Solidarité Kosovo !
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1. En se brouillant avec la Russie, que tout nous désigne comme notre amie et alliée, pour faire contre-poids au marxisme-léninisme Chinois et à la toujours malfaisante Maison Blanche, Macron et le Système, tous deux insensés, font que nous allons manquer de gaz...
2. En fermant Fessenheim avant que l'EPR de Flamanville ne soit entré en production, Macron et le Système, tous deux insensés, font que nous allons manquer d'électricité...
3. Mais cela n'est rien face au monumental iceberg de "la voiture électrique" - l'utopie la plus folle du siècle - sur lequel Macron et le Système, toujours insensés, nous précipitent à toute allure...
Écoutez François Lenglet : voitures électriques ? "...Le prix d'une recharge supérieur au prix d'un plein d'essence...", "injonctions pour ne recharger qu'en période creuse"... la voiture électrique que veulent nous imposer des dirigeants incompétents tournera, tourne déjà, au cauchemar...
Lancer des voitures électriques quand on ferme Fessenheim (5% de la production d'EDF) c'est de l'incompétence + de la stupidité + jouer contre les intérêts supérieurs de la population : bref, c'est...
LE SYSTÈME EN FOLIE !
(extrait vidéo 2'14)
https://twitter.com/JL7508/status/1566853836085596160?s=20&t=ifBgk6nSe2c95K51D12cQA
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Frédéric Mistral est mort le 25 mars 1914, juste avant le déclenchement de la catastrophique "Guerre de 14". L'Action française lui a évidemment rendu hommage, dans ses deux numéros du lendemain (26 mars, que vous allez pouvoir consulter aujourd'hui), avec un court article de Maurras, et le sur-lendemain (27 mars, que vous pourrez lire dès demain) avec un article un peu plus long, de Daudet.
Bainville aussi rendit hommage au poète, mais un peu plus tard dans le quotidien (le 30 mars et le 7 mai) : il le fit - sous le pseudonyme de Léonce Beaujeu - avec deux très beaux textes, que nous mettrons en lien dans notre livraison de demain, et qui ont été publiés dans un livre assez peu connu de lui : "Chroniques"
C'est probablement l'anxiété face à l'imminence de la guerre qui arrive, et que L'Action française a tout fait pour tenter d'éviter, qui explique la brièveté d'un hommage qui, normalement, aurait été plus consistant...
Dans ce numéro du jeudi 26 mars, en "Une", la première colonne en haut à gauche, contient l'assez court hommage de Maurras lui-même, sobrement intitulé "Mistral" :
"...Mistral a vivifié et ressuscité dans nos coeurs notre histoire, notre légende, notre sagesse provinciale, notre raison même, il a éclairé pour nous jusqu'au sens des choses telles elles étaient tout autour et que nous ne les eussions jamais comprises sans lui... Nous étions nés et nous avions grandi à son ombre. Nous nous étions accoutumés à cette rumeur solennelle, profonde et familière, comparable au mouvement du chêne sacré..."
En page deux, un article non signé, intitulé "La mort de Mistral", se contente de donner des informations générales sur le poète disparu, en énumérant simplement ses oeuvres. Il occupe la moitié inférieure de la troisième colonne et se termine, sur dix-sept lignes, tout en haut de la cinquième colonne.
C'est donc demain que vous lirez le très beau texte d'hommage de Daudet (dans le journal) et les deux de Bainville (dans ses Chroniques). Aujourd'hui, voici le texte de Maurras et, pour satisfaire la curiosité de ceux que le sujet intéresse, notre Éphémeride du 8 septembre (jour de la naissance de Mistral) qui, avec les nombreux liens hypertextes qu'elle contient, vous permettra de découvrir tout ce qu'il est indispensable de savoir sur cet immense poète, qui a fait honneur à sa petite et à sa grande patrie :
"Sian de la grande Franço, e ni court ni coustié"
Voici le lien, pour lire la "Une" du 26 mars 1914 : en bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite... :
A l’affiche : Avec amour et acharnement, un film français de Claire Denis, avec Juliette Binoche (Sarah), Vincent Lindon, Bulle Ogier et Issa Perica (Jean, sa mère, Nelly, et son fils, Marcus), adapté du roman de Christine Angot, Un tournant de la vie.
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Le jeudi 16 juin dernier, nous donnions ici-même le premier texte de cette série de trois que consacre Annie Laurent au thème Islam et féminisme.
Voici aujourd'hui la deuxième partie (et la fin) du troisième de ces textes, que vous pouvez retrouver ici :
• Islam et féminisme (2/3), par Annie Laurent
Un grand merci et un grand bravo à Annie Laurent, qui nous éclaire aussi parfaitement et aussi régulèrement...
François Davin, Blogmestre
A l’affiche : La page blanche, un film français de Murielle Magellan, avec Sara Giraudeau (Eloïse), Sarah Suco (Sonia), Pierre Deladonchamps (Moby Dick), Grégoire Ludig (Fred), adapté de la BD éponyme de Boulet et Pénélope Bagieu.
Deux "charges" bienvenues contre Macron l'insensé, "Macron charbon" qui ferme une centrale nucléaire propre mais ré-ouvre une centrale à charbon - ultra-polluant, le charbon ! - déjà fermée et en prolonge une autre qui devait s'arrêter ces semaines-ci...
