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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 192

  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (51)

     

    (retrouvez l'intégralité des textes et documents de cette visite, sous sa forme de feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

     

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    Aujourd'hui : L'épopée de la Vendée

     

    Amazon.fr - L´Épopée de la Vendée - Pichot-Bravard, Philippe - Livres

     

    Autour de 1830, un gentilhomme vendéen confie ses souvenirs sur la Révolution et les guerres de Vendée.
    Personnage injustement méconnu, le comte de La Helgue a nourri ses mémoires du récit de ses compagnons d’armes, gentilshommes et paysans.
    Fidèle serviteur du roi Louis XVI, le comte de La Helgue est aux Tuileries le 10 août.
    Avec les siens, il échappe de justesse aux massacres de Septembre.
    Au mois de mars 1793, les paysans de sa paroisse d’Anjou viennent lui demander de prendre leur commandement.
    Avec son fils, ses amis et ses vassaux, il rejoint alors Bonchamps dont il est l’un des lieutenants. Il combat dans la Vendée, avant de suivre l’Armée catholique et royale dans la Virée de Galerne.
    Blessé lors de la déroute du Mans, rescapé de Savenay, il rentre sur ses terres prendre la tête de la résistance face aux Colonnes infernales qui exterminent la population.
    Plus tard, il rejoint la chouannerie bretonne, combattant sous les ordres de Georges Cadoudal à la lisière de la forêt de Brocéliande.
    Au cours de ces années terribles, il voit mourir nombre de ses proches, noyés, guillotinés ou tués dans le bocage.
    Son épopée s’identifie donc avec celle des guerres de Vendée, et sa plume enlevée témoigne au cœur des violences de la Révolution de cet esprit français qui fait tout le charme du XVIIIème siècle.
    Elle dépeint des manants prenant les armes pour défendre leur foi, leurs familles, leurs libertés et leur terre, illustrant la force d’âme de ces paysans et gentilshommes, unis dans une même résistance héroïque à la régénération totalitaire imposée par la Convention, fidèles à Dieu, fidèles au Roi.

    De racines bretonnes et mayennaises, Philippe Pichot-Bravard est historien du droit, Maître de conférences H.D.R. à l’université de Brest.
    Outre plusieurs ouvrages et articles scientifiques, il a publié trois romans.
    Spécialiste de la Révolution française, il lui a consacré une étude : La Révolution française (Via Romana, 2015) couronnée par le Prix Renaissance.

     

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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (52)

     

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    Aujourd'hui : Janvier 2023 : sortie du film "Vaincre ou mourir"

     

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    J’AI VU "VAINCRE OU MOURIR" : enthousiaste, P.P. Blancher (du Groupe d'action royaliste) raconte :

    "Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?

    Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !

    Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.

    « Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…

    Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.

    Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.

    Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.

    Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.

    Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce que pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.

    Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !"

     

     

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  • Feuilleton "Vendée, Guerre de Géants..." (53)

     

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    Aujourd'hui : Anne Brassié reçoit Reynald Sécher pour présenter "Vaincre ou mourir"

     

     

     

     

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  • 28 février 2007/28 février 2023 : lafautearousseau fête ses seize ans !...

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    16 ans, et toujours là, reprenant le vieux cri de guerre (en cette période de projection du magnifique film "Vaincre ou mourir !") :

    "pour Dieu, la Patrie et le Roi !..."

    En vous remerciant tous pour votre fidélité, chers amis, lecteurs, sympathisants... je tiens à remercier tout particulièrement Jean-Baptiste Collomb, notre Rédacteur en chef, pour la présence constante qu'il assure à mes côtés et tout le travail qu'il réalise; et Marie-Dominique, notre autre Juriste, qui relit au quotidien tous les textes de notre Revue de presse, et n'hésite pas à conseiller, à reprendre ceci ou cela, à formuler différemment, afin de nous éviter de tomber dans des ennuis que ne manquerait pas de nous créer la police de la pensée et du politiquement correct...

    Bien entendu, je n'oublie pas non plus nos amis fidèles qui nous envoient très régulièrement leurs articles, et à qui nous devons tant (entre autres Annie Laurent, Antoine de Lacoste, Marc Rousset, Guilhem de Tarlé, Guy Adain...)...

