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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas. Ou : sur deux phrases du Blog d'Ivan Rioufol...

    1. "...Découragée à force de n'être ni entendue ni soutenue dans son combat républicain, Malika Sorel, française d 'origine algérienne, vient de jeter le gant..."

    2. "Faudrait-il se résigner à la "chute du modèle français", qui accable l'écrivain Richard Millet ? "La France est le seul pays d'Europe dans lequel la terreur communiste ait réussi, en l'occurrence sous la forme de l'anti-racisme", écrit-il (De l'anti-racisme comme terreur littéraire, Éditions Pierre-Guillaume de Roux). Il réclame le droit de défendre ses racines et sa culture sans être pour cela insulté et trainé dans la boue. Mais l'unanimisme médiatique l'a rendu détestable. On veut rendre inaudible un écrivain qui entend "dire littérairement la vérité sur la France"....."

    Mais, justement, Richard Millet fait une constatation (juste) sans poser ou se poser la question du "pourquoi" ? Pourquoi la France est-elle "le seul pays" dans lequel la Terreur communiste a réussi ? Tout simplement parce que la France n'est pas une République, au sens traditionnel et normal du mot  (comme en Suisse ou en Allemagne, où ce mot de République est pris au sens de "technique", de "mode" de gouvernement des choses et des gens); en France, la République instituée en 1875 est une république idéologique, fondée sur le messianisme révolutionnaire et religieux de 1789/1793. Elle est donc révolutionnaire, "de gauche" et "d'extrême-gauche", pour employer un langage grand public, même si ce sont des majorités réputées "de droite" qui gouvernent. Le Système, lui, la Constitution, ne change pas. Ni son préambule d'origine, qui est très clair, même s'il a été légèrement modifié (dans la "forme", pas dans le "fond)" :

    "Le Peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946...."

    Les bases de notre répubique ne sont donc pas celles d'une Res publica, comme partout dans le monde, elles sont des bases iédologiques et militantes révolutionnaires, issues de la Révolution de 1789, confirmées et aggravées lors de la soviétisation d'une partie du pays par un parti communiste extrêment puissant en 1945; n'ayant pu s'emparer complètement à l'époque de la totalité du pouvoir, notamment politique, les révolutionnaires, emmenés par un PCF appuyé par Staline et extrêment fort s'est emparé des secteurs clés de l'Enseignement, des Médias, de l'Economie... Même si le PCF a disparu aujourd'hui, et une partie de cette soviétisation avec, 85% des journalistes sont "de gauche" ou "d'extrême-gauche" dans les radios ou télés d'Etat; le Ministère de la des-Éducation nationale, lui, est est un bunker verrouillé... et ainsi de suite.....

    Voilà pourquoi, Richard Millet, "la France est le seul pays..." : parce que, même si les communistes n'y règnent pas en maîtres, elle est prisonnière, enfermée dans un carcan qui s'appelle le Système; et ce Système, il est révolutionnaire, même "dirigé" (!) par la droite.

    Et voilà pourquoi, Malika Sorel, vous ne pouvez être "ni entendue ni soutenue dans (son) combat républicain" : parce que vous inscrivez votre combat dans un Système qui n'aime pas la France historique, héritée des siècles passés, mais qui aime la France idéologique qu'il a inventée et définie... Ce Système hait et combat nos Racines, il veut leur mort, et vous voudriez qu'il vous aide à rendre "français" des étrangers, alors qu'il n'a qu'une idée en tête : dé-franciser les français eux-mêmes et les couper de leurs Racines, afin d'en faire de nouveaux français, des français "autres", dont la définition n'est pas d'être des héritiers - surtout pas, "du passé faisons table rase !" - mais des adeptes d'idées abstraites et desincarnées : "droits de l'homme", "liberté, égalité (qui, d'ailleurs s'excluent l'une l'autre...), fraternité (mais avec le Génocide vendéen, quand même...)...

    Simple technique de gestion des hommes et des gens en Suisse ou en Allemagne, la république est idéologique en France : elle se veut, elle se vit comme un messianisme révolutionnaire, une nouvelle religion prétendant extirper et remplacer la religion traditionnelle (la chrétienne), ce qui l'empêche, soit dit en passant, d'être authentiquement, véritablement et sainement laïque, puisqu'elle est elle-même une  religion....

  • La Dizaine de MAGISTRO...

     MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 : Présentation de Magistro par François Georges Dreyfus.pdf


    * Liens : - http://www.democratiedirecte.fr/  (Yvan Blot)

                 - http://www.henrihude.fr/ (le Blog de Henri Hude)  

    Roland HUREAUX, Essayiste : Une idée qui redevient neuve : la dévaluation
    * Marie-Noëlle TRANCHANT, Journaliste : En souvenir de Georges Suffert
    * François-Xavier BELLAMY, Professeur de philosophie : Retrouver le prochain 
    * Roland HUREAUX, Essayiste : Les 'think tanks' : vraie expertise ou officines idéologiques ?
    * Olivier ABEL, Professeur de philosophie : Une crise fiduciaire
    * Basile de KOCH, Journaliste : Hessel et les gens bons
    * Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : Schizophrénie française
    * François JOURDIER, Officier, Contre amiral (2S) : Retour à Mururoa
    * Yves MEAUDRE, Directeur général d'Enfants du Mékong : Leçon de Confucius
    * Vincent DESPORTES, Officier, Général de division (2S), Ancien commandant de l’École de Guerre : Pistes stratégiques
    * Yves-Marie LAULAN, Géopoliticien : Sur la mort de 4 de nos soldats en Afghanistan
    * Roland HUREAUX, Essayiste : TVA Sociale : un protectionnisme déguisé ?
    * Denis TILLINAC, Ecrivain : Halte au feu  !
    * Roland HUREAUX, Essayiste : Moyen-Orient : quand la déraison du plus fort fait loi

    Le Basile de Koch (intégral) : Hessel et les gens bons...

