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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 209

  • Grenoble, ce mardi 13 décembre : La décentralisation en question...

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    Le CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de Communication Culturelle vous convie ce mardi 13 décembre 2022 à 19h à la conférence de Jérôme Besnard :


    La décentralisation en question


    La décentralisation fête ses quarante ans. Pourtant le modèle actuel ne fait pas l'unanimité, ne répondant pas aux attentes des administrés. Entre la tentation du pouvoir central de recentraliser et les expériences locales, quel bilan tirer, peut-on envisager d'achever ce processus à la lumière du principe de subsidiarité ?
    Élu local et ancien collaborateur de cabinet de diverses collectivités territoriales, Jérôme Besnard est également rédacteur au "Journal des communes". Il enseigne le Droit constitutionnel à l'Université Paris Cité.
    La conférence sera précédée de Assemblée générale ordinaire du centre Lesdiguières.
    Au siège de l'Automobile Club Dauphinois, 107 rue des Alliés 38100 Grenoble
    Possibilité de se garer dans la cour intérieure (Inscription requise et participation aux frais)


    courriel: centrelesdiguieres@gmail.com
    Merci de nous informer de votre participation par retour de courriel

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Hichem et Mohamed ont massacré sans raison Jean, 87 ans. Il vient de mourir. La réaction de Matthieu Valet est juste et bonne, et nous la partageons, mais elle ne  nous suffit pas : 

    "Battu à mort, laissé inanimé dans son immeuble, Jean 87 ans est décédé à #Bezons. Tué par deux multirécidivistes qui l’ont lynché jusqu’à la mort. Tant que la prison restera l’exception pour ces 5% d’individus qui font 50% de la délinquance en #France, on comptera les victimes."
     
    Pourquoi ne nous suffit-elle pas, cette réaction juste ?
    Parce que, justement, elle ne pose pas la question du "pourquoi" ?
    Oui, pourquoi nous, les Français, nous faisons-nous égorger quotidiennement dans nos rues, dans notre France qui est bien devenue, n'en déplaise à ce pauvre Dupond-Moretti, un coupe-gorge ?
    Que nous soyons le Père Hamel ou la petite Lola, que nous prenions un pot aux terrasses des cafés ou que nous nous baladions lors de la Fête sur la Promenade des Anglais, que nous descendions à la cave ou que nous soyons sur les marches de la Gare Saint Charles à Marseille (comme Maurane et Laura), que nous soyons policiers rentrant chez nous, à Magnanville ou évitant un carnage dans une église (comme Aurélie Chatelain), que nous allions au Marché de Noël de Strasbourg ou que nous fassions notre travail de professeur, comme Samuel Paty (et la liste n'en finirait pas, on va donc s'arrêter là, pour l'instant...) pourquoi nous faisons-nous égorger chez nous, par des criminels qui n'ont rien à y faire, ou bien courons-nos ce risque quotidiennement ?
     
    Parce que le Système, alors que la France n'a rien demandé ni rien souhaité, nous impose une immigration/invasion depuis les années Chirac (75/76) et qu'il a transformé la France en poubelle, en un gigantesque dépotoir du monde, dans lequel les vendeurs de drogue immigrés des Cités islamisées payent des envahisseurs (rebaptisés "sans-papiers") pour attaquer les forces de l'ordre en les prenant à revers, lorsqu'elles osent entrer dans l'une des 1.500 à 2.000 zones qui ne sont plus "la France".
     
    Évidemment, les criminels sont ceux qui assassinent, égorgent, violent, pillent... Mais "LE" grand criminel, celui qui préside à toutes ces horreurs, celui qui veut, qui organise et poursuit l'implantation forcée chez nous de ces criminels, 
     
    C'EST LE SYSTÈME !
     
    C'est donc lui, ce Système, qu'il faut combattre, pour le remplacer par un Régime qui arrêtera ses folies mortifères et nous rendra la paix, la sécurité des biens et des personnes, ce qui est le premier devoir de tout État qui veut mériter ce nom !
     
    VIVE LA FRANCE !
    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,
    VIVE LE ROI !

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Anne Hidalgo l'enlaidisseuse, la "ratisseuse" a reçu ce qu'elle méritait : un courageux Parisien lui a crié face aux caméras : 

    "Anne Hidalgo, vous êtes la honte de la France, vous êtes la honte de Paris ! On a mis deux siècles à faire de Paris la plus belle ville du monde, en deux mandats vous en avez fait la poubelle du monde !..."

