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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Éphéméride du 21 juillet

    303 : Martyre de Saint Victor à Marseille 

     

    L'abbaye construite sur la tombe du martyr et de ses compagnons est le plus ancien établissement monastique de l'Europe de l'Ouest : on a trouvé, lors de fouilles, une monnaie de l'empereur Dèce (249-251) dans les grottes et cavités - naturelles ou creusées par les premiers chrétiens - qui sont la base et le fondement de l'Abbaye que nous voyons aujourd'hui (ci dessus).

    Du moins ce que la Révolution nous en a laissé... 

    En 1799, on y trouva une pierre portant les noms de Fortunatus et Volusianus, qui est elle aussi la plus ancienne inscription chrétienne de l'Europe de l'Ouest (Italie et Rome exceptées) : on la fait remonter généralement entre le IIème et la seconde moitié du IIIème siècle, mais certains la datent même de la fin du premier siècle, ce qui semble plus juste étant donné que la pierre parle d'une personne au nom latin, fils d'une personne dont le nom est... grec : on serait donc bien à la période où, après la prise de Marseille par César, la Massalia des Grecs est définitivement devenue la Massilia des Romains...

    Elle fait référence au martyre, par le feu, subi par Volusianus (nom latin, fils d'Eutychetis, nom grec) et Fortunatus, et s'achève sur un subjonctif imparfait (refrigeret) qui joue sur les mots de fraîcheur, rafraîchissement : courants dans les Évangiles, ces mots prennent une connotation forte, ici, où il s'agit de personnes ayant été brûlées vives, et pour lesquelles leurs amis et parents demandent à Dieu le rafraîchissement éternel...

    SAINT VICTOR VOLUSIANUS.jpg

      Ci dessus, la "pierre" (un marbre, en fait) et, ci dessous, son texte (entre parenthèses, les parties manquantes) : 
     
    (SATRI)O VOLUSIANO
    (EU)TYCHETIS FILIO
    (?)O FORTUNATO QUI VIM
    (IGNI)S PASSI SUNT
    (HY)GIA PIENTISSIMIS
    REFRIGERET NOS Q(UI)
    (OMNIA PO)TEST

    (À SAT)RIUS VOLUSIANUS
                    FILS D'EUTYCHÈS              
      ET À FORTUNATUS
        QUI ONT SOUFFERT LA VIOLENCE DU (FEU)
      DANS LEUR PARFAITE FIDÉLITÉ
    SANTÉ LA PLUS PIEUSE
      QUE NOUS RAFRAÎCHISSE
      CELUI QUI PEUT TOUT
     
     
     
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    En 1370, l'un des Abbés de Saint Victor - Guillaume de Grimoard - devint pape, sous le nom d'Urbain V : voir l'Éphéméride du 27 octobre et - jour de sa mort -  l'Éphéméride du 19 décembre...
     
    Ci contre, le "gros" ou "carlin" d'Urbain V, monnaie papale frappée en Avignon et dans tout le Comtat Venaissin...
     
     
    Et, sur l'Abbaye de Saint Victor de Marseille : http://www.saintvictor.net/ 
     
     
     

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    1242 : Bataille de Taillebourg

     

    Saint Louis y défait le comte de la Marche et Henri III, roi d'Angleterre : il en coûte au comte de la Marche sa ville de Saintes et une partie de la Saintonge, que le roi réunit à la couronne.

    taillebourg.jpg
     
    Situé sur un éperon rocheux, le château de Taillebourg (ci dessus) défendait le premier pont sur la Charente depuis l'estuaire du fleuve. Cette position stratégique en a fait l'enjeu de nombreux combats et notamment avec les Anglais. En 1179, Richard Cœur de Lion donne l'assaut à la forteresse et après la victoire ordonne sa destruction.
    Taillebourg passe ainsi aux mains des Anglais jusqu'à la célèbre bataille de juillet 1242 où Saint Louis affronta Henri III, roi d'Angleterre (un tableau de cette scène historique est exposé dans la Salle des Batailles au château de Versailles).
         
    Démantelé sur ordre de Louis XIV en 1652, il reste de ce puissant château, la Tour (ci dessus), les salles voûtées, les douves, ainsi que les pavillons construits en 1715 et le Parc avec ses superbes balustres et sa terrasse surplombant la Charente.
     
     
     
     
     
     

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    1798 : Bataille des Pyramides

     

    "Soldats ! Vous êtes venus dans ces contrées pour les arracher à la barbarie, porter la civilisation dans l'Orient, et soustraire cette belle partie du monde au joug de l'Angleterre. Nous allons combattre. Songez que du haut de ces monuments quarante siècles vous contemplent."

