UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Au Cinéma : Umami, par Guilhem de Tarlé

    Umami - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Umami,  un film français de  Slony Sow,  avec Gérard Depardieu et Sandrine Bonnaire (Gabriel Carvin, chef étoilé, et son épouse Louise), Pierre Richard (Rufus Baudouin).

    Umami.... Il semble que ce terme japonais désigne un goût indéfinissable, « délicieux » selon Allo Ciné… le film en tout cas est, pour sa part, indéfinissable dans le genre nul ou sans intérêt avec un personnage principal qui n’est même plus le parfois très bon acteur Gérard Depardieu, mais plus grossièrement l’énorme, et le quasi impotent,  Gérard Depardieu !  son épouse interprétée par Sandrine Bonnaire n’a non plus rien d’avenante et tout cela pourrait nous couper l’appétit sauf qu’ils nous proposent une cuisine que l’on aurait bien envie de goûter…   oh voilà l’idée, qu’elle est bonne ! et même délicieuse, umami !  plutôt que d’aller voir ce film, s’offrir une soirée dans un bon restaurant… pourquoi pas japonais ?

    guilhem de tarlé.jpg

  • Éphéméride du 24 mai

    1887 : Naissance de Jean de La Varende

     

     

     

    1096 : Le pape Urbain II consacre la basilique Saint-Sernin de Toulouse 

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Éric Naulleau a raison, au premier degré, sur le teknival de Villegongis, dans l'Indre :

    (extrait vidéo 1'36)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1660317794062200832?s=20

    "...Il est devenu impossible de faire respecter l’interdiction d’une fête techno… qui est très étroitement liée à la consommation de drogue contre laquelle nous combattons le reste de l’année..."

    Mais, si l'on passait au "second degré" ? Et si l'on se demandait pourquoi tant d'ados et de jeunes ont ainsi besoin de drogue(s) et de "se défoncer" avec des "loisirs" (?) brutaux et hurlants ?

    Qui sont-ils, ces jeunes, sinon les enfants de Jules Ferry, et de sa maudite "école républicaine", de ses maudits "hussards noirs de la république" qui ont déchristianisé et dé-cervelé les petits Français avec, par et dans leur école soi-disant laïque mais, en réalité, dans laquelle ils les ont coupés de leurs racines historiques, intellectuelles, spirituelles ? Amputé de tout ce qui les tirait vers le haut, pour ne laisser qu'une désolante horizontalité matérialiste, d'où tout élan vers le Vrai, le Beau, le Bien est, forcément, absent.

    La "rage" de ces jeunes n'est-elle pas l'expression d'un désespoir enfoui au fond d'eux-mêmes, y compris s'ils n'ont pas ou plus les mots pour l'exprimer, ni la formation intellectuelle et mentale pour le comprendre ?

    Jules Ferry a voulu un école "sans Dieu et sans Roi". Il a "changé le peuple" dans son mental, son moral, son esprit; il l'a "dé-francisé" : on en voit les résultats, dans une partie importante de la jeunesse et de la population aujourd'hui, orpheline de tous ces principes et idéaux qui avaient fait la grandeur de leurs aînés, "avant"...

    • Ils étaient 30.000 au Teknival à se déhancher, drogués à mort pour beaucoup, les oreilles cassées par une "musique" (?) à fond, et pourquoi ? Pour beaucoup, pour oublier qu'ils avaient oublié, parce qu'on les a formatés pour oublier tout ce qui faisait la France et un Peuple sain et fort "avant", pour oublier qu'ils n'avaient rien, plus rien parce qu'on les a amputés, privés de leurs héritages...

    • En face, ils seront 16.000 jeunes (une participation record !) à s'élancer vers Chartres lors du prochain Pèlerinage de Pentecôte. 