La Rédaction
Scandaleusement tolérée, en plein Paris, par un gouvernement inconscient, la scandaleuse manifestation de soutien communautaire au scandaleux imam Iquioussen...
Dans Boulevard Voltaire :
"Religion de paix" ? Mon oeil ! Va donc dire "ça" aux victimes du Bataclan, de la Promenade des Anglais, à la famille du Père Hamel, à tous ces Français agréssés, égorgés; aux forces de l'ordre sur qui "on" fonce en voiture pour les écraser...
(certes, ils n'étaient que quelques dizaines, mais le fait reste, en lui-même, écoeurant et scandaleux; extrait vidéo : douze secondes)
https://twitter.com/BVoltaire/status/1566058216181620740?s=20&t=DYV6FdCLO8xRcahobN9V5w
La centrale de Fessenheim n’a été exploitée que pendant 42 ans de 1978 à 2020. Suite à une décision stupide de Macron, pour des raisons électoralistes vis-à-vis des Khmers verts, et afin de ménager « en même temps » la chèvre et le chou, en application de la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte (plafonnement de la production d’électricité d’origine nucléaire), les réacteurs n°1 et n°2 de la centrale de Fessenheim ont été respectivement mis à l’arrêt définitif les 22 février et 30 juin 2020.
Contrairement à ce qui avait été prévu, Macron n’a même pas pris la peine d’attendre la mise en route de Flamanville !
1. Bruno le Maire a déclaré publiquement : « nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe ». Résultat des courses : non seulement l’économie russe ne s’effondre pas, mais c’est l’économie française, européenne qui s’effondre avec une inflation moyenne en zone euro de 9,1% et des prix de l’énergie exorbitants qui montent à la verticale !
En ce jour anniversaire de sa naissance, laissons Chateaubriand décrire, en 1834, notre monde et notre société de 2022. Voici un extrait de L'Avenir du Monde, annexé en Variantes et Additions aux Mémoires d'Outre-Tombe (La Pléiade, tome II, pages 1051/1052)...
Dans ces lignes fascinantes, on notera l'espérance inébranlable de l'observateur lucide, donc pessimiste, mais "pessimiste actif"...
"...Quelle sera la société nouvelle ? Je l'ignore. Ses lois me sont inconnues; je ne la comprends pas plus que les anciens ne comprenaient la société sans esclaves produite par le christianisme. Comment les fortunes se nivelleront-elles, comment le salaire se balancera-t-il avec le travail, comment la femme parviendra-t-elle à l'émancipation légale ? Je n'en sais rien. Jusqu'à présent la société a procédé par agrégation et par famille; quel aspect offrira-telle lorsqu'elle ne sera plus qu'individuelle, ainsi qu'elle tend à le devenir, ainsi qu'on la voit déjà se former aux États-Unis ?
Vraisemblablement l'espèce humaine s'agrandira, mais il est à craindre que l'homme ne diminue, que quelques facultés éminentes du génie ne se perdent, que l'imagination, la poésie, les arts ne meurent dans les trous d'une société-ruche où chaque individu ne sera plus qu'une abeille, une roue dans une machine, un atome dans la matière organisée. Si la religion chrétienne s'éteignait, on arriverait par la liberté à la pétrification sociale où la Chine est arrivée par l'esclavage.
La société moderne a mis dix siècles à se composer; maintenant elle se décompose. Les générations du moyen âge étaient vigoureuses parce qu'elles étaient dans la progression ascendante; nous, nous sommes débiles parce que nous sommes dans la progression descendante. Ce monde décroissant ne reprendra de force que quand il aura atteint le dernier degré; alors il commencera à remonter vers une nouvelle vie.
Je vois bien une population qui s'agite, qui proclame sa puissance, qui s'écrie : "Je veux ! je serai ! à moi l'avenir ! je découvre l'univers ! On n'avait rien vu avant moi; le monde m'attendait; je suis incomparable. Mes pères étaient des enfants et des idiots."
Les faits ont-ils répondu à ces magnifiques paroles ? Que d'espérances n'ont point été déçues en talents et en caractères ? Si vous en exceptez une trentaine d'hommes d'un mérite réel, quel troupeau de générations libertines, avortées, sans convictions, sans foi politique et religieuse, se précipitant sur l'argent et les places comme des pauvres sur une distribution gratuite : troupeau qui ne reconnaît point de berger, qui court de la plaine à la montagne et de la montagne à la plaine, dédaignant l'expérience des vieux pâtres durcis au vent et au soleil !
Nous ne sommes que des générations de passage, intermédiaires, obscures, vouées à l'oubli, formant la chaîne pour atteindre les mains qui cueilleront l'avenir".
Armes de Chateaubriand, Vicomte et Pair de France : de gueules, semé de fleurs de lys d'or, sans nombre...
A l’affiche : Les Volets verts, un film français de Jean Becker, avec Gérard Depardieu (Jules Maugin), Fanny Ardant (Jeanne Swann), Stéfi Celma (Alice) et Benoît Poelvoorde (Félix),
adapté du roman éponyme de Georges Simenon (1950).