    PYRAMIDES.jpg

    Les pertes françaises lors de cette bataille sont très légères - de 30 à 40 tués et environ 300 blessés - contre plus de 20.000 tués ou blessés (et 40 canons perdus) pour les Mamelouks.

    Cette bataille ouvre la route du Caire à Bonaparte qui y entre le 24 juillet. Immédiatement, il lance des travaux dans la ville et ordonne d'importantes recherches archéologiques et scientifiques. Il crée alors l'Institut français du Caire, et les très importantes découvertes des français (comme celle de la Pierre de Rosettte, voir l'Éphéméride du 19 juillet) vont être le point de départ d'une science nouvelle, l'Égyptologie, dans laquelle le rôle de la France a été prépondérant....

    Mais cette belle victoire est bien vite oubliée. Les anglais anéantissent la flotte française dans la rade d'Aboukir (voir l'Éphéméride du 1er août), première étape de la destruction de notre flotte, avant le coup final porté à Trafalgar (voir l'Éphéméride du 21 octobre). Toute retraite devient impossible. La seule solution pour Bonaparte est de continuer sur sa lancée. Il pousse ses troupes vers la Palestine dans les 6 premiers mois de 1799. Mais l'épopée tourne au désastre. Comme il le fera en Espagne puis lors de la retraite de Russie, Bonaparte abandonne l'armée et rentre discrètement en France afin de préparer son avenir politique et éviter une déroute égyptienne qui porterait son nom.

    Il confie alors le commandement des troupes d'Égypte au général Kléber.

    Le général Menou signera la reddition sans condition des troupes françaises le 31 août 1801 (voir l'Éphéméride du 31 août)...

     

     

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    1798 : Vente à l'encan de la cathédrale de Boulogne, du palais épiscopal et des dépendances pour 510 000 francs : tout sera démoli...

     

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    La Révolution a détruit entre la quart et le tiers de notre Patrimoine : "Les Vandales du Vème siècle n'ont jamais brisé tant de chefs-d'oeuvre", disait Alexandre du Sommerard (voir l'Éphéméride du 31 août)

     http://www.cathedrale-boulogne.asso.fr/lhistoire/

     

     

     

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    1858 : Entrevue de Plombières

     

    Elle a lieu entre Napoléon III et Cavour (ci dessous), le ministre de Victor-Emmanuel, duc de Savoie, roi de Sardaigne, prince de Piémont et comte de Nice, qui souhaitait réaliser à son profit l'unité italienne.

    À Plombières, Napoléon III promit son aide à Victor Emmanuel, en échange de quoi Nice et la Savoie reviendraient à la France.

    C'est ce qui se passera en effet, deux ans plus tard, en 1860, après, toutefois, que les populations, consultées, aient voté à une écrasant majorité en faveur de leur rattachement à la France : voir l'Éphéméride du 24 mars... (le Val d'Aoste, pourtant très largement francophone, à l'époque, ne fut malheureusement pas inclus dans les négociations).

    Victor-Emmanuel, lui, devint le premier roi d'Italie, du 17 mars 1861 jusqu'à sa mort... 

    CAVOUR.jpg
     
     
     

  • Enfants masqués à la maison et repas séparés : et maintenant, l’immixtion dans la famille nucléaire…, par Gabrielle Cluz

    Après « famille, je vous hais », « famille, je vous crains ». Bien que le président de la République ne nous ait annoncé qu’un mois de confinement, son entourage prépare déjà les esprits aux prolongations : les fêtes de Noël en famille dépendront du comportement des Français, met en garde Olivier Véran.

    gabrielle cluzel.jpegM. Delfraissy, lui, a déjà tranché : cette année, c’est le père Fouettard qui descendra par la cheminée : « Les fêtes de fin d’année seront différentes, cette année : elles se feront en petit comité et probablement sous le couvre-feu » (France Inter). Comme pendant la guerre – on vous avait bien dit que c’en était une ! – et l’on poussera l’analogie jusque dans les cadeaux puisque, pour ne pas faire de jaloux, les supermarchés comme les petits commerces ne pourront plus vendre de jouets ni de biens « non essentiels ». Les bambins recevront donc des oranges et leurs mamans dessineront au crayon derrière la jambe la ligne du bas qu’elles n’auront pu acheter… mais non, bien sûr ! Les enfants seront toujours aussi gâtés, et nous autres, femmes, saurons bien où commander ces menus accessoires que nos gouvernants rigoristes – et dire que certains ont ri des Amish – jugent accessoires : chez l’Américain Amazon… ou le Chinois AliExpress. Oui, je sais, c’est un comble.

