UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : qu'est ce que le système ?

  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

              3°) Mounir Labidi, 23 ans, et Bachirou Tandjigora, 21 ans, condamnés respectivement à huit et six ans de prison pour avoir passé à tabac deux CRS dans "leur" cité des Tarterêts (1), après avoir caillassé leur véhicule en septembre 2006. Un des deux CRS souffre de troubles de l'audition, et l'autre a déjà été opéré deux fois de l'oeil droit; bravo, les "jeunes", et merci Chirac, pour avoir fait venir chez nous -qui n'avons rien demandé- ces voyous et ces bêtes fauves....Leur complice, Mehdi Bouharel, 19 ans, a été reconnu coupable de violences aggravées, dégradations sur la voiture des policiers et menaces de mort sur un mineur lors de sa garde à vue: il a été condamné à 6 ans de prison; Blanca N'Gobila -19 ans- a par contre été scandaleusement relaxé au bénéfice du doute, alors que le procureur avait requis sept ans de prison, car il avait été formellement désigné comme ayant participé à l'agression....

              Le procès s'est déroulé dans une ambiance tendue, dominé par la crainte des représailles: un comble ! fait exceptionnel, un "témoin sous X" a été entendu par le tribunal via un système de visioconférence, rendant impossible son identification: "s'ils m'attrapent, je suis mort !", avait-il expliqué aux enquêteurs; maintenant la France c'est comme la Sicile avec la Mafia: les voyous font ce qu'ils veulent, tabassent, caillassent, estropient; et si on leur dit quoi que ce soit, ils organisent des représailles; voila où nous mène la république; c'était pour arriver à "ca" qu'ils ont fait la révolution: chapeau !

     

    (1): jadis coin paisible de France, et aujourd'hui abandonné par la république à la pègre, à la délinquance, aux voyous, comme de très nombreuses parties de notre pays, sur tout le territoire national.....

  • On en apprend de belles!.....

             Ce n'est pas de la critique stérile ou du mauvais esprit, et du reste ce n'est pas nous qui le disons: c'est le député UMP des Ardennes, Jean-Luc Warsmann, président de la Commission des lois de l'Assemblée nationale: "La non-exécution des peines est une des grandes faiblesses de notre système judiciaire. Il est parfaitement anormal qu'un délai de six mois, voire un an ou plus, s'écoule entre une condamnation et son exécution. Pour qu'une sanction ait une vertu dissuasive, il doit y avoir une continuité entre les deux. Le contraire entretient un sentiment d'impunité et favorise la récidive...."

               On ne peut qu'applaudir la fougue de ce député, mais on reste tout de même saisi d'étonnement (et c'est un doux euphémisme....). Il y a tout de même plus de deux cents ans que la révolution a eu lieu; une révolution qui a mis a bas le régime qui avait fait la France, et qui en avait fait la première puissance du monde; et qui avait promis qu'elle établirait le règne de la Raison et du Progrès.

               Et on en arrive, plus de deux siècles après, à la situation que décrit monsieur Warsmann ? Que s'est-il donc passé ? Dans une note adressée à Arlette Laguillier (1), nous développions la même idée: il faudrait tout de même que l'on se mette à faire le bilan de cette fameuse révolution et de la république qui en a découlé: si on a tout cassé, en promettant "qu'on allait voir ce qu'on allait voir", est-ce, deux siècles après, pour en arriver à ce constat dressé non pas par nous mais par un représentant du pays Légal: "30% des peines d'emprisonnement ne sont jamais exécutées, et 70% ne le sont toujours pas un an après avoir été prononcées...": devant un tel scandale, n'y a-t-il pas de quoi se poser des questions ? et demander des comptes ?....

    (1): voir la note: "Ils savent casser, mais quand construiront-ils?...." dans la Catégorie: "République ou Royauté?".

  • 230.901 : Bilan des six derniers mois de téléchargements sur Viméo.....

    (Rappel : Vimeo est le nom du Site sur lequel sont hebergées les Vidéos que vous pouvez consulter sur le Blog...)

           * Au 9 décembre, le nombre des téléchargements s'élève à 230.538.

         * Pour les six derniers mois : - juin : 21.054 téléchargements;

                                                - juillet : 9.141...

                                                - août : 11.976...

                                                - septembre : 10.244...

                                                - octobre : 20.058...

                                                - novembre : 60.025...

           * Nota : la vidéo du deuxième Café politique de lafauteraousseau, le 5 novembre, Crise ou effondrement du Système ? (Débat/Dialogue entre Antoine et Hilaire de Crémiers), a été visionnée/téléchargée 46.200 fois....

  • Avez-vous pensé à adresser votre contribution à Lafautearousseau ? Si non, et si vous êtes d'accord, faites-le maintenan

    + + + 1462992441 copie.jpg

    SOUTENIR LAFAUTEAROUSSEAU !

     

    Tout d’abord, merci encore à tous ceux qui nous ont adressé leur participation. Nombreux sont nos lecteurs qui ont répondu à notre appel. Que leur envoi ait été de 5 €, ou bien davantage, ils ont apporté leur pierre.

    Mais, il y a tous ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ne l'ont pas encore fait. Et, d'un autre côté, il y a notre projet de donner à ce blog, en pleine expansion, les moyens de grandir encore plus vite, d'améliorer sa qualité, d'accroître sa diffusion.

