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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Au Kosovo, la situation s'envenime et les tensions augmentent.

    À lafautearousseau, on a choisi son camp dès le début de la crise dans cette province, et on n'en change pas : le Kosovo est Serbe, et doit le redevenir...

    La Maison blanche, son bras armé (l'Otan) et les caniches de son arrière-cour européenne (au premier rang desquels, naturellement,  nos ennemis allemands) ont mené - en 1999 - une action de piraterie internationale en portant la guerre au milieu de l'Europe, en bombardant un pays ami et historiquement allié de la France (la Serbie) et tout cela pour installer artificiellement un État croupion musulman/mafieu, arrachant le Kosovo à sa mère patrie, la Serbie.

    Pour nous, toutes autres considérations sur la situation là-bas ne sont que des paroles verbales, nulles et non avenues...

    https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/kosovo-apres-des-heurts-dans-le-nord-du-pays-l-armee-serbe-en-etat-d-alerte-maximale_5851463.html

     

    https://www.breizh-info.com/wp-content/uploads/2018/02/kosovo.jpg1A.jpg

     

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  • Pourquoi la Turquie a encore choisi Erdogan, par Antoine de Lacoste

    https://images.lecho.be/view?iid=Elvis:7rrC_rMFqtTANQv6MAW9vB&context=ONLINE&ratio=16/9&width=640&u=1685346381000

     

    Comme le laissaient prévoir les résultats du premier tour, Erdogan a remporté l’élection présidentielle turque. Avec 52% des voix sa marge est étroite mais le succès est là et le sultan est au pouvoir pour cinq ans de plus.

    Cette victoire a surpris de nombreux observateurs en particulier les médias occidentaux qui avaient multiplié les prévisions favorables à l’adversaire d’Erdogan, Kemal Kiliçdaroglu pour qui ils avaient pris fait et cause.

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  • Éphéméride du 31 mai

    1987 : Ouverture du Futuroscope de Poitiers

     

     

     

    1864 : Paris célèbre la fin des travaux de restauration de Notre-Dame 

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    Jacques Maritain voyait en elle une "merveille de logique, autant que la somme de Saint Thomas." 

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Avec un humour qui tue, Geoffroy Lejeune revient sur ce bien triste et misérable "épisode Justine Triet", au Festival de Cannes; un épisode qui n'honore ni cette personne, ni le cinéma français, ni le Festival de Cannes :

    "...Je rêve d'un monde où les gens comme Justine Triet se débrouilleraient tout seul et dans lequel ils seraient tributaires de leur public..."

    Tout est dit, bravo !

    (extrait vidéo 1'43)

    https://twitter.com/GeoffroyLejeune/status/1663094999934746624?s=20

    Par contre, s'il s'agit d'honorer le cinéma français, l'exception culturelle française, rappelons à nouveau ce que nous disons ici-même hier : un vrai, un grand, un beau film est maintenant disponible en DVD.

    Et, là, il s'agit vraiment de cinéma...

     

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  • Grandes "Une" de L'Action française : En 1911, Bainville étrillait déjà les élucubrations et délires des "dé-constructeurs" d'aujourd'hui !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

     

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    Voici la "Une" du Dimanche 22 Janvier 1911 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k757155g

    Pas de Maurras ni de Daudet dans ce numéro... Juste Maurice Pujo, qui écrit un court billet, "Le Régime politique, pour Lucien Lacour" et Léon de Montesquiou qui occupe quasiment les deux premières colonnes, avec un long article sur "La noblesse".

    Seul des "trois", ce jour, c'est Bainville qui, jusqu'à la guerre, signe par un discret "Léonce Beaujeu" une sorte de rubrique intitulée "Au jour le jour".

    L'article de la rubrique de ce 22 janvier est pétillante d'ironie et de profondeur - mais on dira que c'est toujours le cas, chez Bainville... - et s'intitule

    "L'homme sans prénom"

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  • Au Cinéma : The quiet girl, par Guilhem de Tarlé

    The Quiet Girl - film 2022 - AlloCiné

     

    Art et Essai : The Quiet girl,  un fil irlandais de Colm Bairéad avec Catherine Clinch (Cait, la « Quiet girl »),
    d’après une nouvelle de Claire Keegan, Les Trois lumières (2011).

    The Quiet girl… un joli petit film, en VOSTF, d’une lenteur soutenue, dont j’ai longtemps pensé, avant et pendant, que j’aurais pu ne pas le voir… mais finalement, je me suis laissé attendrir par cette petite fille, gauche et soumise, qui se « reconstruit » (selon l’expression à la mode) chez des parents lointains qu’elle ne connaissait pas et qui ne la connaissait pas, mais qui s’avèrent beaucoup plus affectueux que sa propre famille.

