UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • À la découverte du fonds lafautearousseau (49) : sur le Félibrige...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

     

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Sur le Félibrige...

    (tiré de notre Éphéméride du 21 juin)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    En ce pénible moment pour lui, mais aussi pour nos idées et nos combats, lafautearousseau assure Geoffroy Lejeune de son soutien, de son estime et de ses remerciements pour l'action qu'il a menée si longtemps et si bien au sein de Valeurs actuelles...

    Bravo, "Monsieur" Geoffroy Lejeune !

     
    De Geoffroy Lejeune :
    "Chers amis, c'est avec le cœur lourd que je vous confirme aujourd'hui mon éviction de Valeurs actuelles. Merci pour votre présence, votre enthousiasme et votre soutien durant toutes ces années. L'aventure n'est pas terminée, nous nous retrouverons bientôt ailleurs."

    1A.jpg

    1AA.jpg

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • "Les .... ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît !"

    UNE PETITE MUSIQUE AU CHÂTEAU…
     
    POURQUOI PAS UNE TROISIÈME FOIS ?
     
    IL EN RÊVE !

    1A.jpg

     
     
     
     
    Ils osent en parler, y penser, en rêver !
    Pourquoi pas nous ?
    Une fois, c’est une erreur !
    Deux fois, c’est une faute vénielle
    Trois fois, c’est un péché mortel !

    Ce n’est même pas une galéjade !
    Bien sûr l’on était pas dupe et nous pensions à cette éventualité !
    Certes c’est incroyable mais comme incroyable n’est plus Français à l’instar de bien d’autres locutions...
    Pourquoi-pas ?
    Pas besoin d’être devin pour imaginer qu’il se verrait bien en Président de l’Europe ou à défaut, bisser une troisième fois !
    Et j’entends déjà : d’accord, d’accord ce n’est pas vraiment normal, mais qui mettre à sa place ?
    On pourrait bien proposer une autre chose, mais ce n’est pas encore totalement dans l’air du temps !
    Oui, pourquoi pas une autre personnalité bien plus crédible et qui serait à même d’incarner La France bien plus légitimement ! ! ! 
    Nous aussi, osons en parler, osons émettre l’idée d’un retour du Royaume !
    Après tout nous ne serions pas plus ridicules que nos voisins qui osent tout : (monnaie, Brexit, Royaume…)
     «  C’est mème à ça qu’on les reconnaît... » (Sic)  Osons donc, et… À force d’en parler, ça finira bien par arriver !
     

    1A.jpg

     
    LA VALSE À TROIS TEMPS !
  • Grandes "Une" de L'Action française : Léon Daudet annonce la guerre, au lendemain de l'arrivée au pouvoir (démocratiquement !) d'Hitler...

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Voici la Une du Mercredi premier Février 1933 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7651377

    Maurras , Bainville et Daudet sont là, comme d'habitude, à leurs places habituelles, et aussi J. Delebecque, avec un article sur les élections en Allemagne, qui se prolonge en page deux et se termine par cette lucide et accablante question :

    "...Couloir polonais, remilitarisation de la zone rhénane, Hongrie, Yougoslavie ? La matière inflammable est accumulée de tous les côtés. Où plaira-t-il aux incendiaires de jeter l'allumette ?".

    En 1918, après notre belle victoire trop chèrement payée, Clemenceau - le "Perd la Victoire" comme l'appela alors Maurras - ne voulut pas démembrer l'Allemagne, comme il avait démembré l'Autriche-Hongrie; Bainville avait aussitôt prévenu : c'est "la guerre pour dans vingt ans", avec une Allemagne revancharde qui créera un parti "socialiste-national" (il ne se trompait que sur l'ordre des mots !)... et, maintenant que le Pays légal, poussé par les traîtres pacifistes et les anglo-saxons, a gâché la paix, voilà qu'Hitler est élu !

    Eh, oui ! L'élection, cela peut donner... des Frères musulmans (terroristes islamistes) ou... un Hitler ! Pardon pour la digression : on n'a pas pu s'en empêcher !