    BRAVO À LUI !

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    Le symbole de Paris'dalgo !

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  • Et à la 78ème minute, Griezmann passe à Giroud, qui marque et nous qualifie pour la demi-finale !...

    53ème but pour Giroud, meilleur buteur en sélection nationale, après une passe décisive de Grizou...

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    ... et Hugo LLoris plus qu'excellent, comme toujours !

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    Le classement des "premiers", ou des "meilleurs", ou des "record"... s'établit ainsi :

    1. Giroud, meilleur buteur de l'équipe nationale : 53 buts...

    2. Griezmann meilleur pour les passes décisives : 28...

    3. LLoris, meilleur pour le nombre de sélections en équipe nationale : 143...

    Mention spéciale pour le duo Rabiot/LLoris, qui a "tenu" l'équipe hier; une équipe qui, et de loin, n'a pas livré son meilleur jeu, dont beaucoup de joueurs ont été pâles, légers, inexistants - à se demander si, même, ils étaient là... - mais, bon... : comme on dit, seule la victoire est belle !

  • Au Cinéma : Annie Colère, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgA l’affiche : Annie Colère,  un film français de Blandine Lenoir, avec Laure Calamy.

    Annie Colère… Comment peut-on s'étonner et s'inquiéter de la violence dans notre société quand celle-ci sacralise la violence de l'avortement, dont elle veut même inscrire le "droit" dans la constitution ?
    Notre époque absolutise la violence contre la vie, qu'elle légitime à ses deux  bouts, dès sa conception dans les entrailles de la mère, jusqu'à la fin par son raccourcissement avec l'euthanasie et le suicide assisté. Pourquoi la violence entre ces deux extrêmes serait-elle moins légitime et condamnable ?

    C'est sans doute à ce commentaire que je pensais quand j'ai décidé d'aller voir Annie Colère dès que j'en ai entendu parler en août dernier. J'imaginais un bon film, et même un très bon film, de promotion de l'avortement et de glorification de la Loi Veil, un argumentaire qu'il allait falloir contrer point par point. Finalement je surestimais l'adversaire en pensant qu'il s'émerveillerait devant son fruit et le porterait au pinacle, alors que c'est seulement sa propre image que l'adversaire regarde, contemple et admire.
    On reconnaît, dit L'Évangile, l'arbre à son fruit, mais c'est l'arbre et non pas le fruit qui intéresse le Diable. Prosterne-toi pour m'adorer dit-il à Jésus au désert.

    C'est l'essence même du très long métrage (2H) Annie Colère, qui s'agenouille devant les jambes écartées de la malheureuse qui avorte, non pas pour se réjouir de cet avortement mais pour glorifier, "sanctifier", le MLAC, Mouvement pour la Liberté de l'Avortement et de la Contraception. C'est ainsi qu'à l'adoption de la Loi Veil, on voit les militantes du MLAC qui ne se réjouissent pas de cette adoption, mais se désolent de ne plus tenir la 1ère place et de disparaître...

    Annie Colère, 
    un film épouvantable, à fuir, qui déchiquète l'avortement en passantguilhem de tarlé.jpg de l'un à l'autre, de l’une à l’autre, en faisant se succéder les cuisses écartées pour y introduire un spéculum, une canule et autres instruments de mort jusqu'à donner mal au ventre à mon épouse qui m'en a voulu  de l'avoir conduite dans cette salle de "torture". Mais j'oubliais que, pas plus qu'Annie Colère, les associations de lutte contre la torture n'évoquent jamais celles subies par les embryons.

    Finalement un mauvais spectacle, une réalisation nulle, pour donner l'occasion à Laure Calamy de se pavaner en militante féministe. Un film de promotion de Laure Calamy !

    J'en arriverais presque à conclure, comme à propos des abeilles OGM,
    Simone, reviens,  ils sont devenus fous !

     

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Sur notre Page facebook Lafautearousseau Royaliste :

    "LFAR, média diffuseur de peur (nouvelle catégorie inventée par Manu) mais avec un peu d’humour quand même..."

