7ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...

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J-P L., de Calais, bien reçu votre chèque généreux, ce matin, au siège de l'Association lafautearousseau.
Toute la Rédaction se joint à moi pour vous remercier.
Nous apprécions encore plus ce geste d'amitié, de sympathie et d'encouragement en cette période où la censure de facebook, aussi stupide qu'injustifiable, nous gêne grandement en nous empêchant de "partager" nos notes (et pour une durée non indiquée !...) en direction de publics "extérieurs", ce qui nous permet de toucher des personnes que nous ne pourrions probablement pas atteindre par ailleurs...
Encore merci à ceux qui vous ont précédé, et, d'avance, merci à ceux qui nous témoigneront leur amitié, leur soutien, leur encouragement...
François Davin,
Blogmestre
1. Guillaume Bigot a raison :
"2023 : c’est pareil qu’en 2005 mais en pire !..."
(extrait vidéo 1'56)
https://twitter.com/Guillaume_Bigot/status/1674268363164463104?s=20
2. Guillaume Bigot a encore raison, sauf sur l'emploi des termes : il ne s'agira pas d'une "guerre civile" (opposant des citoyens français entre eux) mais d'une "guerre de libération nationale" (opposant les Français à cette greffe de population africaine imposée depuis près de cinquante ans, et qui ne "prend" pas...) :
"Les gens qui nous gouvernent et qui espèrent acheter l'apaisement au prix du déshonneur vont récolter et le déshonneur et la guerre civile !..."
(extrait vidéo 2'01)
https://twitter.com/Guillaume_Bigot/status/1674148003886555136?s=20
"C'est par les mots que l'on désigne les idées, et c'est sur les idées que l'on s'entend", disait notre grand Jacques Bainville.
Voilà pourquoi, chaque jour, sur la Page s'accueil de notre Quotidien sur le Net, nous proposons au lecteurs ces deux courts textes d'accroche :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici la "Une" du Lundi 6 juillet, dernier numéro évoquant longuement la mort de "Léon" :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k768412d/f1.image
Ce numéro ne comporte que deux pages, comme celui du vendredi précédent...
La "Une" du lendemain, mardi, ne comportera plus que des télégrammes de condoléances (dont celles du Maréchal Pétain) : trois "Une" auront donc été consacrées à celui qui permit au journal de voir le jour, quatre si l'on tient compte du fait que le numéro du samedi est aussi celui du dimanche...
Il est encore, pour l'essentiel, largement consacré à la mort de Daudet. Les iniques sanctions vaticanes ont été levées depuis trois ans par le nouveau Pape, Pie XII, et l'on peut donc lire, par exemple, dans la "Une" des choses telles que celles-ci : le message de condoléances de "Florent du Bois de la Villerabel, Archevêque d'Aix, Arles et Embrun" :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici la "Une du samedi 4/dimanche 5 Juillet 42 (numéro unique pour les deux jours) :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7684111
A l’affiche : Il Boemo, un film tchèque de Petr Vaclav, avec Vojtëch Dyk, dans le rôle-titre.
Il Boemo… « L’amour est enfant de Bohême »… et effectivement une moitié environ de ce trop long-métrage (2h14) consiste en des scènes d’intrigues amoureuses et libertines qui ne sont pas à mettre sous tous les yeux.
En cela ce film est décevant qui aurait pu être passionnant en faisant découvrir au grand public Josef Myslivecek, dit Il Bohemo, musicien compositeur tchèque du XVIIIème siècle.
Je n’ai aucune connaissance artistique et musicienne mais je lis qu’il est pratiquement inconnu de nos jours alors qu’il fut de son vivant « une figure incontournable du monde de la musique en Europe » et, auteur de plus de 80 opéras, il connut un succès retentissant dans les théâtres italiens, particulièrement au Royaume de Naples.
Ce Biopic bénéficie, heureusement, d’une très belle bande son, et les mélomanes apprécieront les scènes d’opéras et les voix des cantatrices.
Le niveau des nappes phréatiques est-il un sujet plus important, moins important, aussi important que les autres ?
Ou n'est-il pas un sujet du tout ?
Ou, encore, est-il révélateur du "grand n'importe quoi" que nous servent les journalistes, et, aussi, d'une manipulation de l'opinion ?
Comment expliquer la différence entre l'état des nappes annoncé par les journalistes (ci-dessous, carte de gauche) et leur état réel (ci-dessous, carte de droite), dressé par le très officiel et très sérieux BRGM (Bureau de Recherche Géologiques et Minières) ?
Sinon que "l'information" est devenue, dans notre Système, quelque chose, disons, de "très aléatoire"...
Avec toutes les conséquences qu'on peut - et qu'il faut - tirer de cette constatation : mais, cela, on le savait déjà, le sujet des nappes ne fait que le rappeler, en donnant un nouvel exemple bien concret...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Ce triste numéro du vendredi 3 juillet 42 n'a que deux pages (restrictions et difficultés dues à la guerre obligent...); il est imprimé à Lyon, 71 rue Molière, L. Gonnet étant gérant, avec six colonnes à la Une, comme d'habitude, mais sept en seconde page...
Voici le lien qui y donne accès :
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Comment les révolutionniares ont incendié les Tuileries...
(tiré de notre Éphéméride du 22 juin)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
Dès six heures du matin, Hitler entreprend au pas de course une visite de Paris : l’Opéra, la Concorde, l’arc de triomphe : sur l’esplanade du Trocadéro, il pose devant les photographes, dos à la Tour Eiffel, puis se dirige vers l’École militaire.
Aux Invalides, il se recueille longuement devant le tombeau de Napoléon 1er. Il remonte ensuite vers le jardin du Luxembourg, s’arrête au Panthéon, descend le boulevard Saint-Michel à pied, ses deux gardes du corps à distance, remonte en voiture la place Saint-Michel.
Sur l’île de la Cité, il admire la Sainte-Chapelle et Notre-Dame, puis la rive droite (le Châtelet, l’hôtel de ville, la place des Vosges, les Halles, le Louvre, la place Vendôme). Il remonte ensuite vers l’Opéra, Pigalle, le Sacré-Cœur, avant de repartir à 8h15. Un survol de la ville complète sa visite.
Il ne remettra plus jamais les pieds à Paris...
Quant à Hitler et au nazisme proprement dit, alors que Charles Maurras a été condamné d'une façon aussi injuste qu'aberrante pour intelligence avec l'ennemi en 45 (voir l'Éphéméride du 28 janvier), on se reportera avec profit à l'excellente mise au point de Laure Fouré, juriste, dans Boulevard Voltaire :
L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers est, cette fois, consacré à Marseille, cajolée par le Macronisme béta et racoleur du "gamin" de l'Élysée (pour reprendre le mot de Luc Ferry) :