La posture antiraciste...
(dans Le Figaro magazine du vendredi 10 février)
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(dans Le Figaro magazine du vendredi 10 février)
Le vendredi 27, Le Figaro a eu la bonne idée de montrer, au moyen de six photos "coulissantes" l'avant/après des travaux en cours : c'est joli, intéressant, instructif.....
Et, pour aller plus loin :
Racines (II) : Le Mont Saint Michel...
(cliquez sur l'image ou sur le lien...)
Benoît XVI ne cesse dans ses déplacements de donner un enseignement de haute portée politique. Encore lors de son dernier voyage au Mexique et à Cuba. Y aura-t-il des hommes politiques pour l’entendre ?
Messe célébrée par Benoît XVI à Santiago de Cuba, place de la révolution...
Sur le Site offciel du Prince Jean
A leur arrivée ils repèrent un téléphone rouge et immédiatement demandent quelle en est l’utilité.
Le diable leur dit qu’il peut être utilisé pour appeler la terre dans des circonstances exceptionnelles.
Considérant tous les trois que les circonstances sont exceptionnelles car ils n’ont pas eu le temps de régler tous leurs problèmes il décident de demander s’ils peuvent s’en servir.
Poutine demande donc d’appeler la Russie, il parle pendant 5 minutes et le diable lui dit qu’il lui doit 1 million de Roubles. Poutine fait un chèque....
Pays & Terroirs est une maison d'édition et une librairie installée à Cholet depuis 1988. Notre spécialité est l'histoire régionale, en particulier les Guerres de Vendée.
Vendee-chouannerie.com est un outil de communication que nous avons récemment mis en place pour informer de l'actualité, des nouvelles publications, des sujets d'histoire, etc.
Nous avons également développé un autre web-magazine, intitulé maugesetbocage.com sur le thème du patrimoine et de l'histoire sur notre secteur géographique qui couvre le Choletais, les Mauges, la Vendée, le nord Deux-Sèvres et sud Loire-Atlantique (autrement dit, la Vendée Militaire).
http://www.vendee-chouannerie.com/index.php?preaction=view_nl&nl=104731&id=20333096&idnl=104731
Et, puisque nous venons de la recevoir il y a peu, voici la Lettre de Vendée Chouannerie du 17 avril 2012 :
http://www.vendee-chouannerie.com/index.php?preaction=view_nl&nl=111304&id=21046657&idnl=111304
* MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 : Présentation de Magistro par François Georges Dreyfus.pdf
* Liens : - http://www.democratiedirecte.fr/ (Yvan Blot)
- http://www.henrihude.fr/ (le Blog de Henri Hude)
* Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : Témoignage, 6 ans avec Sarko
* Béatrice BOURGES, Porte-parole du Collectif pour l’enfant : Monsieur le ministre, ...
* Philippe BILGER, Conseiller spécial au cabinet D'Alverny, Demont et Associés : Le match
* Chantal DELSOL, de l'Institut : La droite et la gauche
* Ivan RIOUFOL, Journaliste : Pourquoi je voterai, malgré tout pour Sarkozy
* Malika SOREL-SUTTER, Essayiste : Une époque de propagande
* Denis TILLINAC, Ecrivain : Vous avez dit "neutres" ?
* Christine SOURGINS, Historienne d'art : Un américain à Paris
* Gérard-François DUMONT, Recteur d'académie, géographe : Un meurtre géographique : la France rurale
* Dominique LE TOURNEAU, Docteur en droit canonique, Prêtre, écrivain : Homélie en la cathédrale de Reims
Premières lignes du Delsol, La Droite et la gauche... :
Il y a peu, c'était Jean-Claude Mailly qui se ridiculisait en déclarant, à propos de Marine Le Pen, que le national-socialisme n'était pas sa tasse de thé...
Puis, ce fut Claude Guéant, qui affirma que le programme de la même Marine Le Pen était national et socialiste. Il fut alors pressé de le dire carrément par le journaliste, dont on devinait qu'il se pourlèchait d'avance les babines : "vous voulez dire national socialiste ?" demanda notre inquisiteur/commissaire politique de journaliste. Là, quand même, comme c'était vraiment trop "hénaurme", Guéant refusa malgré tout de le dire; mais il reprit, "non, non, pas national socialiste, national et socialiste..."
