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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    L'autre scandale de l'affaire Haouas...

    Le vrai scandale de cette affaire ignoble, ce n'est pas, en tant que tel, l'acte inqualifiable de ce sauvage, puisqu'il a soulevé l'indignation, la réprobation et la condamnation unanime du public; et puisque tout le monde en a, à juste titre parlé, pour le condamner.

    Non !

    Le vrai scandale c'est la chose dont on ne parle pas; le vrai scandale c'est que, quand Mohamed Haouas violente sa femme, les féministes ne bronchent pas : Schiappa, Rousseau, Autain, Panot… aucune réaction sur les réseaux, aucune condamnation de cet acte barbare.

    À gauche et à l'extrême-gauche, on est toujours là pour la dernière cinglerie de foldingue qui vient de sortir, ou pour condamner tel ou tel abominable facho, qui vient de dire qu'il faisait jour à midi, mais on ne dénonce pas - surtout pas !... - les actes commis par des personnes "racisées" !

    "Il n'y a pas d'abonné(e) au  numéro que vous avez demandé..."

    Bande de Tartufes !

    (Au fait, on dit comment, au féminin, puisqu'elles veulent tout féminiser ? Tartufeuses ? Tartu...fesses ?

    Il faut absolument qu'on sache !!!!!)

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    LA MESSE AVEC LE PAPE FRANÇOIS AU STADE ORANGE VÉLODROME DE MARSEILLE, LE 23 SEPTEMBRE PROCHAIN...

    La messe du pape François aura bien lieu au stade Orange Vélodrome à Marseille

    C’est officiel et le diocèse de Marseille l’annonce dans un communiqué : le Pape François célébrera la messe, le samedi 23 septembre à 16h45, au Stade Orange Vélodrome, dans la cadre des Rencontres méditerranéennes. 

    On admirera la banalité du propos du cardinal Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, qui confirme l'évènement, mais surtout le fait que chacun puisse y mettre ce qu'il veut : "Lorsque le Pape célébrera la messe au stade Orange Vélodrome, lieu qui rassemble Marseille dans toute sa diversité, ce sera comme s’il se rendait chez chaque Marseillais".

    Chef d'oeuvre de langue de bois, qu'il serait abusif de qualifier de "langage diplomatique", ce propos vide et creux renvoie au problème du Pape : il est La Samaritaine à lui tout seul, illustrant à merveille le slogan du Grand magasin : "On trouve tout à La Samaritaine !".

    Pour François, en effet, on trouve tout, chez lui, on n'a que l'embarras du choix. Du bon (avec Laudato si') au plus que contestable, critiquable et qui doit être combattu : sa détestation du Traditionnalisme et sa volonté de l'étouffer; ou son soutien constant et inconditionnel à l'invasion de l'Europe par les envahisseurs, d'où qu'ils viennent, pourvu qu'ils envahissent...

    François n'aime pas l'Europe, il n'aime pas la France (ou, plutôt, il s'en fiche éperdument) : tout le monde le sait. Quelle différence avec les chers Saint Jean-Paul II et Benoît XVI ! Pourtant, il va venir, et à Marseille. C'est là qu'on peut craindre le pire, avec le propos cité plus haut du Cardinal : "Marseille dans toute sa diversité" !... Ça promet, accrochez-vous !

    Cependant, ne soyons pas oiseaux de mauvais augure : François va venir, et on le recevra comme il convient. Mais on se réserve par avance le droit d'exercer notre liberté de jugement, de ton et de propos en ce qui concernera, justement... ses propos.

     

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  • Au cinéma : Le grand chemin, par Guilhem de Tarlé

    Le grand chemin - la critique du film - CinéDweller

     

    Art et Essai :  Le Grand chemin, un film français de 1987 (reprise en août prochain), de Jean-Loup Hubert, avec son fils Antoine Hubert (Louis). Anémone (Marcelle) et Richard Bohringer (Pelo).

    Décidément je dois être un bien horrible personnage pour ne pas partager l’émotion de mon épouse, de la salle et des critiques, devant ces souvenirs d’enfance du réalisateur. « Tout ce qui est conté, nous dit-il, est vrai (…) à l’exception des scènes en haut de l’église». L’action se passe en 1960 dans la France de notre enfance qui fait couler des larmes nostalgiques aux yeux des spectateurs, mais ce long-métrage m’a paru superficiel et sans intensité.

    Cette réalisation date de 1987, et l’on ne peut donc pas évoquer un effet de mode, mais déjà j’avais été déçu par L’Île rouge dans lequel (sur laquelle) le réalisateur, Robin Campillo, raconte sa prime jeunesse, en 1972, à Madagascar.
    Plus curieux, ce scénario d’un enfant confié à un couple « qu’un lourd secret sépare », en pleine campagne, se retrouve pratiquement à l’identique dans la production irlandaise d’avril dernier, The quiet girl, adaptée d’une nouvelle de 2011, Les trois lumières (Claire Keegan).

    Finalement, à force de sortir de 10 à 20 films par semaine, qui disparaissent de l’affiche aussi vite qu’ils y apparaissent, l’imagination ou l’innovation n’arrivent sans doute pas à suivre et le « copié-collé » semble avoir de beaux jours devant lui.