    Voilà où en est la jeunesse (et le peuple) de France, après 150 ans de Nouvelle Religion Républicaine : ce n'est pas aux jeunes participants du teknival - pauvres enfants de Jules Ferry !... - que nous jetons la pierre, mais au Système qui a fait d'eux ce qu'ils sont devenus : des jeunes au "regard vide", comme disait notre ami Jean-François Mattéi; à la tête, à l'esprit vide, qui ne regardent plus, comme leurs ancêtres, vers le Ciel mais qui cherchent désespérémment l'oubli de leur misère intellectuelle, morale, mentale, spirituelle dans des paradis artificiels...

    La vie n'est pas neutre, et il faut choisir : ou lever la tête vers les Cieux, ou la baisser en cherchant dans les matérialismes les plus divers et variés ce qu'on n'y trouvera pas : ces raisons de vivre, de croire, d'être debout qui ont toujours nourri le Peuple de France depuis Clovis, et même avant, dès les toutes premières années du Christianisme, dans cette magnifique Gaule romaine dont nous avons la chance d'être les héritiers...

    lfar bourrage de crane.jpg

    LFAR FERRY.jpg

    LFAR NRR.jpg

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Madrid, 19 Mai 39, le grandiose Défilé de la victoire (1/2)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    ---------------

    Nous sommes le 19 Mai 1939 : un an auparavant (il avait alors 70 ans) Maurras avait effectué un voyage triomphal, du 3 au 10 mai 38, dans "l'Espagne de Franco". Il y rencontra, naturellement le Généralissime; il apparut au balcon du premier étage de la Mairie d'une localité de la ligne de front, où il fut acclamé par la foule et où un détachement militaire défila devant lui, en lui rendant les honneurs; il passa des troupes en revue...

    Nous avons taché de raconter ce voyage dans cinq de nos Grandes "Une" :

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (5/5)

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (4/5)

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (3/5)

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (2/5)

    Grandes "Une" de L'Action française : Maurras est en Espagne, "chez Franco"... (1/5)

    Un an après, presque jour pour jour, ce que toute la France patriote espérait est, enfin arrivé : Franco a gagné, et les forces unies de la Tradition ont écrasé sur le champ de bataille ("en campo abierto y buena lid") celles de la Révolution et de l'horrible République espagnole !

    Et, ce magnifique 19 Mai, à Madrid, elles défilent fièrement, ces troupes victorieuses, devant celui qui les a emmenées à la victoire...

    Et, naturellement, L'Action française "y était"...

    Lire la suite

  • Dans notre Éphémeride de ce jour : un rapide survol des rapports entre la Corse et la France...

    1498 : Naissance de Sampiero de Bastelica, dit Sampiero Corso

     

    200px-Bastelica_%28Santo%29_1_JPG.jpg
     
    Statue de Sampiero, à Bastelica (Place du Hameau de Santo), par Vital Dubray
     
     

    23 mai,jeanne d'arc,sampiero corso,helene boucher,dumont d'urville,venus de milo,astrolabe,georges claude,louis le nain,louvre,charles vii,rockefeller

    Sampiero Corso, ou Sampieru de Bastelica ( fit une grande partie de sa carrière au service de la France, notamment lors de l'expédition française en Corse de 1553.

    23 mai,jeanne d'arc,sampiero corso,helene boucher,dumont d'urville,venus de milo,astrolabe,georges claude,louis le nain,louvre,charles vii,rockefellerIl avait pourtant commencé sa carrière militaire en Italie mais, après la mort de Léon X et son remplacement par Adrien VI (mars 1522), il passa au service de la France (il était à la bataille - perdue - de la Bicoque, le 27 avril 1522). À partir de 1535, il fait partie des proches du cardinal Jean du Bellay, ambassadeur de France à Rome; il se couvre de gloire dans les armées de François 1er, se bat aux côtés de Bayard, et reçoit, en 1547, le grade de Colonel, commandant l’ensemble des bandes corses au service de François 1er (illustration ci-contre : on l'appelait "le colonel aux fleurs de lys") : c'est alors que, selon l'usage de l'époque, il reçoit le surnom de "Corso", qui indique son origine et qui lui est resté attaché...

