aux victimes… il faut les en féliciter