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"Les habitants avaient voté pour son maintien à 94,5%, la cour administrative de Nantes vient d'ordonner le retrait de la statue de Saint-Michel aux Sables-d'Olonne : la justice est rendue au nom du peuple ? Quelle blague !"
• Dans l'ahurissant monument de haine que fut son "discours" à l’Assemblée nationale, le 8 novembre 1906, René Viviani déclara, entre autres énormités/insanités :
"…Nous sommes face à face avec l’Église catholique...Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l’Eglise Catholique, pour la combattre, pour lui livrer une guerre d’extermination…"
Et, nous, c'est cette Nouvelle Religion Républicaine, ce Système, cette République idéologique que nous voulons exterminer !
En Suède, ce n'est pas l'extrême-droite qui a gagné, c'est le parti des Suédois qui ne veulent pas de la submersion migratoire, du grand remplacement et du grand déclassement qui va avec.
On comprend que cette claque monumentale, dans un pays qui n'a jamais "voté ainsi" rende fou nos bobos/gauchos/trotskos et leur fasse dire n'importe quoi.
Goldnadel prend les réactions absurdes et de mauvaise foi de ces mauvais perdants avec un mélange d'humour et d'ironie de bon aloi :
"9h sur l’odieux visuel de sevice public; On annonce le résultat suédois en indiquant le prétendu passé fasciste de « l’extrême droite » La gauche médiatique fait avec la France, l’Italie et la Suède exactement ce que fait Poutine avec l’Ukraine et qu’elle dénonce avec véhémence."
La "Cité interdite" de Pékin, c'était la résidence des Empereurs de Chine. "La" maison interdite de Martigues, c'était la résidence du Prince des penseurs, du phénix des grands esprits, de celui qui a critiqué et démoli les bases même du Système qui nous ruine et nous déclasse inexorablement : Charles Maurras.
Et, dans sa critique imparable du Système - qui repose sur l'Argent, devenu Argent-Roi à la place du Roi légitime - Charles Maurras n'est pas "dangereux pour le Système", il est "LE SEUL DANGEREUX", celui que le Système a transformé en M. le Maudit; celui que le Système entoure depuis 45 d'une conspiration du silence qu'il veut totale mais qui a de plus en plus de mal à se maintenir; et cela afin de l'effacer, de le gommer des mémoires, et de l'Histoire...
Et, à Martigues même, dans "sa" ville, à laquelle il a généreusement légué sa très belle Bastide du Chemin de Paradis (l'un des plus beaux monuments civils de Martigues) Maurras est ostracisé et comme enfermé dans une sorte d'invisible Mur de Berlin, traduction, sur place, de cette conspiration du silence d'État. Ce Mur de Berlin est tombé après 33 ans (de 61 à 94) : quand tombera le Mur de Martigues ?
Le Pays légal, désireux de se faire pardonner ses erreurs monumentales qui nous ont amené la Seconde guerre mondiale et le nazisme a voulu faire disparaître Maurras en 45, car il était un reproche permanent pour lui, et comme la mauvaise conscience d'un Système failli et anti-national. Il a pour ce faire inventé deux reproches, faux et archi-faux pour l'ostraciser :
• le premier était celui de "collaborationnisme" et "intelligence avec l'ennemi", dont même un François Mauriac, pourtant loin d'être un "ami" politique de Maurras et de l'Action française disait que c'était la seule forme d'intelligence qu'il n'avait jamais eue... Mauriac, comme tout un chacun, connaissait la célèbe phrase d'Otto Abbetz, Ambassadeur d'Allemagne à Paris jusqu'en 44 : "...L’Action Française est l’élément moteur, derrière les coulisses d’une politique anti-collaborationniste, qui a pour objet, de rendre la France mûre le plus rapidement possible, pour une résistance militaire contre l’Allemagne..."
• si ce premier reproche, ahurissant, ne trompa personne, c'est pourtant lui qui fut retenu pour l'inique condamnation de Maurras, en 45.Mais plus personne n'ose s'y référer aujourd'hui, tant il est grotesque.Les menteurs qui ont construit une Histoire nationale faussée et tronquée préfèrent justifier l'ostracisme et l'interdit jeté sur Maurras par l'accusation... d'antisémitisme. Et, sur place, à Martigues, la Mairie moralisatrice/moralinisatrice se drape derrière ce mensonge pour, on l'a dit, ostraciser, interdire, effacer Maurras.
