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Le débat du 10Heures-Midi de Valérie Expert avec Sophie de Menthon, Alex Darmon, Jérôme Ripoull et Mehdi Ouraoui
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Le débat du 10Heures-Midi de Valérie Expert avec Sophie de Menthon, Alex Darmon, Jérôme Ripoull et Mehdi Ouraoui
Dans ce troisième épisode de notre série Place des Femmes, nous présentons Alice, du collectif féministe identitaire Némésis : "Certaines personnes issues de l'immigration ont un regard sur les femmes qui n'est pas du tout notre vision occidentale".
Le 20 février, un article de Marianne faisait état de l'imposition subreptice d'un nouveau langage plus « inclusif » et moins « genré ».
Ces nouvelles règles lexicales sont déjà répandues au Royaume-Uni et au Canada, et la France est de moins en moins épargnée.
Pour s'adapter à chacune des minorités et satisfaire les revendications transexuelles et non-binaires, il deviendra donc nécessaire de ne plus user de notre langue traditionnelle.
Marion Maréchal revient sur la progression de ces nouveaux idéologues idiomatiques.
(article paru dans L'Incorrect, le 21 février dernier)
La chronique de Stéphane Blanchonnet
Le mois dernier, j’insistais sur la nécessité pour le militant de se cultiver, plus précisément de cultiver en lui l’amour des chefs‑d’œuvre de la civilisation. En effet, notre nationalisme ne doit pas être seulement négatif (réagir aux agressions contre notre identité) mais aussi positif (nourrir cette identité et être capable de l’incarner et de la refléter).
Gilles-William Goldnadel. JOEL SAGET/AFP
Pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, la cérémonie des César de vendredi, ne fut que l’illustration consternante du conformisme idéologique de notre époque, et de l’absence de courage d’une partie du milieu artistique, qui ne fait plus rêver les spectateurs.
Après l'extension du domaine de la lutte, voici l'extension du domaine du fascisme.
Le mot est désormais employé à tort et à travers par les progressistes les plus intransigeants dont le credo peut se résumer à ceci : « pensez comme nous, ou fermez-là !« . C’est à présent le magazine Causeur qu’un réseau social bien connu qualifie d’extrême-droite, quand sa rédactrice-en-chef, Mme Lévy, est pointée du doigt comme membre de la « fachosphère ». On croit rêver.
« Un cauchemar pour ceux qui aiment le cinéma et qui repensent à tous les grands chefs-d’œuvre classiques du cinéma français ». Philippe de Villiers ne mâche pas ses mots pour décrire la désastreuse soirée des Césars de ce week-end. Il en appelle à retrouver « ce qui relève de l’absolu : quand on est Français, la France, et quand on est humain, le Beau. »
Le vendredi 12 mars, lors de la nuit des César 2021, sur la scène de l’Olympia, Jean-Pascal Zadi était récompensé par le César du meilleur espoir masculin pour son film Simplement noir. Film produit et distribué par Gaumont, avec un budget global avoisinant les 3,5 millions d’euros.
Réaction de Jean-Paul Brighelli à l’affaire de l’IEP de Grenoble où deux enseignants ont été dénoncés pour « islamophobie ».
https://soundcloud.com/bvoltaire/jean-paul-brighelli-181452367
Si les clichés sexistes ont la vie dure, convenons que l’actualité de ces derniers jours vient d’en déconstruire – mot plus chic que détruire – certains.
L’affaire « Meghan et Harry », par exemple, vient clairement invalider le postulat de base féministe selon lequel, dans un couple, toute femme serait une victime innocente sous influence et tout homme un prédateur manipulateur…
Ils n’ont que ce mot à la bouche, ces jeunes de LREM : territoires ! Amélie de Montchalin, 35 ans, sur le pont dès le matin du 7 mars, sur CNews, faisait les gros yeux aux journalistes pour mieux exorciser les émeutes de Rillieux-la-Pape, en évoquant des élus qui « savent que pour réussir dans leurs territoires, […] l’État et les collectivités doivent travailler ensemble ».
La peur est la plus sûre alliée du vrai fascisme.
© Hannah Assouline.
L’une des questions que pose l'affaire de Sciences Po Grenoble est de savoir si un professeur doit accepter stoïquement d’être traité de fasciste au motif qu’il rappelle la définition d’un mot. Une autre question est de savoir si nous pouvons laisser tranquillement écrire et proclamer par des étudiants enivrés de leur courage antifasciste que « l’islamophobie tue ». Jusqu’à preuve du contraire, ce qui a beaucoup tué en France ces dernières années, ce n'est pas une supposée islamophobie.