52ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...

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Dans Front Populaire (extrait) :
Les prix de l’alimentation n’ont cessé de progresser depuis deux ans, à tel point qu’ils ont drastiquement modifié les habitudes alimentaires des Français. Une véritable bombe sociale qui n'attend que d'exploser...
"À la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. À Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l’Évangile nous devons notre idée même de l’homme. Si nous renions l’Évangile, nous sommes perdus !" disait avec raison Jean de Lattre de Tassigny.
Et Chateaubriand écrivait "...Après Alexandre, commença le pouvoir romain; après César, le christianisme changea le monde; après Charlemagne, la nuit féodale engendra une nouvelle société; après Napoléon, néant : on ne voit venir ni empire, ni religion, ni barbares. La civilisation est montée à son plus haut point, mais civilisation matérielle, inféconde, qui ne peut rien produire, car on ne saurait donner la vie que par la morale; on n'arrive à la création des peuples que par les routes du ciel : les chemins de fer nous conduiront seulement avec plus de rapidité à l'abîme..." (Mémoires d'Outre-tombe, tome II, p.261).
Pourquoi ce "néant" dont parle, avec raison, Chateaubriand, après Napoléon, le sabre, l'héritier, le continuateur de la Révolution ?
Parce que la Révolution est d'abord et avant tout anti chrétienne; qu'elle s'est pensée, voulue et accomplie, en dehors, sans et contre l'héritage millénaire de la France chrétienne; un héritage qu'elle a voulu effacer et qu'elle prétend remplacer par elle-même, puisqu'elle se conçoit comme une nouvelle Religion, la Nouvelle Religion Républicaine.
Mais cette Nouvelle religion est inféconde : elle n'a su qu'affaiblir considérablement - sans le détruire complètement - le christianisme et avec lui l'âme, l'esprit Français. Et, aujourd'hui, les Français - des-éduqués par une Ecole sectaire qui les a voulus "sans Dieu et sans Roi" - pour reprendre le mot de Jules Ferry - se retrouvent désemparés face à un Islam conquérant - lui - ou alors face au "vide", au "néant" dont parlait Chateaubriand.
Et cela parce que ses soi-disant "valeurs" ne sont que des mots, des abstractions et des incantations vaines, des formules creuses, qui ne pèsent d'aucun poids devant les réalités. La République idéologique n'a su et pu que détruire, sans rien construire à la place de ce qu'elle effaçait...
Le 8 novembre 1906, René Viviani prononça un discours fleuve à l'Assemblée (extrait) :
"...Nous sommes face à face avec l’Église catholique... La vérité, c’est que se rencontrent ici... la société fondée sur la volonté de l’homme et la société fondée sur la volonté de Dieu... Les Congrégations et l’Église ne nous menacent pas seulement par leurs agissements, mais par la propagation de la foi... La neutralité fut toujours un mensonge.
Nous n'avons jamais eu d'autre dessein que de faire une université antireligieuse... de façon active, militante, belliqueuse...
...Nous nous sommes attachés dans le passé à une œuvre d'irreligion; nous avons arraché la conscience humaine à la croyance...
...Ensemble, et d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des lumières qu'on ne rallumera plus...
...Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l'Eglise Catholique, pour la combattre, pour lui livrer une guerre d'extermination..."
Peu de temps avant ce discours, haineux mais au moins clair, c'est Georges Clemenceau qui, le 29 janvier 1891, avait lui aussi été très clair :
"...La Révolution française est un bloc… un bloc dont on ne peut rien distraire... C’est que cette admirable Révolution par qui nous sommes n’est pas finie, c’est qu’elle dure encore, c’est que nous en sommes encore les acteurs, c’est que ce sont toujours les mêmes hommes qui se trouvent aux prises avec les mêmes ennemis. Oui, ce que nos aïeux ont voulu, nous le voulons encore. Nous rencontrons les mêmes résistances. Vous êtes demeurés les mêmes ; nous n’avons pas changé. Il faut donc que la lutte dure jusqu’à ce que la victoire soit définitive..."
Ce combat de titans a donc débuté avec la funeste Révolution de 1789, et, depuis l'instauration de la funeste République en 1875, la France subit ce Régime qui la déclasse inexorablement, du point de vue matériel, en même temps qu'il la "vide" intérieurement de sa richesse spirituelle. Après avoir "changé le peuple" dans son mental, son moral, son imaginaire, par l'école, la République idéologique, devenue Système monstrueux, "change le peuple" par une immigration massive et continue : tout, pourvu que meure la France traditionnelle, lentement surgie du fond des âges à partir de Clovis et de son baptême.
Nous, au contraire - qui préférons nous appeler "alter-révolutionnaires" que contre-révolutionnaires... - nous nous inscrivons clairement et fièrement dans cet héritage millénaire, chrétien et royal, écrit par nos ancêtres sur cette terre de France, et nous voulons poursuivre "l'aventure France" en commençant, d'abord, non pas pas "restaurer" un ordre ancien, mais par "ré-instaurer" l'esprit vivifiant et fécond de cet ordre, rénové et adapté aux exigences de notre temps...
"Pour moi, l'histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs, qui donnèrent leur nom à la France. Avant Clovis, nous avons la préhistoire gallo-romaine et gauloise. L'élément décisif pour moi, c'est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l'histoire de France à partir de l'accession d'un roi chrétien qui porte le nom des Francs" (Charles de Gaulle).