            Soirée spéciale 'indignation', vendredi dernier sur France 5 : Franz-Olivier Giesbert consacrait à cet intéressant phénomène le troisième numéro de sa mensuelle, 2012 : les grandes questions. Le concept de l’émission, selon les propres termes de son patron : "mettre les grandes idées à l’épreuve des faits". Sûr qu’avec l’ 'indignation', ça allait être coton.
            Invité vedette de la soirée, naturellement, Stéphane Hessel, "le pape de l’indignation, notre trésor national", comme le présente Giesbert avec une emphase nettement teintée d’ironie. Pour parler de son grand œuvre, l’intéressé, lui, a le triomphe presque trop modeste : Ce "petit livre" au "succès exagéré"… minaude-t-il.
            Autour du grand homme et de son "petit livre", donc, FOG a réuni un plateau prestigieux : pas moins de trois philosophes, plus une économiste et même un neurobiologiste (pour parler du "siège de l’indignation dans le cerveau" !).
            Mais que pèsent tous ces experts et leurs arguties face à la statue du Commandeur Hessel, avec ses chiffres qui parlent pour elle : 30 pages dont 15 de texte, 4 millions d’exemplaires vendus sur les 5 continents et 94 ans – "bientôt 95", précise le coquet.
            Car cette statue-là aussi parle, sauf qu’elle ne sait que répéter en boucle le même mantra : "Indignez-vous avec moi du Mal au nom du Bien". Qui dit mieux ?
            Pour lancer ce cri primal, à vrai dire, même quinze pages ça fait beaucoup. Mais la naïveté du message hesselien n’empêche pas la rouerie du messager, qui sait par cœur comment plaire : ne jamais se fâcher, si possible sourire – et toujours faire mine de donner raison à son contradicteur, quitte à suggérer, dans la foulée, qu’on a juste pensé un peu plus profond.
            Ainsi notre pape ira-t-il jusqu’à renier trois fois son dogme fondateur : oui, concède-t-il volontiers, l’indignation en soi est vaine si elle ne débouche pas sur l’engagement. (Mais alors, que n’a-t-il intitulé sa brochure "Engagez-vous !" ?)
            Seul parmi ses interlocuteurs, Finkielkraut pense exactement le contraire : entre cette émotion que sont l’indignation et l’engagement, il est recommandé de passer par la pensée… À défaut, on risque de se tromper d’ennemi, de problème et donc de solution ; bref, de faire n’importe quoi.
            Pour Finky, l’urgence est d’en finir avec le "triple paradoxe de notre intelligentsia" qui consiste à remplacer "l’intelligence par l’indignation ; la morale de responsabilité par la morale de conviction ; la complexité du monde par la simplification extatique des problèmes", suivez son regard…
            Il a raison, Alain le stylite : le succès du manichéisme compassionnel qui tient lieu de doctrine à Sa Sainteté Stéphane Ier témoigne d’une inquiétante régression de l’esprit public et du débat démocratique, qui n’avaient pas besoin de ça.

  • Objectif 5.000 (pour commencer...) pour notre Page facebook ”Lafautearousseau Royaliste”......

     Page Facebook "Lafautearousseau Royaliste"

    cliquez sur l'image...

             Lancée il y a à peine deux mois, notre page Facebook va sur son premier millier d' "amis". Nous en voulons 5.000 (pour commencer...) afin de démultiplier toujours plus le retentissement de tout ce qui se fait, se dit, s'écrit, s'enregistre, partout en France; en fait tout ce qui représente ce royalisme intelligent, sans nostalgie ni folklore, qui cherche à répondre aux préoccupations essentielles des Français... Et, surtout, aux véritables exigences de notre Bien Commun national.

            Facebook, on l'a bien vu avec les révolutions arabes, a surtout vocation à être une caisse de résonnance, à jouer le rôle qu'est celui du tam-tam des sociétés africaines. Facabook a donc une fonction de transmission des informations et, même, une fonction de convocation. C'est à quoi notre Page Facebook doit servir en synergie avec le quotidien lafautearousseau où l'actualité est analysée, où les objectifs royalistes sont explicités.

            Des questions simples, que beaucoup se posent, y sont formulées : où deux siècles de République et de révolutions ont-ils conduit la France et l'Europe ? Où en est la société française ? Le peuple français est-il satisfait der la situation actuelle, de ses dirigeants, de son système politique ?

            Les plus graves problèmes actuels y sont analysés et débattus : la crise; les tensions liées à l'immigration; la rupture de plus en plus grande des Français à l'égard de leurs dirigeants; les abandons de souveraineté de la France ...

            Un projet royaliste ne serait-il pas plus nécessaire, plus actuel qu'il n'y paraît !...

            Pour atteindre notre premier objectif de 5.000 "amis" de notre Page Facebook - objectif qu'il faudra ensuite dépasser... - nous avons besoin de vous : inscrivez-vous comme "ami", si vous ne l'avez déjà fait, parlez de cette page autour de vous et faites-la connaître, suscitez non pas un mais plusieurs "amis" à cette page, même et surtout s'ils ou elles ne sont pas tout à fait royalistes, ne nous connaissent pas, ou mal...

              Nous progressons, lafauteraousseau se développe, les téléchargements de nos vidéos augmentent sans cesse (bientôt 300.000 sur le site Viméo qui les héberge...), des vidéos dans lesquelles sont analysés tous les sujets cruciaux du moment : la théorie du genre, la Crise, la Présidentielle, les "Printemps arabes" (!), le déclin de la Civilisation européenne, la Révolution, la Nation face à l'immmigration...

            Cette Page Facebook "Lafauteraousseau Royaliste" doit devenir un moyen supplémentaire pour toucher de nouveaux publics, en France métropolitaine, dans l'Outre-mer et à l'étranger : elle est en train de le devenir, aidez à son développement, donnez des ailes à nos idées, c'est facile, c'est pas cher, et ça peut rapporter gros....

  • JMJ et Ramadan ? Il y a les Racines authentiques, les traditions essentielles et constitutives; et les autres...

            En ce mois d'août 2011, il est difficile de ne pas noter la coïncidence des JMJ de Madrid et du Ramadan...

            Par contre il n'est pas difficile de noter une différence de traitement certaine des deux évènements par les journalistes de la télé et de la radio...

            "On" n'a, ainsi, pas encore beaucoup parlé des JMJ, sur les ondes, sauf dans le bon reportage ci après. Par contre, depuis hier, on n'y échappe plus : le ramadan par ci, le ramadan par la : c'est reparti pour un tour !...

            Et "on" va nous re-bassiner avec un Islam très largement idéalisé et fantasmé, très beau, très grand, très généreux et tout et tout, et gna, gna, gna... Mais qui, dans le concret ("au niveau du vécu", comme on dit dans le jargon), n'existe quasiment nulle part, alors que, dans la réalité quotidienne des sociétés qu'il induit, la vie en terre d'Islam est impossible de fait pour qui n'est pas musulman. Ou alors, c'est pas très éloigné de l'enfer : mais là, le plus souvent, c'est silence radio !....

            Toutes les cinq minutes, un chrétien est tué, dans le monde, à cause de sa foi. Et, si l'on excepte la Chine, la Corée du Nord et trois autres, quinze des vingt pays les "plus persécuteurs" du début de la liste sont - question à un centime d'euro - des pays... ? Mais, là, rien d'autre qu'un silence assourdissant (1)....

            Aux musulmans sincères, on peut évidemment souhaiter un bon ramadan : en 2008, Benoît XVI (qui arrivait en période d'ouverture du Ramadan, justement) l'a fait, en commençant son Discours des Bernardins, et il a bien fait. Il ne s'agit pas, ici, de dénier à quelque homme ou femme que ce soit le droit d'être respecté(e) dans sa religion, ni de la pratiquer. Comme nous l'avons écrit souvent ici-même, dans toute société digne de ce nom, l'aspiration au religieux, au spirituel est forcément respectée. Il s'agit simplement de s'étonner (doux euphémisme...) du traitement de faveur accordé par une trop large part des médias et des journalistes à l'Islam et au Ramadan qui, malgré qu'ils en aient, ne sont ni l'un ni l'autre des éléments constitutifs et fondateurs de la Nation française. Et cela dans le même temps où ils en accordent si peu, de l'importance, aux JMJ de Madrid...

