Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Sur la route de Madison.
A la télé : Sur la route de Madison, un film de Clint Eastwood (1995), avec Clint Eastwood et Meryl Streep.
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
A la télé : Sur la route de Madison, un film de Clint Eastwood (1995), avec Clint Eastwood et Meryl Streep.
En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :
JEUNESSE SI TU SAVAIS
https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/
https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/
POUSSIERES D'ETOILES
https://www.poussieresdetoiles.fm/
https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos
Et voici le douzième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...
Abonnez-vous au Bien commun !
Vous êtes adhérent à l'Action française ?
Bénéficiez de 10 % de remise sur tous les abonnements !
Abonnement papier https://bit.ly/3caaTbQ
Abonnement numérique https://bit.ly/2yQmzlY
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Dans le magazine « Point de Vue » de ce mercredi 15 avril 2020, deux reportages de quatre pages sont consacrés à la Famille royale de France, la famille d’Orléans.
Merci à Véronique B. pour le partage
Le président Macron appelle à effacer la dette africaine, étape selon lui « indispensable pour aider le continent africain à travers la crise du coronavirus ». Les PME, les TPE, les professions libérales et les commerçants français qui vont, eux, devoir rembourser les emprunts qu’ils vont être contraints de faire pour tenter de survivre, apprécieront !!!
Sous le signe de La Boétie
Pendant longtemps, la politique s’est appuyée sur la théocratie – le pouvoir de Dieu. Le compagnonnage entre les rois et les prêtres est vieux comme le monde. Quand les dieux parlaient c’était bien évidemment le clergé qui prétendait avoir l’oreille pour entendre ces voix réductibles à leurs chuchotements. Quand Dieu a remplacé les dieux, le schéma n’a pas changé: on est passé de plusieurs donneurs d’ordres à un seul, mais le clergé associé aux rois pour constituer la classe dominante a continué d’imposer sa loi au peuple. La classe intermédiaire des guerriers veillait à ce qu’il ne vienne pas à l’idée des gouvernés de vouloir décider par eux mêmes, pour eux-mêmes… Le peuple? Voilà l’ennemi de tous les gouvernants.
Le Covid-19 a donc jusqu’à présent tué plus de 17 000 personnes en France. Notre pays se situe parmi ceux qui auront le plus mal résisté à la pandémie. Cette sinistre surprise devrait être pour les Français l’occasion d’une prise de conscience. Le système de santé que le monde nous enviait, l’Etat stratège, impérieux et omnipotent, censé nous protéger, n’ont pas été à la hauteur. La qualité de l’armée de ceux qui ont affronté le virus sur le terrain, leur savoir-faire et leur dévouement, ne sont pas en cause. Beaucoup sont allés au combat sans armes parce que l’Etat avait été imprévoyant. Et c’est bien ce rapport de la France charnelle avec son Etat qui doit être « réinventé », comme dirait notre bavard président.
L’usine Michelin de la Combaude poursuit ses activités malgré la crise sanitaire. Clermont-Ferrand, le 10 avril 2020.
THIERRY ZOCCOLAN/AFP
La crise démontre que la souveraineté industrielle conditionne notre sécurité nationale, considère le spécialiste des questions de guerre économique Éric Delbecque. Il appelle à abandonner la logique du capitalisme financier pour rebâtir notre tissu industriel et repenser l’aménagement de notre territoire.
Basilique Saint-Marc, Venise.
© Pascal Deloche / Godong
La Semaine sainte que nous venons de vivre a été, pour beaucoup, d’une rare intensité en vertu de ses circonstances exceptionnelles. Nous retrouverons sans aucun doute avec bonheur les liturgies communautaires, celles qui donnent le sentiment d’une communion à la fois fraternelle et eschatologique. Mais la distance qui nous était imposée par rapport au sanctuaire et à l’autel nous offrait l’occasion d’une méditation sur ce dont nous étions privés, en creusant en nous un désir spirituel et en avivant la soif de mieux comprendre.
"Les mythes que nous tissons, même s’ils renferment des erreurs, reflètent inévitablement un fragment de la vraie lumière, cette vérité éternelle qui est avec Dieu. » (J.R.R Tolkien)
Comment ne pas remonter au fond des âges dits « obscurs », qui ne sont en fait que la possibilité du tout, de l’humain comme des éléments de la création. De ces instants d’une nature non policée aux confins des mondes où règnent encore les divinités et dieux multiples, aux premières pénétrations du christianisme. On découvre alors l’extrême adaptation des sociétés naissantes, aux périls et risques nombreux, comme aux aventures merveilleuses. C’est là que parmi les forêts vivent encore Elfes et Trolls, Gobelins et Orques divers.