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  • Krach et cygnes noirs en 2023, selon Deutsche Bank, Saxo Bank et Nouriel Roubini, par Marc Rousset

    Le clignotant le plus connu est celui de l’inversion de la courbe des taux d’intérêt aux États-Unis lorsque les taux à long terme deviennent moins élevés que les taux à court terme. Cette situation exceptionnelle et illogique se produit le plus souvent quelques mois avant une récession économique. C’est le cas actuellement aux États-Unis ; suite aux augmentations nombreuses du taux d’intérêt à court terme par la Fed, ce dernier est supérieur au rendement actuel des obligations à 10 ans du Trésor américain, soit 3,58 %.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Le juste commentaire de Christophe Dickès - qui, lui, connaît plus que très bien Jacques Bainville - sur le très pauvre propos de Darmanin qui cite - lui, fort mal à propos et à tort et à travers - notre maître à tous :

    • Connaissant un peu (euphémisme) Bainville, il faisait référence aux régions agrégées à la couronne de France. Pas vraiment à l'immigration et surtout pas l'immigration extra-européenne qu'il n'imaginait même pas 1/2 #Darmanin #Bainville

    • Dans son Histoire de France, les invasions des IV et Ve sont le seul fait migratoire mentionné. Il souligne par ailleurs le maintien de la romanité, en dépit des invasions, comme un fait majeur. 2/2.

    https://www.lefigaro.fr/politique/loi-immigration-gerald-darmanin-cite-jacques-bainville-a-la-tribune-de-l-assemblee-20221207?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3

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  • Au Cinéma : Le torrent, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgA l’affiche : Le Torrent,  un film français d’Anne Le Ny, avec Anne Le Ny (Capitaine Da Silva), José Garcia et Capucine Valmary (Alexandre et sa fille Lison), André Dussolier (Patrick, le beau-père d’Alexandre), Ophélia Kolb (Juliette, la victime).

    « Tu ne mentiras point »… C’est l’interprétation catéchétique quasi mensongère du 8ème commandement du Décalogue, dont les deux versions de l’Exode et du Deutéronome sont beaucoup plus restrictives qui ne visent que la diffamation : « Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain ».

    « Tu ne mentiras point », c’est en tout cas la leçon de ce film, dont on conviendra néanmoins que son Torrent de mensonges n’est en rien diffamatoire. Il s’agit seulement pour leurs auteurs, en l’absence de témoins, de convaincre la gendarmerie et la famille qu’Alexandre n’a pas assassiné Juliette.
    A partir d’un premier mensonge l’engrenage se met en route, le mensonge appelleguilhem de tarlé.jpg le mensonge, avec la nécessité d’un deuxième pour corroborer le premier et expliquer un fait, et ainsi de suite jusqu’à la morale énoncée par Patrick, lui-même coupable pourtant d’un dernier mensonge : « La vérité, c’est mieux pour tout le monde, tu verras ».

    Je ne voudrais ni vous mentir ni dévoiler ici la fin de ce bon thriller, mais je constate que le mensonge initial a empêché que la vérité sorte nue de son puits… La fin aurait été différente.

  • Bravo à nos amis de L'Action Française Arras...

    "L'ignoble @FLeturque joue au dhimmi de fin d'année. Très bien, fermez dès à présent le marché de Noël, n'octroyez pas la prime éponyme aux employés municipaux, trêve aux cadeaux, finie la publicité sur "Arras, ville de Noël". Espèce d'hypocrite."

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    Un vulgaire collabo de l'islamo-gauchisme...; un  non-moins vulgaire séide de la Nouvelle Religion Républicaine, qui a  déclaré une guerre d'extermination à la religion traditionnelle du Peuple français, sur cette terre qui "n'est pas un terrain vague" mais qui "est appropriée depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines" (Charles Maurras).

    Depuis deux mille ans, chez nous, on ne se souhaite pas un ridicule "fantastique décembre" ou un non moins ridicule "bonnes fêtes de fin d'année" mais un sonore et réjouissant :

     

    JOYEUX NOËL !

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Entièrement d'accord avec Sud Ouest autochtone (sur tweeter), après le scandaleux tweet de cette pauvre Sandrine Rousseau, dont la tête est bien malade :

    1. Le message minable et misérable de S.R. :

    "Malik Oussekine devrait avoir 58 ans si sa vie n’avait pas été fauchée par des policiers violents."

    2. Le "pan sur le bec" qui tue de nos amis de Sud Ouest autochtone

    "Rappel qu'il y a 2 mois ça hurlait à la récupération politique pour Lola."
     