Sauf que, empêtrée dans une très grave affaire de corruption sur fond de trafic de drogue, touchant directement l'équipe municipale, on renverra cette dernière au conseil fameux de regarder la poutre qui est dans son oeil avant de regarder l'oeil des voisins; et sauf que le Maire, officiellement PCF, est donc, volens nolens, associé dans la NUPES a une espèce de coalition hétéroclite, menée, de fait par LFI et Mélenchon, qui a capté 70% du vote musulman (dont on ne connaît que trop l'antisémitisme de fait dans nos rues et notre actualité...) et dont les amies députées reçoivent, par exemple, et en grande pompe, Jérémy Corbyn, l'ex travailliste anglais exclu, justement, de son parti pour... antisémitisme virulent ! Comment, dans ces conditions, une Mairie peut-elle oser prétendre interdire Maurras sous prétexte d'antisémitisme, alors qu'elle est embarqueé dans la galère antisémite de fait, de paroles et d'actes d'un grand nombre de membres de la NUPES ?
Soyons sérieux ! Il faut en finir avec ce mauvais carnaval des Tartufes et réhabiliter Maurras, ré-ouvrir sa maison et son jardin, et leur faire intégrer le réseau des Maisons des Illustres.
En attendant ces jours heureux de libération, mentale et pratique, qui viendront, n'en doutons pas, bravez l'interdit, choisissez la liberté de pensée, venez juger sur pièce, pour vous faire, ensuite, votre propre opinion, non celle qu'on veut vous imposer, et embarquez-vous en vous laissant guider : je vous emmène - au nez et à la barbe d'une Mairie stupidement sectaire - à la visite du Jardin de la Maison de Maurras (vidéo en deux parties)...
Lorsqu’on s’interroge sur la manière de qualifier nos dirigeants et leur figure de proue, M. Macron, qui pousse jusqu’à la caricature les défauts qu’on peut légitimement leur reprocher, on a le choix entre trois possibilités hiérarchisées. L’intéressé s’était dit fier pour ses amis comme pour lui-même d’être des amateurs. Cet aveu provocateur adoucissait en fait le réquisitoire facile à dresser contre l’impéritie du personnage et de son entourage.
Cela d’autant plus que son élection et sa réélection ne s’expliquent que par une prétendue compétence déniée à ses concurrents. Enarque brillant, Mozart de la finance pour avoir fait un bref passage très rémunérateur chez Rothschild, entouré par un cercle de flagorneurs qui appartiennent à la même caste que lui et n’ont guère fait plus que lui preuve de leur virtuosité, celui qui depuis 2017 a accumulé les erreurs et les fautes, édulcorées par une presse complice, est d’abord la preuve vivante de la déchéance intellectuelle et morale de nos prétendues élites.
Enfin, pour reprendre le mot employé par Rioufol, les décisions prises par cette oligarchie décadente sont à ce point contraires à l’intérêt, au bien commun du peuple qu’elle veut diriger, qu’on peut parler de trahison. Amateur, oligarque décadent, traître : en un mot, illégitime !
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 22 Albums, 47 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Madame François Daudet, née Thérèse Suquet s’est éteinte dimanche dernier.
Ses obsèques seront célébrées ce vendredi 16 septembre à 10h30, dans l’église Saint Dominique, 20 rue de la Tombe-Issoire.
Thérèse Daudet fut l'épouse du Docteur François Daudet, fils de Léon Daudet et filleul de Charles Maurras.
C'est lui dont la signature apparaît dans la dernière "Une" du quotidien, le jeudi 24 août 1944, à côté de celle de Charles Maurras : Bainville est parti le 9 février 1936, huit ans et demi plus tôt; et Daudet est parti dans la nuit du premier au deux juillet 42, deux ans avant.
Avec la signature de son fils, François, c'est encore un peu du trio Bainville-Daudet-Maurras qui est donc là, jusqu'à la fin, jusqu'au dernier numéro...
Voici le lien pour vous "promener" dans ce numéro, et lire par exemple l'article de François Daudet, "Le destin de la France seule" : il occupe quasiment toute la première colonne de gauche de la "Une" et s'achève en page deux (26 lignes tout en haut de la colonne de droite). On trouve, dans le final, cette belle note d'espoir, magré tout :
"...il est certain qu'une nation comme la nôtre ne saurait demeurer bien longtemps accablée, une fois repris et retrouvé le principe premier de sa grandeur..."
