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Elle est intégralement consacrée au Mont Saint Michel, et vous propose, entre autres choses, un résumé clair et complet du magnifique ouvrage de Sylvain Gouguenheim, Aristote au Mont Saint Michel, dans lequel l'auteur met en pièce les mensonges et billevesées de ceux qui, comme ce pauvre Chirac (en son temps...), croient que la France a des racines musulmanes !...
Salle de l'Édit du château de Roussillon, où Charles IX fixa au 1er janvier le début de l'année calendaire dans toute la France, le 9 août 1564
870 : La fin de la Lotharingie
Après s'être alliés contre lui, et l'avoir vaincu, Louis le Germanique et Charles le Chauve, petits-fils de Charlemagne, se partagent le territoire de leur frère Lothaire II, la Lotharingie...
Bien loin d'être un simple souvenir lointain, ce fait recouvre une réalité qui va accompagner la France pendant mille ans, expliquant une grande part de ses difficultés.
Une fois de plus, on en a l'explication lumineuse grâce à Jacques Bainville...
Elle vous emmènera aux origines de l'Escorial, évoquera la parution de L'Histoire de deux peuples de Jacques Bainville et, surtout, elle montrera bien à ceux qui l'ignorent les origines de la République idéologique qui déclasse inexorablement la France aujourd'hui : la Terreur, la violence, le massacre... résumées dans l'horrible journée d'émeute du 10 août 1792.
Elle sera également l'occasion de rendre hommage aux glorieux et valeureux Suisses qui, depuis François premier, servaient la France dans le cadre de la Paix perpétuelle...
Les médias (radios/télé) du "Sévice public" nous mentent sur ce qui se passe en Grande Bretagne : Amaury Brelet rétablit la vérité...
"Les médias mènent une opération de désinformation massive sur les émeutes au Royaume-Uni. La colère anti immigration a gagné les couches populaires notamment dans les bastions historiques de la gauche. En face des milices islamistes font la chasse à l'homme en toute impunité..."
AvecAlbert de Mun, voir l'Éphéméride du 6 octobre),La Tour du Pin (voir l'Éphéméride du 1er avril), Le Play (voir l'Éphéméride du 5 avril) et d'autres, il fait partie de ces Légitimistes trop souvent ignorés aujourd'hui, et injustement traités, à qui Michel Mourre a rendu justice, dans son Dictionnaire encyclopédique d’Histoire, article Légitimistes (page 2624, extrait) :
"…Ce serait faire une caricature que de représenter tous les légitimistes comme des nostalgiques du passé, fermés aux problèmes de leur temps ; bien au contraire, ils furent les premiers, avec les socialistes, à dénoncer les méfaits du capitalisme sauvage. Villeneuve-Bargemon, dans son Traité d’économie politique chrétienne (1834) et Villermé, dans sa grande enquête de 1840 sur la condition ouvrière, furent les précurseurs du catholicisme social. Bénéficiant de la confiance d’une grande partie des masses rurales, les légitimistes firent campagne, souvent en liaison avec les républicains, contre le régime électoral censitaire de la Monarchie de Juillet. Leur force électorale se manifesta après la Révolution de 1848, avec 100 élus à l’Assemblée constituante (avril 1848) et 200 à l’Assemblée législative (mai 1849). Cédant à l’affolement suscité par l’émeute socialiste de juin 1848, la plupart des députés légitimistes se réunirent avec les orléanistes dans le "parti de l’Ordre" . Fermement hostiles au coup d’Etat du 2 décembre et au second Empire, ils apparurent, après les défaites de 1870, comme les hommes de l’ordre et de la paix et eurent de nouveau près de 200 élus à l’Assemblée nationale élue en février 1871.
Ils incarnaient toujours la vieille France rurale, mais, avec Albert de Mun et La Tour du Pin, ils continuaient aussi à affirmer leurs préoccupations sociales et leur soucis de défendre les ouvriers contre les abus du capitalisme..."
1784 : Sociaux parce que royalistes ! Naissance d'Alban de Villeneuve Bargemon
1534 : Jacques Cartier atteint l'embouchure du Saint Laurent
C'est en effet le nom du saint du jour, Saint-Laurent, qu'il donne au fleuve dont il achève l'exploration : il avait réussi à convaincre le roi François 1er de financer un voyage pour découvrir le passage par le nord entre l'Océan Atlantique et l'Océan Pacifique.
Jacques Cartier repartira pour remonter le Saint-Laurent l'année suivante, arrivant ainsi au village indien de Hochelaga, près duquel fut bâtie plus tard Montréal. C'est là qu'il apprend des Indiens le nom de Canada qui voulait dire, en fait, village.
A l’affiche : Gloria !, un film italien (VOSTF) de Margherita Vicario, avec Galatea Bellugi (Teresa) et Paolo Rossi (Perlina)
Gloria !… un film musical et d’époque, agréable à regarder, et à entendre, qui nous transporte au XVIIIème siècle à l’Institut Sant’Ignazio de Venise, un orphelinat et conservatoire pour jeunes filles… Que demander de plus ?
1169 : Louis VII pose la première pierre du château de Fontainebleau
La première mention officielle dont on dispose, à propos de Fontainebleau, remonte à 1137 : il s'agit de la charte de succession de Louis VI, mentionnant un château dans cette localité, mais très certainement fort modeste.
C'est Louis VII qui lancera une suite de travaux qui ne s'arrêteront plus, et qui feront de Fontainebleau - selon le mot de Napoléon - "la maison des siècles, vrai palais des Rois".
Et, probablement, celui qui aura hébergé le plus de souverains : trente deux !
Encore les travaux seront-ils, eux aussi, en cette année 1169, bien modestes, puisqu'il s'agit seulement cette année-là pour Louis VII d'adjoindre une simple chapelle - dédiée à Saint-Saturnin - au logis de son père. Laquelle chapelle sera consacrée par Thomas Beckett, archevêque de Cantorbery, alors exilé en France.
Il n'empêche : le mouvement est lancé, et il ne s'arrêtera plus. Même si, pour des époques aussi lointaines, planent toujours quelques incertitudes sur les dates exactes, il est juste de faire remonter à Louis VII, et à l'été 1169, le point de départ de la grande aventure de Fontainebleau...
"J'ai pas du tout, mais alors pas du tout, aimé la cérémonie d'ouverture...", confie le champion olympique dans "Bienvenue aux Jeux" sur Le Figaro TV.
Membre du CIO et ancien ministre, il ne mâche pas ses mots quant à la qualité de la cérémonie inaugurale des Jeux de Paris.
Question : Estanguet (et Macron...) a reconfié au sinistre Jolly la-dite cérémonie : est-ce que l'on peut faire quelque chose pour empêcher une "horreur bis", avant ?