    Anne Genetet, porte-parole LREM, donne elle aussi dans le registre martial. Pas de robes à paillettes et de boas en plumes, cette année, ambiance rangers et tenue camouflée : « N’envisageons pas un Noël avec des grandes fêtes de famille. Ce sera un Noël de combat » (CNews). On connaissait la paix de Noël, la trêve de Noël, mais pas ce triste oxymore dont même les poilus de 14 ont été pour certains épargnés. Comme le savent les morgues, durant les « fêtes-de-fin-d’année », ceux qui font le constat tragique de leur extrême solitude, en ce jour de fête, font le choix de se suicider. Est-ce une bonne idée d’en augmenter les cohortes ?

    Parce qu’il vaut mieux en rire qu’en pleurer, certains, sur les réseaux sociaux, ont déjà trouvé la parade : puisque les réunions de famille sont limitées à six mais que l’on peut se réunir à trente pour les enterrements, ils suffira de célébrer les obsèques de la dinde. Les enfants l’aimaient tant, on a couché sa dépouille, la larme à l’œil – peut-être, il est vrai, à cause des petits oignons frits -, sur un joli plat en argent, dans un linceul de salade verte et d’écrasé de pomme de terre à l’huile de truffe… avant de lui rendre les derniers honneurs, la fourchette au garde-à-vous. En ces temps vegan, il ferait beau voir que les forces de l’ordre trouvent ça louche.

    Mais attention, même la famille nucléaire doit être désormais atomisée. Connaissez-vous William Dab ? Ancien directeur de la Santé, il est un chouchou des colonnes de Libé, qui le décrit comme un « expert brillant et respecté, connu pour être un mesuré » (sic). Peste ! Que serait-ce, s’il était excité ? Car les préconisations de ce monsieur sont pour le moins radicales. Si, pour lui, il est nécessaire de garder ouverts les collèges et lycées – « c’est un objectif social » -, en revanche, « lorsque [les jeunes] rentrent à la maison, ils gardent le masque ». Et « pour le dîner familial ? », demande, légèrement interloquée, la journaliste de BFM TV. La réponse est immédiate : « On n’est pas obligés de manger ensemble ! » Tableau de roulement dans la cuisine avec horaires échelonnés – chacun remplira, à cet effet, le lien Doodle envoyé sur WhatsApp – ou plateaux-repas glissés sous la porte ? Surtout ne pas oublier de désinfecter la poignée du frigo après le passage de papa et maman.

    5.jpg

    L’idéal serait, évidemment, de mettre un sens de circulation dans le couloir de l’appartement, de grandes flèches rouges sur le parquet de part et d’autre d’une cloison de Plexiglas™. On nous somme de dresser, au sein même du foyer, des frontières que l’on nous interdit de monter autour du pays au motif « qu’elles ne servent à rien ». À défaut du Covid-19, elles auraient pourtant au moins repoussé l’islamiste qui a franchi la frontière, mercredi soir, la veille de son horrible forfait. Quelqu’un, au gouvernement, pour le reconnaître ? Vous croyez au père Noël ! Et on vous a pourtant bien dit qu’il ne passerait pas cette année.

     

    Gabrielle Cluzel

    Ecrivain, journaliste
  • Facebook/Tweeter/Net : quelques uns des liens ”partagés” et des commentaires...

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    2. Par Jean-Louis Faure :

    1. UKRAINE, de Marie–France GARAUD dans Marianne : Obama-oublie-l-histoire_a238590.html : Un océan de bon sens. Enfin un retour à la grande Histoire, pour évacuer le déluge fétide imposé à notre pauvre pays par des media abrutis de bourrage de crâne, et un personnel politique automate.
    Qu’en disent le grand spécialiste de la légitimité des referendum à l’écoute du peuple et son Fabius arrogant ?
     
    2. La dernière mode sur le Bd Saint Germain est de s’extasier devant le bouquin de Thomas Piketty... Où l’on voit que l’économie n’est pas une science exacte, ouvrant la voie à la politique, une analyse cinglante de Charles Gave : http://institu...tdeslibertes.org/piketty-ou-quand-un-oint-du-seigneur-se-prend-les-pieds-dans-le-tapis/

     
     
    3. Par Christian Vanneste :
     
     
    Le propre de la décadence est de confondre l’art royal de la politique avec les paillettes du spectacle. Néron, déjà…  
     
    Photo : Jeanne d'Arc visite à Domrémy :http://www.actionroyaliste.com/articles/regard-empirique/1355-jeanne-de-domremy-a-rouen
     
     
     
    6. Par ALLIANCE ROYALE (page officielle) : 
     
     
    Veuillez noter les passages de notre clip vidéo: - Lundi 12 mai France 2 après JT 13h France 24 vers 5h55 - Mercredi 21 mai France 2 après programme de 1ère partie de soirée France 24 vers 17h55 - Mercredi 14 mai et lundi 19 mai France 3 après soir 3...
  • (Communiqué) : A propos de ”Cristeros”...