    Enfin, je remercie les administrateurs des 36 "groupes privés" sur les quels nous partageons quotidiennement notre Revue de Presse et nos Éphémérides, ainsi que les articles "de fond" (Annie Laurent...), ce qui nous permet de "toucher" potentiellement près de 200.000 lecteurs supplémentaires. Ce sont autant de "bouteilles à la mer" que nous lançons ainsi chaque jour...

    L'année dernière, nous avons célébré notre quinzième anniversaire en proposant, sur quatre jours (les 25, 26, 27 et 28 février) :

    • un nouveau Grand Texte (le 47ème) : un extrait de la Préface du "Maurras" de Michel Mourre... (le 26 février). Deux nouveaux ont suivis, et le prochain sera donc notre cinquantième !

    un nouvel Album (le 23ème) : un choix de "Lettres de prison", de Charles Maurras... (le 27 février)

    •  et deux nouvelles Catégories :

    Grandes "Une" de L'Action française... (le 25 février)

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau"...(le 28 février)

     

    Pour cette année, nous venons tout juste de terminer deux "gros morceaux", publiés dorénavant tous les jours sur notre Page d'accueil quotidienne du Blog, et qui forment maintenant une sorte de "triptyque maurassien" à la suite de notre protestation quotidienne :

    MARTIGUES/MAISON MAURRAS : NON ASSISTANCE À MONUMENT EN DANGER ! :

    • Vous ne connaissez pas Charles Maurras ? Ou, vous aimeriez mieux le connaître ? Ce Feuilleton/Album est fait pour vous...

    • Maurras est ostracisé, "interdit" par le Système, pour cause d'antisémitisme. Bon, mais tous ceux-ci, qui ont écrit des propos très durs sur les Juifs, ne le sont pas : pourquoi ?

    C'est avec ces deux nouveautés, et en commençant ce lundi 20 février la publication en feuilleton (plus commode pour la consultation) de notre Album

    "Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, Guerre de Géants..."

    que nous célèbrerons notre anniversaire, cette année, en continuant, bien entendu, à offrir nos deux productions quotidiennes exclusives :

    • les Éphémérides, sans cesse enrichies, augmentées... 

    • et la Revue de presse

    l'une et les autre quotidiennes, ce qui représente - vous vous en doutez bien... - un très gros travail au quotidien, et une forme de militantisme à part entière !

    Merci donc à tous, Joyeux anniversaire à nous, continuons à servir sans relâche et

    SURTOUT, SUR TOUT, VIVE LA FRANCE !

    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

     

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

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    Avec la Vice-Présidente des USA, Herr Scholz, Chancelier du Quatrième Reich, devenu 51ème État des États désunis d'Amérique : pour nos ennemis allemands, tout plutôt q'une Europe où la France - avec son arme atomique - la surpasserait... Carpette des USA plutôt que membre d'une Europe libérée de la Maison blanche mais où la France serait une place devant elle...

    Herr Scholz est venu "au rapport". Le commentaire, pas très gentil mais si juste, de Jean-Yves Le Gallou :

    "Pauvre type. Le sourire niais et content du domestique un peu benêt félicité par la patronne."
     
    On est d'accord...
     
     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

    Ce montage d'Olivier nous a plu (sur tweeter) :

    "Le véritable journalisme. Des femmes et des hommes d'honneur."
     
    On est d'accord, on partage...

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  • Au Cinéma : Nos soleils, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgArt et Essai : Nos Soleils, un film espagnol, de Carla Simon.

    Nos Soleils… Une fois encore, nous avions été attirés par la Bande Annonce, qui laissait entrevoir l’agression d’une exploitation agricole par un promoteur photovoltaïque… en fait, quelques scènes éparses dans un film de 2H, trop long pour être un bon film.


    Dommage, les photos sont belles d’une exploitation d’arbres fruitiers en Catalogne, dans la commune d’Alcarràs, mais à l’instar des pêchers et autres figuiers, ce long-métrage aurait dû être élagué de longueurs et sans doute raccourci d’une demi-heure. C’est d’abord un film d’ambiance avec l’insouciance des enfants, la bêtise adolescente, et le temps qui passe pour un grand-père qui concluait ses marchés en tapant dans la main…

    Peut-on faire perdurer cette exploitation familiale face à un propriétaire avide deguilhem de tarlé.jpg monnaies sonnantes et trébuchantes, des grandes surfaces qui rackettent les producteurs avec des prix d’achat moitié moindre du prix de revient, et enfin une « écologie » triomphante qui veut « sauver la planète » - et surtout se remplir les poches - en arrachant des hectares d’arbres pour recouvrir la nature de panneaux solaires…

    Dans mon village berrichon, de la même manière, un propriétaire trouve plus lucratif de substituer un champ de panneaux à une exploitation de noisetiers… et il se moque de l’enlaidissement du paysage puisqu’il habite loin de là, à la ville.