    La situation de notre Pays, de l'Etat, de la société française, de nos familles, nous paraît, aujourd'hui, si grave, tout ce que nous aimons, tout ce à quoi nous sommes attachés, nous paraît si gravement menacé, qu'il nous semble de notre devoir de réagir, autant que nous le pouvons.

    Or, avec sa page facebook, ses vidéos, très largement diffusées, ses cafés poltiques, Lafautearousseau n'est pas qu'un blog, c'est un système qui ne demande qu'à grandir. Aidez-le !   

    Nous vous rappelons que vous pouvez envoyer votre contribution :  

    par PayPal (paiement sécurisé, sous la rubrique Faire un don). PayPal, ça marche, maintenant ! 

     

    - mais aussi par chèque à l’ordre de : Les Amis de Lafautearousseau.

     

        Adresse d'envoi : Les Amis de Lafautearousseau

    B.P. 50204,

    13445 Marseille 06

     

    D’avance tous nos remerciements et nos sentiments cordiaux.

     

    Les Amis de Lafautearousseau

     

     

    Si vous comptez contribuer, ne tardez pas, faites-le dès aujourd'hui.    

      

    Présentation de Lafautearousseau, point complet sur son évolution et son importance, cliquez sur ce lien :

     

    Lafautearousseau.présentation.pdf

     

  • ”Affaire Arnault” : Y a-t-il une continuité de Fouquier-Tinville à Nicolas Demorand ?

    libération,arnault,demorand,vronski,agirc,arco(Il n’est question, ici, que de la réaction de Nicolas DEMORAND et de Libération à l’affaire ARNAUD ; sur l’attitude de ceux qui choisissent, en quelque sorte, l’émigration, nous dirons notre point de vue dans de prochaines notes).

     

    Y a-t-il une continuité de Fouquier-Tinville à Nicolas Demorand ? On peut le redouter avec la Une de Libération, hier matin, en visant la décision de Bernard Arnault :

    « Casse toi riche con !»

    Et l’accroche de Demorand :

    «Même s'il se défend de s'exiler pour des raisons fiscales, la demande de nationalité belge de Bernard Arnault apparaît comme le symbole de l'égoïsme des plus fortunés.»

    Cette feuille de chou faisandée, scorie de mai 68, passée un temps dans les mains d’Edouard de Rothschild, nous offre parfois des situations cocasses. Un an après son arrivée comme patron de la rédaction, Demorand essuie une bronca des salariés du journal, « qui font état de leur malaise devant une ligne éditoriale racoleuse.»

    Ils nous l’enlèvent de la bouche !

    Entendu hier matin sur BFM les Experts, l’entrepreneur Laurent Vronski : les jeunes diplômés qu’il voit passer en stage dans son entreprise, n’ont qu’une idée, quitter la France dès que possible.

    Bien que ce paramètre soit mesurable si on le décide, le Système installera une omerta sur l’étendue d’une inversion de population qui est en train de s’amplifier, où notre richesse intellectuelle quitte le pays et où nous laissons entrer dans un complet désordre, toute la misère du monde selon un certain Rocard (pendant un instant de lucidité). Ce matin même la presse la mieux disposée à l’égard du président normal, est plutôt sceptique, car tout le monde sait que l’économie française ne peut pas supporter plus de 30 milliards € de ponction en un an. Inattendu et délai très court. C’est une récession assurée. Avec des dossiers brûlants qui s’accumulent sur les bureaux des ministres, comme celui des retraites (régime AGIRC et ARCO à la veille de la faillite).

    Certains commentateurs parlent de la magie des mots. Les piètres numéros d’équilibristes qui nous sont offerts, rappellent plus les petits cirques ambulants pour amuser les enfants dans les villages, que le grand cirque de Moscou ou de Pékin …

    Champsaur

  • Economie libérée et souveraineté nationale par François Reloujac

    Trois jours avant le second tour des élections législatives, le nouveau président de la République, François Hollande, est intervenu pour appeler les électeurs grecs (!) à bien voter ; c’est-à-dire à voter pour des personnes désignées par des partis politiques favorables à l’euro.

     

            Que ces partis aient conduit la Grèce à la faillite avec constance et qu’ils soient, aujourd’hui, devenus les exécuteurs des instances financières internationales pour imposer aux Grecs une austérité insupportable, ne semblait pas gêner outre mesure le nouveau président. Mais ce qui est le plus choquant, c’est le principe même que le président d’un état se permette d’inciter les citoyens d’un autre pays à voter en ne tenant d’ailleurs compte que de la situation économique de partenaires de moins en moins solidaires.

