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L’autre jour, je me suis trouvé interpellé de façon très moqueuse dans la rue, parce que je portais un masque. Un masque, il est vrai d’une facture assez différente de celle que l’on côtoie en ce moment puisqu’il est en plastique. La personne qui m’interpellait est d’ordinaire tout à fait cordiale dans ses relations avec moi. Mais là, elle poussait le bouchon un peu loin me traitant quasiment de clown et m’invitant à compléter mon affublement par une plume plantée sur la tête.
Tout le monde, ou presque, critique la manière dont le gouvernement gère la « crise du coronavirus »
Les improvisations, les tergiversations, les revirements, les mensonges sont quotidiens depuis deux mois. Nous n’allons pas les reprendre ici : les critiques affluent de toutes parts. D’innombrables vidéos circulent sur la Toile démontrant de belle manière toutes ces impostures et ces impérities.
Notre Ephéméride du 20 mars évoque Balzac, à l'occasion de la naissance de l'écrivain.
En 1837, une des plus glorieuses années de Balzac - où il publia Histoire de la grandeur et décadence de César Birotteau - il publia également un court ouvrage, Rois de France, consacré aux six Louis qui se succèderont, de Louis XIII à Louis XVIII.
Devenu introuvable, ce petit ouvrage, fort intéressant, a été réédité en 2017 par notre ami Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, qui le fera suivre de pages fort intéressantes également sur Napoléon 1er, tirées d'un ouvrage précédent (1833) : Le médecin de campagne.
Péroncel-Hugoz dédia cette "édition marocaine de Rois de France" à :
"Son Altesse royale l'émir Moulay-Hassan, prince héritier du Maroc (né en 2003).
Et à son Altesse royale le prince Gaston de France (né en 2009), espoir des royalistes français."
Dès sa parution, lafautearousseau a donné quatre extraits de ce petit ouvrage, sous forme de "bonnes feuilles" : nous les redonnons cette semaine, de mercredi à samedi inclus : bonne lecture !
Commençons par rajouter à cette courte note le commentaire très récent de Jihème, qui a parfaitement raison : "Utiliser systématiquement le mot "courriel" au lieu d'email, le mot "numérique" au lieu de "digital", le terme "en direct" au lieu de "en live" serait déjà un bon début." En effet, comme Zénon d'Elée, prouvons le mouvement en marchant, et prêchons nous-mêmes non en paroles mais en donnant aux autres l'exemple du maniement d'une langue correcte ! ...
...puis apportons un brin de réponse à Catoneo, qui nous avait écrit :
"Le grand défi de la langue française est la création de mots nouveaux pour nommer par exemple une invention. Le travers académique est d'associer des mots existants quand l'anglais crée un seul mot. Au lieu de nommer, on décrit. Deux mots français créés ex-nihilo font exception à la règle : - ordinateur - informatique
Les lecteurs de La Faute à Rousseau en connaissent-ils d'autres, à part "avion" dérivé de l'oiseau latin ?
Catoneo, enseriez-vous à des mots comme "logiciel", pour l'informatique, ou bien - autre domaine évidemment - "hélicoptère" (inventé par le français Gustave de Ponton d'Amécour, à partir du grec "helix" (spirale, hélice) et "pteron" (aile) ?
Pour rester dans le domaine de l'informatique, voici deux liens qui intéresseront peut-être :
Celui-ci vous donne une deuxième série de dix mots ou expressions, après la première donnée ici l'autre jour :
"Que dites- vous ? Comment ? Je n'y suis pas; vous plairait-il de recommencer ? J'y suis encore moins. Je devine enfin : vous voulez, Acis, me dire qu'il fait froid : que ne dites-vous : "Il fait froid" ? Vous voulez m'apprendre qu'il pleut ou qu'il neige; dites : "Il pleut, il neige." ... Est-ce un si grand mal d'être entendu quand on parle, et de parler comme tout le monde ?
Une chose vous manque, Acis, à vous et à vos semblables... c'est l'esprit. Ce n'est pas tout : il y a en vous une chose de trop, qui est l'opinion d'en avoir plus que les autres; voilà la source de votre pompeux galimatias, de vos phrases embrouillées, et de vos grands mots qui ne signifient rien...» (les Caractères, chapitre V, De la Société et de la Conversation, § 7)...
Que dire, devant tant d'ineptie, tant d'insanité, et en si peu de mots ?
Rien.
A Marseille, on hausse les épaules, et on dit "peuchère", ou "le pauvre", et on continue ce que l'on faisait...
Mais, ne boudons pas notre plaisir, puisque, selon le mot de Daudet, nous prenons "le bon de la vie"; et retournons donc la tristesse causée par l'ineptie et l'insanité du sieur de Calan en écoutant - et en lui dédiant - la jubilatoire chanson de Brassens...