Voilà pourquoi - trop rapidement résumé, certes... - lafautearousseau, trois fois par an, manifeste son attachement aux vraies racines de la France, qui sont chrétiennes, plutôt qu'aux malfaisantes nuées d'une Révolution sanguinaire, belliqueuse et génocidaire...
À Noël, à Pâques et le 15 août, voilà ce que nous voulons dire, en... ne disant rien !
Le bel exemple de Comblot, petit village de l'Orne, 64 habitants à peine...
En vingt-cinq ans, la commune a dépensé l’équivalent de dix fois son budget annuel pour sauvegarder son église et sa chapelle, dont la construction a commencé à la fin du XIIème siècle.
Une action qui vaut à ce village du Perche ornais, de concourir au prix Trévise 2023 de la fondation La sauvegarde de l’art français. Candidature que le public est invité à soutenir par un vote avant le 25 août.
A l’affiche : Sous le tapis, un film français, le premier long-métrage réalisé par l’actrice Camille Japy, avec Ariane Ascaride et Bernard Alane (Odile et Jean), Bérénice Béjo et Thomas Scimeca (leurs enfants Sylvie et Lucas).
« Arthur, où t’as mis le corps ? » (S. Regiani)
Sous le tapis… je ne vous cacherai pas que nous avons parcouru 60 km pour le chercher… et nous ne le regrettons pas.
Pourtant, Sous le tapis paraît un titre de comédie, et nous redoutions un navet, mais la marseillaise Ariane Ascaride (malgré son gauchisme militant), mais la très jolie Bérénice Béjo…
Nous avons assisté à un drame, merveilleusement interprété et réalisé (« pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître »), avec une excellente bande son.
C’est le drame de la mort, de l’attitude de chacun devant la mort d’un proche, et particulièrement devant la « mort subite », à un moment où, précisément, elle fait souvent l’actualité. De quoi Jean est-il mort ? D’une piqûre de rose, d’un arrêt cardiaque, ou des deux, et pourquoi ?
Ce film fait preuve d’une certaine promotion de la famille et souligne l’amour profond qui lie le vieux couple, même si – Deo gratias ! - la bien-pensance « politiquement correcte » est bien présente avec famille recomposée ou liaisons éphémères, un « joint » que l’on se passe, et surtout, face à la mort, une laïcité « impeccable » sans aucune évocation de la vie après la mort ni, évidemment, une esquisse de prière.
C’est la religion… Sous le tapis !
Ce Système pourri, non seulement admet la fraude et la laisse prospérer, mais, en plus, punit deux fois les Français, qui sont ceux qui payent, au final :
• une première fois en les faisant financer, par leurs impôts, les fraudeurs...
• ... et une deuxième fois en leur donnant chaque fois moins de choses (de "retour sur investissement", dit-on chez les économistes !...) en échange de leurs impôts de plus en plus lourds (le Système a fait de nous le pays le plus taxé au monde...)
Un exemple fourni par CNews :
https://www.cnews.fr/sante/2023-08-10/sante-des-medicaments-bientot-moins-rembourses-1385489
On marche sur la tête, et ce Système est bien un système de folie et en folie !
La seule question à poser est : quand est-ce qu'on en change ?
Et la seule action politique à mener qui vaille est "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)
Sarkozy, "Président de passage" du Système, a supprimé la "double peine pour les envahisseurs délinquants; le Système - qui dure et perdure, lui... - a instauré, en la matière, cette double peine pour les Français...
Encore Libé et son mauvais esprit, tordu...
• Déjà le titre : il fallait écrire "Décès de deux délinquants qui refusent d'obtempérer", et non "décès de deux jeunes"...
• Ensuite, ils sont morts car ils ont roulé comme des fous, mettant en danger la vie d'autrui (de nombreuses vies) et la leur propre : c'est cette folie qui est cause de leur mort, pas la police...
• Enfin, Libé a perdu une bonne occasion de se taire car, justement, étant donnée l'attitude de folie adoptée par ces deux inconscients dangereux pour eux-mêmes et pour les autres, la police avait arrêté de les poursuivre...
Certains ont célébré Jean Monnet, ces jours-ci.
• Rappelons ce qu'en disait de Gaulle :
"L’Europe intégrée, ça ne pouvait pas convenir à la France, ni aux Français… Sauf à quelques malades comme Jean Monnet, qui sont avant tout soucieux de servir les États-Unis...
• et proposons de nouveau au lecteur notre note :
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Sur de Gaulle et Maurras...
(tiré de notre Éphéméride du 17 juin)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
La partie pourrie de notre Magistrature continue inlassablement de faire son sale boulot : alors qu'elle place sans hésiter des policiers en détention (Nanterre, Marseille...), elle relâche sans vergogne des assassins "jusqu'à leur procès" !!!!!.
Car, oui, pour nous, une "personne" (?) qui traîne un policier (ou qui que ce soit) sur plusieurs centaines de mètres, est un assassin.
Qui va juger le(s) soi-disant Juge(s) ayant pris une décision aussi écoeurante ? : à Lyon, l’automobiliste qui a traîné un policier municipal lors d’un refus d’obtempérer vendredi dernier a été placé sous contrôle judiciaire jusqu’à son procès en décembre prochain !