              Dernière chose, à l'attention des naïfs qui s'extasient (avant de possibles réveils douloureux...) : si le Ramadan est suivi par 71% des musulmans, et si un musulman sur quatre va a la mosquée (contre un sur cinq il ya vingt ans), comme nous le serinent certains journalistes avec une évidente jubilation, cela veut simplement dire qu'il y a une radicalisation des esprits et une ré-islamisation galopante (surtout chez les jeunes), et que l'une et l'autre sont probablement porteuses de problèmes futurs, des affrontements plus ou moins violents n'étant pas à exclure : mais leur demander de voir un peu plus loin que le bout de leur nez, c'est beaucoup trop demander a certains...

    1. Corée du Nord / 2. Iran / 3. Afghanistan / 4. Arabie Saoudite / 5. Somalie / 6. Maldives / 7. Yémen / 8. Irak / 9. Ouzbékistan / 10. Laos / 11. Pakistan / 12. Erythrée / 13. Mauritanie / 14. Bhoutan / 15. Turkménistan / 16. Chine / 17. Qatar / 18. Vietnam / 19. Egypte / 20. Tchétchénie

  • La Dizaine de MAGISTRO...

           MAGISTRO ... Droite ? Gauche ? Au milieu ?  ... l'important, ce sont les fondamentaux !

            MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008


    * Liens : -  http://www.henrihude.fr/ 

                  - http://www.democratiedirecte.fr/  (Yvan Blot)   



    Alain JOLY  Pasteur de l'église luthérienne  Hommage à François-Georges DREYFUS  François-Georges Dreyfus est mort à Paris le 25 septembre 2011 ...
    François-Régis LEGRIER  Officier supérieur  Lyautey : cet officier terriblement inefficace  Depuis la révolution industrielle, l’efficacité se décline sous diverses formes : ...
    Chantal DELSOL  Membre de l'Institut  L'imposture de l'État-providence  Au plan d'austérité, les Français réagissent déjà comme les Grecs.
    Eric ZEMMOUR  Journaliste  Le protectionnisme passe les frontières  Longtemps, le protectionnisme fut un sujet tabou.
    Ivan RIOUFOL  Journaliste  Le troisième homme  Le score le plus significatif est bien sûr celui de Montebourg, le troisième homme.
    Philippe BILGER  Conseiller spécial au cabinet D'Alverny, Demont et Associés  Charles de Gaulle à toutes les sauces !  Cela faisait un certain temps que le Général ...
    Chantal DELSOL  Membre de l'Inst itut  Désarroi idéologique à droite  La droite française ne parvient pas ...
    Christophe GEFFROY  Journaliste Le programme du Pape  Une fois de plus, Benoît XVI, au Bundestag, ...

    Extrait du Geffroy, Le programme du Pape (premières lignes) :

            Une fois de plus, Benoît XVI, au Bundestag, nous a délivré une magistrale leçon qui fait suite aux précédents discours de Ratisbonne, de La Sapienza, des Bernardins, à l’université de Prague, au centre culturel de Belem (Portugal) et à Westminster Hall.

            Sa réflexion, sur la raison et la foi, tend à réintroduire la religion comme un "fondement" de la vie sociale, retournant l’hypothèse de Grotius : pourquoi ne pas supposer a priori l’existence de Dieu ? "Le monde de la raison et [celui] de la foi […] ont besoin l’un de l’autre", expliquait-il l’an dernier, c’est pourquoi "la religion n’est pas un problème que les législateurs doivent résoudre, mais elle est une contribution vitale au dialogue national" (1).


            J’expliquais ici le mois dernier combien nos démocraties avaient besoin de sens, d’un fondement moral qui ne soit pas fluctuant selon des majorités de circonstance, faute de quoi elles risquaient de sombrer dans le chaos. Avec Benoît XVI, je pense que cette issue n’a rien d’inéluctable, que nos démocraties ne sont pas irrécupérables, mais qu’il est essentiel de redresser certains travers actuels qui portent en eux les germes de graves dérives tyranniques – nous lisons souvent de fort belles critiques de nos démocraties, mais peu proposent des alternatives crédibles… raison de plus pour écouter le Pape.

            Au Bundestag, il a reconnu que "le critère de la majorité" fonctionnait bien pour réguler une grande partie des problèmes politiques à traiter. "Mais, a-t-il poursuivi, il est évident que dans les questions fondamentales du droit, où est en jeu la dignité de l’homme et de l’humanité, le principe majoritaire ne suffit pas."

  • Politiques de la Ville ? Pourquoi elles n'ont pas marché, pourquoi elles ne marchent pas, et pourquoi elles ne marcheron

                C’est donc écrit noir sur blanc, dans l'article de D.T. :

                il s’agit d’ « Une économie souterraine qui expliquerait une certaine paix des cités » ; et de trafiquants qui encaisseraient « 200 à 250 euros de l’heure », soit « 3.000 euros par jour » ; et, dans d’autres cités, comme La Castellane et Saint Henri, peut-être respectivement « 40.000 et 30.000 euros par jour ».

                C'est bien cela qui pose problème, et qui est l'une des raisons principales des échecs successifs des politiques de la Ville.....

    MARSEIULLE CITE BASSENS.jpg

               Dans les fameux Quartiers Nords de Marseille, la cité Bassens, aux Arnavaux (XVème arrondissement) dont parle l’article...

              S’imagine-t-on vraiment que dans cet environnement ( !), les jeunes vont aller travailler pour un salaire qui ne dépassera guère, s’il les dépasse, les 1.000 euros… par mois !

                Disons tout d'abord que nous ne nous réjouissons pas de la situation dans les banlieues, ni des échecs successifs de toutes les tentatives faites pour y remédier. Nous ne faisons que constater la réalité, à la différence de certains hommes politiques, et c'est de la simple observation du réel que nous tirons nos conclusions.

                 Elles sont grises et sinistres, parceque c'est la réalité de ces banlieues qui est grise et sinistre. Ni Fadela Amara aujourd'hui, ni ses dix sept ou dix huit prédécésseurs ne veulent se rendre à l'évidence, car ce serait bien sûr reconnaître l'échec d'une certaine politique depuis 1975. Une politique mal menée par les uns, mais jamais désapprouvée - et, a fortiori, jamais dénoncée ou combattue...- par les autres. La plupart des membres de la classe politique et du Pays légal se trouvent ainsi piégés : soit ils reconnaissent leur erreur, soit ils ne leur reste que la fuite en avant, pour masquer l'étendue du désastre.....

                Pour tout observateur un peu lucide, et qui a le courage de regarder les choses en face, il y a deux aspects majeurs qui n'apparaissent jamais dans les discours officiels, et dont on ne veut en aucun cas tenir compte. Et que l'article de D.T met au contraire en évidence, c'est là tout son mérite.

