UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • C'est aussi tout cela (tous ceux-là...) "la France" : Dans les Ephémérides, cette semaine....

    "Du passé faisons table rase !" : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des idées, et, si possible, une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l'on donne tant de place, sur Lafautearousseau, au "culturel", à nos Racines...

    Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire" :

    * Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"

    * Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".

    Pourquoi des Ephémérides.pdf 

    L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes (200 photos)... 

    MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf

    TABLE DES MATIERES PREMIER SEMESTRE.pdf 

    TABLE DES MATIERES SECOND SEMESTRE.pdf

             Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :     

       LOGO 9 LFAR copie.jpg

    Lire la suite

  • (Communiqué) : le 13 septembre, parution

    homo_ero-Général.jpg

     

    maffesoli

     

    CNRS Editions, 19 euros, 250 pages

  • La crise, l'Europe et le reste : écoutez Hervé JUVIN

          La note suivante traite de Zola vu par Jacques Bainville. Une note à paraître prochainement évoquera Maurras poète. L'un et l'autre, des sujets fort intéressants. Mais un commentaire récent, paru ici-même, nous apprend que Maurras lui-même s'était dit, dans des circonstances graves, "confus d'avoir à parler de Zola". La raison ? "Les préoccupations sérieuses abondent." L'on était, en effet, en 1911, près de dix ans, déjà, après la mort de Zola mais à seulement trois ans de la Grande Guerre.

          Les préoccupations sérieuses abondent, en effet, aujourd'hui encore : notamment la crise économique, celle de l'Europe et celle de l'Euro.

          Mercredi dernier, nous avons mis en ligne un entretien de l'économiste Daniel Cohen avec son quasi homonyme Patrick Cohen, sur France Inter. Cet entretien (du mardi 4 septembre) nous avait intéressés parce que Daniel Cohen - qui est aussi l'un des conseillers économiques de François Hollande, un peu comme Alain Minc ou Nicolas Baverez l'avaient été de Nicolas Sarkozy - y faisait certains constats de pur réalisme. Par exemple lorsqu'il déclare : "Après cinquante ans d'intégration économique européenne, on découvre qu'il n'y a aucune espèce de citoyenneté politique européenne". Ou encore : "l'économie, en elle-même, ne permet pas de dépasser les rivalités des uns et des autres; de créer une citoyenneté; à tout prendre, elle les défait". C'est ce qu'enseignait Maurras. Nous n'avons cessé, nous aussi, de répéter que "l'économie ne fait pas société". Ou encore, la critique que fait Daniel Cohen de la Commission Européenne et de l'opposition systématique de cette dernière à tout changement nécessaire de politique économique, pour des raisons de pur égoïsme de structure; simplement pour sauver "sa crédibilité propre".    

          Puis, suite à l'envoi d'un lecteur, nous avons mis en ligne une  note importante de Jacques Sapir : "La crise, ses causes, ses dilemmes, ses solutions". Pourtant Jacques Sapir vient de l'ultragauche, ou de la gauche, comme certains autres universitaires également très critiques à l'égard de la construction européenne sous sa forme actuelle, politique et économique, tels Emmanuel Todd. Certains considèreront donc ces économistes comme "très peu crédibles".

          Mais ceux que l'on a appelés les "eurosceptiques" se situent de part et d'autre de l'échiquier politique. Et sont d'ailleurs en relation. Du bord opposé, Hervé Juvin mène de pertinentes analyses auxquelles nous sommes aussi attentifs.

          Ecoutez donc la vidéo qui suit. Cette fois-ci, trouvera-t-on l'exposé clair et percutant ? En tous cas, nous oui.  

    Cette vidéo peut être regardée en plein écran


    Hervé Juvin : "Propos d'Europe" par realpolitiktv

     

  • L'hommage à Maurras vous a intéressé...

    10.554 "Pages lues" et 3.843 "Visites" pour nos trois notes sur la journée d'hommage à Maurras du samedi 1er septembre.

    Pour prolonger encore un peu le bon moment, nous proposerons, dimanche, un "petit reportage en 30 photos"...

  • Lire Jacques Bainville (XXIX) : M. Emile Zola et le socialisme sentimental

    (Comme tous les textes publiés dans cette catégorie, celui-ci, aussitôt paru, est incorporé à notre album Maîtres et témoins...(II) : Jacques Bainville. - 123 photos) 

     

    zola.jpgIl y a environ quinze ans, désireux de se purifier pour entrer à l'Académie, M. Émile Zola s'assit à sa table et résolut d'écrire un "bon roman". Ce fut mystique, ce fut religiosâtre. Cela s'appelait Le Rêve. Et jamais il n'avait rien fait de plus inconvenant. Sous prétexte de peindre l'innocente piété, de montrer l'exaltation de l'idéal catholique dans une jeune âme, M. Zola mit au jour une caricature qui inspira autant d'éloignement aux gens de goût que d'indignation aux hommes de foi. On a souvenir que M. Anatole France en lettré, en écrivain français, en historien qui connaît et qui aime nos traditions, en moraliste qui a le respect de tout ce qui touche à la vie spirituelle, fit entendre dans un journal calviniste une vive protestation contre ce profanateur.

