"Le port du voile... n'est pas mon affaire" dit Macron/Ponce Pilate. Des Iraniennes courageuses lui répondent en se libérant en public de ce symbole d'asservissement

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L’accord était loin d’être acquis. Mais en six heures de tête-à-tête, Poutine et Erdoğan se sont mis d’accord sur plusieurs points importants à Sotchi, sur les bords de la mer Noire. Le plus urgent était de régler le problème kurde, bête noire des Turcs. Sans retrait de leurs milices armées, Erdoğan avait affirmé qu’il reprendrait son offensive, appuyée par les milices islamistes venues d’Idleb, qui ont d’ailleurs multiplié les exactions depuis le début des hostilités.
La Turquie poursuit son offensive et a pris, comme attendu, la ville frontière de Tal Abyad. C’était un des premiers objectifs de l’armée turque et il a été rempli avec toutefois quelques difficultés. Le lâchage définitif américain se confirme puisqu’une couverture aérienne demandée par les Kurdes lors de combats a été refusée.
C’est la première fois en plusieurs années de guerre commune, et l’on attend maintenant le retrait effectif des 1000 militaires américains encore présents.
Erdogan a mis sa menace à exécution. Les territoires du nord de la Syrie d’où les Américains se sont retirés, font l’objet depuis deux jours de pilonnages de l’artillerie et de l’aviation.
Dans le même temps des chars et des troupes ont pénétré en territoire syrien. Selon le journaliste du Figaro Georges Malbrunot, 4 chars turcs ont été détruits par les kurdes qui opposent une farouche résistance.
Rien n’est simple et rien n’est sûr avec Donald Trump.
Dimanche soir, à la suite d’un entretien téléphonique avec Erdogan, il créait la surprise en annonçant le retrait des troupes américaines du nord de la Syrie : « Il est temps pour nous de sortir de ces guerres ridicules et sans fin, dont beaucoup sont tribales, et de ramener nos soldats à la maison. »
(article rédigé pour Politique magazine, publié ici avec l'aimable autorisation et du journal et d'Antoine de Lacoste)
Depuis que Donald Trump a choisi de se retirer de l’accord nucléaire conclu entre l’Iran et les principales puissances de la planète, la tension est à son comble au Proche-Orient.
Trump avait d’ailleurs annoncé la couleur tout au long de sa campagne électorale. Pour lui, ce traité signé en 2015 faisait la part trop belle à l’Iran et il convenait de le renégocier. C’était bien sûr un argument électoral pour contrer le camp démocrate, mais pas seulement. Cet engagement de retrait relevait également de la ferme volonté de contenir la montée en puissance iranienne afin de protéger Israël et l’Arabie Saoudite, piliers des alliances américaines au Proche-Orient.
L'empire européen des héritiers directs de la Révolution française, de sa Terreur et de son Génocide, de son Totalitarisme politico/religieux messianique a fait naufrage en URSS, redevenue Russie, et en Europe de l'Est, et c'est tant mieux.
Mais le marxisme-léninisme perdure, toujours oppresseur, en Chine, en Corée, au Viet-Nam, à Cuba... même s'il n'est idéologiquement plus qu'une coquille vide et qu'il n'a gardé que les formes répressives extérieures du communisme, les plus efficaces jamais inventées au monde : Xi Jin Ping est bien le nouvel Empereur de Chine et pas plus "communiste" que vous et moi.
Pourtant, parmi les commentateurs, bien peu sont ceux qui ont rappelé les 70 millions de morts de Mao et de ses héritiers : Gilles Bouleau l'a fait au JT d'hier soir, sur TF1, c'est à noter.
Les autres ? Ils sont douillettement installés dans le doux conformisme du "chaos figé des conservateurs du désordre", qui a succédé au "chaos explosif des révolutionnaires", selon l'excellente formule de Gustave Thibon; c'est-à-dire que, pour parler clair, les révolutionnaires français, pères des russes qui n'ont que prétendu améliorer leurs "performances" (!) sont toujours au pouvoir à Paris, même si c'est sous la forme apparemment policée d'un Emmanuel Macron : comment pourraient-ils condamner à Pékin ce qu'ils sont à Paris, sous la forme douce, dont parlait Tocqueville ?
Oui, il est difficile à un père de désavouer ses enfants : comment notre République idéologique, révolutionnaire, totalitaire, Nouvelle Religion républicaine, pourrait-elle condamner un régime communiste en Chine qui, même s'il n'est plus communiste que dans la forme, n'en reste pas moins son fils spirituel direct ?
Robespierre et sa clique de terroristes sont morts, une partie de leurs enfants aussi (ex-URSS et Europe de l'Est) mais une autre partie de leurs enfants court toujours; elle est hélas toujours bien vivante, et toujours malfaisante, hélas pour les peuples qui supportent la monstruosité d'une idéologie venue tout droit de... Paris !
