UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité Monde - Page 80

  • Le prix Nobel d’économie Robert Shiller voit des bulles et des krachs à venir partout !

    Christine Lagarde, interrogée tout récemment sur RTL pour savoir si elle avait des craintes au sujet d’un krach financier, a répondu que la question ne se posait pas et qu’au FMI, on se préoccupait seulement de taux de croissance ! Mme Lagarde, comme les boursiers et les médias, ne veut voir que ce qu’elle croit, alors que l’investissement recule aux États-Unis et que la croissance américaine est à son plus bas, en rythme annuel, depuis trois ans. 

    A contrario, selon le milliardaire américain Ray Dalio, fondateur de la société d’investissement Bridgewater Associates, le pape du marché obligataire mondial, tout comme Warren Buffett est le pape du marché mondial des actions, la situation est « effrayante » !

    Lire la suite

  • Le valeureux chien Conan sera décoré de la "Medal of honor"...

     

    2083917505.jpgConan sera reçu la semaine prochaine à la Maison Blanche, le siège de la présidence américaine : ce chien, devenu le symbole du raid réussi contre le leader du groupe Etat islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, sera honoré par Donald Trump

    Le président des Etats-Unis a déjà publié lundi dernier la photo de ce chien, qui a rendu « des services incroyables » pendant l'assaut, selon le chef d'état-major de l'armée américaine. 

    Le général Mark Milley a expliqué que l'animal, un berger malinois, a été « légèrement blessé » lors du raid. Il a refusé de donner son nom par mesure de sécurité afin de limiter les risques d'identification de son maître et de ses collègues.

    Donald Trump a toutefois confirmé les informations de presse selon lesquelles son nom est Conan. « Conan quittera la Moyen-Orient pour la Maison Blanche dans le courant de la semaine prochaine », a-t-il écrit sur Twitter. Il accompagne son message d'un photomontage diffusé mercredi dans lequel on le voit remettre au chien la Medal of honor, la plus haute distinction militaire.

    Donald J. Trump @realDonaldTrump
     

    Thank you Daily Wire. Very cute recreation, but the “live” version of Conan will be leaving the Middle East for the White House sometime next week! https://twitter.com/realdonaldtrump/status/1189601417469841409 

    Donald J. Trump @realDonaldTrump
     

    AMERICAN HERO!

    Voir l'image sur Twitter
     

    Les chiens ? Des membres de l'équipe aux "capacités surhumaines"

    Dans l'armée, les chiens sont utilisés pour leur odorat et leur ouïe extrêmement fines. "Ces capacités surhumaines rendent les chiens idéaux pour des tâches comme la traque, la détection d'explosifs, de stupéfiants, la localisation de victimes, la recherche et le sauvetage", écrit l'association des chiens de guerre américains. Leur taille leur permet également de pénétrer dans des endroits inaccessibles à l'homme.

    "Le chien occupe un rang supérieur à son maître (dans l'armée américaine, ndlr), ils sont à ce point estimés comme membre de l'équipe", déclare au Washington Examiner Deborah Scranton, auteure du documentaire "Chien militaire : Le meilleur ami du soldat".

    Et c'est évidemment la même chose dans l'Armée française...

    lafautearousseau

  • Le Sénat interdit le "voile" lors des sorties scolaires : la Turquie condamne !

    Ou : quand le ridicule ne tue plus...

    Le dictateur Erdogan se met à ressembler de plus en plus à une sorte de Hitler - "l'énergumène", comme l'appelait Jacques Bainville... - dans sa politique de provocations à l'extérieur, par exemple en Syrie, où il recule dès qu'il voit une résistance sérieuse, en l'occurrence celle de  Poutine...

    Mais, contesté dans son propre pays malgré, ou à cause de, son autoritarisme et sa brutalité (il a perdu les élections municipales dans les deux plus grandes villes de Turquie) il affecte de garder, bien que vieillissant et manifestement moins tonique qu'avant, ses postures, gestes, discours d'antan...

    Aujourd'hui, il se manifeste en condamnant le vote du Sénat français, interdisant le port du voile aux accompagnatrices de sorties scolaires. Il trouve que c'est "discriminatoire" et que cela "marginalise les musulmans".

    Mais, de quoi se mêle-t-il ? N'est-ce pas là une ingérence dans les affaires internes d'un Etat souverain ? Et par la même personne qui envahit un pays (la Syrie), alors même que ses troupes occupent depuis trente ans le tiers d'un autre Etat membre de l'Europe ?

    Pas de réaction officielle en France, du moins pour l'instant. Macron a pourtant la dent dure, lorsqu'il veut : n'a-t-il pas employé le terme de "lèpre" et d'autres mots tout aussi fleuris pour insulter dirigeants et peuples de plusieurs pays d'Europe, qui ont, il est vrai, commis le crime de dire qu'ils ne voulaient pas que l'Europe cesse d'être elle-même à cause de l'invasion migratoire, et d'agir en ce sens.