            Certains objecteront que, le même jour, le FMI et l’Union européenne menaçaient les Grecs de ne pas leur verser l’aide promise s’ils votaient mal ; que les Etats-Unis font de même partout dans le monde ; que ce sont des agences de notation américaines qui ont dans le même temps dégradé la note de l’Espagne de trois crans ; que, pendant un temps, Nicolas Sarkozy avait recherché le soutien de Madame Merkel pour s’imposer face à son rival… Bien plus, ces mêmes personnes trouvent normal que, dans un monde où toutes les économies sont interpénétrées, on ne puisse pas agir sur un plan national sans tenir compte des répercussions sur les peuples voisins. Tout cela n’est que confusion ; lorsque l’on se mêle de tout, on ne s’occupe de rien. Le système volontairement mis en place en Europe depuis une trentaine d’années (depuis ce que l’on a appelé l’Acte unique) est purement et simplement un renoncement à la souveraineté nationale au profit d’un système protéiforme lui-même imbriqué dans un tissu de relations automatiques qui ne tient pas compte des hommes mais seulement des « flux » économiques. Cette évolution européenne est elle-même en conformité avec les règles mises en place par l’ONU et l’OMC.

              On en est arrivé à un système tellement complexe que plus personne ne le maîtrise, mais qui permet aux appareils des partis en place de se maintenir grâce à une manne financière discrètement distraite des flux financiers internationaux. Tout prétexte est désormais bon pour donner lieu à des flots de paroles qui n’ont pas pour but d’expliquer la situation aux citoyens mais de les faire réagir de façon spontanée… et donc de « bien » voter. Les citoyens sont de plus en plus noyés sous une masse de chiffres qui n’expriment plus rien. On assiste à une valse de milliards qui n’évoquent rien, sinon l’énormité des difficultés et l’impossibilité pour le citoyen de comprendre ce qu’il faut faire. Chacun est prié de faire confiance à ceux qui ont confisqué les pouvoirs et d’excuser leur incompétence à le sortir rapidement d’embarras.

     

    Les « grands champions nationaux » détenus par des capitaux étrangers

     

           Heureusement, dit-on, la France a de « grands champions nationaux », ces grandes entreprises que le monde entier envie et qui portent des noms prestigieux. Quand on y regarde d’un peu plus près, on constate que ces grands champions nationaux dont le capital est coté à la Bourse de Paris, sont en fait en grande partie détenus par des fonds de pension étrangers, que leurs principaux dirigeants sont de nationalités diverses, qu’ils payent en France proportionnellement beaucoup moins d’impôt que les petites entreprises – optimisant leur fiscalité par des mouvements « internes » avec des filiales bien situées dans des « paradis fiscaux », ce qui permet de faire apparaître le bénéfice dans le pays où il est le moins imposé –, qu’ils sont les premiers à réclamer des subventions dès que leur chiffre d’affaires baisse (primes à la casse !) et qu’ils n’ont aucun scrupule à délocaliser leur production si cela est plus avantageux pour eux. Où est l’intérêt national dans un tel système ? Et que peut faire un gouvernement, quelle que soit sa couleur politique, pour diriger le pays ? Augmenter les impôts sur les entreprises n’est pas une solution car les plus importantes d’entre elles seront heureuses de voir le gouvernement britannique ou un autre leur dérouler le « tapis rouge », pour utiliser l’expression qu’a osée David Cameron en marge de la réunion du G20.

            Quoi qu’il en soit, toute politique d’assainissement finit toujours par peser sur le citoyen de base, que ce soit directement par l’impôt, les baisses de salaire (comme en Grèce) ou l’augmentation du chômage (cas de l’Espagne). Qu’une société qui a longtemps vécu à crédit, soit un jour amené à payer ses dettes, cela est normal même si c’est douloureux. Mais que cela entraîne un enrichissement indû de certaines institutions financières internationales (fussent-elles des fonds de pension destinés à payer des retraites dans d’autres pays du monde), cela est insupportable. Ces institutions se conduisent alors comme les usuriers du xixe siècle qui profitaient de la misère des paysans et des ouvriers pour s’enrichir sur le dos des plus pauvres. Que cela se produise aujourd’hui à une échelle internationale ne change rien à l’affaire. Sauf que l’on ne peut espérer en sortir qu’au sein de chaque société organisée et solidaire par des mesures acceptées par tous et non imposées de l’étranger. 

     

    « En l’europe nous ne croyons plus »

     

            La politique fondée sur le tout économique et sur une intégration toujours plus poussée par les marchés a fait faillite. Même l’ancienne ministre des Affaires étrangères de l’Espagne, Ana Palacio, a du le reconnaître lorsqu’elle a publié dans Le Figaro du 20 juin 2012 un article intitulé : « En l’Europe nous ne croyons plus » ! Dans chacun des pays concernés, ce n’est même plus ni le règne de l’étranger ni la domination d’une administration apatride mais l’anarchie masquée derrière une fuite en avant qui cherche simplement à faire gagner du temps. Mais pour quoi faire ? Pour continuer à laisser les grosses institutions financières anonymes faire croître leur bilan en épuisant le tissu social de tous les pays développés ?

    Dans de telles conditions, que faut-il faire ? La solution est d’abord nationale, car la douloureuse solidarité qui sera nécessaire pour en sortir met en jeu les valeurs communes dans lesquelles se reconnaissent les peuples ; de plus, elle n’est pas simplement économique. Si l’on en reste sur cet unique terrain, on ne pourra au mieux que mettre en œuvre quelques palliatifs pour le seul bénéfice des partis en place. C’est le bienheureux Pie IX qui avait déjà posé le diagnostic et indiqué en même temps la solution lorsqu’il écrivait en 1864 dans son encyclique Quanta Cura : « Qui ne voit et ne sent parfaitement qu’une société dégagée des liens de la religion et de la vraie justice, ne peut plus se proposer aucun autre but que d’amasser et d’accumuler des richesses, ni suivre d’autre loi dans ses actes que l’indomptable désir de l’âme d’être esclave de ses propres passions et intérêts ? » A son époque, Jeanne d’Arc avait résolu la crise du Royaume de France en mettant en œuvre une méthode, « Bouter l’étranger hors de France », au service d’un but : « Messire Dieu premier servi ». La leçon est toujours valable.  

