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Extrait du Geffroy, Le programme du Pape (premières lignes) :
Une fois de plus, Benoît XVI, au Bundestag, nous a délivré une magistrale leçon qui fait suite aux précédents discours de Ratisbonne, de La Sapienza, des Bernardins, à l’université de Prague, au centre culturel de Belem (Portugal) et à Westminster Hall.
Sa réflexion, sur la raison et la foi, tend à réintroduire la religion comme un "fondement" de la vie sociale, retournant l’hypothèse de Grotius : pourquoi ne pas supposer a priori l’existence de Dieu ? "Le monde de la raison et [celui] de la foi […] ont besoin l’un de l’autre", expliquait-il l’an dernier, c’est pourquoi "la religion n’est pas un problème que les législateurs doivent résoudre, mais elle est une contribution vitale au dialogue national" (1).
J’expliquais ici le mois dernier combien nos démocraties avaient besoin de sens, d’un fondement moral qui ne soit pas fluctuant selon des majorités de circonstance, faute de quoi elles risquaient de sombrer dans le chaos. Avec Benoît XVI, je pense que cette issue n’a rien d’inéluctable, que nos démocraties ne sont pas irrécupérables, mais qu’il est essentiel de redresser certains travers actuels qui portent en eux les germes de graves dérives tyranniques – nous lisons souvent de fort belles critiques de nos démocraties, mais peu proposent des alternatives crédibles… raison de plus pour écouter le Pape.
Au Bundestag, il a reconnu que "le critère de la majorité" fonctionnait bien pour réguler une grande partie des problèmes politiques à traiter. "Mais, a-t-il poursuivi, il est évident que dans les questions fondamentales du droit, où est en jeu la dignité de l’homme et de l’humanité, le principe majoritaire ne suffit pas."