LAFAUTEAROUSSEAU - Page 208
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Sur LCP, Antoine Armand évoque les résultats de la Commission d'enquête sur les raisons du mauvais état actuel de "notre nucléaire" et parle de notre Souveraineté énergétique; il explique son sabotage par l'alliance improbable mais sutout misérablement politicarde des socialos et des escrolos :
"C'est l'histoire de décisions prises à l'envers, sans méthode, sans prospective, aux conséquences lourdes et qui ne semblaient trouver leurs sources que dans l'inconscience ou dans l'électoralisme"
(extrait vidéo 0'58)
https://twitter.com/LCP/status/1643911838847909888?s=20
Et sur France info, en complément d'information :
"66 milliards d'euros : le vaste chantier d'EDF pour moderniser le parc nucléaire français" :
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CHRIST EST RESSUSCITÉ ! - IL EST VRAIMENT RESSUSCITÉ !
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
"Les trans", "le trans" : le vent est, heureusement, en train de tourner; nous vivons peut-être (en tout cas il faut l'espérer, et "pousser à la roue" pour cela...) "la fin de l'empire woke", comme le dit Dimitri Pavlenko ...
D'Eugénie Bastié, sur Europe 1 :
"On assiste à un retour du bon sens. Non, un homme n’est pas une femme, non, un enfant n’est pas un adulte... Et si la civilisation occidentale avait besoin de retrouver le sens des limites...?"
(extrait vidéo 3'26)
https://twitter.com/Europe1/status/1644236818529886210?s=20
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Demain dimanche, jour de Pâques, pas de notes sur lafautearousseau, qui fait "relâche", comme les jours de Noël et de l'Assomption...
"À la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. À Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l’Évangile nous devons notre idée même de l’homme. Si nous renions l’Évangile, nous sommes perdus !" disait avec raison Jean de Lattre de Tassigny.
Et Chateaubriand écrivait "...Après Alexandre, commença le pouvoir romain; après César, le christianisme changea le monde; après Charlemagne, la nuit féodale engendra une nouvelle société; après Napoléon, néant : on ne voit venir ni empire, ni religion, ni barbares. La civilisation est montée à son plus haut point, mais civilisation matérielle, inféconde, qui ne peut rien produire, car on ne saurait donner la vie que par la morale; on n'arrive à la création des peuples que par les routes du ciel : les chemins de fer nous conduiront seulement avec plus de rapidité à l'abîme..." (Mémoires d'Outre-tombe, tome II, p.261).
Pourquoi ce "néant" dont parle, avec raison, Chateaubriand, après Napoléon, le sabre, l'héritier, le continuateur de la Révolution ?
Parce que la Révolution est d'abord et avant tout anti chrétienne; qu'elle s'est pensée, voulue et accomplie, en dehors, sans et contre l'héritage millénaire de la France chrétienne; un héritage qu'elle a voulu effacer et qu'elle prétend remplacer par elle-même, puisqu'elle se conçoit comme une nouvelle Religion, la Nouvelle Religion Républicaine.
Mais cette Nouvelle religion est inféconde : elle n'a su qu'affaiblir considérablement - sans le détruire complètement - le christianisme et avec lui l'âme, l'esprit Français. Et, aujourd'hui, les Français - des-éduqués par une Ecole sectaire qui les a voulus "sans Dieu et sans Roi" - pour reprendre le mot de Jules Ferry - se retrouvent désemparés face à un Islam conquérant - lui - ou alors face au "vide", au "néant" dont parlait Chateaubriand.
Et cela parce que ses soi-disant "valeurs" ne sont que des mots, des abstractions et des incantations vaines, des formules creuses, qui ne pèsent d'aucun poids devant les réalités. La République idéologique n'a su et pu que détruire, sans rien construire à la place de ce qu'elle effaçait...
Le 8 novembre 1906, René Viviani prononça un discours fleuve à l'Assemblée (extrait) :
"...Nous sommes face à face avec l’Église catholique... La vérité, c’est que se rencontrent ici... la société fondée sur la volonté de l’homme et la société fondée sur la volonté de Dieu... Les Congrégations et l’Église ne nous menacent pas seulement par leurs agissements, mais par la propagation de la foi... La neutralité fut toujours un mensonge.
Nous n'avons jamais eu d'autre dessein que de faire une université antireligieuse... de façon active, militante, belliqueuse...
...Nous nous sommes attachés dans le passé à une œuvre d'irreligion; nous avons arraché la conscience humaine à la croyance...
...Ensemble, et d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des lumières qu'on ne rallumera plus...
...Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l'Eglise Catholique, pour la combattre, pour lui livrer une guerre d'extermination..."