     

    (Analyse parue dans le numéro d'été, juillet/août, de Politique magazine)

  • Avez-vous pensé à adresser votre contribution à Lafautearousseau ? Si non, et si vous êtes d'accord, faites-le maintenan

    + + + 1462992441 copie.jpgA nos lecteurs qui l'ont fait, nous redisons, encore une fois, nos remerciements chaleureux. Que leur envoi ait été de 5 €, ou bien davantage, ils ont apporté leur pierre.

    Mais, il y a tous les autres, tous ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ne l'ont pas encore fait; et il y a, d'un autre côté, notre désir très vif de donner à ce blog en pleine expansion, à nos vidéos, à notre page facebook, à nos cafés politiques, les moyens de grandir encore plus vite, d'améliorer leur qualité, d'accroître leur diffusion. La situation du Pays, de l'Etat, de la société française, nous paraît, aujourd'hui, si grave, tout ce que nous aimons, tout ce à quoi nous sommes attachés, nous paraît si gravement menacé, qu'il nous semble de notre devoir de réagir, autant que nous le pouvons. Or, avec sa page facebook, ses vidéos, très largement diffusés, ses cafés poltiques, Lafautearousseau ce n'est pas qu'un blog; c'est un système qui ne demande qu'à grandir... Aidez-le !   

    En tout cas, nous vous rappelons que vous pouvez envoyer votre contribution :  

    par PayPal (paiement sécurisé, sous la rubrique Faire un don). PayPal, ça marche, maintenant ! 

     

    -  mais aussi par chèque à l’ordre de : Les Amis de Lafautearousseau.

     

        Adresse d'envoi :   

     

    Les Amis de Lafautearousseau

    B.P. 50204,

    13445 Marseille 06

     

    D’avance tous nos remerciements et nos sentiments cordiaux.

     

    Les Amis de Lafautearousseau

     

     

    Si vous comptez contribuer, ne tardez pas, faites-le dès aujourd'hui.    

      

    Présentation de Lafautearousseau, point complet sur son évolution et son importance, cliquez sur ce lien :

     

    Lafautearousseau.présentation.pdf

     

  • Un sujet, deux médias, deux lecteurs…. et deux réactions/conclusions fort opposées…..

            Ces derniers jours, on a parlé de la Reine d'Angleterre, plus particulièrement, et de la Monarchie, plus généralement, dans deux médias fort différents : sur Arte et sur La Croix.

          Deux lecteurs habituels, amis de notre Blog, ont écouté et lu ces documents, et nous ont envoyé chacun son commentaire.....

          DC a été dégoûté du document diffusé sur Arte, alors que MP - qui nous fait parvenir le texte de La Croix que nosu reproduisons ci-après - nous dit simplement que cet article montre que les esprits peuvent évoluer.....

    1. de DC sur Arte :

    "....Pour information, avez-vous regardé le document diffusé sur Arte ce mardi 31 janvier "ballade pour une reine" ?
    Une horreur.
    Voici le commentaire que j'ai formulé sur le site internet des téléspectateurs d'Arte, j'invite ceux qui y adhèrent à faire de même.

    LES 60 ANS DE REGNE D'ELISABETH II MERITENT MIEUX QUE LE TORCHON ANTIMONARCHISTE ET CULTURELLEMENT NUL QUE VOUS AVEZ CRU BON DE PRESENTER SUR ARTE.

    CE REPORTAGE DE CANIVEAU N'EST PAS A LA HAUTEUR D'UNE CHAINE TELLE ARTE QUI EST CENSEE APPORTER UN REGARD CULTUREL SUR UN THEME (CELUI DE LA MONARCHIE PARLEMENTAIRE EN L'OCCURENCE  ET DU ROLE DE LA REINE) ET NON UN VOMI DE CARICATURE SUR UNE INSTITUTION QUE LA MAJORITE DES BRITANNIQUES SOUTIENNE N'EN DEPLAISE AUX "EMINENTES PERSONNALITES" FREQUENTEES PAR LE REALISATEUR DE CETTE MONSTRUEUSE BALLADE.

     

    2. de MP, l'article "royal" de La Croix :

     

    La royauté, un système politique d’avenir

    Devenue reine d’Angleterre le 6 février 1952, Élisabeth II célèbre son jubilé de diamant.

    Fils cadet du roi Georges V, le duc d'York, père d'Elisabeth II, n'aurait jamais dû régner. Il monte finalement sur le trône, après l'abdication de son frère Edouard VIII, en 1936. La princesse Elisabeth est désormais princesse héritière. 

    Les sept monarchies d’Europe restent populaires, car elles ont su se moderniser.