    Dès la conclusion du calamiteux Traité de Versailles, L'Action française, mais aussi l'Armée et, même non royalistes, tous les patriotes sincères et lucides avaient demandé le démembrement de l'Allemagne... (Voir Grandes "Une" de L'Action française : 29 juin 1919, signature du calamiteux Traité de Versailles...)

    1AA.jpg

    Puis Bainville, dans son Journal, avait dénoncé Hitler, le premier de tous, le premier au monde, dès 1930 !...

    Dans notre Catégorie Lire Jacques Bainville, lire ses deux notes :

    • Lire Jacques Bainville (XLIII) : Dénonciation des persécutions antijuives et du racisme hitlérien...

    • Lire Jacques Bainville (XXXI) : Sur "l'énergumène" Hitler, dès 1930... (I)

    1A.jpg

    Maintenant, donc, après toutes ces folies et ces occasions perdues, la nouvelle guerre, après la victoire de 18, est pour demain : et c'est Léon Daudet qui se taille la part belle dans cette "Une", avec son article intitulé : "Hitler et l'oeuvre de Briand".

    Mais on va voir qu'il y aussi d'autres choses intéressantes dans ce numéro du premier février, en plus des "articles phares" "Daudet/Maurras/Bainville" :

    MAURRAS BAINVILLE DAUDET.jpg

    • la revue de presse, signée Pierre Tuc, en page trois...

    • et, en page trois et quatre, dans la rubrique "L'activité de nos sections", la relation de la Fête des Rois dans les onze "zones" militantes du mouvement : l'occasion de voir un peu comment nous étions organisés à ce moment-là; et aussi, de lire une "séquence émotion", de "nostalgie/nostalgérie" avec la onzième et dernière de ces zones, les sections d'Algérie : Sidi bel Abbès, Mascara, Mostaganem, Blida et Tlemcen...

    Lire la suite

  • Au cinéma : L’Île rouge, par Guilhem de Tarlé

    https://www.francetvinfo.fr/pictures/1iszi6kZfQmMNXiQ4jIEd4YI5Ng/fit-in/720x/2023/05/24/646e29c6537b3_l-ile-rouge-affiche-01-05-ok-hd-jpg.jpg

     

    A l’affiche  : L’Île rouge,  un film français de Robin Campillo,  avec Quim Gutiérrez, Nadia Treszkiewicz et Charles Vausselle (Robert, ou Roberto, Colette et leur fils Thomas Lopez).

    L’Île rouge… Le titre est accrocheur, alors que le film m’a déçu.
    L’Île… Avec à l’ouest le canal du Mozambique qui la sépare du continent africain, et à l’est l’océan Indien, les  587 000 km2 de Madagascar constituent un territoire légèrement plus étendu que la France métropolitaine (544 000 km2).

    Rouge… c’est le « surnom » de l’île en raison de la couleur de la terre.

    Le synopsis qui évoque « les dernières illusions du colonialisme », m’avait pourtant laissé imaginer une ambiguïté volontaire pour aborder l’action des communistes en faveur de l’indépendance, le 26 juin 1960, jusqu’au renvoi définitif de l’armée française 12 ans plus tard..

    Bref, j’espérais un film – certes, engagé – mais néanmoins intéressant sur presque un siècle d’Histoire française à Madagascar, des années 1880 aux années 1970.

    Il s’agit en fait du regard du réalisateur, fils d’un sous-officier de l’armée de l’air, sur les deux années qu’il a vécues, enfant, à Madagascar, avant que la France n’en soit chassée… cela m’a paru lent et peu intéressant, et je partage l’avis du critique qui écrit qu’ « on ne saisit pas toujours les tenants et les aboutissants ».

