LAFAUTEAROUSSEAU - Page 175
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À la découverte du fonds lafautearousseau (68) : Folco de Baroncelli, aux origines de la Camargue moderne...
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Folco de Baroncelli, aux origine sde la Camargue moderne...
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Quatre minutes et quarante-quatre secondes magiques : un pur bonheur !
Charlotte d'Ornellas est parfaite sur "Crépol"... :
https://x.com/YHWH_RAOUL/status/1729219368330944655?s=20
Crépol : à quand la fin du déni ? - Charlotte d'Ornellas
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Au cinéma : Oui, "faisons du bruit" pour Sound of freedom, avec Guilhem de Tarlé

A l’affiche : Sound of freedom, un film américain d’Alejandro Monteverde, avec Jim Caviezel (l’agent fédéral Tim Ballard), inspiré de faits réels.
Sound of freedom… C’est en effet un long-métrage qui fait du bruit… le bruit de la liberté, bien qu’il soit projeté dans très peu de salles puisque, selon les chaînes publiques (France info et F5) et bien d’autres médias, il s’agit d’une œuvre « complotiste » de la « mouvance conspirationniste et d’extrême droite américaine »… Nous avons donc dû faire plus d’une heure de route pour aller le voir, et je comprends la « censure » (officieuse ou sous le manteau) dont il est victime puisque, en plus de tous ses défauts que je viens d’évoquer, il a le tort d’être un excellent thriller qui prend aux tripes du début à la fin sans qu’on ressente à aucun moment le temps passer (2h11).
« Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage » nous enseignait ce bon La Fontaine (mais l’étudie-t-on encore dans nos écoles ?).
Les détracteurs peuvent donc se régaler avec le producteur Mel Gibson catalogué par Wikipédia comme « catholique sédévacantiste » et « ultraconservateur », tandis que l’acteur Jim Caviezel (déjà interprète de Jésus de Nazareth dans La Passion du Christ), serait un tenant de la théorie du complot. Quant à Tim Ballard, j’ai entendu qu’il serait candidat républicain « trumpiste » aux prochaines élections…Tim Ballard, précisément, le héros du film, et un héros tout court, qui s’est engagé dans la lutte contre le fléau de la pédocriminalité et le trafic d’enfants (2 millions d’enfants, deuxième trafic international après la drogue) avec la volonté non seulement d’arrêter les criminels, les trafiquants comme les « consommateurs », mais aussi de récupérer les victimes… C’est tout le sujet de ce Sound of freedom qui dénonce cet esclavage bien actuel et plus important que celui d’autrefois dont le camp du Bien ne cesse de faire repentance et de nous culpabiliser.
Sound of freedom, faisons du bruit pour le promouvoir et remercier la société Saje Distribution sans laquelle même les médias de gauche feraient silence.
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
On célèbre aujourd'hui la naissance de Claude Lévy-Strauss.
Il ne nous paraît pas inutile - à cette occasion - de redonner la courte note que nous avons rédigée à l'occasion de son décès (et publiée le 4 novembre 2009) car, on le verra, il parlait - hier - de notre "aujourd'hui tel qu'il est", comme le dit Michel Onfray, que nous citions ici-même, il y a vingt-quatre heures, à propos de "l'affaire de Crépol"... :
"Si c'est Lévy-Strauss qui le dit..." ,
Une note suivie de ce court extrait d'une de ses conférences à l'UNESCO :
"...Il n'est nullement coupable de placer une manière de vivre ou de penser au dessus de toutes les autres et d'éprouver peu d'attirance envers tels ou tels dont le genre de vie, respectable en lui-même, s'éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché. (...) Cette incommunicabilité relative n'autorise pas à opprimer ou à détruire les valeurs qu'on rejette ou leurs représentants, mais, maintenue dans ces limites, elle n'a rien de révoltant. Elle peut même représenter le prix à payer pour que les systèmes de valeurs de chaque famille spirituelle ou de chaque communauté se conservent et trouvent dans leur propre fonds les ressources nécessaires à leur renouvellement..."
(Claude Lévy-Strauss, Conférence à l'UNESCO, Race et culture)
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Grandes "Une" de L'Action française (8/8): Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Lundi 17 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766246s/f1.image
Beaucoup de choses - comme d'habitude - dans la "Une", qui sera la dernière de notre série sur "la semaine tragique"...
Et d'abord celle-ci :