                Ces deux réalités sont,en premier lieu, la présence de plus en plus prégnante des Mafias et, en second lieu, le refus catégorique d'être français, pour une large part de la population, mais surtout les jeunes et les plus jeunes.....

                I : Les mafias d'abord: tout le monde sait très bien, mais on ne doit surtout pas le dire, que les "cités" sont mises en coupe réglèes par différents réseaux tentaculaires de bandes, regroupant les trafics illicites les plus divers et les plus lucratifs: drogue évidemment, mais aussi armes et trafics en tous genres ( faux papiers etc...) alimentant une économie souterraine de plus en plus puissante. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, il finit par se passer chez nous, dans ces villes qui étaient autrefois des petites villes sans trop de problèmes de la France profonde, ce qui se passe en Italie: ces différentes Mafias finissent par devenir tellement présentes, par contrôler tellement le quotidien, qu'elles en viennent à profiter, d'une façon ou d'une autre, d'une partie au moins des "investissements" publics....

              II : Le problème psychologique, moral et mental, ensuite, Force est de constater que le plus grand nombre de difficultés, et les plus graves, se posent justement avec les immigrés de la deuxième, voire de la troisième génération. Et c'est justement là qu'on voit bien que l'avenir est bouché. Bien loin de s'intégrer, "ils" se radicalisent ! Plus le temps passe, plus "ils" refusent la Fance ! (1). On a parlé, dans le dernier plan banlieue, d'un effort particulier pour le désenclavement des "cités": quelle dérision ! Un technocrate brillant, au fin fond d'un bureau qui le coupe bien des réalités du terrain, a dû se croire malin d'avoir inventé "ça", et a dû le proposer à la Ministre, pensant tenir là l'idée du siècle, qui sait ? Mais c'est à pleurer ! Pense-t-on sérieusement qu'à dix ou quinze ans ce soient des problèmes de transport qui poussent à incendier des voitures ou des écoles, et à piller pharmacies, magasins et centres commerciaux ? (à suivre...)

    (1): Le député UMP du Vaucluse Thierry Mariani, auteur de l'amendement sur les tests ADN, l'a souligné à sa façon, lorsqu'il s'est déclaré "choqué par l'épilogue de l'affaire de Villiers-le-Bel", se demandant pourquoi les deux adolescents décédés n'étaient pas "inhumés en terre française".
    Dans une interview au magazine VSD, le député a affirmé, à l'époque: "Immigration, une chance pour la France, je dis oui. Mais à condition que ceux qui choisissent la France l'épousent à 100%."

  • Quelques instants en bonne compagnie: Extraits d'Un Prince français (16/20)....

                Pour donner envie à celles et ceux qui ne l'ont pas encore lu, ou acheté... ou qui se demandent si cela vaut le coup...

                Pour nous, c'est sûr, il vaut le coup d'être acheté et lu, car c'est un bon livre...

                Quelques mises en bouche ?.....

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                                                                           237 pages, 19,50 euros

    - Mais comment contrôler les dépenses de l'Etat ?

      Je propose que l'ensemble des dépenses de l'Etat fasse l'objet d'une évaluation indépendante. Et que les dépenses nouvelles soient sélectionnées après avoir été évaluées et non pas décidées dans l'urgence comme c'est le cas aujourd'hui, souvent pour consolider les "avantages acquis". Pour moi, il ne peut y avoir d'échappatoire: les hausses d'impôts ne font qu'induire à terme des dépenses équivalentes ou supérieures. Toutes les études le montrent, en France comme chez nos partenaires.

      Il faut donc revoir complètement le fonctionnement de l'Etat et s'obliger à rendre des arbitrages politiques, forcément douloureux pour les "lobbies" qui ont capturé l'Etat et l'intérêt général à leur profit. Car, en définitive, se fixer comme priorité la politique sociale, l'environnement, la solidarité, en plus de la sécurité, la justice et bien d'autres encore, c'est n'en avoir aucune. Cela revient à laisser filer les dépenses publiques. Nous n'avons pas d'autre choix que de faire des choix. Et nous devons nous assurer qu'ils seront mis en oeuvre dans des conditions optimales. Il faut donc évaluer sytématiquement toutes les entreprises publiques et toutes les administrations.

      Mais l'évaluation n'est pas suffisante. Sans doute faudrait-il introduire plus de concurrence entre le public et le privé (par exemple dans le secteur hospitalier ou dans le système éducatif) mais aussi entre le services publics eux-mêmes. Cette concurrence comparative pourra ainsi permettre d'étalonner de bonnes pratiques.

      Cette maîtrise des dépenses devrait être suffisante pour autoriser une baisse des prélèvements obligatoires. Il n'y a pas, pour moi, de fatalité à ce que notre pays reste l'un des plus imposés de l'OCDE. Le taux de prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) avoisine chez nous 44% du PIB: neuf points de plus qu'en Allemagne, dix-neuf points de plus qu'aux Etats-Unis ! N'oublions pas que la concurence fiscale est liée à la mondialisation. J'ai parfois l'impression que nos hommes politiques raisonnent comme si notre économie était toujours fermée, comme si les personnes ou l'épargne ne circulaient pas librement. C'est assez surprenant !

      L'impôt sur la fortune (ISF) pousse des contribuables, très souvent des chefs d'entreprise qui ont cédé leur société, à quitter la France pour s'installer officiellement en Belgique, au Luxembourg ou en Suisse par exemple. Ce qui, d'ailleurs, retombe, en termes de pression fiscale, sur tous ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas quitter notre pays. De nombreuses entreprises françaises font domicilier leur siège social aux Pays-Bas, en raison d'une moindre fiscalité: l'impôt sur les sociétés dépasse 34% en France, il n'est que de 25% aux Pays-Bas et même de 19% en Pologne !

    (Chapitre 8 - Economie - pages 164/165/166).

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  • Curieuse ”Ecri” (en anglais dans le texte) qui voit du ”racisme” là où...

                ..... on n'a que les conséquences - qui étaient pourtant facilement prévisibles... - de l'incurie des gouvernants, qui ont joué avec le feu depuis plusieurs décennies en ce qui concerne l'immigration, et se sont transformés en apprentis sorciers, installant dans toute l'Europe - et pas seulement en France - une véritable bombe à retardement, qui ne demandera, tôt ou tard, qu'à exploser.

               Une incurie associée à l'idéologie d'une extrême gauche ayant remplacé depuis longtemps la classe ouvrière par l'immigré; et au(x) désir(s) de gains immédiats d'une part du patronat, qui demande ces immigrés parce qu'elle voit en eux une fort juteuse chair à profit...

    ECRI_2010.JPG

                "La crise économique provoque un développement des phénomènes racistes en Europe", estime en effet la Commission européenne contre le racisme et l'intolérance (ECRI) dans son rapport annuel 2009. Cet organe du Conseil de l'Europe souligne l'impact de l'augmentation du chômage et de la baisse parallèle des dépenses publiques dans le domaine social sur les populations les plus vulnérables telles que les Roms et les immigrés.