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Hier matin, à 7h34, France info a défendu la vérité historique et... Marie-Antoinette !

    Une pauvre députée LFI, bien ignorante, Élisa Martin, a cru faire son importante et "se la jouer" historienne en reprenant à son compte le mensonge mille fois démonté selon lequel la Reine aurait dit, parlant de gens affamés, que s'ils n'avaient pas de pain, ils n'avaient qu'à manger de la brioche...

    LFI, on le sait, c'est "la section des piques de 1793" revenue aujourd'hui, siéger à l'Assemblée, où elle donne le lamentable spectacle d'une pitoyable vulgarité, d'une odieuse outrance et apparaît comme une sorte de reflet de ce qu'ont du être les "tricoteuses" et autres sans-culottes de cette horrible Révolution terroriste, sanguinaire, Génocidaire : Quattenens qui bat sa femme, Obono qui dit "allez manger vos morts", Portes qui pose le pied sur un ballon portant la décalcomanie d'un ministre (certes, pas d'un très grand niveau, le ministre, mais, tout de même...), Saintoul qui traite le même ministre d'assassin (avant d'être contraint de s'excuser platement)... pour ne parler que de quelques uns des derniers en date !

    Mais les revenants de cette "section des piques" ne sont pas seulement vulgaires, brutaaux, outrancièrs : ils sont aussi ignorantissimes et, surtout, ils veulent qu'on le sache ! En l'occurrence, avec l'intervention minable de cette pauvre Élisa Martin, qui a perdu là une bonne occasion de se taire...

    Toutes les personnes un tant soit peu instruites savent que, déjà, Jean-Jacques Rousseau reprenait cette "anecdote" (?) dans ses Confessions, dès 1765, Marie-Antoinette n'étant arrivée en France qu'en...1770 ! 

    Il faut donc être bête au-delà de ce qui peut se concevoir pour oser proférer, à l'Assemblée, l'insanité que cette pauvre députée LFI a proférée, et que France info a, donc, corrigé hier matin.

    Nous critiquons assez les chaînes de "Sévice public" (pour reprendre l'expression de Goldnadel) pour ne pas saluer aujourd'hui la chronique de France info : pour une fois qu'une radio d'État rétablit la vérité et fait son travail avec honnêteté et sérieux, c'est la moindre des choses, et c'est plus agréable que d'avoir toujours à reprendre et démentir...

    Écoutez ces deux minutes de la rubrique "Le vrai du faux", sur France info (avec le scripte) :

    Le vrai du faux

    Vérité, Justice pour elle : vive Marie-Antoinette !

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    Portrait de la Reine par le grand martégal Joseph Boze, concitoyen de Maurras, qui eut le courage, convoqué devant le Tribunal révolutionnaire des terroristes, de leur jeter à la figure son "Ma tête serait sur le billot que je ne témoignerai pas contre sa Majesté !". Ainsi fut sauvé - par beaucoup - l'honneur du nom Français, pendant cette période horrible où la France fut livrée à la démence révolutionnaire...

     

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  • À la découverte du fonds lafautearousseau (35) : Simone Weil et Gustave Thibon...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Simone et Gustave Thibon...

    (tiré de notre Éphéméride du 3 février)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    Á la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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  • Au Cinéma : Saint Omer, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgA l’affiche : Saint Omer, un film français, le premier long-métrage d’Alice Diop, avec  Guslagie Malanda (Laurence Coly, alias Fabienne Kabou), Kayije Kagame (Rama, romancière), Valérie Dréville (la Présidente de la Cour d’assise) et Aurélia Petit (l’avocat de Laurence Coly).

    Contrairement à mon épouse, je n'ai aucun souvenir de cette "histoire vraie", le corps d’une petite Adelaïde, âgée de 15 mois, retrouvé en novembre 2013 sur la plage de Berk-sur-mer, et la condamnation de sa mère, Fabienne Kabou, pour infanticide en 2017.
    C'est le drame d'un déni de grossesse et peut-être d'un refus de maternité.