    Rassurez-vous la case antifrançaise est quand même bien cochée. Le long-métrage se conclut par une charge particulièrement violente contre l’armée, et un fort relent anticolonialiste, qui nous cache l’état actuel de Madagascar indépendant : ce pays bat aujourd’hui tous les records de pauvreté avec notamment des infrastructures en ruine et la survivance du pousse-pousse et de son homme-cheval (qui, lui, a du mal à survivre). 

    J’avoue néanmoins que cette chronique autobiographique de Robin Campillo a plu à mon épouse qui  a apprécié une réalisation originale et, surtout, qui y a retrouvé la Fantômette de la Bibliothèque rose, mais moi, à la même époque, je m’intéressais davantage aux fantômettes du lycée d’à côté.

    guilhem de tarlé.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     
    Voilà un beau geste d'un vrai sportif, qui a "les jambes" mais, aussi et surtout, "la tête"...
    Pas comme certains, qui défraient plus souvent la chronique par l'accumulation des zéros derrière le premier chiffre de leurs salaires indécents...
    Olivier Giroud - meilleur buteur de l'équipe de France - a souhaité soutenir les chrétiens persécutés dans le monde, et les chrétiens en Arménie, plus précisément les arméniens du Haut-Karabagh qui souffrent d’un blocus depuis 6 mois.
    À Paris, lors de l’Édition 2023 de la « Nuit pour la Mission », Olivier Giroud a mis aux enchères son maillot de la coupe du monde de football 2022. C’est le maillot de la victoire de la France contre l’Angleterre en quart de finale, but de Giroud à la 78e minute.
    Le fruit de la vente a été attribué à deux organisations chrétiennes dont « Portes Ouvertes ». L’organisation « Espoir pour l’Arménie », partenaire de « Portes Ouvertes »sur le terrain, sera le destinataire des fonds" (source : armenews.com 16.06.2023).
     
    Peut être une image de 1 personne, partie de football américain, partie de foot et texte
     
    BRAVO, CHAMPION !
     
    ET VIVE L'ARMÉNIE,
     
    AVEC LE HAUT KARABAGH,
     
    ARMÉNIEN À JAMAIS !
     

    1AZZZ.jpg

    Lire la suite

  • À la découverte du fonds lafautearousseau (48) : sur Balzac...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

     

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Sur Balzac...

    (tiré de notre Éphéméride du 20 mai)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    1AZ.jpg

     

    La Chronique de Mathieu Bock-Côté, dans Le Figaro (extrait) :

    "Tandis qu’elle fait usage de l’idéologie universaliste pour détruire ce qu’il reste de l’école libre, la République tolère la progression de la civilisation islamique en France.

    Cela fait quelques mois, déjà, que l’abaya est devenue le symbole de l’offensive islamiste à l’école et, plus encore, de la sécession culturelle d’une partie de la jeune génération issue de l’immigration, qui entend marquer visiblement une forme de différence conquérante. Certains veulent voir dans sa présence une «atteinte à la laïcité». Cela nous rappelle à quel point le discours public français n’envisage le commun que sous le signe de la laïcité, comme s’il s’agissait de la seule identité collective autorisée.

    Mieux vaudrait, si ce vocabulaire était autorisé, parler d’une atteinte à l’identité française, d’une agression symbolique explicite contre le peuple français ou, plus exactement, de l’effet inévitable d’un changement démographique qui ne peut s’accompagner que d’un changement culturel. Un pays ne change pas de peuple sans changer d’identité. La laïcité ne survivra jamais à la mutation démographique française..."

    Image

     

    1AZZZ.jpg

    Lire la suite

  • Au cinéma : L’Improbable voyage de Harold Fry, par Guilhem de Tarlé

    L'Improbable voyage d'Harold Fry - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche  : L’Improbable voyage de Harold Fry,  un film anglais (vostf) de Hettie MacDonald,  avec Jim Broadbent et Penelope Wilton (Harold et Maureen Fry),
    adapté du premier roman de Rachel Joyce : La Lettre qui allait changer le destin de Harold Fry (2013).