                "Nous constatons une augmentation générale des attitudes xénophobes et intolérantes, accompagnée d'attaques verbales virulentes et d'incidents violents, ainsi qu'une perception grandissante que les flux migratoires ont un impact négatif sur les pays concernés", affirme le rapport publié le jeudi 8 juillet à Strasbourg. L'ECRI "regrette que, dans de nombreux pays d'Europe, le débat sur l'intégration se concentre quasi exclusivement sur les 'lacunes' réelles ou perçues des populations minoritaires, sans tenir compte tant de leur contribution économique, sociale et culturelle que du peu d'efforts déployés par la population majoritaire(pour les intégrer, ndlr)".

                Ce comité d'experts ( ! ) constate "un phénomène relativement nouveau qui consiste à proposer ou à introduire des restrictions d'ordre juridique visant spécifiquement les musulmans – matière là encore à la récupération politique". Si aucun exemple n'est mentionné, la remarque fait irrésistiblement penser à l'interdiction des minarets en Suisse, que l'ECRI a déclarée contraire aux droits de l'homme, mais aussi aux lois sur le voile, notamment en France, sur lesquelles elle s'est permis ( et au nom de quoi ? à quel titre ? ) d'émettre des réserves.

                L'ECRI a commandé en 2009 une étude relative à l'impact de la crise économique sur le racisme et la discrimination raciale à Jean-Michel Belorgey, ancien député socialiste français

                Bon, le sujet ayant été rapidement présenté, voici nos deux grains de sel :

                1 : dans le climat d'économie générales rendues absolument indispensables par la faillite où nous ont mené les dirigeants mentionnés plus haut, est-il vraiment opportun de continuer à payer à prix d'or des "experts" (!) comme ceux de l'ECRI ? Et pour qu'ils nous pondent des âneries pareilles ?..... 

                2 : car, enfin, comment qualifier autrement que de pervers et tordu ce type d'esprit et de mentalité qui consiste à voir, dans la conséquence somme toute fort logique de la folie des dirigeants, du "racisme" de la part des peuples ? "On" a fait venir, d'une façon insensée, une masse non moins insensée d'immigrés, par pur appât du gain ou par idéologie (pour dissoudre les vieilles Nations historiques). Et maintenant que la crise rend la lutte pour le travail inévitable, ce même "on"prétendrait insulter les travailleurs nationaux de tous les pays d'Europe, les traitant de "racistes", alors qu'ils ne font que vouloir vivre et travailler au pays, pour reprendre le slogan d'une certaine extrême-gauche anti-militariste à l'époque du Larzac (où il s'agissait, en fait, d'affaiblir l'Armée française) ?

                Aux fous !

                Ou : aux idéologues, au choix. Mais cela revient au même.....

  • La Dizaine de MAGISTRO...

    Ces articles sont sur le site  www.magistro.fr  consultable à tout instant :

    Et revoilà le mythe de la retraite par capitalisation !  Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
    Retraites : une occasion manquée   Christophe GEFFROY Journaliste
    Comme en Amérique   Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
    Ces non-dits qui doivent entrer dans le débat public   Ivan RIOUFOL Journaliste
    Sarkozy-Merkel : je t’aime, moi non plus   Eric ZEMMOUR Journaliste, écrivain
    Pourquoi la fourmi allemande épargne pour rien ...   Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
    Après l'attaque de Gaza   François-Georges DREYFUS Historien, politologue

     

    Extrait du Comme en Amérique, de Roland Hureaux:

                "...tout est idéologique. Par derrière ces attitudes, en effet, se trouve la volonté délibérée d’imiter l’Amérique, tenue pour référence unique de la modernité. De même qu’il faut, pour imiter les Etats-Unis et devenir un pays "moderne", supprimer tout ce qui n’existe pas outre-Atlantique : le juge d’instruction, les grandes écoles, le statut de la fonction publique, la séparation des ordonnateurs et des comptables, le premier ministre, la gendarmerie, la francophonie, le brevet des collèges etc. , il faut que nos hommes politiques n’hésitent pas à s’afficher avec des hommes qui ont "réussi", comme en Amérique. Comme en Amérique !

                Curieuse Amérique, d’ailleurs, que l’on n‘a jamais tant prise en exemple que depuis qu’elle est sur la pente du déclin. Et une des dimensions de cette ambition, c’est de liquider ce qu’il nous reste de pudeur s’agissant de l’argent : notre vieux "fond catholique", aussi politiquement incorrect que l’est la position du pape sur la capote ou le latin. Vieux fond aristocratique aussi, qui faisait des riches trop indiscrets des "parvenus". Vieux fond qui n’a certes jamais empêché les pays latins de manier de l’argent - n’est-ce pas les Italiens qui inventèrent la banque ? - mais qui dictait une certaine pudeur vis-à-vis de cette question, comme vis-à-vis du sexe ou de la politique. Vieux fond qui imposait au pouvoir politique, s’il voulait paraître le pouvoir de tous, de garder une certaine distance vis-à-vis de ce que le général de Gaulle appelait la "corbeille". Ce vieux fond, qui marque encore les mentalités française, l’idéologie "bling bling" se propose de le liquider, car il est jugé ringard, archaïque, dans un monde dominé par la langue anglaise et les valeurs anglo-saxonnes et protestantes - encore qu’une certaine distinction britannique - ou bostonienne -, sensible à ce qu’ Orwell appelait la common decency, préconise la même discrétion à l’égard de l’argent. Pourtant ce vieux fond résiste. Il s’exprime par l’indignation de l’opinion qui pourrait finir par contraindre Woerth, quelque idéologie dont il se réclame, à la démission. Il se manifeste parce que si les Français savent que le pouvoir politique, n’a en régime capitaliste, jamais été vraiment indépendant des puissances d’argent, ils aiment que les apparences soient sauves. Ce vieux fond qui résiste à l’américanisation à tout va qu’on veut nous imposer, ce n’est pas seulement celui d’une latinité ringarde, d’une catholicité désuète, il se peut que ce vieux fond, ce soit tout simplement la civilisation."

  • Nouvelles du Blog : de la semaine ecoulée à celle qui vient.....

            Comme vous l'avez constaté, notre 26ème PDF a été mis en ligne : il s'agit de Mythes immigrationnistes, article et entretien de, et avec, Jacques Dupâquier. Nous ajouterons dans la semaine la quatrième vidéo du Café actualité aux trois premières que vous pouvez consulter dans les Pages, tout en bas, à droite, de la page d'accueil du Blog.

            De même allons-nous consacrer l'une de ces Pages à l'ensemble des articles de François Reloujac dans Politique Magazine. Chaque mois, et depuis plusieurs numéros, François Reloujac y publie en effet une réflexion mensuelle argumentée et de grande qualité. Mais l'intérêt de ces articles est double : en plus de leur valeur intrinsèque, on se rend compte qu'en réalité ils se complètent, se répondent et proposent ainsi - bien plus qu'une simple collaboration mensuelle de grande qualité, ce qui n'est déjà pas si mal... - une réflexion globale, et une vison d'ensemble de la situation et des problèmes économiques et politiques de la France, de l'Europe, du monde. Une telle vision mérite évidemment d'être mise à disposition du plus grand nombre : d'où notre idée de réunir tous ces articles en une seule Page, commode d'accès, afin d'en faciliter la lecture..... 