    Les personnalités royales incarnent la nation et sacralisent les moments forts vécus par leur pays. 

    « Le monde entier est en révolte. Bientôt il ne restera plus que cinq rois – le roi d’Angleterre, et puis ceux de Pique, de Trèfle, de Cœur et de Carreau » , déclarait, en 1948, le roi Farouk d’Égypte. S’il voyait juste pour lui-même, contraint peu après à l’exil, et pour sa région qui a chassé ses monarques, l’Europe, pour sa part, a conservé ses monarchies – Royaume-Uni, Belgique, Pays-Bas, Danemark, Suède, Norvège –, auxquelles s’est ajouté en 1975 le royaume d’Espagne, et ses principautés – Luxembourg, Liechtenstein, Monaco, Andorre.

    Alors qu’Élisabeth II, 85 ans, célèbre cette année les soixante ans de son règne – elle est devenue reine d’Angleterre le 6 février 1952 et a été couronnée le 2 juin 1953 – rois et reines d’Europe sont solidement installés sur leurs trônes. Les sondages affirment que tous – même en Belgique, où le roi est impopulaire en Flandre – conserveraient leurs trônes en cas de référendums.

    Plus de 220 millions de personnes dans le monde (en comptant les 15 pays du Commonwealth où la reine d’Angleterre est souveraine) sont les « sujets » de rois européens. Ils tolèrent, et très souvent apprécient, un système politique anachronique, où le chef de l’État doit sa position à sa naissance. Une adhésion qui vient sans doute d’abord de l’ancienneté de la continuité de systèmes qui ont duré – plus d’un millénaire au Danemark, la plus ancienne monarchie d’Europe, mille ans au Royaume-Uni – et ont façonné leur pays.

    La reine, « une respectable vieille grand-mère »

    « Si on voulait se passer de la reine, il faudrait changer tout le système politique », souligne Peter Conradi, journaliste au Sunday Times  et coauteur du livre Le Discours d’un roi  (1). Gouverneur suprême de l’Église d’Angleterre, chef des armées, responsable de la nomination du premier ministre, la souveraine joue un rôle politique important, et reçoit chaque semaine le chef du gouvernement. « Il n’y a que deux personnes dans le monde à qui on peut dire sincèrement ce qu’on pense de ses collègues : sa femme et la reine »,  disait Tony Blair.

    Figure de proue de la diplomatie, la reine d’Angleterre, plus que ses homologues européens, incarne des événements historiques majeurs, comme le rapprochement avec une Irlande pacifiée qu’elle a scellé symboliquement lors d’une visite à Dublin en 2011. Elle reste au-dessus des partis. « Un président nous diviserait , estime Rodney Barker, professeur à la London School of Economics. Mieux vaut une respectable vieille grand-mère. Les vertus de la reine peuvent sembler ordinaires, elle n’est pas charismatique, mais elle est perçue comme une personne honnête et consciencieuse, travaillant dur, qui a le sens de ses devoirs » , ajoute le politologue.

    Stabiliser un pays, le faire exister sur la scène internationale et faire respecter son indépendance, c’est ce qu’un roi est le mieux à même de faire. Tel était l’avis des Norvégiens lors de l’instauration du royaume européen le plus récent, en 1905. Il s’agissait pour le pays de s’émanciper de la Suède, d’être reconnu au niveau international et de survivre plus longtemps en tant que nation indépendante. La monarchie a réussi ce pari et est sortie renforcée de la Seconde Guerre mondiale, le roi Haakon ayant refusé de capituler face à l’Allemagne et pris la tête de la résistance. À l’inverse, les faiblesses pronazies de certains monarques les ont conduits soit à l’abdication (en Belgique), soit à une limitation presque totale de leur rôle politique (en Suède).

    Modernité

    Le roi d’Espagne a joué le même rôle de stabilisation politique et de garant de la jeune démocratie née après le franquisme, quand il s’est opposé en février 1981 à un coup d’État militaire. Juan Carlos, image du monarque moderne, soucieux de sa popularité, a toujours su s’adapter. Ainsi, quand a éclaté en décembre dernier le scandale de corruption impliquant son gendre, Inaki Urdangarin, il a publié les comptes de la maison royale : un budget de 8,43 millions d’euros accordé par le Parlement, en recul de 5 % en 2011, année de crise pour le pays. Une somme inférieure au salaire d’un footballeur vedette et « modeste » par rapport aux 46 millions d’euros alloués en 2010 à la famille royale britannique, « ce qui représente 62 livres (74 €) par contribuable » , a calculé Peter Conradi.

    « Derrière les spectacles à la Cendrillon, les défilés, les carrosses, les institutions royales européennes sont des organisations modernes »,  ajoute-t-il. Albert II, roi des Belges, vient de décider, en pleine austérité, de ne pas utiliser cette année l’augmentation de 3 % de sa dotation (11 millions d’euros en 2011), alignée sur l’inflation par la Constitution. « Les personnalités royales sont une personnification du caractère national,  souligne Peter Conradi. Si elles se comportent correctement, elles incarnent leur pays. » 

    Tous les souverains européens s’y appliquent, sans pouvoir toujours empêcher les scandales. « Ce qui est le plus défavorable aux royautés, c’est d’avoir des membres de la famille royale se conduisant mal, abusant à l’excès des privilèges dont ils disposent sans rien faire,  analyse Rodney Barker. La famille royale britannique a évité les erreurs de conduite depuis des années. Elle n’est pas perçue comme abusant de sa position, ou ne remplissant pas ses obligations. »  

    Normalité

    Son atout majeur, outre la reine, est son petit-fils, le prince héritier William, « un jeune homme sérieux, travailleur, décent » . Incarnant les valeurs du devoir, le fils du prince Charles et de Lady Diana, pilote de la RAF, va être déployé en février avec son unité aux îles Falkland (Malouines), trente ans après la guerre qui a opposé le Royaume-Uni à l’Argentine.