En cette période particulière, quelques efforts sont demandés à chacun d’entre nous, et cela dans tous les métiers et dans toutes les catégories sociales, ce qui n’est pas, au regard des enjeux, choquant en soi-même. D’autant plus que le temps du confinement, désormais dépassé, pourrait bien entraîner, si l’on ne s’en préserve, une véritable catastrophe économique et, au-delà, sociale : la crise est devant nous, affirment nombre d’acteurs et d’observateurs de la scène publique française, et le plus compliqué reste à venir.
Le remplacement des organisations naturelles et des corps intermédiaires, que la coutume et les traditions, l’usage et les habitudes avaient légitimés, par des structures artificielles, d’une nouvelle légalité républicaine, transformeront lentement les structures du peuple français… La mise en place des partis, dont les membres sont : « reliés seulement par la fidélité à des idéologies» ont perturbés profondément les structures de la société française, jusque-là fondé sur le réel. « La psychologie même de notre peuple en a été transformée… »Cette « maladie démocratique du pouvoir mis aux mains du nombre, se résumait par la division des Français en groupements antinaturels, gouvernés souvent par des puis¬sances occultes »
Bon, tous les spécialistes qui s’expriment sur les plateaux télé, qu’ils soient médecins ou chroniqueurs sportifs, sont d’accord sur un point : Grâce au confinement le virus recule ! Je ne tiens pas compte bien sûr des irresponsables iconoclastes prétendant qu’il n’y a pas de grandes différences,en terme de résultats, entre les pays confinés et ceux qui n’ont pas appliqué le confinement drastique que nous connaissons. Mais attention, à la moindre petite négligence faisant suite aux premiers instants prudents de dé-confinement, on nous fait bien comprendre que cela repartira de plus belle. Alors gare !…
Cible : Médailles.A la une : StopCovid, un choix cornélien.
LA NATION FRANCAISE. – Pages 2 à 4.Politique : StopCovid, les apprentis sorciers, par Laurent Lagadec. Politique : Ultralibéraux à l’offensive, par Sylvie Fernoy. Économie : Air France ou le vol des dindons, par Jean Latour. L’Écho du net : «Fakestate », par Loïc de Bentzmann.
LES CHEMINS DU MONDE. – Pages 5 et 6.Actualité : Les États-Unis dans la tempête, par Marc Sévrien. Chronique internationale : Pékin-Taïwan : les deux modèles chinois, par Yves La Marck. Voix étrangères : Le VE Day et le coronavirus, par Yves La Marck. Les Faits marquants : Corée du Nord, États-Unis, Royaume Uni.
PROPOSITIONS POUR UN DÉBAT. – Pages 7 à 10.Introduction : Pour préparer le jour d’après, par Bertrand Renouvin. Offensive : Les royalistes ouvrent le débat.Nos Analyses : Le poids de l’irresponsabilité.Nos Analyses : La France en première ligne.Nos Analyses : Un modèle économique dépassé.Nos Analyses : Les nations reprennent la main.Ils le disent aussi : Arnaud Montebourg, Stéphane Séjourné, Dominique Lordon.Qui sommes-nous ? : La NAR, un projet d’ensemble.
LES IDÉES. – Pages 11 et 12.La vie des idées : L’héritage d’Emmanuel Mounier, par Gérard Leclerc. Idées politiques : Emmanuel Todd et le cycle des Gilets Jaunes, par Casimir Mazet.
LES FORMES. – Page 13.Séries télévisées : Quand la télé s’en mêle, s’emmêle, par Léon Skinwel. Sur les écrans : La conquête de la lune, par David Navarro.
LE MOUVEMENT ROYALISTE. – Pages 14 et 15.Des royalistes contre les nazis (2) : Jean de Launoy, par François-Marin Fleutot. Actualités royalistes : activités de la NAR, Maison de France, Dynastie.
ÉDITORIAL. – Page 16.La décision de Karlsruhe, par Bertrand Renouvin
Thierry de Montbrial est économiste et géopolitologue, il est le président de l'Institut français des relations internationales. Il analyse, en visio-conférence avec Geoffroy Lejeune, les conséquences de la crise du Covid-19 sur les équilibres mondiaux. Soutenant la thèse que pour se relancer, les économies devront trouver de nouveaux débouchés internationaux et nécessiteront le rétablissement d'une pleine mondialisation tout en s'assurant une indépendance industrielle à l'égard des puissances économiques.
A qui profite le crime de la pandémie ? Une menace annoncée avant la crise par... Bill Gates, prémonition ou prévision ? Olivier Pichon reçoit Pierre Jovanovic pour la suite de sa revue de presse. Deux mois de prison à domicile et 400 000 commerces et PME au tapis, la corruption « en marche », un collaborateur de Véran véreux, il commissionnait l’achat de masques. Corruption, assassinat de personnes âgées, mensonges publics, mise en danger de la vie d’autrui, dissimulation de preuves, un président coupable. Et toujours les banques centrales : elles rachètent l’or qu’elles avaient vendu ! La France comme le Liban. La Macronie est-elle en train de couler ? Un président sous cocaïne et on connaît le dealer. Les fonds de pension en question. Adieu à l’épargne.