    Un besoin pathologique de souiller tout ce qu'il approche possède M. Émile Zola. Charcot soignait de tels malades. Et l'on peut lire dans les revues cliniques des cas qui ne sont pas fort éloignés du sien. Les enfants, ces petits sauvages, ne sont poussés par leur instinct qu'à briser les objets. La brutalité même des foules ne les entraîne qu'à des actes de violence. Le noyer de la route, qui gémissait des injures du passant, se plaignait seulement que l'on cueillît ses fruits ou qu'on brisât ses branches. Il n'est qu'un malade pour trouver de la volupté à salir ce qui est beau et ce qui est pur. M. Emile Zola est un "sujet" extraordinaire : il lut un jour Jacques de Voragine et La Légende dorée fut polluée pour avoir été traduite par sa plume.      

    Lire la suite

  • Théorie du Genre : le bon conseil de Jean-François Mattéi

    Merci à Jean-François Mattéi, qui nous fait parvenir le petit message suivant :

     

    Chers amis,

    Si la question des Gender studies vous intéresse, ne serait-ce que pour en réfuter les sophismes, reportez-vous à La Querelle du genre, du Docteur Christian Flavigny (pédopsychiatre)  que les PUF m'ont demandé de préfacer.

    L'ouvrage vient de paraître ou va paraître incessamment, et c'est l'exposé le plus remarquable que l'on trouve sur le sujet.

    Bien amicalement à tous,

    Jean-François Mattéi  

     

    mattei,theorie du genre,gender,gender studies 

    Presses universitaires de France, 168 pages, 15,20 euros

    Date de parution : 12 septembre 2012 

    Présentation de l'Editeur :

    Lire la suite

  • Réflexions en guise de conclusion provisoire, après la journée d'hommage de samedi : A ceux qui ostracisent Charles Maurras : la guerre est terminée ! Delenda est injuria !...

    C'est être singulièrement passéiste et "mécanisé" (fossile ?), mais surtout singulièrement injuste, que de maintenir et reprendre sans cesse l'antienne du "sulfureux Maurras", du "Maurras, le lourd héritage" ("lourd" ou "encombrant", au choix...), du "très controversé Charles Maurras".

    On a envie de dire à toutes ces personnes, pour qui le psittacisme semble tenir lieu de réflexion, mais réveillez-vous donc, on n'est plus en 45 ! Et changez de disque... 

    maurras,action francaise,boutang,slama

    Condamné pour "Intelligence avec l'ennemi" ? Mais, c'est "la seule forme d’intelligence que Maurras n’ait jamais eue", selon François Mauriac !

    Lire la suite

  • La crise, ses causes, ses dilemmes, ses solutions.

    sapir,criseMerci à DC qui, en guise de réaction aux propos de Daniel Cohen nous a envoyé, dans les "Commentaires" un très intéressant article de Jacques Sapir, La crise, ses causes, ses dilemmes, ses solutions.

     "Sans pouvoir faire état des différents tableaux et graphiques venant à l'appui de cette démonstration, faute de place, la note ci-dessous de Jacques SAPIR est claire et significative sur ce qui nous attend." dit DC, dans son commentaire. Il est bien dommage en effet qu'il n'ait pu nous joindre les"'tableaux et graphiques", qui, de fait, ne "rentrent" pas dans les "commentaires". Nous avons pensé que nos lecteurs aimeraient peut-être disposer, néanmoins, de l'article sous une forme plus aisément consultable : le voici donc en PDF, et merci encore à DC.....

    Jacques Sapir La crise ses causes ses dilemmes ses solutions.pdf

     

  • La crise, l'Europe et le reste : écoutez Daniel Cohen qui, sur certains sujets, dit comme nous. Enfin, presque !

    Sans titre-1.png

          Mardi matin, sur France Inter, Patrick Cohen (à gauche) reçoit l'économiste Daniel Cohen (à droite).

          Suivant le conseil de notre titre, écoutez cet enregistrement étonnant. Et dans les propos de Daniel Cohen, identifiez ceux qui recoupent assez exactement certaines des analyses que nous avons publiées, ici, sur ce blog.

          Etonnant, n'est-ce pas ? Nous vous épargnerons les redites !  
     

  • Camp Maxime Réal Del Sarte 2012 : Une semaine durant...

            Une première note d'information avait été publiée sur le Site du Craf, au lendemain de l'ouverture du Camp : nous l'avions immédiatement reprise et repercutée telle quelle.

            Voici qu'Antoine Desaunay publie une deuxième note, toujours sur le site du Craf, pour résumer et présenter ce qu'a été l'ensemble de ce cru 2012 du "CMRDS"... 

    La conférence de Bernard Lugan...