Peu de temps avant ce discours, haineux mais au moins clair, c'est Georges Clemenceau qui, le 29 janvier 1891, avait lui aussi été très clair :
"...La Révolution française est un bloc… un bloc dont on ne peut rien distraire... C’est que cette admirable Révolution par qui nous sommes n’est pas finie, c’est qu’elle dure encore, c’est que nous en sommes encore les acteurs, c’est que ce sont toujours les mêmes hommes qui se trouvent aux prises avec les mêmes ennemis. Oui, ce que nos aïeux ont voulu, nous le voulons encore. Nous rencontrons les mêmes résistances. Vous êtes demeurés les mêmes ; nous n’avons pas changé. Il faut donc que la lutte dure jusqu’à ce que la victoire soit définitive..."
Ce combat de titans a donc débuté avec la funeste Révolution de 1789, et, depuis l'instauration de la funeste République en 1875, la France subit ce Régime qui la déclasse inexorablement, du point de vue matériel, en même temps qu'il la "vide" intérieurement de sa richesse spirituelle. Après avoir "changé le peuple" dans son mental, son moral, son imaginaire, par l'école, la République idéologique, devenue Système monstrueux, "change le peuple" par une immigration massive et continue : tout, pourvu que meure la France traditionnelle, lentement surgie du fond des âges à
partir de Clovis et de son baptême.
Nous, au contraire - qui préférons nous appeler "alter-révolutionnaires" que contre-révolutionnaires... - nous nous inscrivons clairement et fièrement dans cet héritage millénaire, chrétien et royal, écrit par nos ancêtres sur cette terre de France, et nous voulons poursuivre "l'aventure France" en commençant, d'abord, non pas pas "restaurer" un ordre ancien, mais par "ré-instaurer" l'esprit vivifiant et fécond de cet ordre, rénové et adapté aux exigences de notre temps...
"Pour moi, l'histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs, qui donnèrent leur nom à la France. Avant Clovis, nous avons la préhistoire gallo-romaine et gauloise. L'élément décisif pour moi, c'est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l'histoire de France à partir de l'accession d'un roi chrétien qui porte le nom des Francs" (Charles de Gaulle).
Voilà pourquoi - trop rapidement résumé, certes... - lafautearousseau, trois fois par an, manifeste son attachement aux vraies racines de la France, qui sont chrétiennes, plutôt qu'aux malfaisantes nuées d'une Révolution sanguinaire, belliqueuse et génocidaire...
À Noël, à Pâques et le 15 août, voilà ce que nous voulons dire, en... ne disant rien !
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La vidéo de Zemmour chez Les Éveilleurs...
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Vu dans la manif... C'est direct !
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Cet homme est dangereux !
Le député Renaissance Benoît Bordat - député de guerre civile - veut supprimer du calendrier la fête nationale de Jeanne d’Arc, qu'il juge "désuète" et "lepéniste" !
Cette Fête nationale, instituée comme telle par l'Assemblée nationale au sortir de l'effroyable boucherie de 14-18, a été pensée, voulue et instituée comme la fête du Patriotisme, comme un élément fédérateur capable de réunir tous les Français : que ce pauvre député (?) relise le très noble exposé des "motifs" de la proposition de Loi en 1920, rédigé par Maurice Barrès, député à la "Chambre bleu horizon" :
"...Jusqu’à cette heure, nous n’avons pas abouti. Pourquoi ? Disons-le franchement, il restait un doute dans certains esprits. Quelques-uns craignaient que la fête de Jeanne d’Arc ne fût la fête d’un parti.
Il n’y a pas un Français, quelle que soit son opinion religieuse, politique ou philosophique, dont Jeanne d’Arc ne satisfasse les vénérations profondes. Chacun de nous peut personnifier son idéal. Êtes-vous catholique ? C’est une martyre et une sainte que l’Église vient de mettre sur les autels. Êtes-vous royaliste ? C’est l’héroïne qui a fait consacrer le fils de Saint-Louis par le sacrement gallican de Reims. Rejetez-vous le surnaturel ? Jamais personne ne fut aussi réaliste que cette mystique : elle est pratique, frondeuse et goguenarde, comme le soldat de toutes les épopées; elle a ses lèvres toutes fleuries de ces adages rustiques qui sont la sagesse de nos paysans; elle incarne le bon sens français. Pour les républicains, c’est l’enfant du peuple qui dépasse en magnanimité toutes les grandeurs établies, et les révolutionnaires eux-mêmes, en 1793, décorèrent de son surnom, "la bergère", le canon fondu avec le métal de la statue d’Orléans. Enfin, les socialistes ne peuvent pas oublier qu’elle disait : "Les pauvres gens venaient à moi volontiers parce que je ne leur faisais pas de déplaisir", et encore : "J’ai été envoyée pour la consolation des pauvres et des malheureux".
