23ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...

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Veut-on une leçon tirée de la Fête nationale, jour de la Fête de la Fédération de 1790 (et non de l'horreur sanguinaire du 14 juillet 89, avec ses têtes au bout de piques) ?
En voici une magnifique, exprimée par un membre éminent de notre Légion étrangère, fondée par Louis-Philippe :
"Nous autres étrangers n’avons qu’une façon de prouver notre gratitude à la France pour l’accueil qu’elle nous a réservé : mourir pour elle" (Colonel Dimitri Amilakvari, chef de corps de la 13ème DBLE, mort pour la France le 24 octobre 1942)
A l’affiche : Vers un avenir radieux, un film italien (VOSTF) de Nanni Moretti, avec Nanni Moretti (Giovanni, le réalisateur) et Mathieu Amalric (Pierre).
Vers un avenir radieux… Le scénario n’est pas passionnant sur un cinéaste italien imbu de lui-même que son épouse cherche à quitter, mais l’intérêt du long métrage est ailleurs sur le film dans le film, à savoir la révolution hongroise de 1956 et l’entrée des chars soviétiques dans Budapest, le 2 novembre, pour l’écraser.
Selon l’historien Michel Mourre, on dénombra 25 000 morts.
Ma génération s’en souvient (j’étais dans ma dixième année) et sans doute faut-il préciser qu’à l’époque le maître du Kremlin était Nikita Kroutchev, celui-là même qui avait présenté, quelques mois plus tôt, au XXème congrès du Parti communiste d’Union Soviétique réuni à huis-clos, un rapport lançant une campagne de « déstalinisation ».
Vers un avenir radieux… c’est la bulle de la dernière vignette de la BD de Nury et Robin : La Mort de Staline.
Notre excellent ami Antoine de Lacoste vient de m'envoyer son dernier article, La Syrie ou le grand combat contre l’islamisme.
Je l'en ai remercié, et félicité car, vous le verrez lundi, cet article est, heureusement, assez long pour épuiser le sujet, s'il n'épuisera pas le lecteur : enfin, tant de choses que l'on sait, mais parfois mal, ou approximativement, ou insuffisamment et imparfaitement, sont, là, replacées dans leurs causes lointaines, et tout s'ordonne à merveille pour que chacun arrive à une compréhesion claire et complète de ce si vaste sujet...
À lundi, donc, pour une très enrichissante lecture...
François Davin,
Blogmestre
Pour cette fois, pour une fois, Macron vient de réussir un joli "coup double" : miser sur l'Inde, pour faire contre-poids au marxisme-léninisme agressif de la Chine (ce qui est bien vu) et obtenir un réel succès économique (l'Inde annonce l'achat de 26 Rafale Marine et de trois sous-marins...) :
L'équipe de France des moins de 20 ans a écrasé l'Irlande ce vendredi (50-14) en finale du Mondial U20, pour s'offrir un troisième titre d'affilée, après 2018 et 2019 (les éditions 2020, 2021 et 2022 avaient été annulées en raison de la pandémie de Covid).
Dans FFR : Les Bleus restent sur le toit du monde :
(avec une vidéo de 6'54)
https://www.ffr.fr/actualites/france-moins-20-ans/champions-du-monde
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D'accord avec Amaury Navarranne :
"RAID, GIGN, BRI, hélicoptères, drones, véhicules blindés, engins lanceurs d'eau, 130.000 policiers et gendarmes : quels dirigeants ne se poseraient pas de question quant à devoir déployer de tels moyens pour assurer le calme le jour de la #FêteNationale ? Les nôtres. Déni fou."
Philippe, 72 ans, fleuriste assassiné après avoir été battu à mort...
Pourquoi n'y a-t-il pas d’émeutes, pas de France saccagée, pas de centre-villes en feu, pas d’émoi médiatique ou politique, pas de tweet de monsieur Sy ou de monsieur MBappé ?
Gilles-William Goldnadel connaît la réponse, et la livre, sur tweeter :
"Eh bien parce que l'un s'appelle Philippe et que celui qui l'a tué ne s'appelle pas Kévin."
(extrait vidéo 1'34)
https://twitter.com/dobsky33/status/1678892705810636802?s=20
A l’affiche : Stars at noon, un film français (et pourtant en VOSTF –américain et espagnol- difficile à lire car souvent blanc sur blanc !) de Claire Denis, Grand prix au festival de Cannes 2022, avec Margaret Qualley (Trish, la journaliste américaine) et Joe Alwyn (Daniel, le voyageur anglais),
d’après le livre éponyme de Denis Johnson (1986).
L’action se passe au Nicaragua, et commençons d’abord – A tout Seigneur tout honneur – par rendre hommage à Christophe Colomb qui y débarqua en 1502.
Mais ce long-métrage (2H17) se déroule, si l’on se réfère au livre, il y a 40 ans, en pleine guerre froide, lors de la révolution sandiniste, du nom d’un révolutionnaire, Sandino, fusillé en 1934 par la général Anastasio Somoza, après avoir pris part à la guerre civile visant à libérer le pays de la tutelle américaine.
C’est à la suite d’un séisme de 1972 et d’un détournement de l’aide internationale que le mouvement insurrectionnel sandiniste se reconstitue et renverse en 1979 le président de la République Anastasio Somoza, fils du précédent. Une guerre civile oppose alors la junte sandiniste au pouvoir, soutenue par le bloc soviétique et Cuba, aux Contras (contre-révolutionnaires) en même temps qu’à des dissidents, à la frontière du Costa Rica, qui accusent le gouvernement de trahir les idéaux révolutionnaires et nationalistes.
L’intrigue - s’il y en a une - suspend sa solution aux résultats des élections qui se dérouleront en 1984 et qui légaliseront la junte sandiniste en faisant élire son chef, le commandant Daniel Ortega, à la tête de l’État.
Pourquoi raconter tout ça… parce que, précisément, le film ne le raconte pas en nous livrant un scénario incompréhensible illustré par une succession de coucheries sans intérêt. Décidément je n’ai pas de chance avec Claire Denis qui déjà m’avait profondément ennuyé l’an dernier Avec amour et acharnement.
Dans Police et Réalités :
"Le rassemblement de soutien à Florian et sa famille prévu le 12 juillet (donc, aujourd'hui, ndlr) à Paris, vient d’être interdit par la préfecture de police !"
Le Système, en général, et ce semble-Gouvernement, en particulier, se placent donc ouvertement, publiquement, manifestent CONTRE leur Police : mauvais signe, pour l'un comme pour l'autre...
Car la Police nationale, c'est la Police de tous les Français.
Et, face aux razzieurs des temps modernes importés par le Système depuis 75/76, qui font de plus en plus la loi dans nos rues, il faut choisir : entre la Police et les pilleurs/razzieurs, le Système et le semble-Gouvernement ont choisi leur camp : celui du rezzou...
Au moins, c'est clair...