Actualité France - Page 98
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Vincent Tremolet de VillersDonc Jean Castex sur @BFMTV nous a annoncé qu'il donnera l'autorisation pour se faire des bisous et Martin Hirsch sur @RTLFrance nous a expliqué comment faire nos courses. La réponse à l'absence de lits et de vaccins : l'infantilisation. #Neuneuland
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Cérémonie des Césars Spectacle désolant, par Gérard Leclerc.
© Cyprien Nicoleau / ENS Louis Lumière pour l’Académie des Césars 2021
La soirée des Césars qui devrait nous donner une image gratifiante du cinéma et de l’expression artistique s’est révélée être une véritable catastrophe. C’est d’autant plus grave que le milieu du spectacle entend donner le ton au pays tout entier.
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Sur le site officiel de l'Action française : écologisme : un délire sociétal, l’éditorial de François Marcilhac.
Après l’adoption récente de la proposition de loi visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale, qui, entre bonnes intentions et délire antispéciste, aura pour conséquence d’affecter des secteurs entiers de l’économie (tourisme, élevage, commerce) (et d’après leurs auteurs, ce n’est qu’une première étape), la mairie écologiste de Strasbourg, dans une même logique antispéciste, se préoccupe davantage du sort bienveillant à réserver aux rats et aux punaises de lit que de santé publique, tandis que la mairie écologiste de Lyon, prétextant la crise sanitaire, impose aux enfants des menus sans viande.
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«Mila agit comme le révélateur de la médiocrité de tous les pouvoirs», par Céline Pina.
«Dimanche, de retour sur Twitter, Mila a été prise en chasse par une meute organisée alors que son post était des plus anodins.» @magicalorrs
Le compte Twitter de la jeune Mila a été brièvemement suspendu à la suite d’une publication qui avait provoqué des commentaires «haineux». Pour l’essayiste Céline Pina, cette censure exercée par le réseau social est une pratique antidémocratique, qui stigmatise une victime et illustre le manque de courage politique des gouvernants, incapables de sanction.
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Haro sur les reliques ! Quand la République abroge le délit de blasphème en Alsace-Lorraine, par Jean Bouër.
Il y avait une législation sur le blasphème, en France, jusqu'en 2016. On la supprima, parce que trop chrétienne, trop religieuse, trop respectueuse.
C’était il y a 6 ans. Alors que la France était sous l’émotion des attaques contre Charlie Hebdo, beaucoup s’interrogeaient sur les causes des attentats, mais aussi sur les réactions à retenir face à ceux qui attaquaient la presse au nom de caricatures religieuses. La réponse était claire : puisque l’on meurt au nom de caricatures du prophète, il faut donc admettre le blasphème.
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Un an d’éclipse de nos libertés : stop ou encore ?, par Jean-Frédéric Poisson.
Depuis ce 16 mars 2020 où le président Macron déclarait aux Français claquemurés chez eux pour au moins quinze jours, que « Nous sommes en guerre ! », l’exécutif n’a pas hésité à s’arroger le droit de grignoter notre vie sociale, mettre sous perfusion l’économie agonisante, stigmatiser les cultes et la culture comme “non-essentiels”, provoquer l’éclipse de nos libertés fondamentales pour enrayer la pandémie et lutter du même coup contre des « séparatismes ». Contrairement à l’anxiété et à la pauvreté, rien n’a été enrayé !
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Ce que révèle la dernière cérémonie des César, par Christian Montagard.
Les premiers César du cinéma furent attribués en 1975. L’objectif était de récompenser les réalisations artistiques, les actrices et les acteurs de talent les plus remarquables du cinéma français. L’idée était de créer l’équivalent des Oscar américains.
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Sur Sud Radio, César : la honte ? / Mila suspendue de Twitter / Crise sanitaire : gestion toujours calamiteuse ?
Le débat du 10Heures-Midi de Valérie Expert avec Sophie de Menthon, Alex Darmon, Jérôme Ripoull et Mehdi Ouraoui
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Sur Boulevard Voltaire, PLACE DES FEMMES / Alice: "Féministe et identitaire".
Dans ce troisième épisode de notre série Place des Femmes, nous présentons Alice, du collectif féministe identitaire Némésis : "Certaines personnes issues de l'immigration ont un regard sur les femmes qui n'est pas du tout notre vision occidentale".
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"Père" et "Mère", ces mots devenus interdits... par Marion Maréchal
Le 20 février, un article de Marianne faisait état de l'imposition subreptice d'un nouveau langage plus « inclusif » et moins « genré ».
Ces nouvelles règles lexicales sont déjà répandues au Royaume-Uni et au Canada, et la France est de moins en moins épargnée.
Pour s'adapter à chacune des minorités et satisfaire les revendications transexuelles et non-binaires, il deviendra donc nécessaire de ne plus user de notre langue traditionnelle.
Marion Maréchal revient sur la progression de ces nouveaux idéologues idiomatiques.
(article paru dans L'Incorrect, le 21 février dernier)
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Contre la cancel culture.
La chronique de Stéphane Blanchonnet
Le mois dernier, j’insistais sur la nécessité pour le militant de se cultiver, plus précisément de cultiver en lui l’amour des chefs‑d’œuvre de la civilisation. En effet, notre nationalisme ne doit pas être seulement négatif (réagir aux agressions contre notre identité) mais aussi positif (nourrir cette identité et être capable de l’incarner et de la refléter).
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Goldnadel: «Que reste-t-il des Césars? Rien».
Gilles-William Goldnadel. JOEL SAGET/AFP
Pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, la cérémonie des César de vendredi, ne fut que l’illustration consternante du conformisme idéologique de notre époque, et de l’absence de courage d’une partie du milieu artistique, qui ne fait plus rêver les spectateurs.
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Tous fachos !, par Eric Cusas.
Après l'extension du domaine de la lutte, voici l'extension du domaine du fascisme.
Le mot est désormais employé à tort et à travers par les progressistes les plus intransigeants dont le credo peut se résumer à ceci : « pensez comme nous, ou fermez-là !« . C’est à présent le magazine Causeur qu’un réseau social bien connu qualifie d’extrême-droite, quand sa rédactrice-en-chef, Mme Lévy, est pointée du doigt comme membre de la « fachosphère ». On croit rêver.
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Philippe de Villiers, sur la cérémonie des César : « La France de Louis Lumière est plongée dans le noir ».
« Un cauchemar pour ceux qui aiment le cinéma et qui repensent à tous les grands chefs-d’œuvre classiques du cinéma français ». Philippe de Villiers ne mâche pas ses mots pour décrire la désastreuse soirée des Césars de ce week-end. Il en appelle à retrouver « ce qui relève de l’absolu : quand on est Français, la France, et quand on est humain, le Beau. »
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Le cinéma français glorifie Simplement noir mais pas de film sur le colonel Beltrame !, par J.-P. Fabre Bernadac.
Le vendredi 12 mars, lors de la nuit des César 2021, sur la scène de l’Olympia, Jean-Pascal Zadi était récompensé par le César du meilleur espoir masculin pour son film Simplement noir. Film produit et distribué par Gaumont, avec un budget global avoisinant les 3,5 millions d’euros.