    Ça, c'est envoyé !!!!

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  • Reçu de l'Association Marie de Nazareth : Récit d’une soirée exceptionnelle à Paris, avec Gad Elmaleh...

     
     

    Récit d’une soirée exceptionnelle à Paris, avec Gad Elmaleh  

    Chers amis,

    Samedi 3 décembre, l’Association Marie de Nazareth a eu le plaisir d’organiser, en partenariat avec Saje, une projection du film de Gad Elmaleh, Reste un peu, dans un grand cinéma parisien. La soirée a été un immense succès pour les quelque 500 personnes présentes, pour l’acteur que nous remercions vivement, et pour tous les amis de l’association que nous avons eu la joie de voir. 

    Reste un peu, film dont Gad Elmaleh est le personnage principal et le réalisateur, met en lumière un itinéraire spirituel. Né au Maroc à Casablanca, dans une famille juive séfarade, Gad Elmaleh étudie dès son enfance le Talmud, et a sans doute toujours été réceptif à une forme de spiritualité religieuse. Mais l’histoire du film n’est pas axée uniquement sur ce cheminement, elle porte sur la révélation de son attirance pour le catholicisme, suite à une rencontre intime avec la Vierge Marie, alors qu’il n’avait que 6 ans. Il confie lors d’une interview : « Sans l’accord de mes parents alors que leur croyance l’interdisait, j’ai poussé la porte de l’église [Notre Dame de Lourdes à Casablanca] et suis tombé nez à nez devant une représentation gigantesque de la Sainte Vierge qui me regardait droit dans les yeux. » Une rencontre qu’il cache à ses parents qui finissent par apprendre la vérité par hasard en rangeant sa chambre.

    Tout au long du film, nous voyons l’interrogation et la souffrance d’un père et d’une mère qui ne comprennent pas cette attirance pour la Vierge Marie et surtout ce détachement de la religion juive. Mais ce film est empreint d’amour. Il s’agit même d'une histoire d’amour entre les membres d’une famille qui ne veulent pas se faire souffrir ; et d’une histoire d’amour entre Gad Elmaleh et Marie. 

    À l’exception d’une jeune comédienne, les personnages jouent leur propre rôle. Chacun peut alors imaginer la dimension particulière et l’intensité de dialogues qui avaient été véritablement échangés par les acteurs. Une courte scène a été particulièrement touchante. Après un échange entre le comédien et le père Barthélémy qui s‘apprête à baptiser des catéchumènes, le regard du prêtre se porte sur son ami, il est alors empreint d’une certaine peine mais aussi d’un très grand respect et d’une bonté infinie.

    À l’issue de la projection, Gad Elmaleh s’est joint aux spectateurs. Très généreusement, il a accordé une heure d’échanges avec une salle comble. De nombreuses questions lui ont été posées, auxquelles il a répondu avec humour et sérieux. La première fut particulièrement intéressante. L’une de nos invités a fait le parallèle entre le titre du film, Reste un peu, et le dialogue des pèlerins d’Emmaüs, Luc 24 (28-29) : « Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d’aller plus loin. Mais ils s’efforcèrent de le retenir : “Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse.” Il entra donc pour rester avec eux. » Gad Elmaleh, qui a alors découvert ce passage de l’Évangile, a semblé très ému, puisque Reste un peu est inspiré des mots sa maman qui lui demande toujours de rester un peu avant de repartir. Rapprocher le titre de son film aux paroles saintes de l'Écriture l’a profondément marqué.

    Quelques questions ont aussi porté sur la figure de Jésus et le rapport que Gad entretient avec le Fils de Dieu. Ses réponses ont été très intéressantes car il n’a pas (encore) vécu une expérience christique et n’a pas la relation quasi charnelle et si maternelle qu’il entretient avec Marie. Mais le comédien a semblé bien conscient que Marie pouvait le mener à son Fils.

    Dans un autre échange, Gad a mentionné son papa, convaincu que « tout cela » avait été engendré… à cause d’une porte. C’est alors qu’Olivier Bonnassies, directeur de notre association, lui a fait remarquer que Jésus avait lui-même dit : « Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit. [...] Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage » (Jean 10, 1-9). Une nouvelle fois, ces paroles bibliques ont touché l’acteur.