    Son mariage, le 29 avril 2011, avec Kate Middleton, qui a fait monter sa popularité à 76 % d’opinions favorables, a été l’occasion de vérifier que les familles royales sacralisent les émotions d’un pays. William, tout en étant un Windsor, pourrait être moins distant que la reine ou le prince Charles et « adopter un style proche de ses sujets, hérité de sa mère : on se souvient de Diana serrant dans ses bras des malades du sida » , rappelle Rodney Barker.

    Un style à la scandinave où les monarques, proches des citoyens, partagent leurs émotions. On se souvient de la famille royale norvégienne, visiblement éprouvée par la tuerie d’Oslo de l’été dernier (77 morts), visitant des rescapés, et pleurant dans la cathédrale d’Oslo lors de la cérémonie d’hommage. En montrant leur humanité, ces représentants d’une institution contribuent aux valeurs communes de leur pays. Ainsi, selon Peter Conradi, « Le film  Le Discours d’un roi a été un succès populaire, car c’est avant tout l’histoire d’un homme qui lutte contre l’adversité – et, par ailleurs, il est roi – pour remplir correctement ses fonctions. Tous les Anglais de plus de 50 ans connaissaient cette histoire, mais pas les jeunes,  ajoute-t-il. Son effet a simplement été de montrer que le roi était un être humain. »  

  • La révolution copernicienne de l'enseignement, par Jean-François Mattéi (I/V)

     

    La révolution copernicienne de l'éducation 

    Par Jean-François Mattéi, membre de l’Institut universitaire de France.

    Professeur émérite de l’université de Nice-Sophia Antipolis

     
     
    I / V. Résumé :
     

            La pédagogie moderne, depuis John Dewey, a bouleversé le rôle traditionnel de l’école en réduisant un « lieu de réflexion » à un « lieu de vie » assimilé au processus de socialisation de l’élève, au lieu de viser une autre fin : l’humanisation de l’homme.
     
           Aussi « le pathos de la nouveauté » qu’Hannah Arendt avait dénoncé dans l’éducation contemporaine, prend-il désormais la forme d’une idéologie de la rupture avec les principes de l’éducation libérale qui formaient un être humain cultivé.
     
            La rupture du lien avec l’élève, du lien avec le maître, du lien avec le savoir, du lien avec la substance de l’enseignement – sacrifié à un pédagogisme procédural –, et finalement du lien avec la fin de l’éducation – former un homme – ont abouti à un échec patent dont tous les rapports témoignent.
     
            Tant que le système scolaire ne reviendra pas sur cette stratégie de rupture envers l’autorité de la connaissance, nul ne pourra rectifier les échecs endémiques de l’éducation, ni édifier une pédagogie qui permette à chaque enfant d’accéder à son humanité.
     
            Si nous n’entreprenons pas cette révolution copernicienne qui place le savoir, et non l’élève, au cœur de l’école, il est à craindre que l’illusion politique de demain ne vienne renforcer l’illusion pédagogique d’aujourd’hui.


     
  • Paris : ”présents”, pour rappeler ceux du 6 février 34....

            Comme le dit si bien La Varende, "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".

    Reçu du CRAF (Centre Royaliste d'Action Française) ce compte-rendu de l'hommage aux victimes du 6 février 34....

            "...Nous nous sommes retrouvés par grand froid  ce lundi 6 février sur le pont de la concorde à une quarantaine environ.
            L'ensemble des cadres parisiens étaient là ainsi que des militants étudiants. Le prince Sixte de Bourbon Parme (ci-dessous, avec Perceval), sans qu'on l'ait sollicité s'est joint à nous, ayant appris que nous organisions cette petite cérémonie.
     

    6_fevrier3.jpg

     6_fevrier5.jpg      


            Nous avions 17 fleurs de lys, pour rappeler les 17 victimes de la répression policière  qui s'est violemment abattue sur les patriotes en colère  contre le système de corruption républicaine.
            Marc Savina , notre historien , rappela les circonstances des événements du 6 février 34 avec le talent qu'on lui connait.
            Le prince Sixte prononça aussi quelques mots.
            Puis encadré par des drapeaux Français, le responsable des étudiants d'Action Française, Antoine Desonay, procéda à l'appel des patriotes assassinés , à chaque nom l'ensemble des militants sur place crièrent" présent" et une fleur de lys était jetée dans la Seine. Cérémonie émouvante, conclue par la Royale."

    6_fevrier1.jpg

    6 fevrier

  • La remarque pertinente de SOS Education : Tous les candidats oublient l’école primaire !