    Je ne dis pas qu’il faut y courir, mais on peut, avec elle, goûter dans la jolie campagne irlandaise les petite bonheurs que lui offrent ses « parents » d’adoption.

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  • Éphéméride du 30 mai

    1996 : Découverte des têtes des moines de Tibhirine (capture d'écran tirée de Des Hommes et des Dieux)

     

     

     

     

     

     

    1431 : Martyre de Jeanne d'Arc 

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    On avait déjà eu le Prix Nobel donné à Annie Ernaux, militante de la nullité vulgaire; voici que la Palme d'Or du Festival de Cannes est remise à une Justine Triet, qui profite de l’audience médiatique pour prononcer un misérable discours politique qui se veut gauchiste...

    Profitons-en pour parler de vrai cinéma, Festival de Cannes oblige, et pour signaler ou rappeler qu'un vrai, grand et beau film est disponible en DVD, et qu'il n'a rien coûté au contribuable, lui.

    Justine Triet, parfaite représentante de cette gauche-caviar bobo/gaucho, gavée de subventions publiques, a osé parler de "l'exception culturelle française" : "Vaincre ou mourir", film magnifique qui n'a reçu aucun centime de subvention, est un véritable représentant de cette "exception culturelle française", et fait honneur à la France et à l'esprit français, à la différence de la misérable bobote Triet et de son parterre de gavés !...

    Ce à quoi l'on a assisté à Cannes ne montre qu'une chose : que le talent et la qualité sont inversement proportionnels aux subventions accordées par le Système (avec NOTRE argent)...

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  • DÉCIVILISATION ou DÉFRANCISATION ? par Guy Adain

     
    Sommes-nous à l'ère de la «dé-civilisation»?
     
    Le Président de « RENAISSANCE » pense que nous sommes entrés dans un « processus de décivilisation » .
    Déjà, l’Académie ne semble pas retenir ce vocable… Et si d’aventure il existait, on peut mettre en doute ce soi-disant processus !
    Encore que, dans les rangs de certains l’on puisse ressentir 
    ce mal-être, et cette impression de perte d’identité, cette certitude de ne plus être dans notre civilisation d’origine, mais où est donc passée la France ?
    Rassurez-vous citoyens politiciens, si elle n’est plus dans vos rangs de Sans-culottes, elle est bien à l’abri dans les nôtres. Vous la cherchez partout au point de fonder une coterie « Renaissance ! »
    Nous n’avons nul besoin de renaître, nous sommes bien présents et audibles… Oyez, oyez le chant des casseroles, elles vous chantent le « Chant du départ » !
    Les Français mettent à leur tête celles et ceux qu’ils estiment les plus valeureux, les plus…civilisés ! N’est-il pas vrai ?
    Décivilisation ? Vous avez dit décivilisation ; comme c’est bizarre !
     
    Dans nos rangs, chez les Français moyens, ceux qui ne savent toujours pas traverser la rue…La question ne se pose pas, nous nous trouvons assez civilisés !  
    Sans doute, les séides du Président se sentent « décivilisés voire défrancisés, ils peuvent comprendre le désarroi de leur chef et le partager.
    Nous, nous sommes « Gens de France » fiers et heureux, nous avons l’Honneur en partage, la Courtoisie et tout l’esprit de Chevalerie qui va avec, nous avons la Foi, nous avons un Roi (même s’il n’est ni sacré ni couronné) ; mais nous l’avons dans notre cœur.
    Nous voyons notre France « telle que nous désirons qu’elle soit, et pas toujours comme elle est. » (Sic)
    Les horribles exactions qui nous frappent actuellement et celles qui motivent l’emploi d’un vocabulaire de l’effroi, ne nous terroriseraient pas si nous étions en charge du Royaume car en lieu et place de décivilisation, nous remettrions en place un code de Chevalerie, et le ferions respecter…strictement.
    Hors de question de nous défranciser ! 
    Si nous avons nécessité d’entamer une Reconquista, osons appeler les choses par leur nom, et n’utilisons pas des circonlocutions alambiquées pour masquer des menaces qui mettraient en péril l’identité profonde de la France. 
    Non il n’y a pas de processus de décivilisation, mais plutôt un délitement certain de notre société par abandon de principes et de valeurs morales qui sont l’ossature et le squelette d’une société choisie.
    Ci-après :
    La vision royale, du Comte de Paris, celle qu’il affiche pour la France et au service des Français.
     