(photo : un policier, seul pour protéger un magasin d' "étrangers" des émeutiers...)
France info a parlé - le mercredi matin 4 septembre, au matin - de ce sujet, traité deux jours avant par RFI.
On attend avec intérêt (avec gourmandise ?) la réaction de SOS Racisme, de la Ligue des Droits de l'Homme, de Marlène Schiappa, de Bernard-Henry Lévy...
Car, à Johannesburg, on n'y va pas de main morte : c'est, carrément, "TROP, C'EST TROP ", "LES ETRANGERS DEHORS !" et les "migrants sont attaqués, pourchassés, volés, tués pour certains (deux cents morts depuis un an)...
De qui occasionner un étouffement collectif à BFM/TV et dans toutes les radios du même style : pourtant, bizarrement, étrangement : rien ! Vous en aviez entendu parler, vous ? Franchement ?
En Afrique du Sud, des noirs attaquent, pillent et tuent des étrangers, des migrants, et personne ne dit rien ? Mais où sont donc passé les pseudo humanitaires ? Où est l'intelligentsia bobote du politiquement correct immigrationniste ? Où est BHL ?...
Et surtout : où est Lilian Thuram ? Pardon, saint Thuram, vous savez, celui qui parle de "les blancs"/"les noirs" et qui explique que "les blancs" sont racistes : là, on a "des noirs" qui tuent "des noirs" (trois à peine pour le moment immédiat, mais deux cents tout de même l'an passé...). Comme le dirait Fernand Reynaud, dans un sketch resté célèbre "Allo, Tonton (Thuram) ? Pourquoi tu tousses ?..."
Avis de recherche : comme on disait autrefois, si vous apprenez quelque chose, appelez le journal, qui transmettra...
Voici le scripte de l'émission de RFI.
Edifiant (si l'on peut dire !)...
Ce monsieur ne semble pas avoir compris que c'est plutôt en Inde, en Afrique, dans tous les pays surpeuplés, où les gens ont, de toute évidence, trop d'enfants, qu'ils n'ont pas la possibilité d'éduquer correctement, qu'il faut limiter les naissances...
Bizarre, bizarre...
Ah, au fait, un petit rappel à Yves Cochet : ATD/Quart Monde évalue à un milliard le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, et à beaucoup plus ceux qui sont en situation d'extrême précarité.
Yves Cochet, qui semble avoir trouvé la pierre philosophale, pourrait-il nous expliquer comment il compterait faire "rentrer" un milliard de personnes, et plus, en Europe en général, ou en France en particulier ?
On a hâte d'avoir la réponse...
Ah, non, pardon, on s'est trompé ! Désolés de vous avoir fait une fausse joie, de vous avoir fait rêver ! Ce n'est pas en France, mais en Inde que cela se passe... :
Mais, au fait, ce qui se fait ailleurs (ici, en Inde, sans soulever la moindre critique de qui que ce soit) ne pourrait-il se faire en France ?
Par exemple, au moment où s'ouvre le procès de ces cinq femmes qui ont voulu faire sauter Notre-Dame de Paris avec des bonbonnes de gaz : pour ça, elles sont "françaises et nées en France", on nous l'a assez répété, "matraqué" même; donc, elles ont pris les armes contre leur propre pays, elles ont voulu semer la mort sur leur propre terre, qu'elles ont trahi en prenant les armes (!) contre lui, faisant allégeance à Daech.
Est-ce qu'on ne pourrait pas changer nos lois, afin de pouvoir déchoir de la nationalité et expulser des gens pareils ? Puisque, bien que nous soyons en guerre - mais seulement en parole... - contre le terrorisme nous n'avons pas de Cours martiales qui, elles, enverraient "vite fait" les traîtres au poteau d'exécution...
Même chose pour Salah Abdeslam, qu'on loge et nourrit depuis des mois, même si c'est en prison...
Les Indiens n'ont pas nos états d'âme !...
Sa nomination avait surpris et inquiété. Bolton est en effet un des faucons les plus intransigeants du monde politique américain. Farouche partisan de la calamiteuse intervention militaire en Irak, il n’avait jamais exprimé le moindre regret à ce sujet tandis que Trump qualifiait cette aventure de "pire des pires décisions jamais prises".
(lu - avec intérêt... - sur la page fb de Stéphane Blanchonnet)
Lundi 19 août 2019, une nouvelle et importante attaque des GAT (Groupes armés terroristes) menée dans le nord du Burkina Faso, a fait des dizaines de morts, de blessés et de disparus dans les rangs de l’armée burkinabé.
Pourquoi, six ans après la chevauchée de Serval, un conflit au départ localisé au seul nord-est du Mali, limité à une fraction touareg et dont la solution passait par la satisfaction de revendications politiques légitimes, s’est-il transformé en un embrasement régional paraissant échapper à tout contrôle ?
La réponse tient en deux points :