Ainsi, tous les partis peuvent se réclamer de Jeanne d’Arc. Mais elle les dépasse tous. Nul ne peut la confisquer..."
À ce pauvre député de guerre civile, et à ceux qui ignoreraient - volontairement ou non... - le sens profond de cette belle Fête nationale, Fête du Patriotisme et de tout le Peuple français, on nous permettra - pour retrouver "le sens de la fête" - de dédier les deux "Une" de l'Action française consacrées à Jeanne d'Arc : celle consacrée à sa canonisation et celle consacrée à l'institution de la Fête nationale par l'Assemblée, un mois et demi après :
• Grandes "Une" de L'Action française : (1/2) Instauration de la Fête nationale de Jeanne d'Arc...
• Grandes "Une" de L'Action française : (2/2) Canonisation de Jeanne d'Arc...
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Chute scandaleuse des effectifs dans le secteur automobile français ! par Marc Rousset
Les effectifs en France de Stellantis sont passés respectivement de 126 000 employés en 2005 à 47 000 fin 2022 et ceux de Renault , pendant la même période ,sont passés de 70 000 à 38 160 ! Et ce n’est pas fini : la dégringolade va encore continuer de plus belle de 2022 à 2030 !
La tendance des effectifs dans l’hexagone est structurellement à la baisse tous azimuts dans le secteur automobile qui était, depuis 1920, le fleuron de l’industrie française ! Rien qu’en 2022, Renault a supprimé 3 450 postes ! Selon les derniers chiffres publiés en 2021 par le CCFA (Comité des constructeurs français), les effectifs de la filière auto tricolore liés à la production ont perdu globalement en 5 ans la bagatelle de 100 000 emplois, pour atteindre le chiffre en forte diminution de 431 000.
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Solidarité Kosovo ! Le quotidien du bureau humanitaire de Solidarité Kosovo...
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
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Paris, 7 avril...
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En 150 ans, dans quel état lamentable le Système a-t-il mis la France, première puissance du monde sous la Royauté !...
Vous demandez pourquoi nous sommes royalistes ?
Parce que nous étions la première puissance du monde lorsque la catastrophique révolution éclata. Et maintenant que les révolutionnaires ont installé la République en 1875, ils ont eu tout le temps - en 150 ans, tout de même !... - d'appliquer au pays le plus en avance, le plus riche, le mieux placé, à l'époque, les - soi-disant - meilleures théories du monde, le régime le plus merveilleux : partant de si haut, avec le meilleur des régimes au monde (soi-disant, la République), nous devrions nager dans le bonheur, et nous trouver quelque part entre Sirius et Jupiter, dans une position de puissance stratosphérique.
Or, est-ce le cas ? Que voyons-nous, lorsque nous observons l'état calamiteux dans lequel ce Système a mis la France en 150 ans ?
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Dans Boulevard Voltaire, l'entretien de Marc Baudriller avec Jean Sévillia, père du "terrorisme intellectuel" :
https://www.bvoltaire.fr/entretien-jean-sevillia-pere-du-terrorisme-intellectuel/
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Grandes "Une" de L'Action française : de Gaulle, l'AF, Maurras (Première partie, 3/3)... de Gaulle nommé général, Maurras "persiste et signe" dans sa grande satisfaction...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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• Voici la "Une" de L'Action française du lundi 3 juin 1940 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7678110/f1.image
Daudet est "absent" de cette "Une" : on en a donné la raison hier : c'est Delebecque qui le remplace, dans "sa" colonne (la première)...
Maurras consacre de nouveau et en totalité à de Gaulle, dont il parlait deux jours avant, le deuxième paragraphe de sa "Politique" (sous le titre "La réforme militaire"). C'est-à-dire un bon tiers de cette "Politique" : le bas de la troisième colonne et toute la quatrième; elle se poursuit en page deux, mais le 3ème et 4ème paragraphe (en tout 180 lignes) sont "censurés", et le 5ème parle d' "Un prêtre, un militant", qui peut enfin, après la levée des sanctions vaticanes, relire l'Action française...
Maurras explique la raison pour laquelle il revient, deux jours après, sur le même sujet et la même personne, dévoilant le "pourquoi" de sa discrétion "d'avant-hier"...
Cliquez sur les images pour les agrandir...
Et, si vous souhaitez jeter un oeil sur la page deux, et ses "180 lignes censurées" des paragraphes III et IV de "La Politique", c'est ici (vous pouvez cliquer sur l'image pour l'agrandir, puis utiliser le zoom...):
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7678110/f2.item.zoom
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Quelques réflexions, maintenant, en guise de conclusion - provisoire... - à ces trois "livraisons" de "Grandes "Une" " de mardi, mercredi et aujourd'hui...
