Formation et militantisme : Bordeaux, Chalons sur Saône, Le Mans...
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Illustration : Plaque du Service d'ordre des Camelots du Roi
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Illustration : Plaque du Service d'ordre des Camelots du Roi
© Patrice Audet / Pixabay
Peut-on parler de clash entre les Églises de France et l’État ? On peut se le demander en lisant le texte publié hier par Le Figaro. La loi en discussion sur le respect des principes de la République suscite de sérieuses craintes du côté religieux. On y distingue des menaces directes pour la liberté du culte.
Le 20 février, un article de Marianne faisait état de l'imposition subreptice d'un nouveau langage plus « inclusif » et moins « genré ».
Ces nouvelles règles lexicales sont déjà répandues au Royaume-Uni et au Canada, et la France est de moins en moins épargnée.
Pour s'adapter à chacune des minorités et satisfaire les revendications transexuelles et non-binaires, il deviendra donc nécessaire de ne plus user de notre langue traditionnelle.
Marion Maréchal revient sur la progression de ces nouveaux idéologues idiomatiques.
(article paru dans L'Incorrect, le 21 février dernier)
1. Les mineurs soi-disant isolés et la délinquance ? En 1'33, Charlotte d'Ornellas explique très bien ce qu'il en est : les passeurs profitent de la "présomption de minorité" pour alimenter cette filière d'immigration illégale. On ne peut pas accueillir tout le monde. L'aide sociale à l'enfance est débordée alors que des enfants ont besoin de cette aide en France...
La chronique de Stéphane Blanchonnet
Le mois dernier, j’insistais sur la nécessité pour le militant de se cultiver, plus précisément de cultiver en lui l’amour des chefs‑d’œuvre de la civilisation. En effet, notre nationalisme ne doit pas être seulement négatif (réagir aux agressions contre notre identité) mais aussi positif (nourrir cette identité et être capable de l’incarner et de la refléter).
Gilles-William Goldnadel. JOEL SAGET/AFP
Pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, la cérémonie des César de vendredi, ne fut que l’illustration consternante du conformisme idéologique de notre époque, et de l’absence de courage d’une partie du milieu artistique, qui ne fait plus rêver les spectateurs.
Après l'extension du domaine de la lutte, voici l'extension du domaine du fascisme.
Le mot est désormais employé à tort et à travers par les progressistes les plus intransigeants dont le credo peut se résumer à ceci : « pensez comme nous, ou fermez-là !« . C’est à présent le magazine Causeur qu’un réseau social bien connu qualifie d’extrême-droite, quand sa rédactrice-en-chef, Mme Lévy, est pointée du doigt comme membre de la « fachosphère ». On croit rêver.
Le débat sur l’« intégration » des immigrés s’enlise depuis des décennies, ne serait-ce que parce qu’il n’est jamais précisé à quoi il s’agit de s’intégrer : à une nation, à une histoire, à une société, à un marché ? C’est dans ce contexte que certains préfèrent en appeler à l’« assimilation ». Il y a deux mois, le magazine Causeur consacrait tout un dossier à cette notion en titrant, en première page : « Assimilez-vous ! » Ça vous inspire quoi ?
« Un cauchemar pour ceux qui aiment le cinéma et qui repensent à tous les grands chefs-d’œuvre classiques du cinéma français ». Philippe de Villiers ne mâche pas ses mots pour décrire la désastreuse soirée des Césars de ce week-end. Il en appelle à retrouver « ce qui relève de l’absolu : quand on est Français, la France, et quand on est humain, le Beau. »
Le vendredi 12 mars, lors de la nuit des César 2021, sur la scène de l’Olympia, Jean-Pascal Zadi était récompensé par le César du meilleur espoir masculin pour son film Simplement noir. Film produit et distribué par Gaumont, avec un budget global avoisinant les 3,5 millions d’euros.
Aujourd'hui, il faut repenser le combat écologique, et le raisonner sans forcément le dépassionner, l’ordonner sans le formater : en ce sens, l’écologie intégrale, si chère aux royalistes (et née dans leurs milieux au début des années 1980), est sans doute la meilleure proposition écologiste possible et la plus complète, même si elle n’est pas la plus facile et si ses formes peuvent être multiples, complexes et parfois encore mal définies, malgré les réflexions initiales de Jean-Charles Masson, premier théoricien de celle-ci (1), et celles de ses successeurs monarchistes (2), jusqu’aux catholiques lecteurs de l’encyclique Laudato Si’, le texte écologiste le plus lu et diffusé sur la planète.
https://www.librairie-de-flore.fr/produit/notre-regard-qui-manque-a-la-lumiere/