Le terrorisme d'État, c'est la Révolution et la République idéologique qui l'ont inventé...
Patrick Buisson sur France Inter : "En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée"
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De Guillaume Bigot, sur les associations qui aident les migrants mineurs isolés : "C’est la première fois dans l’histoire qu’un pays finance sa propre invasion..." :
(extrait vidéo 3'03)
https://twitter.com/CNEWS/status/1594250827224555521?s=20&t=9JnQtG9oVvcV6Dwyinr11Q
Annonce du semble-gouvernement (qui a fermé Fessenheim, 5% de la production d'élélectricité française !) : rien à craindre, à priori (?), pour novembre et décembre. Merci, la météo et les températures relativement clémentes ! À quoi en sommes-nous réduits, par le Système de folie, en folie ! Par contre, risque sévère de "délestage" pour janvier : "délestage", mot poli et savant pour dire : COUPURE, UN POINT C'EST TOUT ! DÉBROUILLEZ-VOUS ET CIRCULEZ, Y'A RIEN À VOIR !
Merci, Borne ! Merci Macron !
Et nos chers ennemis allemands du quatrième Reich ont déjà prévenu : ils ne livreront pas d'électricité à la France. Conclusion : le risque de panne est énorme pour janvier (et février). Tout cela pour un simple caprice : la fermeture de Fessenheim, centrale ultra sûre et ultra moderne, qui pouvait servir encore dix ans au moins; par calcul stupide et bassement politicard, un cadeau insensé fait à des escrolos qui ne représentent guère plus que leur cinglerie. Le Pays légal a cassé EDF, et avec le projet Hercule, Macron prépare l'achèvement du démantèlement de notre électricien...
A l’affiche : Armageddon Time, un film américain de James Gray, avec Anthony Hopkins (le grand-père Aaron Rabinowitz), Jeremy Strong et Anne Hathaway (son gendre et sa fille, Irving et Esther Graff), Ryan Sell et Banks Repeta (ses deux petits-fils, Ted et Paul), et Jaylin Webb (Johnny Davis, le copain de Paul).
Armageddon Time… Un titre prétentieux, qui signifie l’heure de la bataille finale entre le Bien et le Mal, pour un film de série B, dont le premier et dernier propos sont de ne pas vouloir vivre l’élection de Ronald Reagan… en intégrant dans le scénario, comme persona grata d’une école privée, Fred et Maryanne Trump, parents de Donald…
J’ai lu que le réalisateur raconte son enfance dans une famille d’origine juive, de la classe moyenne à New York, où persiste un certain racisme à l’égard des « nègres » (en VF).
Les parents semblent débordés par l’insolence et la désobéissance de leurs enfants et, en fait, je suis sorti en me demandant ce que voulait nous dire James Gray.
Malgré l’avis favorable de mon épouse, ce long métrage, qui dure près de deux heures, ne me paraît pas susceptible de ramener le public dans les salles obscures… le CGR et l’Apollo de Châteauroux y tiennent-ils d’ailleurs qui nous ont indiqué que le Reste un peu de Gad Elmaleh n’était pas prévu à l’affiche…
L’édito politique d’Alexis Brezet sur Europe1 (avec Dimitri Pavlenko), dit l'essentiel : la "relation personnelle" avec Poutine n’a rien donné; en Afrique, la France se fait tailler des croupières; en Algérie, notre main toujours tendue n’est jamais saisie; au Liban, l’Histoire s’écrit sans nous; en Europe, la rupture avec l’Allemagne est consommée…
(extrait vidéo 4'0")
https://twitter.com/abrezet/status/1593152946841489410?s=20&t=dD34OjNB9RBK0B3ZEiuDfA
• La vérité, c'est que (pour re-citer Alexis Brézet) : "...Un pays criblé de dettes, de déficit, un pays malade de sa désindustrialisation, de son immigration est un pays dont l’influence décline dans le monde"...
• La vérité, c'est ce qu'a dit Ernest Renan dans son discours prononcé sous la Coupole, le 21 février 1889, à propos de la célébration du centenaire de 1789 :
"...Si, dans dix ou vingt ans, la France est toujours à l’état de crise, anéantie à l’extérieur, livrée à l’intérieur aux menaces des sectes et aux entreprises de la basse popularité, oh ! alors, il faudra dire que notre entraînement d’artistes nous a fait commettre une faute politique, que ces audacieux novateurs, pour lesquels nous avons des faiblesses, eurent absolument tort. La Révolution, dans ce cas, serait vaincue pour plus d’un siècle. En guerre, un capitaine toujours battu ne saurait être un grand capitaine : en politique, un principe qui, dans l’espace de cent ans, épuise une nation, ne saurait être le véritable..."