Bon, que l'horloge intellectuelle (si on peut encore parler d'intellectuel avec des personnes pareilles...) de certains se soit bloqué en 1945, après tout, c'est leur problème; qu'ils vivent dans "leur" passé et dans un mauvais film de passéisme/fiction, c'est aussi leur affaire...
Mais, nous, les citoyens d'aujourd'hui, nous aimerions bien avoir un débat politique normal et sérieux, positif, constructif, qui traite des problèmes du jour; et non ces pitreries à répétition qui - certes - disqualifient ceux qui les prononcent, mais qui - aussi et surtout - dénaturent et abaissent le débat politique. Sans compter l'image déplorable qu'elles donnent de nous à l'étranger...
Qu'ils restent avec leurs fantômes, et qu'ils débarrassent le plancher, ceux qui ne vivent pas aujourd'hui et qui ne voient pas les choses comme elles sont : c'est le seul service qu'ils puissent rendre à la chose publique...
Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire"... :
Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"
Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".
Table des Matières Ephémérides - Premier semestre.pdf
Table des Matières Ephémérides - Second semestre.pdf
Musique dans les Ephémérides.pdf
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :
"...Aucun régime n'a fabriqué plus d'icônes, de statues, de mausolées, d'interdits, d'excommunications et de procès de sorcellerie que celui qui fit de l'athéisme une religion d'Etat, et du Bon Dieu un diable..."
Que se passe-t-il quand le sacré est éradiqué ? : "Nous ne transmettons plus. Nous descendons nos drapeaux à la cave... Plus d'hymnes ni de tapis rouges. Plus de défilés ni de cérémonies. Chacun pour soi comme dans un naufrage..."
Gallimard, 202 pages, 23 euros
1. Histoire de France, chapitre XIII, Louis XIV :
"...L’événement prévu depuis les débuts du règne, depuis le mariage avec Marie-Thérèse, approchait. Le roi d’Espagne Charles II, beau-frère de Louis XIV et de l’empereur Léopold, allait mourir sans enfant. Selon que Charles II laisserait sa succession à l’un ou à l’autre de ses neveux, le sort de l’Europe serait changé. Le danger, pour nous, c’était que l’héritage revînt aux Habsbourg de Vienne, ce qui eût reconstitué l’empire de Charles Quint. D’autre part Charles II ne se décidait pas. D’innombrables intrigues se croisaient autour de son testament. Louis XIV pensait aussi, et avec raison, que si un Bourbon était désigné, ce ne serait pas sans peine et peut-être sans guerre qu’il recueillerait le magnifique héritage : Espagne, Flandre belge, une grande partie de l’Italie, le Mexique et presque toute l’Amérique du Sud. Pour un homme aussi sensé, c’était trop beau. Il savait maintenant que, dans tous ses projets, il devait compter avec les puissances maritimes. En outre, il était clair que l’Angleterre convoitait les colonies de l’Espagne. Louis XIV préféra donc négocier un traité de partage de la succession espagnole et, pendant près de trois ans, la carte de l’Europe fut maniée et remaniée de façon à donner satisfaction à tous les compétiteurs, Habsbourg et Bourbon, Bavière et Savoie. Les plans de Louis XIV étaient toujours dirigés par le principe des frontières et c’était en Lorraine, dans les Alpes, à Nice, qu’il cherchait des compensations à ses abandons de l’héritage espagnol. La mauvaise foi de Guillaume d’Orange (ci-dessus), au cours de ces pourparlers, est certaine, car seule l’Angleterre, dans ces projets, ne recevait rien.
Nous sommes comme tout le monde : nous aimerions vivre dans un monde sans violence ni pauvreté, sans Cancer ni Sida, sans guerres ni pollution; un monde où l'on ne ferait qu'écouter chanter les gentils oiseaux dans les jolis arbres de belles villes toutes propres, sans insécurité ni braquage ni sirènes de police... Bien sûr que tout un chacun préfèrerait une terre où tout le monde il serait beau, tout le monde il serait gentil...
Mais, ça, c'est dans le monde de Martine, chez Walt Disney (et encore, même là, il y a de gros méchants...) ou dans les Contes de fées. Notre monde est différent, il est violent, et il l'est de plus en plus. Et les forces de l'ordre sont de plus en plus confrontés à des délinquants d'un nouveau style, ultra-violents et - pour un très grand nombre d'entre eux - ne rêvant que de "crever du flic".