    Je suis toujours très étonné par le manque d’imagination des auteurs et des réalisateurs et leur incapacité à attribuer un titre simple – éventuellement énigmatique – à leurs œuvres. Le roman ne pourrait-il pas s’intituler tout simplement La Lettre ?
    Rachel Joyce vient de publier un nouveau livre : L’Inoubliable voyage de miss Benson…

    A la lecture de ces deux titres on s’interrogera sur la volonté du réalisateur avec son Improbable voyage de Harold Fry.

    Il n’empêche que la bande-annonce était tentante, et c’est ensuite le qualificatif « ennuyeux » du sempiternel critique de La Provence qui a achevé de m’y faire courir marcher… d’autant plus que nous avions bénéficié de l’excellent entraînement des Sentiers noirs de Sylvain Tesson mis en marche par le réalisateur Denis Imbert.

    « Je vais marcher et tu vivras »… l’enthousiasme, la « foi » (même si elle n’est pas religieuse) que révèle cette « promesse » constitue le sujet et l’intérêt du film.

    800 km à pied, « ça use, ça use », et davantage que « les souliers »… Harold ne chante pas mais il subit – peut-être d’autant plus - ces handicaps physiques et psychologiques, dont la publicité  et la popularité ne furent pas les moindres.
    On pense aux marcheurs de Compostelle, et d’ailleurs, dont la solitude les protège de ce que l’Evangile appelle  « les sollicitudes de ce siècle et l’illusion des richesses ».

    « La route est longue, longue, longue.
    Chante si tu es fatigué.

    (…)

    Si la route est souvent austère,
    Garde toi jamais d’oublier
    Qu’elle te mène à la lumière,
    A la joie, à la vérité ».

    guilhem de tarlé.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    1AZ.jpg

     

    À Nice, des groupes d’élèves de plusieurs écoles ont organisé des prières musulmanes sur leur temps de pause méridienne. Une "minute de silence à la mémoire du prophète Mohammed" a, par exemple, été respectée par des enfants scolarisés en CM1 et CM2...

    Ces prières à l’heure du déjeuner concernent dix élèves de CM1, le 16 mai, et trois enfants du même niveau dans une autre école, le 5 juin, a précisé le Rectorat de Nice au Figaro. Dans un troisième établissement, un élève de CM2 a pris l’initiative, le 8 juin, d’organiser la minute de silence à la mémoire de Mohammed, en appelant ses camarades à y participer.

    En tout, une quinzaine d’élèves sont concernés, dans cinq établissements de primaire (Saint-Sylvestre, Fuon Cauda et Bois de Boulogne) et de secondaire (collège Pablo-Picasso, à Vallauris, et lycée d’Estienne-d’Orves, à Nice)...

    Mais, soyons clairs : ce qui nous étonne, c'est...

    que l'on s'étonne !

    Des mots indignés ont été prononcés ici ou là, mais, pourquoi s'indigner ? : si l'on plante un arbre, s'indignera-t-on de le voir, à son heure, donner des fruits ?

    Bossuet disait : "Dieu se rit des hommes qui maudissent les conséquences dont ils chérissent les causes...".

    Le Système a imposé à la France, depuis cinq décennies, une greffe jamais vue de population étrangère, provenant très majoritairement d'Afrique du Nord et sub-saharienne; et dans laquelle on compte de très, très nombreux musulmans.

    Quinze millions d'entrées - à la louche - en un peu plus de quarante ans : du jamais vu !

    Certes, tous ces nouveaux venus ne sont pas musulmans, et même, chez les Noirs, compte-t-on de nombreux chrétiens.

    Il n'empêche : dans ce trop grand nombre d'entrées en trop peu de temps, on compte forcément - on pourrait dire : statistiquement - une part forcément importante de musulmans. Et, dans le contexte d'incandescence qui est celui des mondes islamiques aujourd'hui, on aurait bien du se douter, en haut lieu, qu'un jour, forcément, il se poserait un certain nombre de problèmes, liés aux traditions et façons d'être et de faire, aux moeurs et coutumes (alimentaires, vestimentaires, religieuses et autres) de ces populations; et se dire que, peut-être, que, probablement, la greffe pourrait ne pas prendre...