    (attention : ce mercredi 14 mai, à 20h40, KTO proposera un documentaire sur les Cristeros, qui s'annonce passionnant, intitulé Les pélerins de l'Epiphanie, ndlr...)

     

    cristeros affiche.jpgChers amis des Cristeros,

    Vos efforts ont porté leurs fruits et depuis mercredi, ce sont 16 nouvelles salles qui nous ouvrent leurs portes le 14 mai prochain !

    Ceux parmi vous qui habitent dans les agglomérations suivantes pourront donc aussi voir le film dès la semaine prochaine :
    Nantes, Rouen, Brest, Chartres, Arras, Thonon-les-Bains, Le Puy en Velay, Albi, Marseille, Beauvais, Dunkerque, Lorient, Quimper, Saint-Brieuc, Bressuire et le nord des Hauts-de Seine. Peut-être que lundi, nous aurons encore des surprises de dernières minutes.

    Si les 37 salles (en tout) programmées le 14 mai font de bons scores durant la semaine, non seulement certaines choisiront sans doute de garder le film à l’affiche une semaine de plus, mais surtout les dernières réticences que peuvent avoir certains exploitants dans les villes où le film n’est pas encore programmé seront levées. Beaucoup de choses vont donc se jouer la semaine prochaine au vu des résultats. Si le film passe près de chez vous, n’attendez pas pour aller le voir ; programmez votre sortie dès maintenant pour la semaine prochaine. C’est la seule manière d’être certain de le voir et de donner à d’autres villes la chance de le voir un jour.

    Un grand merci pour votre enthousiasme et votre mobilisation !

    PS : Nous vous signalons également une émission spéciale consacrée au film Cristeros sur KTO ce dimanche soir à 20h40. Cette émission de 52’ propose de découvrir l’histoire méconnue des Cristeros à l’aide d’extraits du film et de débattre sur la notion de guerre juste en compagnie de Jean-Yves Riou, directeur de la revue « Histoire du Christianisme », Frère Alain Richard, franciscain et fondateur des Cercles de silence et l’Abbé Christian Venard, aumônier militaire.
    Rediffusions : dim. 11/05 à 0h40, lun. 12/05 à 18h10, mar. 13/05 à 11h05, mer. 14/05 à 14h20, jeu. 15/05 à 7h50, ven. 16/05 à 9h30, sam. 17/05 à 16h, dim. 18/05 à 13h25.


    L’Equipe de Distribution de SAJE

  • Quand la France part en quenelle

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    Manuel Valls a engagé une nouvelle bataille qui détournera pendant quelques jours l’attention du «public» (puisque la politique est désormais un spectacle) : la lutte contre la quenelle ! Que voilà une noble cause, et anti-antisémite nous dit-on.

    Dieudonné a trouvé un créneau un peu glauque et attire à lui des fans qui prenant ses propos au premier degré, s’empressent de montrer leur quenelle à tout le monde. Quand on sait que ce « comique » est marié à une juive et fut le partenaire d’Elie Semoun, on peut douter de son antisémitisme affiché et penser qu’il n’a peut-être pas tort quand il affirme que son discours et sa quenelle provocante ne sont q’un pied de nez au système.

    Chacun appréciera ou non. Ce qui, finalement, dans cette histoire est le plus choquant, c’est l’empressement des socialistes à vouloir interdire les spectacles, les réunions, et même le geste de la quenelle comme l’a proposé un élu marseillais. L’interdiction d’un geste, fut-il obscène ou rappelant les heures sombres de notre histoire, serait une première en France et digne de la Chine de Mao ou de la Corée du Nord. Le poing levé ou le salut fasciste n’ont jamais été interdit, même s’ils choquent beaucoup de consciences.

    Mais tel est le principe de la liberté d’expression. Il a fallu que ce soit un Cohn-Bendit qui vienne le rappeler en s’insurgeant contre toute idée de censure de Dieudonné. Et il a eu raison. Sans cela, demain on nous interdira de faire un bras d’honneur sous prétexte qu’il pourrait évoquer une demi-croix gammée !

    Au moment où cette affaire ridicule occupe nos médias, j’apprends aussi que Noël Mamère, cet autre grand démocrate du pays des droits de l’homo, refuse de participer à une émission télévisée à laquelle la Barjot présumée Frigide est également invitée. Car ces humanistes verts et roses ne débattent qu’entre eux. Pour les autres, toute expression est condamnable. Le pauvre Voltaire doit se retourner dans sa tombe…

  • Qu'est-ce qui différencie un royaliste d'un républicain?

