Zemmour/C News : les annonces de Jean Castex en direct.
(A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
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(A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
La proposition de loi pilotée par la gauche et profitant d’une niche parlementaire visant à légaliser l’euthanasie et le suicide assisté a été retirée, suite au rejet de son article 1er. La loi aurait été vidée de toute substance. Ce n’est pas la première fois que le lobby de la mort en blouse blanche (l’ADMD) tente un passage en force législatif. Mais que d’hypocrisies !
Zemmour veut supprimer le ministère de la culture. Il tire cette conclusion du désastre de la cérémonie des Cesar où la plus plate vulgarité a piétiné un rite célébrant une exception culturelle française réduite à être le tremplin d’un gauchisme obsessionnel. Faut-il donc jeter le bébé avec l’eau du bain ? Faut-il en revenir à un secrétariat aux Beaux-arts chargé d’entretenir et de transmettre le patrimoine ?
Ainsi donc, dimanche soir, le compte Twitter de Mila a été bloqué pour « violation des règles contre le harcèlement », à la suite « d’une publication anodine qui avait provoqué des commentaires haineux et auxquels la lycéenne avait répondu sur le même ton » (Le Figaro). Lundi matin, le compte était rétabli. Mais l’épisode est hautement symbolique.
Directeur général de l’Observatoire d’études géopolitiques
Seuls les sots ou les indécrottables gourous du système croient à la baliverne, répandue par les médias aux ordres, selon laquelle l’Europe apporterait la paix et le bonheur. De fait, la cacophonie vaccinale — dont les peuples sont les premières victimes — est due à la désastreuse gestion de cette affaire par une eurocratie qui démontre une fois encore, que l’Union européenne n’est jamais à la hauteur.
Le débat du 10Heures-Midi de Valérie Expert avec Benjamin Cauchy, Romain Colas, Matteo Ghisalberti et Lucas Jakubowicz
La dissolution du groupe Génération identitaire, la victoire d'Yseult aux victoires de la musique, l'islamo-gauchisme dans les universités...
Voici les infos qu'il ne fallait pas rater cette semaine !
© Cyprien Nicoleau / ENS Louis Lumière pour l’Académie des Césars 2021
La soirée des Césars qui devrait nous donner une image gratifiante du cinéma et de l’expression artistique s’est révélée être une véritable catastrophe. C’est d’autant plus grave que le milieu du spectacle entend donner le ton au pays tout entier.
Après l’adoption récente de la proposition de loi visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale, qui, entre bonnes intentions et délire antispéciste, aura pour conséquence d’affecter des secteurs entiers de l’économie (tourisme, élevage, commerce) (et d’après leurs auteurs, ce n’est qu’une première étape), la mairie écologiste de Strasbourg, dans une même logique antispéciste, se préoccupe davantage du sort bienveillant à réserver aux rats et aux punaises de lit que de santé publique, tandis que la mairie écologiste de Lyon, prétextant la crise sanitaire, impose aux enfants des menus sans viande.
«Dimanche, de retour sur Twitter, Mila a été prise en chasse par une meute organisée alors que son post était des plus anodins.» @magicalorrs
Le compte Twitter de la jeune Mila a été brièvemement suspendu à la suite d’une publication qui avait provoqué des commentaires «haineux». Pour l’essayiste Céline Pina, cette censure exercée par le réseau social est une pratique antidémocratique, qui stigmatise une victime et illustre le manque de courage politique des gouvernants, incapables de sanction.
Il y avait une législation sur le blasphème, en France, jusqu'en 2016. On la supprima, parce que trop chrétienne, trop religieuse, trop respectueuse.
C’était il y a 6 ans. Alors que la France était sous l’émotion des attaques contre Charlie Hebdo, beaucoup s’interrogeaient sur les causes des attentats, mais aussi sur les réactions à retenir face à ceux qui attaquaient la presse au nom de caricatures religieuses. La réponse était claire : puisque l’on meurt au nom de caricatures du prophète, il faut donc admettre le blasphème.
Depuis ce 16 mars 2020 où le président Macron déclarait aux Français claquemurés chez eux pour au moins quinze jours, que « Nous sommes en guerre ! », l’exécutif n’a pas hésité à s’arroger le droit de grignoter notre vie sociale, mettre sous perfusion l’économie agonisante, stigmatiser les cultes et la culture comme “non-essentiels”, provoquer l’éclipse de nos libertés fondamentales pour enrayer la pandémie et lutter du même coup contre des « séparatismes ». Contrairement à l’anxiété et à la pauvreté, rien n’a été enrayé !
Les premiers César du cinéma furent attribués en 1975. L’objectif était de récompenser les réalisations artistiques, les actrices et les acteurs de talent les plus remarquables du cinéma français. L’idée était de créer l’équivalent des Oscar américains.