32ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...

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"Les Juges", vus par William Thay, avec qui nous sommes parfaitement d'accord :
"...On doit s'attaquer aux juges politisés qui ont oublié qu'ils ne rendent pas de jugement pour leur idéologie mais au nom du peuple Français Les juges sont tellement politisés que avant leur entrée à l'ENM, souvent ils hésitent avec une carrière de journaliste à Mediapart..."
(extrait vidéo 1'55)
https://twitter.com/ThayWilliam/status/1683054201696313345?s=20
Toujours se rappeler cette phrase de Mitterand (qui s'y connaissait, en "retors") :
"Méfiez-vous des Juges ! Ils ont détruit la Royauté; ils détruiront la République !..."
Un exemple, entre mille, de la malfaisance de cette caste de "juges pourris", qui "estime" (!) qu'un homme qui fracasse le crâne d'un enfant à coup de marteau peut sans problème être remis en liberté peu après; mais qu'un policier qui neutralise un récidiviste du refus d'obtempérer doit être incarcéré, avec interdiction de voir sa famille...
• Ce dimanche 23 Juillet, il a décroché son troisième titre de champion du monde, le deuxième sur le 400 m quatre nages, en pulvérisant le record du monde de Michael Phelps (qui datait de... quinze ans !) !...
Alors que les racailles en tous genres circulent librement dans nos rues (devenues poubelles du monde et dépotoir géant...), tuent et razzient avec une facilité déconcertante, l'un des quatre policiers de la BAC de Marseille dort en prison (les trois autres ont été libérés, heureusement !). Tous les quatre ont été chaleureusement applaudis par leurs camarades, venus les soutenir à leur sortie du Tribunal.
Florian aussi dort en prison, lui qui a très probablement sauvé des vies...
Le semble-gouvernement, mais à travers lui le Système, se range donc résolument contre "la" Police, "sa" Police : la révolte gronde, la contagion des protestations se multiplie, cela sent mauvais...
• D'accord avec Matthieu Valet (bien qu'il parle sans cesse de "la République", chérissant ainsi la cause, dont il maudit le mal) :
"La colère gronde depuis l’incarcération d’un #policier de la BAC de #Marseille. Pour les #policiers, la présomption d’innocence n’existe pas, ils n’ont droit qu’à la présomption de culpabilité. La détention provisoire n’est pas l’exception, mais bien la règle. Ils ont sauvé la #République durant les #émeutes. Ils ont les mêmes droits que tout justiciable, pas plus mais pas moins non plus !"
• et d'accord aussi avec Bruno Attal :
A l’affiche : Oppenheimer, un film américain de Christopher Nolan, avec Cillian Murphy dans le rôle-titre, Emily Blunt (Kitty, son épouse), Robert Downey. Jr (Lewis Strauss), Tom Conti (Albert Einstein) et Gary Oldman (le Président Harry S. Truman),
adapté du livre American Prometheus : The Triumph and Tragedy of J. Robert Oppenheimer (2005) de Kai Bird et Martin J. Sherwin.
L’ouvrage de référence n’est, à ma connaissance, pas traduit en français, dont la lecture, pourtant, faciliterait sans doute la compréhension de ce biopic.
Après Memento on est encore déçu par ce trop long métrage (3h). Il me semble que Christopher Nolan connaît tellement son sujet qu’il est incapable de se mettre à la portée du spectateur moyen que mon épouse et moi-même croyions être, mais peut-être sommes-nous au-dessous de la moyenne.
Il y avait pourtant matière à un film passionnant sur l’enthousiasme et les doutes, la réussite et la mise en cause, Triumph and Tragedy, du « Père de la bombe atomique ».
Triumph, c’est le pilotage du projet Manhattan et la construction de la ville nouvelle de Los Alamos, en plein désert du Nouveau-Mexique, pour la réalisation de la 1ère bombe atomique – le « gadget » - jusqu’au succès de l’essai Trinity du 16 juillet 1945 ;
Tragedy, ce sont d’abord Hiroshima et Nagasaki, des 6 et 9 août 1945, qui lui font ressasser le poème hindou – « Maintenant, je suis devenu la Mort, le destructeur des mondes », avant de regretter devant le Président Truman qui le traitera de « pleurnichard » : « J’ai l’impression d’avoir du sang sur les mains » ;
C’est aussi le faux procès qui lui est intenté pour espionnage et trahison en raison de ses affinités communistes.
Malheureusement le réalisateur nous bombarde de dialogues entre une multitude d’intervenants, avec des va-et-vient incessants dans l’espace et dans le temps, qui atomisent les scènes et nuisent à la bonne relation des événements.
Dommage !
"Ça", un "remaniement" ?
La bonne blague ! (très mauvaise, en fait, et qui en dit long sur l'état de décrépitude plus que très avancé de notre Système, à bout de souffle...).
Un remaniement à mi-chemin entre François Hollande et la IVème République..."
Beaucoup de bruit pour rien… Et encore, la comédie de Shakespeare a un tout autre charme. Ici, les comédiens sont tellement inconnus qu’on risque à chaque instant de les confondre, l’intrigue est plus que poussive et le dénouement, terriblement décevant. Pourtant, Emmanuel Macron s’était donné du mal. Il avait même convoqué l’épopée napoléonienne. Mais les «cent jours» s’achèvent dans des combinaisons minuscules à mi-chemin entre François Hollande et la IVème République. «L’esprit de petite ville» (Marc Bloch) a encore triomphé...
...Le plus préoccupant dans cet épisode c'est la confusion qui règne au sommet de l'Etat. Image de désordre quand les Français veulent de l'ordre, indécision quand ils cherchent l'autorité, autosatisfaction quand l'inquiétude les dévore..."
• Philippe Ballard, Député RN de l'Oise, a raison aussi : quand le film est mauvais, que le scénario est mauvais, on peut bien changer des acteurs, mauvais aussi, par d'autres, tout aussi mauvais, l'ensemble restera... mauvais !
Pauvre Macron ! (de cela, on se fiche); mais, surtout, pauvre France ! (et, de cela, on ne se fiche pas !...)
D'accord avec Jean Messiha : entre la racaille et un policier qui n'a fait que son devoir (assurer la sécurité des biens et des personnes) le Système pourri et notre semble-gouvernement ont choisi : c'est la racaillle !...
JUSTICE, LIBERTÉ POUR FLORIAN !
Et, pendant ce temps-là, on apprend que Yassine El Azizi, qui a mortellement percuté la gendarme Mélanie Lemée le 4 juillet 2020, va être remis en liberté et placé sous surveillance électronique. Décision rendue par la chambre de l’instruction de la cour d'appel d'Agen !