    Le spectateur a quitté la salle de cinéma pour la Cour d'assise de Saint Omer et se retrouver à l’audience, peut-être même, s’il n’est pas « récusé », parmi les jurés.
    Ce long-métrage est un docufiction, ou plutôt une fiction documentaire, fiction avec le personnage inventé de Rama, une romancière, sans doute la documentariste elle-même, Alice Diop, qui a effectivement assisté à ce procès.

    A vrai dire, cette intervenante déconcerte qui vole la vedette à l’accusée avec je ne sais quelle référence littéraire, beaucoup trop intellectuelle pour moi, qui va de Marguerite Duras à Médée, même si c’est celui de Pasolini. Dommage ! la réalisatrice aurait dû s’intéresser davantage à l’accusée, sénégalaise qui, malgré sa parfaite intégration apparente et son français impeccable, refuse d’assumer la responsabilité de son meurtre en évoquant ses relations avec sa mère restée au Sénégal, ses « voix » et ses « visions » et la nécessité de protéger son enfant de la « malveillance ». On a dit d’elle qu’elle était "une mère qui avait offert sa fille à la mer...".

    Quant à Son avocate, elle nous a passionné dans un autre registre, qui parle desguilhem de tarlé.jpg relations inextricables de la mère et de l’enfant durant la grossesse, et des « traces » évidentes de la mère dans l’enfant, mais aussi de celles de l’enfant dans la mère après la naissance…

    Réflexion à méditer qui donne à penser que tout n’est peut-être pas à jeter chez Alice Diop, réalisatrice connue par ailleurs pour ses documentaires et son militantisme contre les « violences policières » et pour la « diversité ».

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    On est sur Europe 1, avec le toujours excellent Dimitri Pavlenko, qui reçoit Viencent Hervouet. Et Ursula von der Leyen se fait "tailler un costume" par un Hervouet, très en forme, très en verve, plus "anti langue de bois" que jamais.

    Un grand moment de radio !...

    Çà décoiffe ! 

    (extrait vidéo 3'07)

    https://twitter.com/Krieger66362259/status/1625876392247283712?s=20

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  • Triste anniversaire, ce 16 février : premier acte de la capitulation en rase campagne de l'Eglise catholique face à la Nouvelle religion républicaine...

    1892 : Léon XIII prône le Ralliement dans son encyclique Inter innumeras sollicitudines...
     
     
    Le souhait de Léon XIII n'était évidemment pas de se rallier lui-même à "la République", ni de pousser les catholiques français à se rallier aux idéaux révolutionnaires en tant que tels. Il s'agissait simplement, dans l'esprit du pape, après l'échec de la restauration monarchique en France, et alors que la jeune république se montrait très agressive envers le catholicisme, de renoncer à une opposition systématique au régime en place, et même d'accepter la Constitution pour combattre "par tous les moyens honnêtes et légaux" les lois anti-chrétiennes, en permettant aux catholiques de peser de tout leur poids sur les nouvelles institutions...
     
    Le pape - ingénument - pensait que, les catholiques étant majoritaires en France, cela suffirait à leur faire gagner les élections, et donc à diriger ou - si l'on peut dire... - cornaquer le16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologies gouvernements :
     
    "Accepter la constitution, fait accompli, mais pas la législation, fait réformable, et pour cela, par les élections sous étiquette républicaine, s'insérer dans le régime républicain et y faire de bonnes lois." disait le pape...

    Trois mois après l'encyclique, le Pape s'adressait aux cardinaux français : "Acceptez la République, c'est-à-dire le pouvoir constitué... respectez-le, soyez-lui soumis, comme représentant le pouvoir venu de Dieu... Inutile de rappeler que tous les individus sont tenus d'accepter ces gouvernements et de ne rien tenter pour les renverser ou pour en changer la forme."

    S'adressant au Baron de Montagnac, qui refusait le Ralliement, Léon XIII s'exclama : "Faites-vous républicain d'une bonne république. Vous comprenez ? Je veux que tous les catholiques entrent, comme une cohue dans la République... Les traditions doivent céder pour un moment... vous les retrouverez après l'œuvre accomplie...  il faut abandonner les traditions pour le moment, un petit moment seulement."


    Le pape avait "simplement" oublié les paroles de Saint Cyprien, au IIIème siècle : "Il existe un mal pire et plus meurtrier que la persécution, c'est l'empoisonnement perfide de la mentalité."
     