    Cette époque est caractérisée par la lutte de la France de François 1er puis de son fils, Henri II, contre Charles Quint, empereur d'Allemagne, roi d'Espagne, roi de Naples et de Sicile et par celle des Ottomans contre Charles Quint, la France étant en l'occurrence alliée avec le sultan Soliman le Magnifique.

    Il est donc très important, pour la France d'alors, en Méditerranée, de prendre le contrôle de la Corse, qui relève alors de la République de Gênes, alliée de l'Espagne : Henri II y envoie Sampiero, pour une première expédition : en 1553, à la tête d'une escadre franco-turque, Sampiero débarque dans l'île. Avec ses alliés, les Ornano, famille de son épouse, il remporte quelques succès sur les Génois - commandés par l’amiral Andrea Doria - mais cette guerre tourne court car la France doit faire face au rapprochement entre l’Angleterre et l’Espagne : Henri II rappelle Sampiero en 1555, et un armistice est conclu à Vaucelles en 1556, qui met fin aux hostilités pour cinq ans.

    Malgré la réoccupation de Bastia et de Calvi par Gênes, la Corse reste possession française durant quatre années, mais la défaite française de Saint-Quentin - en 1557 - et la signature du traité du Cateau-Cambrésis - en 1559 - entraînent le retour de la Corse sous la domination de Gênes. Lors de la signature du traité, les émissaires français tentent bien de conserver l’île à la couronne, mais ils doivent y renoncer pour conserver Calais, Metz, Toul et Verdun (dans notre Album L'Aventure France racontée par les cartes, voir la photo "les agrandissements de Henri II"...)

    Henri II meurt en juillet 1559; la France n'est pas en mesure d'entretenir une flotte conséquente en Méditerranée et ne peut plus agir contre la République de Gênes.

    Gouverneur d’Aix-en-Provence en 1560, Sampiero Corso est ensuite nommé ambassadeur extraordinaire à Constantinople, laissant son épouse et ses enfants dans la demeure familiale de Marseille.

    Avec l’accord de Catherine de Médicis, régente, Sampiero revient en Corse en 1564 et, une fois encore remporte quelques combats; mais, sans l’aide significative de la France, il se trouve vite isolé : le 17 janvier 1567, à 68 ans, il est attiré dans une embuscade et tué : sa tête sera exposée par les Génois à Ajaccio...

    23 mai,jeanne d'arc,sampiero corso,helene boucher,dumont d'urville,venus de milo,astrolabe,georges claude,louis le nain,louvre,charles vii,rockefeller

     
     
     

    23 mai,jeanne d'arc,sampiero corso,helene boucher,dumont d'urville,venus de milo,astrolabe,georges claude,louis le nain,louvre,charles vii,rockefeller

    C'est donc depuis bien longtemps que des Corses - les Corses... - servent la France... Avant même la "réunion" de 1768, un Régiment de "Royal Corse" avait été créé :
    dans notre Album Drapeaux des Régiments du Royaume de France, voir la photo Régiment de Royal Corse et les trois suivantes...
     
     
     
    Aujourd'hui, on estime à deux millions le nombre de Corses établis "hors l'île", et, sur ces deux millions, on évalue à environ deux cent mille le nombre de ceux qui vivent à Marseille et dans les environs immédiats, ce qui fait de Marseille... la première "ville Corse" ! L'agora grecque de la cité phocéenne tire d'ailleurs son nom actuel (Place de Lenche) de la famille corse Linciu, qui s’établit à Marseille au XVIème siècle. Thomas Lenche créa la Compagnie du corail, qui se dédiait aux liaisons commerciales entre l'Afrique du Nord et Marseille; pendant les guerres de religion, son neveu, Antoine Lenche, prit le parti des "politiques" (ou "royalistes" : ceux qui soutenaient Henri III de France et Henri III de Navarre, qui devait devenir Henri IV, "Roi de France et de Navarre") : Antoine Lenche était deuxième consul de la cité et mourut assassiné en 1588...
  • Dans notre Éphémeride de ce jour (1/2) : La honte de cette Gauche qui s'est fermée aux Pieds-Noirs pour s'ouvrir, par la suite, aux envahisseurs...