Et une légère entorse au titre de notre Catégorie avec ce retour sur les faits, mais en page trois : ce titre, qui a le grand mérite d'établir/rétablir définitivement la vérité vraie méritait bien, de figurer... en "Une", non ?
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Retour avec Michel Onfray sur l'assassinat de Crépol : oui,
les Français "en ont assez du réel tel qu'il est"... :
(extrait vidéo 1'08)
https://x.com/FrontPopOff/status/1728436690950172947?s=20
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Grandes "Une" de L'Action française : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique (7/8) : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Dimanche 16 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766245d/f1.image
• On revient un peu sur Bainville, dans ce numéro, avec ses obsèques à Marigny (en Normandie, dans la "petite patrie" de son épouse) : l'article de la "Une" s'achève en page trois, sur les deux colonnes centrales (la quatrième étant réservée aux "condoléances"); et dans sa Revue de presse (en page cinq), Pierre Tuc lui consacre son (long) premier sujet...
• Daudet est là, aussi, avec son très émouvant "L'exclusion des valeurs", qui débute en moitié inférieure de la sixième colonne pour s'achever, page deux, dans la moitié supérieure de la première...
• Dans les deux colonnes centrales, Maurras, lui, ne parle pas de Bainville...; et, dans la moitié supérieure des deux dernières colonnes, on revient sur "l'agression de la rue Asseline" et l'état de santé du docteur Golse...
1. Les obsèques, à Marigny (vous pouvez cliquez sur les images, si vous souhaitez les agrandir) :
Et la suite, en page trois (bien qu'annoncée "en page deux") :
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Ce Louis Boyard est vraiment un... (choisissez ce que voulez mettre)
Un simple "retour de bâton", l'assassinat froid et délibéré, calculé, prémédite d'un jeune de 16 ans surpris à l'improviste ? Par une bande composée d'Akabli Chaid, Zazane Ilyes, El Moujahid Yasir, Hemaizia Nassir, Maref Kouider, Boukmiri Canel Yanis, Ramdani Faycal, et Chorfia Kais... ?
Oui, vraiment, ce Louis Boyard est un... (au choix)
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Grandes "Une" de L'Action française (6/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Samedi 15 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7662441/f1.image
L'énorme machination de Blum a donc réussi, et, à partir du numéro de ce jour, on ne va plus guère parler de Bainville, mais de la nouvelle situation du mouvement, puisque les Camelots du Roi et la Ligue d'Action française sont dissous...
L'intégralité de la "Une", et quasiment toute la deuxième page, sont consacrées à la dissolution, qui n'entama en rien la bonne humeur et l'esprit impertinent des Camelots, qui réalisèrent illico cette épinglette, comme signe de ralliement :