              Avant même qu'ils ne choisissent un Roi ou une République, deux points fondamentaux séparent le royaliste du républicain. En premier lieu, le royaliste part de ce qui est, du réel: il est pragmatique, là ou le républicain part de ses désirs, de ses rêves, car  c'est un idéologue: l'obsession des révolutionnaires n'était elle pas de faire "du passé table rase" (si Montagnier avait procédé ainsi, il n'aurait pas découvert le virus du sida!...). En second lieu, il faut des républicains pour faire la République, et il a fallu la Terreur pour l'imposer en rupture radicale avec notre Histoire; pour faire la Royauté, par contre, il n'est pas nécessaire qu'il y ait des royalistes: il n'y avait aucun "parti" en 987 et la Royauté a pourtant été instaurée; il en sera de même demain: si la Royauté est instaurée, c'est parce qu'elle sera restée "l'exigence naturelle des réalités de ce temps", comme le disait le Comte de Paris.

              Ce n'est qu'après avoir pointé ces deux différences majeures que l'on peut avancer, en troisième lieu, que le royaliste souhaite un Roi là où le républicain souhaite la République....;ainsi, nous proposons aujourd'hui aux Français de clôturer ce cycle de deux cents ans, qui s'est ouvert en 1792/1793 et de renouer avec notre Histoire millénaire, mais en partant de ce qui existe aujourd'hui, c'est à dire les institutions voulues par De Gaulle: n'étant pas idéologues mais pragmatiques, nous ne proposons pas la révolution en sens contraire, mais le contraire de la révolution; pas de morts, pas de Terreur, pas de génocide....et surtout pas de restauration de la Royauté! notre attitude est résolument dynamique, et non passéiste; tournée vers l'avenir et en aucun cas nostalgique. Avec les Français, nous souhaitons "reprendre le grand mouvement de 1789", et réunir -pour reprendre l'image de Marc Bloch- le Sacre de Reims et la Fête de la Fédération, mais en rejetant bien sur l'orientation totalitaire imposée par les révolutionnaires, inventeurs du génocide et pères d'Hitler et de Staline...

  • Humeur/humour: Le ”Penser correct”, ou Petit Catalogue des non-valeurs actuelles...

    (envoyé par A.B.....)

    I : IDEOLOGIE ET PRINCIPES:

    - EGALITE rigoureuse, en tous domaines, sans restrictions (sauf pour les revenus du sport et du showbiz).

    - DROITS DE L'HOMME, sans devoirs.

    - TOLERANCE absolue, sauf de ce qui est traditionnel;

    - ANTIRACISME, c'est-à-dire METISSAGE culturel et racial;

    - LIBERTE totale de jugement, dans le cadre des principes déjà cités;

    II : POLITIQUE:

    - Extérieure: Pacifisme (en guerre, il n'y a que des sadiques et des victimes), Antifascisme (la Serbie, puis la Russie ont pris la place du Chili et de l'Afrique du Sud), Tiers-mondisme (Afrique, Tibet etc...); non aux USA mais oui à New York, opposition symbolisée par Bush, "figure exécrable" et Obama, plus jeune, plus ouvert et surtout noir;

    Intérieure: Rejet des racines nationales, antisarkozysme systématique (Sarkozy étant la figure exécrable); seuls problèmes importants: l'accueil des immigrés et le sort des SDF.

    III : RELIGION:

    - Anticatholicisme, Benoît XVI tenant le rang de figure exécrable; sympathie pour l' "Islam véritable", à ne pas confondre avec l'islamisme; ouverture au boudhisme, zen ou pas; athéisme, le plus souvent....

    IV : ARTS :

    - Soutien à l'art contemporain sous toutes ses formes, y compris les pires provocations nihilistes, mais sans oublier les "arts premiers", ni le showbiz et ses "Enfoirés", ni les incomparables beautés des arts exotiques.....

    V : HISTOIRE :

    - A part la révolution de 1789, le passé est dans son ensemble sans intérêt, les deux centres de l'histoire se ramenant à l'Esclavage et à la Colonisation, et surtout au Génocide des Juifs par les nazis, Hitler étant naturellement la figure exécrable, mais accompagné de Pétain....

    VI : VIE SOCIALE :

    - Famille décomposée, puis "recomposée", incluant une éducation à la fois permissive et hyper-protectrice des enfants (redoutable contradiction); liberté sexuelle dès le plus jeune âge; féminisme, homosexualité; libéralisation des "drogues douces".....

    VII : ECONOMIE ET ENVIRONNEMENT :

    - Anticapitalisme; rejet des énergies fossiles et nucléaire; oui au "Bio", non aux OGM et au CO2; réchauffement climatique dogme intouchable, qui permet de justifier, entre autres, de futures migrations Sud-Nord abondantes....