    Sa vision, purement théorique, était une grave erreur au plan des principes, comme au plan de la tactique : descendre sur le terrain de l'adversaire en utilisant sa doctrine et ses pratiques, cela relevait d'un angélisme profond, qui, pour être sincère, n'en témoignait pas moins d'une incompré16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologiehension fondamentale de ce qu'était la république idéologique française, fondée sur les dogmes de la Révolution : cette république, cette Révolution, ces dogmes étaient - et restent - une nouvelle religion, dont le but premier et essentiel est de remplacer l'autre, la chrétienne, la traditionnelle, et de la détruire, par tous les moyens; en détruisant également toutes les racines historiques et culturelles d'un pays millénaire, l'expression "l'an 1 de la République" étant - à cet égard - parfaitement révélatrice de cette nouvelle France, de cette nouvelle société que la république idéologique - comme l'a si justement dit Jules Ferry - voulait bâtir "sans roi et sans dieu".
     
     
    Méconnaître cette haine destructrice et cette volonté farouche d'effacer tout ce qui a fait une Nation pendant mille ans - y compris et surtout ses racines chrétiennes - témoignait d'une incompréhension politique dramatique à ce niveau. La rupture avec un siècle d'opposition aux thèses révolutionnaires était brutale, et l'Eglise renonçait à combattre son ennemi mortel : le Ralliement fut à la fois un stupéfiant marché de dupes - comme les choses devaient très vite le montrer - et une non moins stupéfiante capitulation idéologique en rase campagne, pourrait-on dire...
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieLe cardinal français Pitra, qui s'opposait fermement à cette rupture dans la politique vaticane, se vit réprimander par Léon XIII lors d'une audience très pénible de trois quart d'heure, durant laquelle, debout et tête nue, il reçut les plus aigres reproches d'un Léon XIII en l'occurrence fort peu compréhensif. Le cardinal accepta, par obéissance, de ne plus s'opposer au pape, et se retira dans une abbaye, où il mourut en 1889, soit trois ans avant la publication de l'encyclique : il se contenta de déclarer "Hora est potestas tenebrarum", reprenant les paroles du Christ à ceux qui venaient l'arrêter (citées par Luc - 22) : "Haec est hora vestra et potestas tenebrarum" ("C'est ici votre heure et la puissance des ténèbres")...
     
    Le Ralliement fut peu suivi par les catholiques français, à de rares exceptions près, notamment celle de ce grand royaliste social que fut le comte Albert de Mun - qui ne tarda pas à le regretter amèrement. Mais, comme le note Michel Mourre", "se heurtant à la majorité des catholiques et du clergé français... c'est cependant dans la ligne du ralliement que put commencer à se développer, au début du XXème siècle, le mouvement de démocratie chrétienne."
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieEt, surtout, 34 ans après, les sanctions vaticanes contre l'Action française orientèrent définitivement la structure et la mentalité même de l'Eglise-institution, en la vassalisant au pouvoir républicain, qu'elle reconnaissait, de fait, comme la norme suprême, le cadre obligé dans lequel toute organisation - y compris elle-même, l'Eglise - devait agir; mais à la condition de reconnaître les lois et règles de la république idéologique comme la loi et la norme supérieure, s'imposant à tous. Et bien sûr, a fortiori, en s'interdisant de les combattre en tant que tels.
     
    C'est à ce marché de dupe, à cette capitulation en rase campagne qu'il faut sans cesse revenir; et à partir desquels on peut marquer, dater l'origine profonde et essentielle des destructions méthodiques et continues de tout ce qui faisait l'essence même de la société française...
     
     

    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologie

     

    Quatre de nos Ephémérides traitent des rapports entre l'Eglise et la République idéologique française, en général, et des rapports entre l'Eglise et l'Action française en particulier :

     pour les rapports entre l'Eglise et la République idéologique française, en plus de celle-ci sur le "Ralliement", voir notre Ephéméride du 18 novembre - sur le "toast d'Alger", qui préparait les esprits à ce "ralliement";

     pour les rapports entre l'Eglise et l'Action française, voir notre Ephéméride du 29 décembre, sur les sanctions vaticanes contre l'Action française, et notre Ephéméride du 10 juillet, sur la levée de ces sanctions par Pie XII...
     