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MARCHES DE FRANCE ET CANDÉLABRES, par Guy Adain
Jusqu’alors, nous étions : « marches blanches et petites bougies » !Nous allons devenir : « Marches de France et candélabres » !Nous allons éclairer la France, de ses pleins feux ! Le Roi Soleil n’est plus, mais il nous reste Versailles en héritage et nous allons le faire resplendir de tous ses feux merveilleusement !Les marches forcées, genre marche arrière, les petites chandelles, les veilleuses réservées à : veiller nos morts : « C’est fini ! »Il faut que demain tout change, nous sommes lassés de vous, il faut changer ou partirBon appétit ! messieurs ! *Ruy Blas s’adressait aux Grands d’Espagne, et nous nous adressons aux petits marquis allumeurs de réverbères aux marches du Palais de l’Élysée…Pour leur dire, votre temps est écoulé, vous avez atteint toutes les limites d’âge possibles ; il faut partir !Voilà 235 ans que vous sévissez, c’est assez pour avoir fait la preuve de l’incapacité de vos doctrines pour faire régner en France un climat de mansuétude.La Vieille France reviendra pour faire renaître la Douce France que nous chérissons tant !Oui, mais qui dit cela ?Bien sûr, ce n’est pas moi, je n’aurai pas cette prétention gonflée d’orgueil, je ne fais que ressentir !Mais qui alors ?À part vous, sauf votre respect : « tout le monde » !Oui, tous les autres Français, la Majorité, que vous minorité administrez envers et contre tous !Alors, changez ou partez !Bon appétit ! messieurs ! *Acte III, Scène II
Ruy Blas
L’acte III présente l’ascension fulgurante de Ruy Blas qui, devenu Premier ministre pour avoir agréé le couple royal, se décide à opérer un tour de force politique, aussi bien que dramatique et rhétorique du reste. Le ministre dénonce avec truculence, entre sublime et grotesque, les excès et les crimes des Grands. C’est la fameuse tirade du « Bon appétit ! messieurs ! » qui fait, encore aujourd’hui, la fortune de la pièce.
RUY BLAS, survenant.
"Bon appétit ! messieurs ! –
Tous se retournent. Silence de surprise et d'inquiétude, Ruy Blas se couvre, croise les bras, et poursuit en les regardant en face.
O ministres intègres !
Conseillers vertueux ! voilà votre façon
De servir, serviteurs qui pillez la maison !
Donc vous n'avez pas honte et vous choisissez l'heure,
L'heure sombre où l'Espagne agonisante pleure !
Donc vous n'avez ici pas d'autres intérêts
Que d'emplir votre poche et vous enfuir après !
Soyez flétris, devant votre pays qui tombe,
Fossoyeurs qui venez le voler dans sa tombe ! […]
Et vous osez !... – Messieurs, en vingt ans, songez-y,
Le peuple, – j'en ai fait le compte, et c'est ainsi ! –
Portant sa charge énorme et sous laquelle il ploie,
Pour vous, pour vos plaisirs, pour vos filles de joie,
Le peuple misérable, et qu'on pressure encor,
A sué quatre cent trente millions d'or !
Et ce n'est pas assez ! et vous voulez, mes maîtres !... –
Ah ! j'ai honte pour vous ! – Au-dedans, routiers, reitres,
Vont battant le pays et brûlant la moisson.
L'escopette est braquée au coin de tout buisson.
Comme si c'était peu de la guerre des princes,
Guerre entre les couvents, guerre entre les provinces,
Tous voulant dévorer leur voisin éperdu,
Morsures d'affamés sur un vaisseau perdu !
Notre église en ruine est pleine de couleuvres ;
L'herbe y croît. Quant aux grands, des aïeux, mais pas d’œuvres.
Tout se fait par intrigue et rien par loyauté.
L'Espagne est un égout où vient l'impureté
De toute nation. – Tout seigneur à ses gages
À cent coupe jarrets qui parlent cent langages."
Victor Hugo, Ruy Blas, 1838 -
Au cinéma : Madame de Sévigné, par Guilhem de Tarlé
Avant-Première : Madame de Sévigné, un film français d’Isabelle Brocard, avec Karin Viard (Marie de Rabutin-Chantal, Marquise de Sévigné), Ana Girardot et Cédric Kahn (Françoise-Marguerite, sa fille, avec son époux François Adhémar, Comtesse et Comte de Grignan), et aussi Noémie Lvovsky (Mme de La Fayette).
Ma chère bonne, comme l’écrit la Marquise à sa fille…
Vous souvenez-vous de ma première enfance dans les années 50 à Paris quand Bonne Maman cousait pour « La Châtelaine » et me prenait par la main pour y porter ses ouvrages ?
Parfois il lui arrivait de m'emmener beaucoup plus loin dans le salon d'une de ses amies où je me tenais accroupi à feuilleter quelque livre tandis que ces vieilles dames, autour d’une tasse de thé, évoquaient l'actualité entendue à la TSF... Diên Biên Phù, Mendes-France, les événements d'Algérie, de Gaulle ou Brigitte Bardot, dans des termes que, pour la plupart je ne peux pas reproduire ici sans tomber sous le coup de la Loi et peut-être les faire condamner par contumace.
Durant ces longues promenades nous passions souvent devant un chocolatier (seulement devant) et ce ne fut que beaucoup plus tard que j'appris dans mon Lagarde et Michard que « La Marquise de Sévigné » était d'abord un écrivain...
Si j'associe ce chocolatier aux thés de ma grand-mère, j'avoue qu'au lycée l'épistolière n'était pas, quant à elle, ma tasse de thé, et le film d’Isabelle Brocard ne me la rend pas sympathique. Il se concentre sur son tempérament narcissique et son « amour » exclusif, jaloux, envahissant, possessif et maladif qu’elle porte à sa fille ; il évoque – notre époque l’oblige - son côté « féministe », héraut de l’indépendance des femmes ; il ne dit pas grand-chose de la « femme du monde », il ne dit rien de son humour, parfois grivois, et rien non plus, rien surtout de la chroniqueuse, « journaliste », témoin de son époque, rien enfin de son vocabulaire et de son style littéraire sans lesquels elle n’aurait sans doute laissé aucune trace dans la littérature.Bref un long-métrage qui me paraît passer à côté de son héroïne, et donc décevant, parfois ennuyeux, même si les photos sont jolies et donnent l’envie d’aller visiter le château de Grignan. Mon épouse est plus bienveillante que moi qui considère que Karin Viard interprète son rôle à merveille… Mais joue-t-elle vraiment ou n’est-elle pas à l’image de son modèle ?
Ce film sortira en salle à la mi-février ce qui donne au spectateur éventuel le temps de lire les 1 120 lettres recensées de Mme de Sévigné dont 764 adressées à sa fille…
Bon courage.
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Alors, pour certains, ce serait l'extrême-droite aux Pays-Bas ?
Qu'ils écoutent donc Michel Onfray :
(extrait vidéo 2'50)
https://x.com/__Verlaine__/status/1727767595904819534?s=20
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Grandes "Une" de L'Action française (5/8 - 2/2) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici donc à nouveau la "Une" du Vendredi 14 février, pour parler - cette fois-ci - de l'énorme machination de Blum, que le journal qualifie de "crime de lèse-majesté :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766243n/f1.image

Cette misérable et odieuse provocation/machination va être dénoncée en "Une" mais aussi dans la page trois (sur un peu plus de quatre colonnes sur six) sous le titre :

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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Magnifique hommage à Thomas, plein de dignité et de tenue : les rugbymen de Romans-sur-Isère arrivent dans un silence assourdissant à la marche blanche pour Thomas, leur coéquipier tué samedi à Crépol. Le maillot avec lequel il jouait quelques heures avant l'attaque est brandi.Par contre, pour ce qui est des envahisseurs qui l'ont assassiné, on ne peut que constater qu'ils font les fiers à bras et jouent les matamores, quand ils débarquent par surprise et armés, pour tuer des gens désarmés et surpris, à l'improviste; mais, après avoir commis leur(s) forfait(s), ils essaient courageusement de fuir, comme des minables qu'ils sont, en Espagne : il leur manque certainement l'attribut majeur de la virilité...


