    .....Et, comme le dirait le comique cévenol: "de tout segur, n'ai oublida !..."

  • Lilian Thuram, ou l'appétit d'argent féroce des anti racistes patentés...

                Ou: l'anti racisme ? Au bon beurre !.....           

                Les Dernières nouvelles d'Alsace ont raconté -il y a quelques mois- comment le regretté Adrien Zeller avait invité l'ex-footballeur Lilian Thuram à venir témoigner face à des lycéens, pour la clôture du Mois de l'Autre. Thuram avait répondu avec un tarif : 20 000 € pour une intervention d'une heure et demie. La Région avait fait une nouvelle tentative en proposant 1.500 euros tous frais payés: refus de Lilian Thuram. Adrien Zeller n'avait pas cédé et s'était passé des services du sportif, se contentant de lui fairé dire: "On ne vit hélas pas dans le même monde"."C'est vrai que la leçon d'anti-racisme de Thuram est vraiment hors de prix", avait conclu le journaliste des DNA....

                Tout récemment, le même Thuram était à Marseille: on le voit à la Une de La Provence du mercredi 17 février, sous le titre très "djeune": "Lilian Thuram, prof d'Histoire"/

                 Ce que La Provence ne dit -malheureusement- pas à ses lecteurs, c'est combien s'est fait payer le-dit Thuram pour "donner" (!!!) ce cours d'Histoire !

              Gageons qu'à son tarif, de nombreux chômeurs, rmistes -même rebaptisés rsa/istes- précaires ou autres auraient volontiers fait le boulot....

  • Pour la gauche, décidement, c'est ”en arrière, toutes !...”

                Il y a peu de temps, c'était Olivier Besancenot qui s'était écrié "Ce qu'il nous faut, c'est une bonne vieille révolution !...". Nous avions commenté cette surprenante déclaration dans notre note "Olivier Besancenot, ou le syndrome de l'écrevisse..."

                   A l’heure où plus personne n’en veut, de la révolution ; à l’heure où la Russie a canonisé le Tsar assassiné ; à l’heure où la Chine fait une cérémonie d’ouverture des Jeux sans parler une seule fois de la révolution (il faut le faire, tout de même !…) mais au contraire en exaltant les trois mille ans d’histoire de la Chine, et en appuyant lourdement sur le confucianisme...

                   Ségolène Royal, pas encore battue par Martine Aubry mais pensant peut-être pêcher à gauche, pour équilibrer un peu son image de centriste, n'a pas été mal non plus avec sa proposition d' "un nouveau Front Populaire" !

                   Là aussi, il fallait y penser ! Evoquer en 2008 ce Front Popu en grande partie responsable de la pire défaite de notre histoire, et qui a fini lamentablement, dans une fuite aussi indigne qu'éperdue, après avoir voté les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain...

                   Pauvre gauche, qui oscille entre radicalisation (signe infaillible de faiblesse intellectuelle) et passéisme : plus de pensée, mais des écrevisses  partout !...

     

     

  • Cohn Bendit, ”archange imprécateur” de l'anti communisme !...

              Dans le genre "figures guerrières" on avait Saint Michel terrassant le dragon, ou Jeanne d'Arc boutant les anglais hors de France...

              Il faudra bientôt ajouter un nouveau personnage, option "imprécateur", à la galerie des grandes figures mythiques de l'histoire de l'humanité. 

              Quelle mouche a donc piqué Daniel Cohn Bendit ?

                 Le coprésident du groupe des Verts au Parlement européen, dans une déclaration plutôt musclée du 9 juillet, a jugé  "scandaleuse" la décision de Nicolas Sarkozy de se rendre à la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Pékin le 8 août.

                "C'est un scandale de ne pas boycotter l'ouverture des Jeux", a-t-il déclaré lors d'un point presse au Parlement européen à Strasbourg. Jusque là, rien de bien particulier. C'est la suite qui a surpris (il était tellemnt submergé par l'émotion qu'à un moment il a eu du mal à continuer son "discours"...).

                "Aller à l'ouverture des Jeux comme le font Bush et Sarkozy, c'est faire allégeance au Parti Communiste chinois", a ajouté le leader des Verts, car "l'ouverture sera une mise en scène du parti communiste chinois et de toute l'histoire du parti"...

                Bon. On ne peut que prendre acte, pour l'instant, de cette "sortie" intempestive. Mais en attendant la suite, car pour l'instant on reste un peu sur sa faim : Dany en a dit trop, ou pas assez...