            A cinquante jours de l’élection présidentielle, SOS Éducation a lancé jeudi 1er mars une grande campagne de mobilisation sur Internet pour permettre à chaque électeur de rappeler à son ou à ses candidats que l’essentiel des efforts de notre République doit porter sur la réussite de ses élèves à l’école primaire.

            « La priorité des priorités est de s’assurer que chaque enfant qui arrive au collège sache lire, écrire et compter correctement », souligne Olivia Millioz, porte-parole de SOS Éducation. « Les différentes propositions faites pour l’école ne sont que des rustines sur un système qui prend l’eau !»

            « Si vous n’êtes pas sûr que votre enfant apprenne à lire, à écrire et à compter grâce à l’école, comment pouvez-vous faire confiance à l’école ? Comment pouvez-vous respecter les professeurs et l’institution ? », rappelle la porte-parole de l’association.

            Pour SOS Éducation, c’est le problème prioritaire.

            « Plutôt que de faire toujours appel aux mêmes experts, les candidats devraient un peu plus écouter les professeurs sur le terrain qui connaissent les difficultés réelles de leurs élèves » rappelle SOS Éducation.

            Selon un récent sondage, réalisé par l’IFOP pour SOS Éducation, 67 % des enseignants du secondaire sont favorables à l’utilisation de méthodes d’apprentissage de la lecture purement syllabiques.

            Les professeurs quelle que soit leur appartenance politique ou syndicale sont prêts au changement : 89 % des enseignants du primaire sont prêts à apprendre de nouvelles méthodes si le ministère propose une formation appropriée.

    § L’appel à la mobilisation des électeurs sur : www.sauvezlecoleprimaire.fr

    § Voir les résultats du sondage

  • Libye : il y a, d'un côté, l'optimisme des uns (Alexandre Adler, par exemple...) et puis il y a... les faits !

            S'il ne s'agissait de sujets tragiques, on serait tenté de dire que l'optimisme d'Alexandre Adler fait plaisir à voir - ou, plutôt, à lire... - dans ce numéro des samedi/dimanche 27/28 août. Quel enthousiasme pour ce qui se passe là-bas ! Il reconnaît, certes, quelques petits problèmes, et prend quelques petites précautions (pas beaucoup...) mais son opinion est faite : la démocratie est bien en marche, à Tripoli, elle va (elle a ?...) triomphé; on le doit à Sarko et... à BHL !

            On résume à grands traits, mais c'est ce qu'il pense. Ce qui est, évidemment, son droit.

            Mais le même jour, et la veille, sur son Blog, Patrice de Plunkett  ne dit pas du tout, mais alors pas du tout la même chose.....   

            1. Le 26, il envoie ceci :    

    26.08.2011 

    Les émirs de la "nouvelle Libye" viennent d'Al-Qaeda

     

    libye,al-qaeda,islamistes,bhl,afghanistan,talibanAbdelhakim Belhaj (Tripoli),

    Ismaël as-Salabi (Benghazi),

    Abdelhakim al-Assadi (Derna),

    Ali Salabi (CNT) :

     

     

            2. Et, le 27, ceci : 

           http://michelcollon.info/Comment-l-Otan-va-s-y-prendre-pour.html 

     

            Notre opinion est connue, nous l'avons dite et redite ici-même : ce qui a le plus de chance de remplacer les anciens systèmes - tous, à l'évidence, corrompus et tyranniques... - ce ne sera pas la démocratie à l'occidentale mais bien plutôt soit la prise du pouvoir par l'armée; soit la poussée islamiste; on la voit d'ailleurs déjà à l'oeuvre  dans de nombreux pays (Lybie, Egypte, Tunisie...) et elle est un fait tellement évident qu'on s'étonne que des personnes, par ailleurs fort estimables et fort compétentes, s'obstinent à... vouloir prendre leurs rêves pour des réalités....

            Nous avons même pris le risque de prendre date : avec les médias et autres... et nous persistons : printemps arabes.pdf

  • A propos du sujet crucial, aujourd'hui : Mondialisation, démondialisation....

            Les échanges économiques internationaux existent depuis la nuit des temps. Ils existaient depuis quelques millénaires lorsque  la « mondialisation » a été mise en place. Qu’y avait-il de neuf ? Simplement, l’abolition des droits de douane, l’abandon des protections dont chaque pays se dotait pour réguler ses échanges de sorte que ses intérêts soient préservés.

             L’idée générale était aussi très simple : c’était que la suppression de toute protection, assurant la totale liberté des échanges, finirait par uniformiser les niveaux de vie, les systèmes sociaux, les règles imposées à la production et qu’une fois passée la période d’ajustement et d’uniformisation des économies du monde entier, la libre concurrence deviendrait « loyale »  et paisible à l’échelle de la planète.  

            Ce que l’on a oublié de se demander c’est seulement combien de temps cela prendrait; ce qui se passerait dans l’entre-deux; et quelle en serait l’addition pour les peuples les plus riches et les plus puissants. On a oublié de s’interroger sur le transfert de croissance, donc de richesses de tous ordres qu’il faudrait consentir pour que sortent de leur misère plurimillénaire des peuples et des masses dont l’importance numérique représente plusieurs fois les nôtres … On a, sans-doute, la réponse, aujourd’hui, à cette question. Et c’est pourquoi tant de voix autorisées s’élèvent dans nos pays, et sur divers continents, pour qu’un processus inverse soit au plus tôt entamé, un processus de démondialisation, de relocalisation et d’un retour, évidemment mesuré, à un certain protectionnisme.