    Cette arrogance-là, pour Macron, semble être, doit être, beaucoup plus grave que l'inadmissible ingérence d'un dictateur dans nos affaires intérieures...

    246645_016_0.jpg

    lafautearousseau

  • Syrie : d'accords avec... Christian Vanneste

    (de la page facebook de notre "ami" Christian Vanneste)

    La duplicité de l'Otan est scandaleuse : de quel droit l'armée turque tue des soldats syriens sur leur sol ? La Turquie qui occupe déjà illégalement un tiers du territoire d'un membre de l'Union Européenne, Chypre, devrait essuyer une mise en gare de l'Europe, mais celle-ci n'est qu'un ventre mou dénué de la moindre dignité ! Elle craint qu'Erdogan n'ouvre les vannes des migrants vers l'Europe.

    001.jpg

  • Les causes qui empêchent l'Islam de se moderniser, par Annie Laurent (2/2)

    POUR UN RETOUR AUX SOURCES

    Le réformisme n’envisageait donc pas une modernisation en profondeur de la pensée islamique mais il prônait une restauration de la religion authentique, purgée de tout ce qui était assimilé à la corruption et aux superstitions, surtout des éléments étrangers qui s’y étaient greffés. Il condamnait les « innovations blâmables » (bidaâ) comme étant la cause de « l’immense retard » que « les sociétés musulmanes avaient pris par rapport à l’Occident, un retard qui les avait rendues vulnérables face au danger de la colonisation » (F. Charfi, op. cit., p. 87).

    Lire la suite

  • Les causes qui empêchent l'Islam de se moderniser, par Annie Laurent (1/2)

    (Reçu de François Dary, Président de CLARIFIER)

    Au tournant des XIXème-XXème siècles, des penseurs musulmans du Proche-Orient, conscients du déclin dans lequel s’enfonçaient leurs pays, lancèrent un mouvement de réflexion sur les causes de cette situation et les solutions susceptibles d’y remédier.

    « Réformisme », tel est le nom de ce mouvement qui n’a finalement pas favorisé le renouveau de la pensée islamique dans le sens du progrès. Il convient donc d’en définir le contenu si l’on veut en saisir la portée et le malentendu qu’il suscite.

    C’est à cela que vous invite Annie Laurent dans cette nouvelle Petite Feuille Verte (n° 65), cinquième d’une série consacrée aux causes qui empêchent l’Islam de se moderniser :
    - PFV n° 64 : Réforme de l’Islam, des occasions manquées.

    Vous trouverez cette série, ainsi que les PFV qui l’ont précédée (traitant d’autres sujets) sur le site de Clarifier : www.associationclarifier.fr

    Il nous restera à considérer les efforts actuels qui se déploient dans certains milieux musulmans en vue d’opérer une authentique réforme de l’Islam, avant de poser la question décisive : l’Islam est-il réformable ?

    Lire la suite

  • Nos meilleurs amis peuvent aussi être d'excellents soldats

    Les détails de l’opération américaine qui s’est soldée par la mort du chef de l’État islamique Abour Bakr al-Baghdadi commencent à être précisés. Il s’avère qu’un chien de l’armée a joué un rôle crucial dans le raid. Donald Trump a publié sa photo sur Twitter.

    L’unité d’élite ayant mené l’assaut contre le chef du groupe État islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, comprenait un chien qui a rendu « des services incroyables » mais dont l’identité doit être « protégée », a salué lundi le plus haut gradé de l’armée américaine, le général Mark Milley.

    Plus tard dans la soirée, Donald Trump a publié une photo déclassifiée de l'animal sur Twitter.

     

    Donald J. Trump @realDonaldTrump
     

    We have declassified a picture of the wonderful dog (name not declassified) that did such a GREAT JOB in capturing and killing the Leader of ISIS, Abu Bakr al-Baghdadi!

    Voir l'image sur Twitter

    Lire la suite

  • Comment al-Baghdadi a été retrouvé puis tué, par Antoine de Lacoste

    La mort d’Abou Bakr al-Baghdadi constitue incontestablement une belle victoire pour Donald Trump. En l’annonçant, et avant de décrire l’opération, il a remercié pêle-mêle l’Irak, la Syrie, la Turquie, la Russie et les Kurdes.

    Cela peut paraître surprenant, mais c’est l’Irak qui a joué un rôle décisif pour « loger » le Calife, toujours appelé ainsi par ses fidèles malgré la fin du Califat. Les services secrets irakiens ont en effet constitué une équipe depuis plusieurs mois chargée de collecter des renseignements sur Baghdadi. Ce sont les Souqour, c’est-à-dire les Faucons.

    Le fait est connu, mais ce qui l’était moins c’est qu’un cadre important de l’Etat islamique arrêté en 2018 en Turquie puis rapatrié en Irak a livré d’importants renseignements aux Irakiens qui le détiennent.