    1962 : Le paquebot de la Transat, "Ville de Marseille", débarque les premiers réfugiés d'Algérie à Marseille...
     

    23 mai,jeanne d'arc,sampiero corso,helene boucher,dumont d'urville,venus de milo,astrolabe,georges claude,louis le nain,louvre,charles vii,rockefeller

    Dans notre Album L'Aventure France racontée par les cartes, voir les trois photos "Conquête de l'Algérie (I)", "Conquête de l'Algérie (II)" et "Conquête de l'Algérie (III)"...

     

    Pour la quatrième génération de Français d'Algérie, cette année 1962 c'est le cataclysme : depuis 1830, la France a fait d'un immense espace vide et désolé le pays le plus prospère, le mieux équipé, et celui qui a les perspectives d'avenir les plus brillantes de toute l'Afrique; elle lui a même donné son nom, Algérie, en l'administrant, en l'organisant, en le traitant exactement comme tous les autres territoires de France métropolitaine ou d'Outre-mer.

    Et, d'un coup, le Système va donner les clés de ce pays prospère, à l'avenir prometteur, à une bande terroriste, le FLN, qui n'aura rien de plus pressé que d'aligner ce malheureux pays sur les visions idéologiques dépassés d'une URSS qui se croit encore, à l'époque, avant-garde consciente des prolétaires du monde entier alors qu'elle n'a même plus trente ans à vivre !

    Le résultat calamiteux de cette nouvelle domination sera la ruine pure et simple du fruit d'un travail acharné d'un siècle et demi; l'installation, partout, de l'arbitraire, de la nonchalance et de la corruption; de l'analphabétisme et de la pauvreté de masse : un gigantesque et cataclysmique bond en arrière...

    23 mai,jeanne d'arc,sampiero corso,helene boucher,dumont d'urville,venus de milo,astrolabe,georges claude,louis le nain,louvre,charles vii,rockefellerEt, pour les Français d'Algérie, brutalement, un choix très simple : "la valise ou le cercueil !". Quelques uns choisiront de s'établir dans l'Espagne de Franco, surtout dans la région d'Alicante, ce qui peut s'expliquer à la fois par des motifs idéologiques et par le fait que, historiquement, une ville comme Oran, par exemple, a été plus longtemps espagnole que française. Mais l'immense majorité des réfugiés (et non des rapatriés, terme impropre...) referont leur vie - aux prix de mille difficultés et d'amères déconvenues - en Métropole, où ils débarqueront sur la côte, de Port-Vendres à Nice mais essentiellement à Marseille, un certain nombre arrivant en avion...

    Et c'est précisément à Marseille qu'un personnage va s'illustrer - si l'on peut dire !... - d'une façon qui ne l'honore certes pas, ni lui ni ses compagnons d'idéologie qui, jamais, ne condamneront ses propos : le député-maire de Marseille de l'époque, Gaston Deferre, fit preuve d'une sécheresse de coeur, d'une dureté et d'une inhumanité proprement stupéfiante dans un pays réputé civilisé. Et, le pire, c'est qu'il ne formula jamais le moindre regret, ne renia jamais ses propos et, à fortiori, ne fit jamais rien pour tenter de réparer un tant soit peu... Il fut même récompensé, si l'on ose dire, puisqu'il devint, plus tard, Ministre de l'Intérieur !....

    Qu'on en juge...

    Dans un entretien accordé au Figaro, le 26 juillet 1962, il répond aux questions de Camille Gilles (ses mêmes propos seront tenus ailleurs, dans d'autres journaux - notamment Paris-Presse, repris par le quotidien marseillais de droite Le Méridional - et devant d'autres journalistes) :

    * (à propos de la scolarité des enfants des Pieds-Noirs) : "Il n'est pas question de les inscrire à l'école car il n'y a déjà pas assez de place pour les petits marseillais..."