     
     
  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Dans le sillage du succès qu'est en train de devenir "Vaincre ou mourir", et pour "prendre sa vague"... : le remarquable article de Guillaume Perrault dans Le Figaro d'hier, en page 12 (malheureusement "réservé aux abonnés") : "Vendée : après la Guerre, les massacres "à froid". Ou : la destruction totale et la "purification" du pays par les Colonnes infernales de Turreau, ayant obtenu des ordres écrits de la Convention, lesquels sont conservés au Château de Vincennes...

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    Pour ceux qui n'ont pu se procurer ce numéro, on peut toujours se référer à notre Album Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, Guerre de Géants... (133 photos), dont nous allons commencer très prochainement la publication en feuilleton, après celle que nous venons juste de terminer de l'Album Une visite chez Charles Maurras...

     

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  • Carte blanche à Antoine de Lacoste : La corruption en Ukraine, une histoire sans fin

     

    Peut-on continuer à dépenser des milliards aux frais des contribuables européens pour un pays notoirement corrompu ? Pour éviter que trop d’Européens ne se posent la question, le régime ukrainien s’est tout à coup lancé dans une spectaculaire opération « mains propres ».

    A la veille du sommet européen du 3 février à Kiev, des perquisitions ont eu lieu, surtout dans la capitale. A grands renforts de publicité, les équipes du SBU, le célèbre service de sécurité ukrainien, sont descendues aux domiciles de l’oligarque Ihor Kolomoïsky et de l’ex-ministre de l’intérieur Arsen Avakov. Ce dernier avait démissionné de ses fonctions le 13 juillet 2021 pour des raisons restées obscures. Quant à l’oligarque Kolomoïsky, qui fut un soutien décisif de Zelensky lors de l’élection présidentielle de 2019, les raisons de sa disgrâce sont également inconnues. Il était le Monsieur pétrole de l’Ukraine et est accusé d’un modeste détournement de 1 milliards de dollars. Détournées au détriment de qui ? L’histoire ne le dit pas encore.

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  • Débat : enjeux en Ukraine pour la Russie, l’Amérique, l’Europe et la France ! par Marc Rousset

    Vidéo 1h56 :

    https://ripostelaique.com/debat-enjeux-en-ukraine-pour-la-russie-lamerique-leurope-et-la-france.html

    Lors de ce très long débat entre Marc Rousset (pro-Russie) et Jean Robin (pro-Amérique), les enjeux fondamentaux pour la Russie, l’Amérique, l’Europe et la France me paraissent être schématiquement les suivants :

     

    – L’enjeu de la guerre en Ukraine pour la Russie, c’est d’être ou non dépecée en trois, comme le souhaitait déjà Zbignew Brzezinski dans le Grand Échiquier en 1997, de ne pas avoir des missiles américains en Ukraine, de ne pas voir l’Ukraine entrer dans l’OTAN, de ne pas voir émerger une démocratie occidentale en Ukraine qui serait un poison mortel pour la Russie.
    La Russie a besoin d’un État fort pour survivre car ce pays est une Nation, mais aussi un Empire qui a gardé de nombreux territoires annexés au cours de son expansion territoriale au fil des siècles, contrairement aux nations de l’Europe occidentale car ces dernières ont colonisé sur d’autres continents par-delà les mers.

    – L’enjeu pour l’Amérique, c’est d’empêcher l’émergence d’un monde multipolaire, de détruire un ennemi stratégique, la Russie, et de mettre en place un protectorat américain encore plus complet (Finlande Suède) et marqué sur l’Europe, de type Orwell, comme on le voit avec les mensonges des médias actuels sur la guerre en Ukraine.

    – L’enjeu pour l’Europe, c’est de pouvoir devenir une Europe des nations, libre, européenne avec les valeurs traditionnelles patrie, famille, travail, de mettre fin à la décadence progressiste en cours, selon le modèle américain (invasion migratoire, LGBT, droit de l’hommisme, natalité catastrophique, réchauffement climatique par l’homme, etc.). L’enjeu est donc civilisationnel, mais aussi géopolitique car cette Europe des nations devrait quitter l’OTAN et se rapprocher de la Russie.

    – L’enjeu pour la France, c’est la fin de son indépendance militaire, politique et la survie de la langue française. Macron et von der Leyen viennent, sans faire de bruit, de procéder à un coup d’État en imposant l’anglo-américain comme unique langue de travail à la Commission de Bruxelles. L’avenir de la France, aujourd’hui, c’est une nouvelle Louisiane si l’Amérique gagne la guerre en Ukraine. La France deviendrait alors la province d’une UE fédéraliste et de culture anglo-saxonne !