    Lire la suite

  • lafautearousseau communique : Bagdadi : un terroriste mort, le combat contre le terrorisme continue...

    Bagdadi est donc mort, sans gloire, comme tant de révolutionnaires (puisque l'on a parlé ici de Marie-Antoinette ce matin), si prompts à donner la mort, mais qui se liquéfient lamentablement quand vient leur tour...

    On ne peut que prendre acte avec satisfaction de la disparition de ce fou furieux sanguinaire et dangereux pour la paix du monde en général, du Moyen orient en particulier.

    Cependant, il serait évidemment illusoire de croire que la fin du terrorisme est acquise avec la simple disparition d'un malade mental : Ben Laden est mort, mais pas le terrorisme avec lui, et on a eu Bagdadi. Aujourd'hui c'est Bagdadi qui meurt, mais demain se lèvera X, puis Y, puis Z... et le terrorisme sera toujours là.

    Lire la suite

  • Bagdadi : un terroriste mort, le combat contre le terrorisme continue...

    Bagdadi est donc mort, sans gloire, comme tant de révolutionnaires (puisque l'on a parlé ici de Marie-Antoinette ce matin), si prompts à donner la mort, mais qui se liquéfient lamentablement quand vient leur tour...

    On ne peut que prendre acte avec satisfaction de la disparition de ce fou furieux sanguinaire et dangereux pour la paix du monde en général, du Moyen orient en particulier.

    Cependant, il serait évidemment illusoire de croire que la fin du terrorisme est acquise avec la simple disparition d'un malade mental : Ben Laden est mort, mais pas le terrorisme avec lui, et on a eu Bagdadi. Aujourd'hui c'est Bagdadi qui meurt, mais demain se lèvera X, puis Y, puis Z... et le terrorisme sera toujours là.

    Lire la suite

  • A la télé : Turquie, nation impossible, par Charles-Henri d'Andigné

    Alors que la Turquie est au coeur du conflit proche-oriental, ce documentaire, signé Jean-François Colosimo, tombe à pic.

    Il relate l'histoire de la Turquie moderne, dont les deux grandes figures sont Mustapha Kemal (l'Ataturk) et Recep Tayyip Erdogan.

    Une histoire marquée par un nationalisme farouche, ethnique et jacobin dans les années 1920/1930, islamiste depuis vingt ans, très antichrétien - voir le génocide arménien de 1915, jamais reconnu par l'Etat turc - et hostile aux kurdes, massacrés et persécutés depuis des lustres, malgré leur religion musulmane.

    Passionnant, mais pas très rassurant.

    (source : Famille chrétienne, pagés Télévision, n° 2180, du 26/10 au 01/11)

  • "Le port du voile... n'est pas mon affaire" dit Macron/Ponce Pilate. Des Iraniennes courageuses lui répondent en se libérant en public de ce symbole d'asservissement

  • Poutine convainc Erdoğan de mettre fin à son offensive par Antoine de Lacoste

     

    L’accord était loin d’être acquis. Mais en six heures de tête-à-tête, Poutine et Erdoğan se sont mis d’accord sur plusieurs points importants à Sotchi, sur les bords de la mer Noire. Le plus urgent était de régler le problème kurde, bête noire des Turcs. Sans retrait de leurs milices armées, Erdoğan avait affirmé qu’il reprendrait son offensive, appuyée par les milices islamistes venues d’Idleb, qui ont d’ailleurs multiplié les exactions depuis le début des hostilités.

     

     

    Lire la suite

  • Renversement d’alliance en Syrie, par Antoine de Lacoste

    Lire la suite

  • La Syrie toujours victime de stratégies étrangères, par Christian Vanneste

     

    "Vers l’Orient compliqué avec quelques idées simples", disait le Général de Gaulle. Cette formule trouve à nouveau son actualité dans les rebondissements de la crise syrienne. Donald Trump semble avoir commis une bévue majeure en annonçant le retrait des troupes américaines du nord de la Syrie actuellement administré par les Kurdes autonomistes du PYD, qui s’appuient sur une milice créée et armée par les Occidentaux, les FDS, au sein de laquelle les YPG, leur branche armée est largement dominante.
    Cette décision intempestive du Président américain a laissé le champ libre au projet d’invasion turque présenté par Erdogan en vue de créer une zone tampon à la frontière sud de la Turquie et sur le territoire syrien que le président turc entend repeupler par des Arabes syriens en en chassant les habitants kurdes.
    Le but est clair : couper les zones kurdes de Syrie de celles de la Turquie pour empêcher la connexion militaire entre les rebelles du PKK de Turquie et les autonomistes du PYD de Syrie, les deux mouvements n’en formant qu’un selon Ankara qui les classe parmi les groupes terroristes.

    Lire la suite