    Nous avons abordé aussi la question de la laïcité, évoquée dans le film, mais qui efface, selon lui, les chemins de la spiritualité (avec ou sans Dieu) et empêche d’aborder le sujet de la religion sans crisper. Enfin, nous avons beaucoup ri lorsque Gad a évoqué sa retraite à l'abbaye de Sénanques et l’étonnement d’un moine qui ne comprenait pas le principe du « selfie », c’est-à-dire, pour l'acteur connu et reconnu, d’accepter de se laisser prendre en photo avec des gens inconnus. 

    Nous remercions de tout cœur Gad Elmaleh d’avoir permis aux amis de l’association qui étaient présents de le rencontrer et d’échanger avec lui. Quant à nous, nous étions une nouvelle fois ravis de mettre des visages sur des noms et de vous rencontrer toujours plus nombreux. Merci pour tous vos messages de remerciements et d'encouragements ; cela nous touche beaucoup. Si une suite est donnée à ce film, comme semble le souhaiter le réalisateur, nous serons très heureux de renouveler cette rencontre. Et n’hésitez-pas à consulter régulièrement la page actualité de notre site afin de vous informer sur les prochains événements que nous organiserons !

    Bonne entrée dans le temps de l'Avent !

    France Andrieux et toute l'équipe de Marie de Nazareth

  • Le mauvais esprit de Libération épinglé, sur notre Page facebook Lafautearousseau Royaliste...

     Lafautearousseau Royaliste...

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Évidemment entièrement d'accord avec Jacques Myard, notre "porte-voix" du jour :

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  • Au Cinéma : Le fil de la vie, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgArt et Essai : Le Fil de la vie,  un film français de 2013, de Dominique Gros, avec la participation du Docteur Hervé Mignot, chef de service de l’Équipe d’Appui Départementale en Soins Palliatifs de l’Indre (EADPS 36).

    Le Fil de la vie… Attention, il est sorti en 2005 un film danois d’animation qui portait le même nom, qui n’a rien à voir avec ce documentaire déjà diffusé en 2013 sur Arte, où il est d’ailleurs, paraît-il, disponible en DVD. Ce film était projeté hier dans un village berrichon de l’Indre, département dans lequel il a été tourné en partie, en introduction d’une soirée ciné-débat sur le thème « Choisir sa mort, un choix de société ».

    Le film est relativement dur, qui met en scène un patient en soins palliatifs et les « solutions » alternatives. Convenons qu’il ne prend pas partie, mais qu’il ouvre des pistes de réflexion que le docteur Mignot a su excellemment expliciter en animant le débat qui a suivi.

    « Un pauvre bûcheron, tout couvert de ramée,
    Sous le faix du fagot aussi bien que des ans (…) »

    La Fontaine, en son temps, a déjà parfaitement traité la question

    « Enfin, n’en pouvant plus d’effort et de douleur »…

    C’est évidemment le refus de la douleur, de la souffrance qui peut conduire à souhaiter mourir

    « Il met bas son fagot, il songe à son malheur »…

    de la souffrance physique à la souffrance mentale jusqu’à la dépression

    « Il appelle la Mort »

    « Elle vient sans tarder,
    Lui demande ce qu’il faut faire.
    C’est, dit-il, afin de m’aider
    A recharger ce bois ».

    Le docteur Mignot nous a très bien expliqué qu’on n’appelle pas la mort – « on neguilhem de tarlé.jpg peut pas vouloir quelque chose qu’on ne connaît pas. Personne ne veut la mort. En fait on ne veut plus vivre ce qu’on vit (…) la demande de mort est une demande de ne plus souffrir»… et les soins palliatifs y sont donc la véritable et seule réponse, en traitant toute la souffrance de l’homme, souffrance existentielle, souffrance physique, psychique, spirituelle quand on sent la fin de la vie et qu’on s’interroge sur le sens de la vie.

    De nombreux autres aspects de ce sujet difficile et dramatique ont été évoqués, abordés (ou passés sous silence), et ce n’est pas le lieu d’en écrire ici, sauf à implorer le Ciel que la « Convention Citoyenne sur la fin de vie » qui s’ouvre, avec des « débats organisés dans les territoires par les espaces éthiques régionaux », se souvienne du bûcheron du poète…
    si toutefois on l’apprend encore à l’école…

    « Le trépas vient tout guérir ;
    Mais ne bougeons d’où nous sommes :
    Plutôt souffrir que mourir,
    C’est la devise des hommes ».