    * (question) : Voyez-vous une solution au problème des rapatriés de Marseille ?

       (réponse)  : Oui ! Qu'ils quittent Marseille en vitesse ! Ils fuient ? Tant pis ! En tout cas je ne les recevrai pas ici. D'ailleurs nous n'avons pas de place, rien n'est prêt. Qu'ils aillent se faire pendre où ils voudront. En aucun cas et à aucun prix je ne veux des pieds-noirs à Marseille..."

    Le moins que l'on puisse dire est que ce représentant éminent du Parti socialiste et de la Gauche française, si volontiers moralisatrice et moralisante, si prompte à donner des leçons de "droits de l'homme" à la terre entière, avait une bien curieuse conception du troisième terme de la devise du Système : "Fraternité" !...

    Et, c'est à noter, son parti versera très vite, après s'être si radicalement fermé à nos compatriotes, dans le pire des immigrationnismes, migrantisme, sans-paipérisme, sans-frontiérisme : tous "noms" largement employés pour dissimuler la réalité : l'invasion de la France...!

    23 mai,jeanne d'arc,sampiero corso,helene boucher,dumont d'urville,venus de milo,astrolabe,georges claude,louis le nain,louvre,charles vii,rockefeller

    À bord du Ville de Marseille, ce 23 mai 1962, "1.068 passagers et 53 enfants de moins de 3 ans", détaille le journal socialiste local Le Provençal. Sur les 700.000 Pieds-Noirs qui gagnèrent la Métropole cette année-là, 450.000 débarquèrent à Marseille...

  • Éphéméride du 23 mai

    1960 : Mort de Georges Claude, à l'origine de L'Air liquide

     

     

     

    1430 : Jeanne d'Arc prisonnière  

     

    Jeanne d'Arc est faite prisonnière à Compiègne par Jean de Luxembourg, qui la vendra (!) aux Anglais pour dix mille livres.

    Selon les apparences, sa destinée proprement humaine et matérielle semble achevée. Une autre mission s'ouvre pour elle :

     "Après le sacre, dit Malraux, elle est écartée, et commande la série des vains combats qui la mèneraient à Compiègne pour rien, si ce n’était pour devenir la première martyre de la France."  

    jeanne d'arc arretee a compiegne.JPG

    L'arrestation de Jeanne d'Arc, par Martial d'Auvergne, enluminure issue de l'ouvrage Vigiles de Charles VII, Paris, France, XVème siècle.

     

    La Geste héroïque de Jeanne est un moment fondamental de notre Histoire nationale : ses moments essentiels en sont relatés dans ces Éphémérides aux 25 février (rencontre de Jeanne et du Dauphin, à Chinon), 8 mai (libération d'Orléans),18 juin (victoire de Patay), 17 juillet (sacre de Reims), 23 mai et 21 novembre (capture, et livraison aux Anglais), 30 mai (martyre), 16 mai (canonisation), 10 juillet (instauration de la Fête nationale).

    Et, pour la très belle manifestation du retour de l'anneau de Jeanne en France, au Puy du Fou, voir l'Éphéméride du 20 mars.

     

    23 mai,jeanne d'arc,sampiero corso,helene boucher,dumont d'urville,venus de milo,astrolabe,georges claude,louis le nain,louvre,charles vii,rockefeller

     

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Une députée LR appelle à réformer l'Aide Médical d'État.