    Lire la suite

  • C'est la rentrée ! Pour oublier "ça", un petit sourire...

    REPONDEUR_COLLEGE.MP3

    PS : Plus sérieusement, Jean-Louis Faure a eu raison, dans son commentaire d'hier, d'attirer l'attention sur l'excellente étude de Jean-Françosi Mattéi que nous mettons à disposition en PDF : La révolution copernicienne de l'enseignement.

            Voici le commentaire de Jean-Louis Faure d'hier et, tant qu'on y est, celui que Thulé avait envoyé il y a presque deux mois (très bon commentaire aussi...) :

    1. De Jean-Louis Faure : 

    Lire la suite

  • Samedi 1er septembre, Martigues, Chemin de Paradis : mieux qu'un "devoir de mémoire", un "bonheur de mémoire"...

    (Pour ceux qui ne connaissent pas la maison du Chemin de Paradis, voici un album de 125 photos, Une visite chez Charles Maurras) 

     

    maurras,martigues,chemin de paradis"Parlement, Mistral et Durance sont les trois fléaux de la Provence" : tous les Provençaux connaissent bien le dicton, et le redoutent, ce satané mistral, ce "vent furieux" contre lequel nul ne peut rien, et dont Maurras lui-même écrit (dans "Les collines battues du vent", dédié "A Jacques Bainville") : "... à voix basse, comme un Ancien, je prie le vent furieux d'épargner, ce soir, ma colline..."

    Ce vent furieux, ce mistral, qui est pourtant, toujours pour Maurras, "la sixième beauté de Martigues..." s'était malheureusement invité depuis la veille, du Rhône jusqu'au Var. Il n'aura, malgré tout, pas gâché la fête, même si on ne l'avait pas invité, et qu'on s'en serait bien passé...

    Voici donc, avant la vidéo et nos commentaires sur l'hommage à Maurras, et les réactions qu'il a suscitées, un rapide mais fidèle compte-rendu de la journée, soigneusement imaginée dans ses moindres détails depuis longtemps déjà : c'est pour cela qu'elle a été si réussie.

            (Illustration : Le "Coup de Mistral", santon créé en 1952 par Paul Fouque).

    Dès le début, il avait été prévu que la journée se déroulerait en deux lieux, et en cinq parties : la première partie à Roquevaire, sur la tombe familiale des Maurras; les quatre autres à Martigues.

    Lire la suite

  • Mardi, mercredi et jeudi : le récit, la vidéo et nos commentaires sur la journée d'hommage à Charles Maurras, "chez lui", dans sa ville et dans son jardin...

            Disons-le tout de suite : une aussi belle journée, aussi parfaitement maîtrisée et "tenue" de bout en bout, et qui a procuré un contentement aussi vif qu'unanime chez les participants, cela ne s'organise pas en un jour : il a fallu, pour atteindre ce beau résultat, de longues semaines, et même de longs mois, à Nicole Maurras, à Dominique Paoli, à Philippe Kaminski, c'est-à-dire à l'A.A.M.C.P. (Association des Amis de la Maison du Chemin de Paradis).

            Dominique Paoli a eu l'amabilité de remercier la FRP (Fédération Royaliste Provençale) et ses responsables pour leur contribution au succès de cette journée. Les Provençaux, en effet, ont été fiers et heureux de l'assister, à chaque fois qu'elle les a sollicités, et de l'aider - elle-même ou Nicole Maurras - dans la mesure de leurs moyens. Lafautearousseau n'a pas manqué, non plus, d'apporter sa contribution.   

            C'est donc d'abord, et surtout, à Nicole Maurras et à Dominique Paoli que doivent s'adresser les félicitations et les remerciements, et même la gratitude, pour nous avoir offert une si belle journée d'amitié, qui fut - on va le voir - et pour copier le mot de Proust, "une cure d'altitude mentale"... 12C -.jpg

     (Rappel : pour découvrir le Jardin de Charles Maurras, au Chemin de Paradis, nous vous proposons cet album de 95 photos : Une visite chez Charles Maurras)

  • "Le changement c'est maintenant" : l'exquis "Je vous emmerde" d'Audrey Pulvar, sur Twitter...

            ...en réponse à quelqu'un qui lui avait fait une réflexion sur ses vacances de luxe, tout à fait conformes au style gauche caviar : "je suis pour les immigrés mais de loin et dès que j'ai fini mon numéro de "pub pour moi" devant les caméras je retourne vite fait à mon-caviar/foie gras à la louche..."

            Il a bonne mine, François "le normal", avec son "le changement, c'est maintenant", car si un "casse-toi, alors, pauvre con" n'était franchement pas terrible, on voit mal en quoi un "je vous emmerde" marque un réel progrès...

            Ah, au fait, celle qui "emmerde" avec tant de classe, de distinction et d'élégance est, accessoirement, la compagne du ministre du redressement productif.

            Pour l'instant, c'est plutôt "l'effondrement chômageux", mais bon...