            On vient de se rendre compte qu’avant que le processus d’uniformisation des économies du monde soit réalisé, si tant est qu’il le puisse, ce qui est, évidemment, hautement improbable, nous risquions simplement d’y être ruinés. Ainsi en est-il des idéologies utopistes : elle produisent le contraire de ce qu’elles avaient prévu. Et l’on doit se presser de les abandonner, si l’on peut, s’il est encore temps, tout simplement pour ne pas en mourir.

  • Prochains Cafés actualités en Provence : lu sur le Blog de la Fédération Royamiste Provençale...

    Les deux prochains Cafés d'Aix et de Marseille : c'est pour bientôt...

    1. A Aix, ce sera le Mercredi 2 novembre, à 18h45, Café Le Festival, 67 Cours Mirabeau.

    2. A Marseille, ce sera le samedi 5 novembre, à 18H30, au Café Simon (28, cours Honoré d’Estienne d’Orves, 13001 Marseille)

    Attention : pour le Café de Marseille, on peut arriver à partir de 18 heures, si on le souhaite, pour commencer à débatttre, discuter... mais le Café commence à 18h30...

            Nous revenons sur ce que nous vous avons dit après notre Réunion de rentrée : Internet - s'il n'annule pas les autres formes traditionnelles d'activités... - est devenu le moyen privilégié de toute action visant à toucher le plus grand nombre possible de personnes extérieures à nos milieux traditionnels. C'est une évidence, nous nous y investissons depuis des mois, et cela "marche" très correctement.

            Cependant, il est indispensable, à intervalles réguliers de nous retrouver physiquement, et le plus nombreux possibles : Internet, c'est très bien, mais Internet, seul, cela ne suffit pas. Nous vous avons donc demandé, et nous vous redemandons de faire un effort de participation, en étant présent vous-même, en emmenant des amis, des parents, des jeunes étudiants, lycéens ou collégiens...

            Les dix-huit Cafés d'Aix et de Marseille, les quatre rencontres de Toulon, le 21 Janvier, Jeanne d'Arc (et d'autres choses encore, qui sont en préparation et dont nous vous parlerons le moment venu...) sont des occasions à ne pas rater pour approfondir les liens qui existent déjà, et en tisser de nouveaux, avec, justement, des "nouveaux" : pensez-y, faites un effort, la FRP c'est vous aussi, et vous êtes, toutes et tous, chargés de la faire grandir, afin qu'elle serve toujours plus et toujours mieux le Bien commun........ 

    * pour Marseille, après le brillant exposé de Gérard Leclerc (1er Café), le thème du deuxième sera :  

      CRISE OU EFFONDREMENT DU SYSTÈME ?

    Dialogue : Hilaire de CRÉMIERS - Antoine de CRÉMIERS

    Café Hillaire Antoine de Crémiers Invitation.pdf

  • Hervé Juvin : une critique sans concession de l'économisme

    Hervé Juvin préside des Sociétés qui font de lui un acteur important du système économique - qu'il connaît donc bien et dont, pourtant, il fait une critique sans concession, allant bien au delà du seul débat économique.

    Qu'on en juge par ces lignes fondatrices lues sur son blog :

    "L’économisme et ses corollaires, management, conformité, ratios et ratings, commandent la banalisation et l’uniformisation. La diversité des sociétés humaines est en danger. L’économisme est le pire ennemi, non pas des peuples européens, ou de l’Occident, ou de l’Union européenne ; de tous les peuples du monde, de tous ceux qui croient que l’argent ne fait pas société, que le contrat ne remplace pas la loi et que la croissance ne dispense pas de la politique. Le prochain combat n’oppose pas une civilisation à une autre, un peuple à un autre, l’Occident aux autres ; il oppose ceux qui en Occident sont aussi conscients qu’un Musulman, un Hindou ou un Vezos de la singularité vitale de leur culture, de leur unité interne et de leur autonomie. Il n’oppose pas l’Amérique, ou l’Angleterre, ou la Chine, aux autres ; il oppose aux Américains, aux Britanniques comme aux Chinois ceux qui veulent faire de tout américain, de tout anglais, de tout chinois, un citoyen du monde, c’est-à-dire un consommateur désirant. Les pires ennemis, non pas de nos peuples, mais de tous les peuples, c’est-à-dire de l’humanité, sont ceux qui entendent la réduire au rendement, au nombre et aux comptes. Il n’y a pas de place pour ceux-là dans le monde qui vient, le monde de la diversité collective, des identités et du politique retrouvé. Le plus grand combat politique, et peut-être le seul, est celui de la diversité des sociétés les unes à l’égard des autres, c’est le combat pour l’autonomie des peuples, et c’est le combat pour l’unité interne des sociétés politiques."

    Ecoutez encore cette vidéo où Hervé Juvin analyse les folles pratiques des "marchés" et leurs conséquences... 

    (Enregistré le 21 septembre 2011).

      

     

    realpolitiktv