    De Christian Vanneste :

    "Dans notre pays dirigé par des malades, un étranger clandestin bénéficie d'une aide médicale gratuite supérieure à celle de nombreux français cotisants. Le problème est que la maladie de nos dirigeants ne se soigne pas et coûte un pognon de dingue !"

    https://www.cnews.fr/france/2023-05-20/une-deputee-lr-appelle-reformer-laide-medicale-detat-1356486

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • L’Arménie, un pays chrétien et martyr, par Antoine de Lacoste

    Arménie: situation générale

    En 314, sous l’influence de Saint Grégoire l’Illuminateur, le roi Tiridate se convertit au christianisme en même temps que son épouse et toute sa cour. L’ensemble de son armée et de ses sujets suivirent son exemple et tous se firent baptiser. L’Arménie devint officiellement le premier royaume chrétien au monde.

    L’Edit de Milan datant de 313, l’Arménie, au fond, accompagnait le mouvement général du passage du paganisme au christianisme, ce qui aurait pu lui valoir une histoire chrétienne heureuse à l’ombre de son puissant voisin byzantin. C’était compter sans la présence du grand empire perse, appelé alors Empire sassanide. Soucieux de ne pas entrer en guerre contre une telle puissance, et au fond ravi d’annexer un nouveau territoire, Byzance accepta de partager la malheureuse Arménie : aux Perses les deux tiers du pays, à l’est, et à Byzance le dernier tiers à l’ouest. On l’appela le partage de 387. Il faudra attendre 1920 pour que l’Arménie retrouve une brève indépendance.

    Lire la suite

  • Au Cinéma : Jeanne du Barry, par Guilhem de Tarlé

    cannes2023 "Jeanne du Barry" de Maïwenn avec Johnny Deep - LA RADIO DU  CINEMA

     

    A l’affiche : Jeanne du Barry,  un film français de  Maïwenn,  avec Maïwenn et Melvil Poupaud (la comtesse et le comte du Barry), Johnny Deep (Louis XV), Benjamin Lavernhe (La Borde), Pierre Richard (le Duc de Richelieu)

    "Il y a (avait) bien du monde aujourd'hui..." au cinéma !

    Jeanne du Barry.... Un très beau film ponctué par des applaudissements dans la salle, et je me suis retenu pour ne pas y contribuer.

    Qu'est-ce que les spectateurs ont applaudi ?


    • Johnny Depp, contre Sandrine Rousseau, Adèle Haenel et les "néo-féministes", puisque c'est le nom qu'on leur donne ?


    • L'hagiographie de la “Comtesse du Barry”, fille de joie née d'une couturière, Anne Bécu, et d'un moine, Vaubernier,  héroïne de la liberté sexuelle et de la "modernité " jusqu'à "s'habiller en homme à la Cour", puis victime de la peine de mort et de la guillotine après avoir été méprisée, "discriminée", par une aristocratie décadente ?


    • La peinture, précisément, de cette aristocratie décadente, et la Révolution qui l'exécuta en guillotinant le Roi et la Reine ?


    • Une belle histoire d'amour qui transcende les codes, les classes et les castes ?

    • Ou finalement, avec toute cette “hommerie”, un film tout simplement magnifique dont on regrette qu'il se termine ?

    "Encore une minute..." Madame la Réalisatrice.

    guilhem de tarlé.jpg

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : "les" Victor Hugo...

    1885 : Mort de Victor Hugo

     

    Depuis son inhumation au Panthéon, l'histoire officielle a figé "le" Victor Hugo que chacun est tenu de révérer ès-qualité.

    L'histoire officielle imposée par le Système oublie juste de rappeler que, girouette politique presque parfaite, Victor Hugo aura quasiment "fait" tous les partis, et commença sa "carrière" dans les rangs légitimistes, très proche fidèle de Chateaubriand, avant de passer à l'Orléanisme, puis de saluer la IIème République et même, un court temps il est vrai, Louis-Napoléon Bonaparte, avant de se brouiller avec lui et de partir pour son très long exil dans les îles de la Manche, d'où il ne devait rentrer que peu de temps avant sa mort.

    22 mai,denis papin,watt,victor hugo,gerard de nerval,revolution industrielle,marly,caisse d'epargneDe sa toute première période, royaliste légitimiste, il reste la bouleversante, magnifique et grandiose Ôde à Louis XVII, qui atteint au sublime.