    La notion de royauté n’a rien perdu de son actualité dans nos démocraties occidentales. En Europe, ce sont pas moins de dix États dont le chef est un prince héréditaire. Dans des régimes maintenant démocratiques, la fonction princière a pleinement trouvé sa place, au service des populations et du bien commun.
    Au-delà des partis, la présence d’un roi garantit en effet la continuité dans le destin d’un pays : le respect de son identité profonde, la préservation de ses principes fondamentaux, la défense de sa langue et son rayonnement dans le monde entier. Elle permet également de se détacher de la pression des lobbies, des media, des biais du système électoral pour exprimer d’une voix forte la protection des plus faibles, la défense de l’environnement, ou celle du patrimoine matériel et spirituel.
    Une vision de long terme
    Avec à peine deux siècles et demi d’existence, notre jeune démocratie française est parfois aveuglée par l’idéologie du progrès, le mythe de la mondialisation heureuse, et l’attrait des profits immédiats. Héritier de mille ans d’histoire de la royauté, le comte de Paris est le garant d’un projet d’ensemble dont la vision politique n’est pas à l’horizon d’un quinquennat mais des générations futures. Du côté non pas de l’action qu’on achète et qu’on revend quelques secondes plus tard, mais de l’arbre que l’on plante pour ses petits-enfants.
    Jean de France Comte de Paris.
     
     
    Nous voilà loin de la décivilisation, notre optimisme reste au beau fixe, chez les Gens de France, nos racines sont profondes, bien ancrées dans la terre de France, toute notre histoire (celle de la France) nous montre et nous prouve que quand : 
    « Tout est perdu fors l’honneur » !
    Tout reste possible, et notre confiance en la Divine Providence est absolue.

  • Dans notre Ephémeride de ce jour : les horreurs de la Seconde Guerre mondiale auraient pu, et du, être évitées...

    1942 : "Huitième ordonnance du 29 mai 1942 concernant les mesures contre les juifs"

              

    Le port de l'Étoile jaune est rendu obligatoire pour tous les juifs de 6 ans et plus et demeurant dans la zone de la France occupée. La décision est publiée en France le 1er juin 1942...

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    Et dire que toutes ces horreurs pouvaient facilement être évitées !...
     
    Victorieuse en 1918 - mais à quel prix !... - la France pouvait et devait démembrer l'Empire allemand, qui n'avait pas 50 ans d'âge.
    C'était la politique du plus élémentaire intérêt national, celle qu'exigeait le Bien commun : en revenir à l'émiettement des populations allemandes, comme aux temps heureux des Traités de Westphalie, voulus par Richelieu, et "chef-d'oeuvre absolu" pour Jacques Bainville.
    Nos "excellents alliés" (!) anglo-saxons ne le voulurent pas et ne le permirent pas; et, par idéologie anticatholique, Clémenceau détruisit bien un Empire, mais pas le "bon": il détruisit l'Empire austro-hongrois, parce que catholique, laissant "l'Allemagne unie" intacte !
    Depuis la prussophilie des auto-proclamés philosophes du XVIIIème puis de leurs successeurs, et le suicidaire principe des nationalités, voulue et menée par la Révolution, la République et les deux Empires, c'était toujours la même politique anti-nationale du Système, qui, avant même d'exister, alors même qu'il n'était encore que "rêvé" par quelques uns, travaillait déjà "en intelligence avec l'ennemi" : on a eu les conséquences, et la France - et toutes les communautés qui la composent - l'ont payé cher...
    29 mai,charles x,reims,chateaubriand,normandie,ruban bleu,etoile jaune,barbentane,restauration,royauté,cnam,arts et metiersHitler et la Seconde Guerre mondiale étaient parfaitement "évitables" en 1918 : il aurait pour cela fallu à la France un État fort, agissant énergiquement au nom du Bien commun : Clémenceau (ci contre) prononça au contraire les paroles terribles qui scellaient la tragédie en ouvrant le Congrès de Versailles, présentant, d'un côté les Alliés, "et, de l'autre, l'Allemagne...".
    Dès ce moment, les choses étaient écrites : "C'est un nouveau conflit pour dans vingt ans", dit Bainville, qui ne se trompa que d'un an...
  • Éphéméride du 29 mai

    C'est au CNAM qu'est exposé le pendule de Foucault : on est "invité à venir voir tourner la Terre" !

     

     

     

    1067 : Philippe premier fait procéder à la dédicace de l'église Saint Martin des Champs  

    C'est sur ce site, et après un lent processus, que s'élèvera le premier musée de technologie. Il fut voulu et organisé par Louis XVI, en 1782 - un an avant qu'il ne fonde l'École des Mines -  sous le nom de Musée des Sciences et Techniques, avant de devenir le Conservatoire national des Arts et métiers.

    Les collections initiales du Musée provenaient de l'Académie des Sciences.