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  • Au Cinéma : Sept hivers à Théhéran, par Guilhem de Tarlé

    Sept hivers à Téhéran - film 2023 - AlloCiné

    Art et Essai : Sept hivers à Téhéran,  un documentaire allemand de Steffi Niederzoll avec Reyhaneh Jabbari et Shole Pakravan (sa mère)

    Sept hivers à Téhéran… un documentaire sur l’histoire d’une jeune iranienne condamnée à mort après avoir assassiné un homme qui tentait de la violer. On y apprend que la loi du Talion, en Iran, donne à la famille de la victime le droit de vie ou de mort sur le coupable.

    L’histoire est sans doute vraie, en tout cas c’est un véritable documentaire autour d’images le plus souvent prises de travers avec un téléphone portable, et des monologues de l’accusée, de sa mère, de ses sœurs et de codétenues… le tout en iranien, soit plus d’une heure et demi à lire des phrases qui défilent en bas de l’écran… pas de quoi susciter la moindre émotion, sauf peut-être durant les dernières minutes.

    Quel est l’intérêt de cette production, 9 ans après la pendaison de l’accusée ?

    Le réalisatrice aurait sans doute pu faire un bon film au lieu de ce pensum.

    Je ne crois, pour ma part, déjà pas « en la Justice de mon pays »… et je n’ai pas attendu Steffi Niederzoll pour n’avoir aucune illusion sur les mollah iraniens…

    Une espèce de soixante-huitard m’a abordé à la sortie de la salle pour dénoncer la « dictature iranienne »… Sans doute était-il de ceux qui, en 1978-79, dénonçait celle du Shah, et se réjouissait de l’attitude « libérale avancée » de Giscard d’Estaing qui accordait l’asile politique au « touriste » ayatollah Khomeny à Neauphle-le-Château.

    Quand elle le lira, mon épouse, davantage émue que moi, jugera ce commentaire très sévère.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Dans Le courrier des Amériques, un inattendu mais réjouissant et réconfortant 

    Pourquoi Jeanne d’Arc est-elle aussi une héroïne aux Etats-Unis ?

    Pourquoi Jeanne d’Arc est-elle aussi une héroïne aux Etats-Unis ? - Le Courrier des Amériques

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Hier, nous parlions ici-même de nos frères du Kosovo, pour, modestement et avec nos trop faibles moyens, au moins dire qu'ils sont chez eux, chez eux, dans leur terre du Kosovo serbe, et qu'ils sont fondés à reprendre, fût-ce par la force, ce qu'on leur a injustement enlevé, par la force...

    Nous exprimons aujourd'hui - une fois de plus !... - notre soutien à d'autres frères : ceux d'Arménie, en général, et de l'Artsakh, en particulier : ils sont en première ligne face à l'agression brutale et haineuse de l'Islam expansionniste exterminateur, comme en 1915...

    Au moins, nous ne les oublions pas, nous ne restons pas indifférents : mieux vaut allumer une lumière, si petite soit-elle, que de maudire l'obscurité...

    https://factuel.media/blogs/blog-articles/quel-avenir-pour-les-120-000-armeniens-du-haut-karabagh_ba_20506902

    Paris : Rassemblement pour Artsakh

     

    VIVE LE KOSOVO SERBE !

     

    VIVE L'ARTSAKH LIBRE,

     

    PARTIE INTÉGRANTE DE L'ARMÉNIE !

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    La Marine nationale (la Royale...) rend hommage à l'un des siens, sur son excellent site, remarquablement fait et tenu :

    https://www.colsbleus.fr/sites/default/files/2023-03/CB3110_Complet_Planche.pdf

    Marine nationale
    "[#Histoire] François Athanase Charrette de La Contrie, s’il fut généralissime de l’Armée catholique et royale contre la Convention, fut aussi et surtout durant 12 ans marin ! Cols bleus vous fait découvrir cette carrière méconnue !"
     
    Il y a 26 pages/illustrations sur la colonne de gauche : c'est la 24ème qui est dédiée au grand Charette...
     
    François Athanase Charette de La Contrie — Wikipédia
     

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  • Au Cinéma : Le Principal, par Guilhem de Tarlé

    Le Principal - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Le Principal,  un film français de  Chad Chenouga,  avec Roschdy Zem et Yolande Moreau (Sabri Lahlali et Estelle, le Principal adjoint et le Proviseur), Heidi Bouchenafa (Saïd), d’après des faits réels.

    Le Principal… A l’exception des Enfants des autres (2022), l’excellent Roschdy Zem joue principalement dans de bons ou très bons film dont on observe qu’ils reposent souvent sur la question de l’assimilation… Sabri Lahli en est un exemple qui a épousé une « de souche », mais il en est séparé certainement en raison de relations difficiles avec ses beaux-parents ?  Quant à Saïd, son frère…

    Ce n’est, néanmoins, pas là, le sujet principal de ce film et l’on m’a soufflé, avec amusement, qu’il fallait peut-être y voir le triste « pas de vagues »  de l’Education nationale !

    En fait ce film est médiocre – avec un début beaucoup trop long – qui ne met pas véritablement en exergue la question principale que le réalisateur a dû, sans doute, vouloir poser, tirée d’un roman américain de 1995, L’Homme-dé, de Luke Rhinehart : Peut-on jouer aux dés les décisions à prendre ?  

    Je n’ai pas lu le roman mais je déplore que cette idée ait été gâchée, à commencer par le titre même du film qui au lieu du  banal Principal aurait pu mettre en éveil le spectateur : Le dé.

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  • À la découverte du fonds lafautearousseau (45) : La Sainte Chapelle...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : la Sainte Chapelle...

    (tiré de notre Éphéméride du 25 avril)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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