1. La quasi totalité de l'article, en page une, colonne de gauche :
2. Et les magnifiques vingt-six lignes de conclusion de la page deux, colonne de droite, tout en haut :
Sinon, "La Politique" de Charles Maurras occupe le bas des trois colonnes de droite de la "Une", et le haut des trois colonnes de gauche de la page deux, dans ce numéro où l'on voit bien que tout est "chamboulé" et que... c'est la fin...
Enfin, en bas des deux colonnes de gauche de la page deux, signalons l'intéressant article de Robert Havard de la Montagne sur Chateaubriand en Amérique :
Voici le lien vous donnant accès à cette dernière "Une" du Journal :
(en bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite...)
Comment ce Système pourri traite les hommes libres !
Mais le public, le Peuple, lui, ne s'y trompe pas : le Professeur Perronne s'est rendu devant le Conseil de l'ordre au milieu d'une haie d'honneur que bien des mengeurs et corrompus qui prospèrent aujourd'hui, dans ce Système pourri, aimeraient bien avoir ! :
Le Premier ministre britannique, David Lloyd George, dit à Aristide Briand : – Vous autres, Français, vous êtes des vaniteux. Mais prenez garde, entre la vanité et le ridicule, il n’y a qu’un pas. Briand lui répond : – Oui : le pas de Calais. Cette répartie célèbre ne serait plus possible aujourd’hui. La vanité ridicule est en train de miner sourdement l’ensemble des démocraties occidentales, par delà la Manche et même l’Atlantique. Leur vanité qui consiste à s’ériger en détentrices de la morale planétaire, à se proclamer juges du bien et du mal, à exercer de manière unilatérale l’usage de la force au nom du droit, devient ridicule à force de contradictions et d’échecs. Il faut désormais prendre garde à la conséquence redoutable de ces errements qui pourraient conduire logiquement à douter de la démocratie. Celle-ci à force de faux-semblants et d’inefficacité pourrait n’être plus “le pire des régimes à l’exception de tous les autres”, selon le mot de Churchill, mais une impasse historique qui n’aura fait connaître à une génération qu’un bonheur superficiel et éphémère.
Arts & Ciné : Tout le monde aime Jeanne, un film français de Céline Deveaux, avec Blanche Gardin, Maxence Tual, Marthe Keller (Jeanne, son frère Simon, leur mère Claudia), Laurent Lafitte (Jean) et Nuno Lopes (Victor).
Du 14 au 16 sept. 2022 se tiendra le colloque international Les grandes étapes de l’évolution morphologique et culturelle de l’Homme sous la direction de Henry de Lumley (ci dessous), président de l’Institut de Paléontologie Humaine, Fondation Albert 1er Prince de Monaco, à la Cité Internationale de la Francophonie de Villers-Cotterêts et intégralement en français.
Il s’agira de la manifestation inaugurale de la Cité
"URGENT : sur 51 mosquées inscrites aux #JEP2022, nous avons trouvé une DEUXIEME structure de la @CimgFrance. La mosquée islamiste #MilliGorus, à Péage de Roussillon (38), doit être immédiatement retirée par le @MinistereCC ! L'islam radical turc chez nous ? C'est NON !
Quand on pense que la magnifique Bastide de Maurras, au Chemin de Paradis, à Martigues est "interdite d'accès" par la Mairie communiste (et, surtout, corrompue de la ville) et que, bien entendu, elle ne figure pas sur la liste des monuments ouverts au public pour les Journées du Patrimoine de cette fin de semaine !...
Du beau monde à la NUPES, où abondent et sur-abondent débraillé, vulgarité verbale et vestimentaires, provocations en tous genres ! Mais là, franchement, on ne peut pas éviter le jeu de mot, même s'il est "trop facile" (comme disent les ados en cours de récré) : pour le député Taché et la NUPES, là, pour le coup, cela fait vraiment tâche...
A l’affiche : Le Tigre et le Président, un film de Jean-Marc Peyrefitte, avec Jacques Gamblin (le Président Paul Deschanel), André Dussolier (Le Tigre, Georges Clémenceau), Christian Hecq (le Président du Conseil, Alexandre Millerand), Astrid Whettnall (Germaine, Mme Paul Deschanel).