Nancy, samedi 8 décembre, "la Manif' pour tous"
Manif pour tous
Manifestation pour le mariage civil Homme/Femme, contre les projets de loi sur "Le mariage et l’adoption pour tous"
Rendez-vous, samedi 8 décembre – Place Carnot à Nancy- 14h00
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Manif pour tous
Manifestation pour le mariage civil Homme/Femme, contre les projets de loi sur "Le mariage et l’adoption pour tous"
Rendez-vous, samedi 8 décembre – Place Carnot à Nancy- 14h00
Le Site Officiel du prince Jean de France a publié, le lundi 3 décembre, l'information ci-dessous, que nous portons à votre connaissance.
Dans le contexte des débats actuels, cette simple note nous paraît avoir, en effet, un sens et une importance qui doit être signalée :
"Pour témoigner de son attachement à la famille, cellule de base de la société, le prince Jean a assisté au Colloque International pour la Vie qui s’est tenu à Biarritz les 29 et 30 novembre derniers".
Ci-dessous l'illustration de ce colloque que le site du Prince a donnée.
Nous connaissons tous les péripéties de l’affaire Florange. A ce jour, la seule certitude reste que personne ne sait ce qui va vraiment se passer et si la « solution » du gouvernement en est bien une.
Sans sous-estimer l’approche économique, privilégions donc un point de vue politique.
Le mot de « nationalisation » (qui inclut « national ») a constitué un espoir pour les uns, une menace pour les autres. A qui donc nuirait une nationalisation ? Pas aux « petits » ouvriers lorrains mais aux grosses entreprises mondialisées : c’est ainsi qu’il faut interpréter l’intervention de Mme Laurence Parisot jugeant « scandaleuse » toute éventualité de cet ordre. Rien de nouveau, en fait : déjà, il y a quelques mois, la présidente en exercice du MEDEF, c’est-à-dire d’un patronat qu’on aurait pu benoîtement croire « français », avait pris position, contre les intérêts français et pour les intérêts des groupes financiaro-industriels mondialisés, en soutenant (contre M. Claude Guéant) un immigrationnisme forcené (profitable à certaines entreprises, catastrophique pour le pays).
Vous avez remarqué comme moi que les gens qui pensent et parlent à la place des Français sont toujours du même avis. Politiciens, journalistes, historiens agréés, cinéastes et gens du spectacle réagissent à l’unisson sur tous les sujets politiques, sociétaux, éthiques, historiques et même artistiques.
Sur chacun de ces sujets, il est aisé d’établir par anticipation la grille de leurs réponses. Mariage homo, euthanasie, avortement ? Ils sont pour. La droite, Le Pen, Sarkozy ? Ils sont contre. Contre Napoléon, Vercingétorix et Bigeard mais pour Rousseau, Che Guevara ou Salvador Allende. Contre le Christianisme mais pour l’Islam. Pour Picasso et les Rolling Stones mais contre Salvador Dali et Mireille Mathieu. Tous formatés et sans aucun libre arbitre !
Un sommet a été atteint pendant la dernière campagne présidentielle avec un sondage réalisé auprès des étudiants du Centre de formation des journalistes. Résultat : 0 % d’intentions de vote à droite et 100% à gauche ! Or, cela est humainement et mathématiquement impossible et l’on peut penser que les rares « objecteurs de la bonne conscience de gauche » profèrent des idées de droite pour ne pas être mal vus.
Curieusement, dans ce concert de perroquets, ce sont les sénateurs communistes qui semblent avoir fait preuve d’intelligence et de liberté d’esprit en votant contre le projet de loi visant à augmenter la taxe sur les plus-values de cessions d’entreprises, n’hésitant pas ainsi à soutenir les forces du mal incarnées par les entrepreneurs !
Comprenne qui pourra …
Ce mercredi 28, Thomas Legrand pose une question pertinente -et impertinente... - à Laurent Fabius, qui vient de parler de "responsabilité", d' "urgence", de "gravité"... à propos du sommet sur le climat de l'ONU à Doha.