            Cette semaine, sur votre Blog préféré, on parlera comme d'habitude de plein de choses... et, bien sûr, de ce dont ne sait pas encore qu'on va parler, mais que l'actualité nous imposera de traiter....

           Quant aux Ephémérides, voici ce que vous y trouverez cette semaine :

         Ephémérides :

    ·       Dimanche : Mort du Père Joseph. Première d'Alexandre, de Racine. Naissance de Surcouf. Début de la bataille du Mans. Naissance de Flaubert. Mort de Raymond Radiguet. 

    ·       Lundi : Naissance d'Henry IV. Naissance de Sully. Première de Britannicus. Retour au Louvre de la Joconde, qui avait été volée. Mort de Victor Grignard.

    ·       Mardi : Célébration de sainte Odile. Naissance de Nostradamus. Inauguration du Viaduc de Millau.

    ·       Mercredi : Naissance de François de la Rochefoucauld, de Michel-Richard Delalande, de Gustave Eiffel, d'Henri Becquerel. Mort de Turreau, de Folco de Baroncelli. Installation de la première pile atomique française. Premier forage pour le Tunnel sous la Manche.

    ·       Jeudi Henri VI, roi d'Angleterre, se fait sacrer à Notre-Dame de Paris. Exécution de Jean-Baptiste Carrier. Début de la contre-offensive allemande dans les Ardennes. 

    ·       Vendredi : Création de l'Ordre des Trinitaires. La France reconnaît l'indépendance des Etats-Unis d'Amérique. Mort de Parmentier.

    ·       Samedi Mort de Théodulphe. Réception de Charles-Quint à Chambord. Mort de saint François de Sales. Fondation du Centre métallurgique du Creusot. Mort de Jean-Baptiste Lamarck. Découverte de la grotte Chauvet.

  • Dialogue avec nos lecteurs : vos questions, nos réponses...: aujourd'hui, à une ”amie” de notre Page Facebook, sur ”l'im

    islam,boutang,communautés,france,immigration(Vous le savez : notre Page Facebook Lafautearousseau Royaliste est très animée, surtout depuis que les tweets de notre Compte A.F.Royaliste y sont automatiquement reportés. De très nombreuses réactions y fleurissent chaque jour : nous répondons aujourd'hui à l'une d'entre elles, parce que la récente "amie" qui nous écrit aborde un sujet sur lequel il convient d'être extrêmement clair...)

    Suite à nos différentes notes sur "l'affaire Léonarda", cette "amie" a, plusieurs fois réagi à nos commentaires; elle a abordé plusieurs points sensibles et soulevé bon nombre de questions intéressantes; d'accord sur plusieurs choses, elle nous questionne sur quelques autres, et c'est très bien ainsi... 

    Dans l'ensemble des choses évoquées, il ressort, pour résumer, qu'il lui paraît que nous sous-estimerions "le danger de guerre civile" (?) à laquelle sembleraient conduire certains de nos propos sur l'immigration; et que nous refuserions d'admettre que, dorénavant, et que cela plaise ou non, "la France est bel et bien devenue une société pluri-culturelle"...

    Nous ne pouvons que redire à cette occasion ce que nous avons déjà dit et redit plusieurs fois...

    1 : pour qu'il y ait guerre civile, il faut qu'il y ait citoyens de la même cité : le Père de Foucauld parlait de ces personnes qui seraient françaises formellement, mais "sans avoir le coeur ni l'esprit français". N'est-ce pas le cas de ces masses africaines, inconsidérément importées pour des raisons marchandes, et qui viennent avec armes et bagages, transposant chez nous des moeurs, des traditions, des coutumes etc... qui ne sont pas les nôtres, et qui contredisent, pour certaines, à angle droit nos propres traditions ? Nous n'avons pas à juger de ces moeurs, traditions, coutumes etc... dans leur(s) pays d'origine, mais nous avons, par contre, parfaitement le droit,; - et même le devoir - de dire que certaines sont incompatibles avec nos propres moeurs et traditions. C'est ce que nous faisons, à longuuer de notes, et sans nous en priver. Ni plus, ni moins... La présence de ces masses n'a, d'ailleurs, jamais été ni demandée ni souhaitée par le peuple français, pourtant réputé souverain, à qui on les impose, en se gardant bien de lui demander son avis... : pourquoi pas un référendum sur le sujet ?

    2 : par ailleurs, quand notre "amie" dit que nous refusons de voir la réalité, et que nous refusons d'accepter le fait que la France est multi-culturelle, n'est-ce pas elle qui accepte un peu vite (fatalisme ? défaitisme ?) la réalité multiculturelle, multiethnique, multitout et multi-n'importequoi... imposée à la France par un Pays légal qui, là, comme ailleurs n'agit pas en fonction du Bien commun mais en fonction de son idéologie; et qui est manipulé par les diverses féodalités, bastilles, privilèges qui se sont emparé de l'Etat. Si Jeanne d'Arc avait accepté d'aussi bonne grâce la réalité politique de son temps...

    3 : et aussi, notre "amie" nous semble oublier un peu vite que l'Islam est totalitaire - sinon en théorie pure, puisqu'il reconnait un Dieu au-desssus de lui mais, de fait, et dans la pratique, dans la réalité concrète des sociétés qu'il induit... - et qu'il n'aurait que faire, s'il devenait le plus fort, de ces "petites communautés" dont elle parle...

    Nous préférons penser, avec Boutang, qu'il y a en effet place, en France, pour plusieurs communautés, qui peuvent parfaitement cultiver leurs légitimes différences, pourvu qu'elles partagent les mêmes fondamentaux; mais qu'il n'y a pas de place pour plusieurs civilisations. A partir de là, la solution est, comme toujours, politique, et, comme toujours, il faut une volonté. La seule solution ne serait-elle pas de distinguer les trois catégories qui d'évidence structurent ce que l'on appelle l'immigration ? Et, partant de là, de réserver un accueil franc et sincère pour celles et ceux qui veulent et peuvent s'intégrer, mais d'organiser le retour au pays pour ceux qui ont été trompés (et/ou se sont laissés tromper...) par le mirage économique (pour faire court) et la déchéance de nationalité/expulsion pour ceux qui ne respectent pas nos lois (pour faire court aussi)...

    Pour conclure temporairement ce débat - avant d'y revenir, soyons en sûrs, avec de nouveaux "amis", qui nous tiendront les mêmes propos... -  et comme à chaque fois que nous évoquons le sujet, afin que tout soit le plus clair possible, nous remettons ce même petit paragraphe : 

    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf  

  • Nouvelles du Blog : On nous écrit de Melbourne : le rôle des Princes envers la population; et l'opinion de la population

            Harald S. vit à Melbourne. Monarchiste, il est membre d'Australian Monarchiste League (AML) et d'Australians for Constitutional Monarchy (ACM). Harald nous suit depuis les débuts de Lafautearousseau (il connaît d'ailleurs un royaliste français, résidant à Sydney, qui nous lit également) et transfère sur son Blog telle ou telle chose qu'il prend chez nous. Nous lui avons indiqué qu'il pouvait, évidemment, "piller" autant qu'il le voulait le Blog (il vient, par exemple, d'envoyer le "Chouans, en avant !"....)