    Et aussi - non sans mérite mais néanmoins plutôt moins réussie - une Ôde à Louis XVIII, pour ses funérailles... (Louis XVIII lui avait octroyée une rente annuelle de mille francs lorsqu'il avait fait paraître - à dix-neuf ans - son Ôde à Louis XVII...)

    Il ne faut pas oublier non plus que son puissant Notre-Dame-de-Paris paraît en 1831 : Charles X n'est tombé que depuis un an, et, déjà, Hugo, toujours royaliste, est orléaniste. Il le restera jusqu'en 1848, date de la chute de Louis-Philippe. Date aussi de la mort de Chateaubriand, aux obsèques duquel il assiste (on connaît son mot fameux : "Je veux être Chateaubriand ou rien"...).

    De sorte que c'est par le livre d'un royaliste  que Victor Hugo réhabilite le Moyen-Âge et rend à l'art ogival ou français, improprement appelé "gothique", ses lettres de noblesse : il le qualifie même, avec justesse, comme l'archétype de l'art français... Avec Chateaubriand, Victor Hugo, dans sa période royaliste, est celui qui a rendu son art médiéval, et donc une partie de son âme, à la France : ce n'est tout de même pas rien...

    Quant au reste, s'il y a un personnage officiel et embaumé, devant lequel on est tenu de s'incliner, révérence gardée, il y a bel et bien "un autre Victor Hugo", comme le montre Léon Daudet. 

    Celui-ci épousa, le 12 février 1891, en un premier mariage raté, qui ne devait pas durer quatre ans, sa petite fille, Jeanne Hugo (celle-là même que le poète a célébrée dans L'art d'être grand-père), sœur de son meilleur ami Georges Hugo. Léon Daudet, dans Fantômes et vivants et dans La tragique existence de Victor Hugo a tracé un portrait saisissant - et parfois féroce dans sa vérité... - de cet "autre Victor Hugo"

    Dans notre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet voir les six photos qui traitent de Hugo : "Un autre Hugo (I) : chez Hugo, à Hauteville House" et les cinq suivantes...

    LFAR FLEURS.jpg

  • Éphéméride du 22 mai

    1818 : Création de la Caisse d'Épargne et du Livret A

     

     

     

    1679 : Denis Papin présente son "digesteur" 

     

    Denis Papin présente à la société royale de Londres "le nouveau digesteur ou la manière d'amollir les os et de faire cuire toute sorte de viandes en fort peu de temps et à peu de frais" : c'est le premier autocuiseur de l'histoire. 

    denis_papin.jpg

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Entièrement d'accord avec Sophie Audugé, de SOS ÉDUCATION :

    "L’#OMS préconise l’éducation à la sexualité dès la naissance pour que l’enfant "découvre son orientation sexuelle". Je ne serais pas surprise de voir bientôt des associations attaquer des écoles qui refusent d'appliquer cette doctrine..."

    (extrait vidéo 2'15)

    https://twitter.com/Figaro_Live/status/1658516999528382487?s=20

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Éphéméride du 21 mai

    1681 : Ouverture au trafic du Canal du Midi

     

     

     

    1539 : Aux origines de la Loterie nationale  

     

    François Premier promulgue l'Édit de Chateauregnard, portant création d'une "Loterie royale" - ancêtre de l'actuelle Loterie nationale... -  "pour porter remède aux jeux dissolus et empescher nostables bourgeois, marchans et aultres de blasphemer Dieu, de consommer leur temps, labeur, vertues et necessaire en jeux de hasard..."   

    21 mai,françois premier,canal du midi,pierre paul riquet,mistral,felibrige,commune de paris,semaine sanglante,zemmour,bernanos,edit de chateauregnard

     

     21 mai,françois premier,canal du midi,pierre paul riquet,mistral,felibrige,commune de paris,semaine sanglante,zemmour,bernanos,edit de chateauregnard

     

    Lire la suite