En substance, la question est : comment conciliez-vous cela avec vos propos en faveur de l'aéroport Notre-Dame des Landes (alors qu'il est de notoriété publique que l'actuel aéroport de Nantes est loin, très loin de la saturation...). Et, peut-on indéfiniment continuer l'orgie de carburant fossile ?
Devant le "blanc" de Fabius, ce qu'au théâtre on appellerait un trou de mémoire (mais, au théâtre, il y a le petit trou du "souffleur"...) Thomas Legrand prend la chose du bon côté, et rigole un bon coup, ce qui n'en fait que plus mal : "Puisque les réponses se font de plus en plus courtes, on va arrêter là."
On connaissait Pépin le Bref. On vient à peine de découvrir François normal que voici le petit dernier dans la famille "le bref", Laurent le bref : on vit décidemment une époque épatante !
Dans notre quête permanente des convergences avec tous ceux qui recherchent l'intérêt national et le Bien commun, nous proposerons deux vidéos cette semaine : l'une politique, à propos de la Nation française; l'autre, économique et "sociétale" :
1. "Moi, j'aime mieux avoir un État français, une nation française" : on visionnera la vidéo de Marie-France Garaud dans laquelle elle développe une argumentation que nous faisons nôtre, en partie...
2. Hervé Juvin, lui, montre comment - par un "spoil system" contraire à la tradition de notre haute fonction publique - "il revient aux socialistes français d'accentuer l'américanisation de la société française"...
Jean-François Mattéi, comme il l'avait fait après sa très belle communication du 1er septembre, à Martigues, sobrement intitulée Le chemin de Paradis, pour la journée d'hommage à Charles Maurras, nous a envoyé le script de sa communication au récent Colloque Maurras de Paris : Maurras, entre Shakespeare, Baudelaire et Edgar Poe.
On parlera de Gandrange;
Et on aura aussi - la bonne habitude est prise maintenant - "le grain de sel de Scipion" par deux fois; une réflexion sur les propos très surprenants de Manuel Valls sur la laïcité : des propos très justes, mais qui le mettent en contradiction avec "les grands ancêtres" : "affaire à suivre"...
On continuera à Lire Jacques Bainville, vendredi : dans l'éloge de "M. Georges Mandel", Bainville dit exactement la même chose que ce que vous pourrez lire bientôt dans notre prochain Album Léon Daudet (en préparation...); et qui montrera aux ignorants que l'Action française toute entière entretenait les meilleures relations avec bon nombre de personnalités de la communauté juive -et non des moindres, de Joseph Kessel à Georges Mandel - l'antisémitisme de peau ayant toujours été rejeté, dénoncé et combattu en tant que tel par le royalisme français.
Et on gardera le samedi dorénavant, comme on en a pris l'habitude maintenant - autre nouveauté de l'année... - pour une sorte de revue des Blogs, de Facebook et d'ailleurs : cette semaine, l'analyse de Bernard Lugan, sur ce qui se passe au Rwanda, au Kivu...; Bigeard était "un type bien", et même très bien. Il a été insulté par des "cocollaborateurs" : ils on eu le "pan sur le bec qu'ils méritaient, et c'est très bien comme çà; Jean Jouzel est président du Haut Conseil de la science et de la technologie (et vice- président du Giec). Après le sommet de Doha il propose son point de vue. Le sujet est trop sérieux pour en négliger aucun; enfin, deux points de vue sur le "Mariage pour tous" (!) : le premier, sérieux, avec l'Audition du Cardinal Vingt-Trois par l'Assemblée nationale (un texte de référence, pour un cardinal impeccable, sur le sujet, depuis le début); le second, avec le sourire : Patrick Besson préfère prendre la chose sur le ton de l'humour : Caligula avait bien épousé son cheval !...