  • Le grain de sel de Scipion : Fichez-leur donc la paix !

    untitled.JPGDans les collèges, nos enfants subissent chaque jour un peu plus la pression de la morale bien pensante soixante-huitarde. Non plus seulement celle de professeurs d’histoire ou de philosophie qui prennent leur estrade pour une tribune politique, mais celle de l’omniprésente pensée progressiste qui inonde tous les rouages de nos institutions pour distiller ses messages culpabilisants sur le racisme, la xénophobie, l’homophobie, l’islamophobie, le colonialisme, l’esclavagisme, la repentance, le multiculturalisme, le sexisme, le Sida et autres heures-sombres-de-notre-histoire dont les jeunes générations se doivent de porter la croix en rémission des péchés de leurs parents. Et nous n’avons pas encore vu arriver les cours de « morale laïque » que nous promet le sieur Peillon !

    Mais si l’on fichait la paix à nos enfants ? Si on leur parlait de la grandeur passée de leur pays, de sa beauté et de ses richesses, de sa culture ancestrale, de ses racines chrétiennes, du beau, du vrai et du bon ? Non, il semble que l’on ait décidé d’en faire des frustrés, des coupables honteux, des repentis suicidaires et des aigris prématurés.

    Comment peut-on s’étonner des ravages de la drogue ou du nombre de suicides chez des jeunes auxquels on ne donne plus aucune vision positive et saine de la vie, aucun idéal collectif fort et motivant ? Au fait, le changement, c’est quand ?                                                                               

  • Le grain de sel de Scipion : Fichez-leur donc la paix !

    grain de sel 1.jpgDans les collèges, nos enfants subissent chaque jour un peu plus la pression de la morale bien pensante soixante-huitarde. Non plus seulement celle de professeurs d’histoire ou de philosophie qui prennent leur estrade pour une tribune politique, mais celle de l’omniprésente pensée progressiste qui inonde tous les rouages de nos institutions pour distiller ses messages culpabilisants sur le racisme, la xénophobie, l’homophobie, l’islamophobie, le colonialisme, l’esclavagisme, la repentance, le multiculturalisme, le sexisme, le Sida et autres heures-sombres-de-notre-histoire dont les jeunes générations se doivent de porter la croix en rémission des péchés de leurs parents. Et nous n’avons pas encore vu arriver les cours de « morale laïque » que nous promet le sieur Peillon !

    Mais si l’on fichait la paix à nos enfants ? Si on leur parlait de la grandeur passée de leur pays, de sa beauté et de ses richesses, de sa culture ancestrale, de ses racines chrétiennes, du beau, du vrai et du bon ? Non, il semble que l’on ait décidé d’en faire des frustrés, des coupables honteux, des repentis suicidaires et des aigris prématurés.

    Comment peut-on s’étonner des ravages de la drogue ou du nombre de suicides chez des jeunes auxquels on ne donne plus aucune vision positive et saine de la vie, aucun idéal collectif fort et motivant ? Au fait, le changement, c’est quand ?                                                                                                          

  • Pseudo-intellectuels, par Philippe Delelis*

     

    La ministre de l’Education, défendant sa réforme du collège, a fustigé les plus prestigieux de ses opposants en les traitant de « pseudo-intellectuels ». L’expression a un petit parfum de révolution culturelle. On l’a peut-être oublié – et même sûrement, compte tenu du laminage de l’enseignement de l’histoire – mais cette glorieuse période (1966-1968) a vu la rééducation forcée de centaines de milliers d’intellectuels chinois envoyés méditer aux champs sur les bienfaits du communisme. De jeunes analphabètes, baptisés Gardes Rouges, se faisaient un plaisir à les humilier de toutes les façons imaginables.

    Heureusement, on n’en est pas là. Pour l’instant, il ne s’agit que de mépris à l’égard de personnalités aux capacités intellectuelles mises en doute par la ministre. Parmi ces sacripants un peu limités figurent notamment Pierre Nora, Régis Debray, Alain Finkielkraut, Marc Fumaroli, Jean-Pierre Le Goff, Claude Hagège, Alain Bentolila… Tous coupables, ces pseudo-penseurs ! De quoi, au fait ? Ah oui, de s’en prendre à une réforme qui, elle, n’a rien de factice et qui tire les conséquences de la création du collège unique par Giscard en 1975 pour achever le nivellement par le bas. Ce n’est pas une pseudo-réforme, ça. Ce ne sont pas des pseudo-pédagogues qui l’ont inventée puisqu’ils avaient déjà créé la méthode globale d’apprentissage de la lecture, l’histoire non chronologique par vulgarisation (au sens premier) des recherches de l’Ecole des Annales, l’égalité prof-élève, les tentatives régulières de suppression des notes…

    Le niveau n’a cessé de baisser au rythme de la pénétration du pédagogisme dans l’éducation autrefois nationale, mais on peut encore descendre. Pourvu qu’un jour l’école ne produise pas un pseudo-ministre !  