    Alors, maintenant que la masse est telle que partout fleurissent les abayas, les voiles et - dans le sujet qui nous occupe ici - des prières en plein air (peu importe que ce soit dans les rues ou dans les établissements scolaires) on ferait mine de s'étonner, de s'indigner, d'écrire au Préfet, voire, comme ce pauvre Estrosi, au Premier ministre, dame Borne, pour lui dire, l'air scandalisé, que, c'est bien connu, quand les bornes sont franchies, il n'y a plus de limites ?

    Soyons sérieux : ce n'est pas le fait que quelques ados, manipulés de toute évidence par leurs parents ou par les groupes islamiques, aient organisé des prières en public et dans des écoles qu'il faut dénoncer : c'est la politique folle et suicidaire, mais voulue, du Système, qui nous a conduit là où nous en sommes. Et nous n'en sommes qu'au début, qu'à l'apéro, si on nous permet la familiarité !....

    C'est donc ce Système lui-même qu'il faut accuser, lui qui change le Peuple, aujourd'hui dans sa composition ethnique, après l'avoir changé, hier, dans son esprit et son mental, en menant une lutte quotidienne contre nos Racines historiques et religieuses, qui sont chrétiennes...

    À qui profite le crime ? Dans Atlantico, l'article de Guylain Chevrier : 

    "ASSAUT SUR LA LAÏCITÉ : Derrière les prières musulmanes dans des écoles de Nice, la redoutable stratégie d’entrisme islamiste dans l’Education nationale" :

    https://atlantico.fr/article/decryptage/derriere-les-prieres-musulmanes-dans-des-ecoles-de-nice-la-redoutable-strategie-d-entrisme-islamiste-dans-l-education-nationale-guylain-chevrier

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Au cinéma : Casablanca, par Guilhem de Tarlé

    Casablanca en DVD : Casablanca - Édition Collector - AlloCiné

     

    Arts & Ciné  : Casablanca,  un film américain de  Michael Curtiz,  avec Humphrey Bogart (Rick Blaine, tenancier américain d’un night-club), Ingrid Bergman ( Lisa Lund, épouse de Victor Laszlo, et ancienne amante de Rick), Paul Henreid  (Victor Laszlo) et Claude Rains (Capitaine Louis Renault).

    Réalisé et sorti en 1942 aux USA, ce film manque évidemment de précisions historiques pour le spectateur de 2023. Nous sommes avant le débarquement anglo-américain en Afrique du Nord, dans un Maroc, Protectorat français, sous l’autorité du Gouvernement, dont le siège est en zone libre à Vichy. L’action se déroule, presque uniquement, au Rick’s Café Américain où se côtoient officiers allemands et des Français de toutes opinions et stratégies politiques…

    Le scénario se résume en une belle histoire d’amours, au pluriel, pour souligner deux belles histoires d’amour, et la difficulté qu’éprouve Lisa à choisir entre son mari et son amant. C’est en quelque sorte une transposition du dilemme de l’époque : qui peut dire, ne l’ayant pas vécu, quel choix il aurait fait entre l’engagement dans la Résistance et l’autorité légale de l’Etat français, entre la « France libre » et la « Révolution nationale », entre l’épée et le bouclier. Les deux n’avaient-ils pas leur légitimité ? on connaît la formule de Jean de La Varende : « Le plus difficile n’est pas de faire son devoir, c’est de savoir où il se place ».

    La plus belle scène, en tout cas, la plus émouvante, qui à elle seule vaut la peine de voir ou revoir ce long-métrage, montre les occupants entamer un hymne patriotique allemand, immédiatement couvert par une Marseillaise tonitruante chantée, debout, par tous les clients du cabaret.