On aura, évidemment, les Ephémérides, car c'est "tout cela, tous ceux-là, aussi, la France" : de Charlemagne seul maître du pouvoir au record du monde de vitesse pour le TGV Atlantique en passant par... : la naissance du Franc (!); les morts de Richelieu, Pierre Puget, Maurice Barrès, Jules Monnerot; les naissances de Gay-Lussac, Gabriel Marcel, Georges Meliés, Camille Claudel; le sacre de Napoléon et la victoire d'Austerlitz; l'ouverture du pseudo-procès de Louis XVI : "Cet homme doit régner ou mourir", dit Saint Just, a qui Robespierre répond : "Il faut que Louis meure !..." En plus de la Table des Matières (pour les 366 jours de l'année, les Ephémérides proposent, en permanence L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes (200 photos)... et aussi... de la MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf
Notre rubrique Activités partout en France (mise à jour quotidiennement) propose en permanence une trentaine d'activités diverses : "sitôt reçu, sitôt publié", elle est à votre disposition pour annoncer et répercuter tout ce qui se fait chez vous, "sans nostalgie ni folklore", pour un royalisme intelligent. Lafautearousseau se veut la "maison commune" de toutes les bonnes volontés royalistes, fidèles à la Maison de France.
Bienvenue à nos nouveaux "Amis", cette semaine, sur notre Page Facebook Lafautearousseau Royaliste : elle a accueilli son 1.627ème "ami", et nous nous sommes fixés comme objectif, pour commencer, d'avoir 5.000 "amis": il nous faut annoncer, rendre compte, expliquer... à toujours plus de gens, et cette Page est l'un des moyens d'y arriver. Aidez-nous donc à la développer, en vous inscrivant vous-mêmes, en lui suscitant des "amis", en la faisant connaître autour de vous.
Et, bien sûr, on réagira "en temps réel" (comme on dit dans le jargon) à l'actualité immédiate, et on parlera de tout ce dont on ne sait pas encore que l'actualité nous amènera à évoquer.
Bonne lecture, et bonne semaine sur votre quotidien !
Présentation de l'éditeur
L'enseignement de l'histoire-géo va mal. Depuis des années, sous des gouvernements de gauche comme de droite, les réformes se sont succédé mais n'ont fait qu'aggraver la situation. Qui sont les responsables de ce fiasco et que faire ? Professeur d'histoire-géo et ancien inspecteur d'académie, Laurent Wetzel dénonce avec virulence les erreurs et les aberrations contenues dans les textes ministériels, le charabia des hauts fonctionnaires ainsi que l'incompétence de nombreux responsables de l'Education nationale. Mais tout n'est pas perdu. Aujourd'hui une vraie réforme est possible si l'on s'appuie sur ceux qui croient encore à l'importance de ces deux matières : les professeurs et les parents. Un livre réquisitoire sur un sujet qui nous concerne tous.
Biographie de l'auteur
Laurent Wetzel, ancien élève de l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, est agrégé d'histoire. Il a été professeur d'histoire, de géographie et d'éducation civique dans plusieurs collèges et lycées franciliens, avant de devenir inspecteur d'académie-inspecteur pédagogique régional d'histoire-géographie. Retraité depuis peu, il n'est plus astreint au "devoir de réserve".
Pour « aller plus loin »… :
(Cette chronique n'a pas d'autre objet que de communiquer à nos lecteurs des articles et prises de positions sur lesquels nous nous trouvons en convergence, totale ou, au moins, partielle, et sur des points d'importance; elle ne signifie évidemment pas accord total et permanent, sur tous sujets et en toute occasion, avec les Blogs ou Pages mentionnées...)
Il n'est peut-être pas inutile de le redire : nos Cafés politiques de Marseille se déroulent en trois temps : pré-Café, Café et après-Café...
1. Plus précisément, l'accueil du public se fait, volontairement, à partir de 18 heures, afin d'offrir à ceux qui le désirent un "temps" de discussion et d'échange, qui peut être, à leur guise, sérieux ou détendu; temps de retrouvailles aussi peut-être, où l'on discute amicalement, tout simplement, ou bien des sujets du jour, ou du thème de la soirée : bref, ce que chacun, librement, veut en faire : c'est le Pré-Café... Bien entendu, ce n'est qu'une possibilité offerte, non une obligation, et ceux qui sont coincés dans un embouteillage, retardés par une obligation ou, tout simplement, arrivent en retard sont acceptés (on fait comme à la Messe !...).