            Comme un autre correspondant (de Québec) il veut bien, lorsqu'un évènement peut avoir une signification politique qui dépasse le cadre purement local, nous envoyer, de temps en temps, des billets racontant et expliquant ce qui se passe. Espérons que beaucoup d'autres feront comme lui, ce qui serait certainement un plus pour le Blog....

            Son billet d'aujourd'hui relate brièvement la visite du Prince William en Australie et en Nouvelle-Zélande, très peu de temps après les catastrophes naturelles qui ont frappé la zone.

    lafaute bandeau.jpg

           Il est bien évident que, si, comme nous l'espérons, nos amis "de" et "à" l'étranger nous envoient des billets, comme le fait Harald aujourd'hui, ce ne sera pas pour l'événementiel en soi : on à la radio, la télé et les journaux pour cela, et on ne va bien sûr pas chercher à concurrencer TF1 ou France info ! Nos correspondants chercheront plutôt la leçon politique (ou culturelle, civilisationnelle...) de tel ou tel fait qui vient de se passer, ou qui se passe, chez eux.

            Ainsi, aujourd'hui, à travers le billet d'Harald, voit-on l'importance du lien personnel et affectif unissant une Famille au Peuple. Ce billet montre le rôle des Princes, et de la Monarchie, vis-à-vis des populations et, en retour, l’attachement des populations à ce que représente les Princes et le principe monarchique : l’incarnation, par une Famille royale, de l’identité d’une Nation sur la durée, le temps long. Ce qui s’oppose, évidemment, au court-termisme actuel des institutions républicaines qui ne répondent pas, de ce point de vue, à ce besoin, à ce désir des peuples de se rassembler, par-delà les légitimes divergences, dans une Famille qui les résume tous et, surtout, en permanence….

            Et ce billet permet de réflechir au rôle que jouent, à l'heure actuelle, les Monarchies en place : un rôle qu'il ne faut ni idéaliser, ni dénigrer à l'excès; et au rôle, forcément différent mais en partie comparable, que pourrait jouer une Royauté ré-instaurée en France...

            Un dernier mot : on appréciera l'effort d'Harald pour s'exprimer dans notre langue, dont on sait combien elle est difficile à acquérir et à manier; on l'en félicite donc....

            de Melbourne.pdf

            Pour ce qui est du programme des notes, cette semaine on parlera évidemment de tout ce qui fait notre quotidien et, bien sûr, de ce dont on ne sait pas encore qu'on va parler, mais que l'actualité nous imposera de traiter.... 

             Quant aux Ephémérides, voici ce que vous y trouverez cette semaine : 

    lafaute bandeau.jpg

            Ephémérides : 

    · Dimanche :  Naissance du duc de Normandie, futur Louis XVII.

    · Lundi : Début de la Guerre de Crimée. Premier vol d'un hydravion.

    · Mardi : Charette est fusillé. Lancement du premier sous-marin nucléaire français, Le Redoutable.

    · Mercredi : Le Dauphiné devient français. Mort de Vauban. Naissance de Verlaine.

    · Jeudi : Naissance d'Henri II. Mort de François Premier. Publication de la brochure de Chateaubriand "De Buonaparte et des Bourbons...". Inauguration de la tour Eiffel. 

    · Vendredi : Avènement de Philippe VI. 1565 : les premiers poissons d'avril. Napoléon épouse Marie-Louise. Naissance de Joseph de maistre, Edmond Rostand, Claude Cohen Tannoudji.

    · Samedi : Mort de Mirabeau. Léopold Senghor élu à l'Académie française.

  • « Affaire Taponnier/Ghesquière » : D’accord avec… Jean-Dominique Merchet : face au réflexe corporatiste de la caste médi

            Avec beaucoup de justesse et de fermeté, Jean-Dominique Merchet met les points sur les i en ce qui concerne les indécences diverses et variées auxquelles on a eu droit depuis la libération des deux journalistes. On savait depuis belle lurette que certains sont plus égaux que d'autres, mais Merchet enfonce le clou à propos de cette caste - par ailleurs, idéologiquement très marquée à gauche -de la cléricature médiatique.

    merchet 2.jpg        Et de « un » ! :

           "...Sur le premier point, il est incontestable que la libération d'Hervé Ghesquière et de Stéphane Taponier a donné lieu à une couverture médiatique sans commune mesure avec l'annonce de la mort de militaires français en Afghanistan. D'un côté, des heures de direct, la mise en scène télévisuelle de l'émotion des proches, les commentaires de spécialistes (dont l'auteur de ce blog...). De l'autre, une vague brève en fin de journal télévisé ou dans un bas de page des quotidiens. Qui a entendu parler de Cyrille Hugodot, mort à 24 ans au service de la France ? Qui n'a pas entendu parler de Ghesquière et Taponier ? Il est malheureusement clair, et c'est un journaliste qui l'écrit, que le poids médiatique d'un journaliste est bien supérieur à celui d'un simple parachutiste. Il n'y a pas de quoi être fier...."

            Et de « deux » ! :

           "...2) De nombreux militaires ne comprennent pas l'atitude des deux journalistes de France-Télévisions en particulier les risques qu'ils ont pris sur le terrain. Hervé Ghesquière a cru bon d'expliquer, juste après son retour, que "personne ne nous a rien dit. Que ce soit clair". Ce n'est malheureusement pas aussi clair et la direction de France-Télévisions n'ignore pas qu'il existe des traces écrites des avertissements lancés par l'armée française la veille même de l'enlèvement des deux journalistes, le 30 décembre 2009. Idem sur l'existence de conversations téléphoniques assez directes entre les deux reporters et un officier français (que l'on peut difficilement qualifié d'hostile à la rédaction de France 3 pour des raisons personnelles). Tout le monde sait qu'ils ont bien été avertis du danger de se rendre dans ce secteur non sécurisé, qui plus est à la recherche de contacts avec les talibans. D'ailleurs, tous les journalistes français arrivant sur le théâtre afghan le sont systématiquement...."

            En bonne logique - on n'ose pas dire "justice"... - étant donné ce qu'on dit les deux journalistes à leur arrivée en France et ce que dit ici J.D Merchet (confirmant les informations de plusieurs gradés de haut rang), il devrait, comme on dit, y avoir des suites. Il devrait, mais, vu la puissance de la cléricature médiatique et de la caste journalistique....

            Pour lire l'intégralité du billet de Jean-Dominique Merchet :

    http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Le-traitement-mediatique-de-la-liberation-des-otages-suscite-une-vive-emotion-chez-les-militaires_a307.html

    PS : là, on parle de journalistes; mais il n’y a pas que la caste des journalistes qui soit concernée, défendant "ses" membres becs et ongles. Bien d'autres personnes sont ainsi systématiquement défendues, du fait même qu'elles appartiennent à tel ou tel groupe...