En avant-première : Nostalgia, Un film italien de Mario Martone, avec Pierfrancesco Favino, Sofia Essaïdi et Aurora Quattrocchi (Felice Lasco, son épouse et sa mère Teresa Lasco), Tommaso Ragno (Oreste Spasiano, l’ami d’enfance), Francesco Di Leva (le padre, Don Luigi Rega).
D’après le roman éponyme d’Ermanno Rea.
Nostalgia… Encore cette fois, ce film porte le même titre qu’un drame américain de Mark Pellington, de 2018, que je n’ai pas vu, pas plus que je n’ai lu le roman d’Ermanno Rea (2016), ni celui de Jonathan Buckley portant toujours le même nom qui serait celui d’un jardin imaginaire d’une petite ville de Toscane (2019).
Nostalgia… Le 1er acteur ou plutôt la première actrice de ce nouveau long métrage est la ville de Naples et son quartier populaire et misérable de la Sanità.
La nostalgie c’est, étymologiquement, à la fois le retour et la douleur, et ce titre ne pouvait pas mieux convenir à l’histoire de Félice dont on imagine qu’il menait une vie bourgeoise, avec son épouse probablement médecin à l’hôpital du Caire. Le voilà de retour dans « son » pays, sa ville et son quartier où il vécut de petite délinquance.
’o sole, ’o sole mio, sta nfronte a te,
Sta nfronte a te !
Monseigneur le Comte de Paris, accompagné du Dauphin, a visité le Prytanée militaire de la Flèche et le château du Lude avec les membres de l'association des Vieilles Maisons Françaises du Pays Basque et du Béarn. Une visite autour de la figure du Roi Henri IV.
Aymeric Caron veut interdire la corrida. Il ne l'aime pas, nous non plus. Mais, ce qui nous choque, dans son dépôt de projet de loi, c'est qu'il le fait en prétendant "lutter contre la souffrance animale".
Au pays de saint François d'Assise (sa mère était provençale...), et comme héritiers de deux millénaires d'héritage judéo-chrétien, nous ne pouvons, bien évidemment, considérer la Création qu'avec les yeux et les paroles du grand pape Benoît XVI : "La nature est l'expression d'un dessein d'amour et de vérité. Elle nous précède et Dieu nous l'a donnée comme milieu de vie. Elle nous parle du Créateur"; qu'avec les yeux et les paroles de cet autre grand pape, Pie XII (en 1950) : "...Le monde animal, comme toute la création, est une manifestation de la puissance de Dieu, de sa sagesse et de sa bonté, et comme tel, mérite le respect de l'homme. Tout désir inconsidéré de tuer des animaux, toute inhumanité, toute cruauté ignoble envers eux doivent être condamnés..."
Lutter contre la souffrance animale est donc forcément, pour nous, une cause naturelle, une évidence, qui s'impose d'elle-même. Mais pourquoi monsieur Caron ne voit-il pas le problème dans son ensemble ? Pourquoi ne demande-t-il pas que l'on interdise, partout où on le peut, toute cruauté et toute souffrance infligée inutilement aux animaux, comme, par exemple, l'horrible "abattage rituel" que pratiquent allègrement les musulmans en France, et parmi eux, bien entendu, les 70% qui votent LFI (donc, Caron) ?
Dire que l'on a de bons sentiments, cela ne mange pas de pain, comme on dit familièrement; être logique et cohérent, par contre, cela semble être une autre paire de manches, comme on le dit tout aussi familièrement !
Du moins pour Alexis Caron...
D'accord avec Gilbert Collard :
"Le portail de l'église Notre-Dame de #Poitiers souillé par des tags d'extrême gauche : ce n'est pas très chrétien, mais mort aux cons !"
D'accord, mais... vaste programme ! Très vaste !!!!!
Et puis, on l'a dit cent fois, mais répétons-le une fois encore : que se passerait-il si ces inscriptions avaient été faites sur la porte d'une mosquée ?... Là, on les aurait entendu "h/24" les journaleux bobos/gauchos/trotskos, les islamo-gauchistes et leurs "idiots utiles", les collabos de l'invasion migratoire... Et on aurait eu droit aux "heures sombres de notre Histoire", aux "bruits de bottes", aux "glaçants" et autres niaiseries et billevesées habituelles...