Il est avéré que la famille de Gaulle - tout comme celle de son excellent camarade Officier Leclerc, le libérateur de Paris - était catholique et royaliste, l'une et l'autre abonnées à L'Action française. Les sanctions vaticanes de 1926 interrompirent peut-être les abonnements, mais pas les opinions fondamentales, qui restèrent les mêmes, dans les deux familles (1). On l'a vu, de Gaulle dédicaça son premier ouvrage à Maurras et L'Action française fut le seul journal d'opinion à faire écho - et un écho très favorable - au troisième livre de de Gaulle : Vers l'Armée de métier.
Au printemps 1934, sous l'égide du Cercle Fustel de Coulanges, émanation de l’Action française, de Gaulle prononça une série de conférences à la Sorbonne. Quand, le premier juin de cette année 34, l'AF fit l'éloge de son livre, Le Populaire et Léon Blum craignirent la possibilité d'un coup d’État. De Gaulle écrira à Hubert de Lagarde, le chroniqueur militaire de L'Action française qui avait rédigé la note de lecture très favorable : "Monsieur Charles Maurras apporte son puissant concours à l'Armée de métier. Au vrai, il y a longtemps qu'il le fait par le corps de ses doctrines. Voulez-vous me dire s'il a lu mon livre que j'ai eu l'honneur de lui adresser au mois de mai ?" . Ce même Maurras qui écrivait, dans l'AF, parlant de de Gaulle : "Quelle confirmation de nos idées les plus générales sur l'armée !...".
Et en 1940, on l'a vu aussi, la nomination au grade de Général de Charles de Gaulle provoqua la jubilation de Charles Maurras dans L'Action française des 1er et 3 juin, dans lesquelles Maurras qualifiait de Gaulle de "pénétrant philosophe militaire" et expliquant qu'il était resté discret à son sujet pour ne pas le gêner : "Sa thèse nous paraissait suffisamment contraire à la bêtise démocratique pour ne pas ajouter à ces tares intrinsèques, la tare extrinsèque de notre appui. Mieux valait ne pas compromettre quelqu'un que, déjà, ses idées compromettaient toutes seules...".
On sait que, dès la fondation du mouvement et du quotidien, Maurras et l'AF cherchèrent un appui important au sein de l'Armée. Daudet crut l'avoir trouvé en la personne du Général Mangin, dont il fit les plus vifs éloges et avec lequel il ne craignait pas de s'afficher publiquement. Malheureusement, Mangin mourut empoisonné, après un repas durant lequel il avait consommé des champignons ! Bizarre, bizarre... (dans notre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet), voir la photo "Mangin, qui avait conçu l'État rhénan"
Nous disons à dessein "bizarre" car il faut bien admettre que :
1. Il y a eu beaucoup de Généraux dans l'Armée française;
2. Il y a eu beaucoup de Généraux qui ont mangé des champignons;
3. Mais il n'y a eu qu'un seul Général qui en ait mangé et qui en soit mort. Et - comme par hasard... - ce fut Mangin...
Ce Général tant recherché aurait-il donc pu être - après le "curieux" décès de Mangin... - le Général de Gaulle ? On vient de voir par les trois extraits que nous venons de donner que, jusqu'en 40, cela était parfaitement envisageable et possible.
C'est juste après les articles des premier et trois juin que nous avons cités, lorsque "la drôle de guerre" eut pris fin, et à partir du 22 juin 40, après que Pétain eut demandé et signé l'armistice, que le contexte des rapports amicaux AF/de Gaulle, favorable à l'AF et, en tout cas, prometteurs, se retourna spectaculairement, et dramatiquement, pour évoluer de la façon que l'on sait...
Bien longtemps après, le 13 mai 1958, encore, à Jean-Baptiste Biaggi - qui lui faisait l'éloge de Maurras - de Gaulle admit parfaitement cet éloge, regrettant cependant que Maurras l'eût "critiqué" (doux euphémisme !) : "Aussi bien, je n’ai jamais rien dit contre lui. Que ne m’a-t-il imité !".
(1) : Les témoignages sont nombreux attestant de la permanence des idées traditionnalistes chez De Gaulle. Il a reconnu, devant Christian Pineau, qu’il avait été inscrit à l’Action française, et devant Claude Guy qu'il n'aimait pas la Révolution française : "À entendre les républicains, la France a commencé à retentir en 1789 ! Incroyable dérision : c'est au contraire depuis 1789 que nous n'avons cessé de décliner..."; devant Alain Peyrefitte son peu d'enthousiasme pour la république : "Je n'aime pas la république pour la république..." et qu'un roi pourrait être utile à la France : "Ce qu'il faudrait à la France, c'est un roi...". Et c'est Maurice Schumann, porte-parole de la France libre, qui prête à de Gaulle la formule : "Maurras est devenu fou à force d'avoir raison."...
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