    En 1819, le CNAM fut chargé de délivrer un enseignement en sciences de l'ingénieur, et le gouvernement de la Restauration calqua son organisation sur celle du Collège de France.

    Toujours en 1819, Charles Dupin y créa la première Chaire d'enseignement de mécanique appliquée, et Jean-Baptiste Say la Chaire d'économie industrielle.

    On y présente la machine à calculer de Pascal, la marmite de Papin, les métiers à tisser de Vaucanson et Jacquard, les instruments de laboratoire de Lavoisier, les premières machines électriques de Gramme, les avions d'Ader et de Blériot... 

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       www.arts-et-metiers.net/musee.php?P=122&id=9&lang=fra&flash=f 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    La saine et ravageuse ironie d'Arnaud Florac, dans Boulevard Voltaire, qui "démolit" Véronique Dubois-Bertrand, "mairesse" du troisième arrondissement de Lyon :

    "À Lyon, le maire du troisième distingue le bon et le mauvais casseur…"

    https://www.bvoltaire.fr/a-lyon-la-maire-du-troisieme-distingue-le-bon-et-le-mauvais-casseur/?feed_id=27104&_unique_id=6470ee036d327

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  • ACTION ROYALISTE RENNAISE : NI MACRON, NI CASSEURS !

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    Ni République macronienne
    Ni nihilistes dévastateurs !!
    Une fois de plus ces dernières semaines, notre ville de Rennes a été la cible des nihilistes : vitrines brisées ou dégradées (plus de 130 !) ; porte du Couvent des Jacobins incendiée ; commissariat brûlé ; hôtel de ville caillassé et ses fenêtres éclatées, etc.
    Comme à chaque fois désormais, le maire de la ville, Mme Appéré, vient constater après coup les ravages de sa propre politique et de son insuffisance : en laissant prospérer une insécurité (qui n’est pas qu’un sentiment) et une impunité de mauvais aloi pour les nihilistes qui s’en prennent au travail des autres et, même, aux monuments symboliques de Rennes comme l’hôtel de ville et la basilique Saint-Aubin (place Sainte-Anne) il y a quelques semaines, Mme Appéré pratique une politique du pire qui, en définitive, est la pire des politiques…
    Opposée à la réforme Borne-Macron sur les retraites, l’Action Royaliste Rennaise condamne dans le même temps 1. l’attitude de mépris de la République macronienne à l’égard des travailleurs et 2. le nihilisme destructeur de quelques uns qui, en définitive, ne font que servir le système qu’ils prétendent combattre : leurs destructions inconsidérées permettent au gouvernement macronien de se prévaloir de « l’ordre et de la loi » (sic !) et de faire croire que la République macroniste est « légitime » (re-sic !) pour faire passer et accepter toutes ses réformes antisociales…
    « Quand l’ordre n’est plus dans l’ordre, il est dans la révolution », déclarait Robert Aron il y a presque un siècle déjà. C’est vrai ! Mais la révolution nécessaire et le basculement souhaitable ne peuvent être la violence nihiliste ou les piques des coupeurs de têtes : la contestation royaliste, quant à elle, vise à « fonder un nouveau régime », et non à conserver l’actuel en plein échec ni à valider la furie dévastatrice des nouveaux barbares. La révolution, aujourd’hui, passe par la conquête des esprits et la mobilisation des intelligences dans le cadre d’une action civique et d’Etat. Et c’est « par le haut » qu’elle peut être la plus efficace et mener aux décisions les plus pérennes et soucieuses du bien commun : nous la souhaitons, donc, politique et royale, active et sociale !

  • Au Cinéma : Misanthrope, par Guilhem de Tarlé

    https://tribunedelyon.fr/wp-content/uploads/sites/5/2023/05/misanthrope-film.jpeg

     

    Art et Essai : Misanthrope,  un film américain de Damian Szifron,  avec Shaine Woodley (la jeune enquêtrice Eleanor), et Ben Mendelsohn (l’agent du FBI Lammark).

    Misanthrope… Même si tout n'est pas à rejeter dans son propos, cet Alceste n'est pas de notre culture, et ce long-métrage, en VOSTF, est un pur produit américain sans le grandiose,  sans les courses-poursuites avec lesquels Hollywood sait parfois nous épater.
    Ensuite, Lanmark est marié "depuis que c'est légal", et cette propagande, cette case cochée, sans aucun intérêt quelconque dans le scénario, nous insupporte. Les communautés minoritaires devraient comprendre qu'à force de se mettre en avant elles alimentent les antis et les phobies à combattre.
    Malgré Pierre Marcellesi qui, sur le site bvoltaire.fr, nous dit le plus grand bien de cette réalisation,  j'aurais tiré pour ma part davantage de plaisir en restant chez moi à relire la comédie de Molière

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