2. A 18h30 commence le Café proprement dit : entre trente et quarante cinq minutes pour l'intervenant, puis un débat avec la salle, qui peut se prolonger un peu mais que l'on arrête au plus tard à 20 heures...
"Du passé faisons table rase !" : au programme des révolutionnaires, qui constitue la base de notre République idéologique, il faut opposer, non des opinions, mais des idées, et, si possible, une doctrine, pour reprendre la formule de Bainville. Mais on peut aussi lui résister en exaltant, justement, cette Culture, cette Civilisation, sans laquelle, en dehors de laquelle et contre laquelle la Révolution s'est levée, et la République idéologique s'est construite. Résistance par la culture : voilà pourquoi l'on donne tant de place, sur Lafautearousseau, au "culturel", à nos Racines...
Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire" :
* Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"
* Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".
L'Album des Ephémérides : L'aventure France racontée par les Cartes (200 photos)...
MUSIQUE DANS LES EPHEMERIDES.pdf
TABLE DES MATIERES PREMIER SEMESTRE.pdf
TABLE DES MATIERES SECOND SEMESTRE.pdf
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :
L’homosexualité ne concerne que 5% des Français et parmi ceux-ci, beaucoup ne demandent ni le mariage ni l’adoption et désapprouvent même tout le tintamarre fait autour de leur penchant. Mais, une fois de plus, une vaste campagne de désinformation a été lancée sous la pression d’un lobby avec le relais de la presse « progressiste » et d’une partie de la classe politique. Et une fois de plus, on ment aux Français en publiant un sondage qui prouverait qu’une majorité d’entre eux sont favorables à ces prétendues « avancées sociétales » alors qu’on omet de donner la réponse à l’une des questions de ce sondage qui montre que 67% des Français sont contre l’adoption d’enfants par des « duos » d’homosexuels. Silence aussi sur d’autres sondages qui révèlent l’opposition de nos concitoyens à ce projet.
( Du Site de la Restauration nationale )
Le 14 novembre, Hubert Védrine, ancien ministre des affaires étrangères, a déposé un rapport au secrétariat de la Présidence sur « Les conséquences du retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN, sur l’avenir de la relation transatlantique et les perspectives de l’Europe de la défense ».
Nous connaissons Hubert Védrine comme un fin professionnel de la politique étrangère de la France, puisqu’il a occupé le bureau de Calonne de 1997 à 2002 prenant souvent des positions empreintes de bon sens, conformes aux besoins de la France en ce domaine. Le fait qu’il ait participé à des gouvernements socialistes ne change rien à l’affaire car la politique étrangère n’est pas une affaire de parti. Pourtant nous n’attendions pas de miracles lorsque le Président Hollande lui a demandé de traiter cette question. Il eût été étonnant que l’ancien ministre ose jeter un pavé dans la mare, et du reste on ne lui aurait pas demandé de faire un rapport s’il ne s’était pas engagé à rendre un document conforme à la pratique des ministères Fabius et Juppé, d’ailleurs fort peu différents l’un de l’autre. L’ancien ministre rappelle que c’est la France qui a œuvré pour la création de l’OTAN au début des années 50. Il rappelle aussi les raisons pour lesquelles le général de Gaulle, le 7 mars 1966, écrit au Président Johnson pour lui faire savoir qu’il n’entendait plus, ni participer aux commandements intégrés, ni mettre ses forces à la disposition de l’OTAN, recouvrant ainsi sur son territoire l’entier exercice de sa souveraineté. Les motifs du général tenaient au refus des USA de placer l’OTAN sous commandement triparti, laissant le commandement aux seuls anglo-américains, et à l’opposition des mêmes à la force de dissuasion. De plus le gouvernement français craignait de se voir engagé sur un théâtre d’opérations où il n’aurait rien à faire. Est-il besoin de se souvenir qu’à cette époque, le danger soviétique n’était pas un vain mot ? Alors qu’après 1990 ce danger est écarté, comment expliquer le retour dans l’OTAN en décembre 1995 sous l’impulsion de Jacques Chirac ? Comment justifier une implication accrue aujourd’hui ?