     - Politique magazine

  • Livres, BD • Complot, le naufrage du Titanic

     

    par Anne Bernet

     

    938307326.pngEt si la version de certains événements, telle qu’elle figure dans les livres d’histoire, était un tissu de mensonges destiné à dissimuler de sombres secrets d’État ? L’idée est séduisante, parce que souvent vérifiable …

    Ainsi en va-t-il pour cette relecture des conditions du naufrage du Titanic en avril 1912, alors que les signes avant-coureurs d’une guerre prochaine se multipliaient. Un iceberg fut-il bien, comme le conclut l’enquête officielle, la cause du drame ? Et pourquoi la commission d’enquête réfuta-t-elle systématiquement les déclarations du capitaine du Californian, Stanley Lord, accusé de n’avoir pas secouru le paquebot en détresse alors qu’il se trouvait à quelques miles seulement mais qui soutint jusqu’à la fin de sa vie qu’un autre navire, resté non identifié, naviguait beaucoup plus près du transatlantique et que c’était ce mystérieux steamer que les survivants avaient pris pour le Californian ?

     Évidemment, la tentation est grande de conclure, comme les spécialistes, que Lord, tardivement honteux de sa conduite, tenta de se dédouaner en inventant la présence sur zone d’un navire fantôme … A moins que …

    Reconnaissante au capitaine Lord qui, jadis, en Afrique du Sud, lui sauva la vie, Margaret Wade, infirmière militaire difficile à effrayer, décide de le croire quand il affirme qu’un autre bateau croisait dans les parages et, pour laver l’honneur de son ami, se met à la recherche de tout élément susceptible d’accréditer cette version. Elle ignore, ce faisant, contrecarrer les plans de gens puissants et sans scrupules. Ne l’ont-ils pas déjà prouvé en envoyant le Titanic par le fond et en provoquant la mort de 1500 innocents ?

    L’histoire est redoutablement bien faite, au point de semer un doute durable dans l’esprit du lecteur. C’est le but car l’hypothèse, à tout prendre, se tient.

    Quant au dessin, clair, précis, agréable, il concourt à faire de cet album une vraie réussite.

    Complot, Le Naufrage du Titanic, de Alcante, Gihef, Köllé et Fiki, Delcourt, 57 p., 14,95 €.

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  • Nouveauté BD, de ce week-end ....

    L'EPOPEE.jpg

     Alexandre l’Epopée

    Nous sommes en 336 avant Jésus Christ. Le roi Philippe II de Macédoine vient de mourir. Son fils, le jeune Alexandre qui n’a que 20 ans est appelé à lui succéder. Il va régner sur un vaste royaume qui, sous l’impulsion de son père, s’est étendu jusqu’à la Grèce classique. C’est l’armée, réunie à Pella capitale de la Macédoine, qui acclame et proclame Alexandre roi. Deux de ses proches amis, Karanos et Méléagre assistent à son couronnement. Ils sont chargés de veiller sur Pyrrhus et Eurydice qui ont les faveurs d’Alexandre. Mais Pyrrhus et Eurydice se sont vus dépouillés de leurs titres et de tous leurs biens par feu le roi Philippe II…

    Assassinats, complots et manipulations vont alors entrer en jeu pour déstabiliser le jeune monarque, qui se voit contraint et forcé d’éliminer tous ses rivaux potentiels. Le trône est à ce prix…

    Superbement dessiné, ce péplum historique est très documenté, peut-être un peu trop parce que le non initié à l’histoire antique peut se trouver dérouté et parfois un peu perdu dans le flot d’informations qu’il doit engranger. Certes le lexique en fin d’album se révèle utile, éclairant le lecteur sur les expressions précises. De même l’album contient une carte de référence qui permet d’appréhender l’étendue du royaume d’Alexandre entre sa prise de pouvoir (-336) et sa disparition (-323).
    Il n’en reste pas moins que le scénario aurait mérité d’être un peu plus simple, moins alambiqué même si l’on image bien que la succession de Philippe II n’a pas été de tout repos pour Alexandre.
    Et même si l’imagination permet de suppléer à une vérité historique qui fait cruellement défaut par certains moments, ce premier tome s’affirme comme un opus d’une grande qualité. Il faut simplement prendre le temps de le lire, de s’en imprégner et au préalable, de réviser ses cours d’histoire ! u 

    Alexandre l’Epopée –Tome 1 – « Un roi vient de mourir » – Chauvel/Le Galli/Java – Editions Glénat – 64 pages – 14,95 euros

     

    Source : Site de Politique magazine - Par 16 septembre 2014