Macron a reçu le Chef Raoni.
Cela ne nous surprend pas, ne nous déplaît pas, bien au contraire !
Nous aussi, nous respectons le Chef Raoni, et nous respectons les peuples autochtones, non seulement en Amazonie mais sur toute la surface de la terre.
Ce qui nous fait "tiquer", par contre, c'est le message posté par "Macron officiel" sur tweeter :
"Préserver les forêts tropicales, faire respecter les droits des peuples autochtones, c'est toute sa vie, son combat pour l'Humanité. À l'écoute du Cacique Raoni, 18 jours avant le Sommet de Paris pour un nouveau pacte financier mondial dont le monde a besoin."
"Faire respecter les droits des peuples autochtones" ? Vraiment ? Il le croit, Macron, que lui et le Système qu'il préside respectent les droits du "peuple autochtone" en France ?
Il poursuit - et amplifie même - la suicidaire politique qui le dilue, le dissout dans une immigration aussi massive qu'incontrôlée (et, surtout, inutile et non souhaitée par le-dit Peuple...) : quinze millions d'étrangers en quelques décennies, une ville comme Toulouse chaque année...
Il était, hier, au Mont Saint Michel pour exalter la France et sa culture, mais il déclarait, naguère : "Il n'y a pas de culture française, il y a des cultures en France, qui font la culture française..." !
Il faudrait savoir...
Et bien entendu, in fine, "Macron officiel" parle d'un "pacte financier mondial" : encore et toujours, l'Argent ! Tout considéré et analysé sous le seul angle économique et matériel ! Parles-nous un peu moins de fric, Macron, et un peu plus de notre coeur, de notre Esprit, de l'âme de la France...
Une Nation, un Pays, une Culture, une Civilisation, oui, c'est du matériel (il faut bien les construire, les cathédrales, et payer les tailleurs de pierre !...); oui c'est la gestion des choses et des gens; oui, c'est, aussi, de l'horizontal, du quotidien...
Mais, un Peuple, c'est surtout - "sur tout" - du vertical; c'est surtout - "sur tout" - une politique de Civilisation, qui tire vers le Haut, vers le Vrai, le Beau, le Bien...
Il suffit de regarder le château de Versailles, pour bien comprendre : tout y dit la majesté, la puissance, la force et la grandeur du Roi, du pouvoir politique de celui qui a été voulu, là, pour gérer les choses de la terre. Mais, pourtant, une chose dépasse les toits du château, et domine l'ensemble : la Chapelle, qui, surgissant des toits et s'élançant vers le Ciel, montre bien qu'il y a plus haut que le pouvoir des hommes, ce pouvoir qui leur est donné, essentiellement, pour permettre l'ascension des peuples qui leur sont confiés vers les réalités des choses d'en haut...
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