     

    guilhem de tarlé.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    1A3.jpg

    MBS, Prince héritier d'Arabie Séoudite, est à Paris, et Ouin-Ouin, président de la Ligue des Droits de l'Homme est venu pleurer, hier matin, sur France info, disant - en substance, et entre autres insanités - que cette visite était une honte, et qu'elle était contraire aux "valeurs" (!) du pays des droits de l'homme...

    Certes, nous ne souhaiterions pour rien au monde à la France un Régime et une Société qui seraient un tant soit peu comparables à ce que l'on voit en Arabie.

    0n rappellera juste, cependant, à ce monsieur Ouin-ouin que son "pays des droits de l'homme", son Système, plutôt, sa République idéologique, a froidement perpétré le premier Génocide des Temps modernes, le Génocide vendéen, précurseur, matrice et modèle de tous les suivants, et qu'il ajoute à ce crime de Génocide un second, terrible lui aussi : celui de mémoricide... 

    On lui rappellera aussi cette horreur proférée par Clemenceau :

    "J’approuve tout de la Révolution : j’approuve les massacres de septembre où, pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts.

    J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée.

    J’approuve les horreurs de Lyon, où l’on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre vingt dix ans et de jeunes filles à peine nubiles.

    Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche.

    Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l’État, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat..."

    Quand on approuve "ça", monsieur Ouin-Ouin, Génocide/Mémoricide, propos abjects de Clemenceau et tout le reste, on ne vient pas pousser des cris d'orfraie à la radio...

    Il vaudrait peut-être mieux avoir l'ouverture d'esprit de vous informer, en lisant, par exemple, notre courte note, en page d'accueil de notre Quotidien :

    (2/2) Ces évènements historiques, ces faits et idées reçues qu'il nous faut "reprendre", et qu'il faut re-nommer correctement : l'alter-révolution passe aussi par la sémantique...

    Il semblerait que le nombre de morts soient plutôt autour des 220 000.

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Le Carrefour des acteurs sociaux propose...

    CAS.jpg

    ...la vidéo qui  fait suite à la table-ronde du 14 juin animée par Patrice Vermeulen avec des interventions de Azim Mandjee, Philippe Kaminski, Gérard Pelletier,  Cheryl Toman, Christian Tremblay et Ilyes Zoauri.

    Un compte rendu plus court devrait paraitre par écrit et en vidéo...

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur "le scandale de Lyon", excellente réaction de Matthieu Bock-Côté (dans Face à l'info, chez Christine Kelly) :

    "Écosexualité devant des enfants : la vidéo choc !..."

    (extrait vidéo 9'31)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1669044883217166336?s=20

     

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Au Cinéma : Faces cachées, par Guilhem de Tarlé

    Faces cachées - film 2020 - AlloCiné

     

    Arts & Ciné  : Faces cachées,  un film irlandais (vostf) de Joe Lawlor et Christine Molloy,  avec Ann Skelly (Rose, étudiante en médecine vétérinaire), Oria Brady et Aidan Gillen (Ellen et Peter, ses parents).

    Faces cachées… « Un thriller palpitant » selon L’Incorrect… et j’y suis donc allé les yeux fermés… Certes je ne regrette pas de les avoir ouverts, mais je suis néanmoins assez déçu. Vous avez dit « palpitant » ? En tout cas il n’est pas « trépidant ».

    Que M. Darmanin se rassure, ces Faces cachées ne sont pas celles de ces militants d’ « extrême droite » ou d’ « ultradroite » dont il a exigé d’interdire les manifestations.
    Ce film n’est pas un documentaire politique… quoique… curieusement il débute sur l’euthanasie d’animaux… Est-ce pour nous habituer à cette fin de vie ou, au contraire, pour illustrer la continuité qu’il peut y avoir entre cette pratique et l’assassinat ?

    Je me refuse à en écrire davantage pour ne pas dévoiler l’intrigue, ce qui abolirait le peu d’intérêt qu’on peut trouver à ce « lent-métrage ».
    Non… et je vous renvoie aux Âmes sœurs, l’assassin n’est pas le maître d’hôtel.

    guilhem de tarlé.jpg