  • ”Ils ont trop de dettes ? Ils n'ont qu'à augmenter les impôts !...”

            Qu'est-il arrivé à ce bon Descartes, le jour où il a prononcé son célèbre Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ?.....

            On a eu une nouvelle illustration du fait qu'il n'en était, hélas, rien, ce mercredi 6 juillet, au micro de RTL/BFM. Jean-Claude Bourdin reçoit et interroge, ce jour-là, Jérôme Cahuzac, président PS de la Commission des finances. Pendant les vingt minutes de l'entretien, on parle évidemment d'un tas de choses : nous nous arrêterons sur une seule : l'augmentation des impôts, inéluctable et souhaitable, pour Jérôme Cahuzac. A noter que, pendant une partie de l'entretien, Jean-Claude Bourdin faisait défiler, en bas de 'lécran, le chiffre de la dette publique française, qui augmente de 5000 euros par secondes !.....

            http://www.bfmtv.com/video-infos-actualite/detail/bourdin-2012-jerome-cahuzac-1450441/

            Ce qui était frappant, à écouter Jérôme Cahuzac, c'était sa façon de raisonner, ou le fond de son esprit, comme on voudra : les dettes augmentent, et les déficits aussi ? Donc, augmentons les impôts ! CQFD !

            Pas une seule fois il ne lui est venu à la bouche le mot d'économies, si cher à Pinay (entre autres...); et une seule fois, mais cela a duré cinq secondes - dix, en comptant large... - il a émis l'idée que l'Etat pouvait réduire son train de vie. Mais ce fut, tout de suite après ces quelques secondes, pour en revenir à) son leitmotiv. Il est vrai qu'augmenter les impôts est plus facile que de diminuer le train de vie de l'Etat car, pour cela, il faudrait que l'Etat répudie le clientélisme qui lui est presque consubstantiel, si l'on peut dire, élections obligent.....

            Pas une seule fois, non plus, il n'a mené le débat sur le terrain de deux sujets - ultra-sensibles, il est vrai... - que sont l'immigration et l'Éducation nationale (mieux nommé des-Éducation nationale...). Là, pourtant, se trouvent des gisements considérables d'économies, qu'une gestion saine et raisonnable de la chose publique permettrait de réaliser, en dégageant des sommes qui se compteraient, très probablement, non pas en milliards, mais en dizaines de milliards.....

            Cette propension au "yaka" n'est-elle pas, si l'on y réfléchit un peu, stupéfiante ?

            C'est un peu comme si, dans une maison où toutes les fenêtres seraient ouvertes, en plein hiver, on conseillait aux occupants de pousser le chauffage, pour avoir plus chaud : ne vaudrait-il pas mieux, aussi, et d'abord, commencer par fermer les fenêtres ?..... Pour Jérôme Cahuzac, non : on a des dettes, et qui augmentent de 5000 euros par seconde ? Mais, comme vous vous inquietez pour rien, mon bon monsieur ! Faire des économies ? Vous n'y pensez pas ! Nous avons "la" solution, toute trouvée : "yaka" augmenter les impôts ! Ben, voyons !....

            Ne changeons surtout rien à nos détestables et malsaines habitudes, ne devenons surtout pas économes, continuons à gaspiller sans cesse et toujours plus... dans la croyance naïve et, au point où en sont les choses, suicidaire, que les impôts seront toujours là : tel est le message de Jérôme Cahuzac, en particulier, mais de la très grande majorité du Pays Légal, en général, droite et gauche confondues...

    PS : On aura reconnu, dans notre titre, une parodie du mensonge que les révolutionnaires ont forgé de toutes pièces - un de plus, eux qui en ont deversé tant et tant de tombereaux... - en attribuant à Marie-Antoinette une phrase qu'elle n'a jamais prononcée, et qui se trouve, en fait, dans les Confessions de Jean-Jacques Rousseau : "...Je me rappelai le pis-aller d’une grande princesse à qui l’on disait que les paysans n’avaient pas de pain, et qui répondit : Qu’ils mangent de la brioche. J’achetai de la brioche..." (Livre sixième)

  • Quelques instants en bonne compagnie...(8/15).

                Pour donner envie à celles et ceux qui ne l'ont pas encore lu, ou acheté... ou qui se demandent si cela vaut le coup...

                Pour nous, c'est sûr, il vaut le coup d'être acheté et lu, car c'est un bon livre...

                Quelques mises en bouche ?.....

    prince jean couverture.png

                                                                                       237 pages, 19,50 euros

                "....Le pouvoir politique doit veiller à ce que la compétition ne soit pas sans règles ni limites. Dès le XIXème siècle, les catholiques sociaux, comme Albert de Mun et La Tour du Pin, se sont inquiétés des excès nés de la Révolution: elle prétendait libérer l'homme en dissolvant les corps intermédiaires, elle a surtout libéré le capital. Le Comte de Chambord l'a souligné dans sa Lettre sur les ouvriers en avril 1865: l'Assemblée de 1701 ne s'est pas contentée de donner plus de liberté à l'industrie, au commerce et au travail, comme le réclamaient les Français dans les cahiers de doléances, "elle renversa toutes les barrières, et au lieu de  dégager les associations des entraves qui les gênaient, elle prohiba jusqu'au droit de réunion et à la faculté de concert et d'entente... La liberté du travail fut proclamée, mais la liberté d'association fut détruite du même coup" par la loi Le Chapelier. Il en concluait qu'il fallait "rendre aux ouvriers le droit de se concerter, en conciliant ce droit avec les impérieuses nécessités de la paix publique".

                 C'était bien avant la parution, en 1891, de l'encyclique Rerum Novarum, dans laquelle Léon XIII résume la doctrine sociale de l'Église. Les Orléans aussi ont toujours été sensibles à la question sociale. Le duc de Guise, mon arrière-grand-père, définissait la monarchie française comme une monarchie "sociale, familiale et décentralistarice". Et mon grand-père a rédigé un essai, Le prolétariat, où il écrit que "la toute-puissance des oligarchies financières a remplacé l'ères des rois protecteurs du travail." C'était en 1937 !.... (Chapitre 5, Justice, page 109).

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    Albert de Mun (ci dessus) et La Tour du Pin (ci dessous), ces royalistes sociaux qui sont
     à l'origine de la législation du travail en France; qui ont déposé le premier projet de loi sur les syndicats (il s'agissait de créer des syndicats mixtes où auraient coopéré ouvriers et patrons) ; à qui l'on doit, et non aux députés républicains, trop souvent partisans du statu quo, des lois voire des premières propositions de loi sur le repos dominical (1883), sur le salaire minimum légal (1888-1909), sur la réglementation de la durée du travail (1889) et sur la suppression du travail de nuit des enfants et des femmes (1891), sur les retraites (1886), les assurances sociales (1892), les accidents du travail (1893), le patrimoine syndical (1895), etc...
    la tour du pin.jpg