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violence - Page 2

  • Douce France républicaine, ou chronique de l'insécurité ordinaire...(4)

              Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Delphine de Mallevoüe publié dans "Le Figaro magazine" du jeudi 10 Janvier, sous le double titre: "Ces minicaïds qui sèment la terreur dans les maternelles. Âgés de 3 à 10 ans, ils frappent, volent ou brûlent des voitures. Le rajeunissement de la délinquance est un vrai problème dans les cités."

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

     

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser...

             Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

              5) Le Sri-lankais de 36 ans, qui a avoué avoir volontairement provoqué un incendie meurtrier à La Courneuve, suite à un différend familial (il est le frère de l'une des habitantes de l'immeuble qui s'est embrasé!.....). Interpellé dès le lendemain du drame, il a été mis en examen et écroué. Il a reconnu avoir volontairement mis le feu à la cage d'escalier avec "un liquide inflammable" en raison d'un conflit avec sa famille! Bilan : trois morts (une mère haïtienne et ses deux enfants) deux blessés graves et douze légers. Le suspect a été mis en examen pour "dégradation volontaire ayant entraîné la mort", dans trois cas, "une infirmité ou mutilation permanente" dans deux autres cas, et "une incapacité totale de travail "(ITT) inférieure ou égale à huit jours" pour la douzaine d'autres victimes. Charmant personnage !

              Dès le départ, les enquêteurs avaient privilégié la piste criminelle. Deux heures avant le début d'incendie, la police était intervenue pour éloigner l’homme de l'immeuble, suite à une dispute avec sa famille qui habite au cinquième et dernier étage. Il était alors fortement alcoolisé. Par ailleurs, il avait déjà été plusieurs fois condamné pour "dégradation par moyen dangereux". On appréciera ce "détail" (?!).....mais on cherchera en vain "la chance pour la France" (dixit Chirac) que peut représenter un immigré pareil.....

     

  • Douce France républicaine, ou chronique de l'insécurité ordinaire...(3)

              Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Sophie Manelli, publié dans le quotidien "La Provence" du lundi 29 octobre, sous le double titre: "Centre-Ville: la police semble bien impuissante face à ces vols à l'arraché. / Pourquoi le port du collier est déconseillé en ville...."

              "Quel est le plus grand aéroport de France? Roissy? Non, la Canebière: deux vols à la minute." (1) Un peu exagérée, la blague qui circule cet an-ci. Mais un peu seulement, car depuis cet été, c'est bien deux agressions....par jour, qui seront constatées dans le centre-ville. Et l'on ne parle ici que d'un type très particulier de vol avec violence. L'arrachage de colliers, chaînes et autres "bouliers marseillais" est, depuis quelques mois, la plaie du centre-ville. Et ce alors même que la délinquance de voie publique affiche une baisse de l'ordre de six pour cent par rapport à l'année dernière. La police a clairement identifié les auteurs de ces délits.

              Il s'agit le plus souvent de jeunes clandestins, en provenance d'Annaba en Algérie, qui affluent depuis la fin juin, sans doute acheminés par un réseau qui transite par l'Italie.

              "A Marseille, ces gamins se spécialisent dans l'arrachage de colliers, certainement avec l'appui de receleurs et de revendeurs locaux", estime un enquêteur, qui a auditionné plusieurs de ces jeunes errants arrêtés en flagrant délit. Leurs victimes, bien ciblées, sont des femmes d'un certain âge, se déplaçant seules, de préférence. Certaines d'entre elles, jetées à terre avant d'être dépouillées, ont eu des membres fracturés. Face à ce fléau, la police ne reste pas les bras ballants. Depuis janvier, 20 opérations de contrôles massifs ont été organisés dans le centre-ville , dont douze à Noailles et Belsunce (la dernière remonte à vendredi, avec soixante trois fonctionnaires mobilisés). Début octobre, une enquête a conduit à l'interpellation de trente deux occupants d'un squat de la rue du Musée. Dix d'entre eux, formellement reconnus par des victimes, ont été placés en garde à vue. Huit ont été écroués. Les vingt deux autres? En séjour irrégulier, ils ont été remis à la police aux frontières. "Mais, comme ils se prétendent mineurs, le Parquet ordonne leur placement en foyer associatif....dont ils s'échappent aussitôt", déplore un fonctionnaire de la PAF.

              Ainsi, "quelques jours à peine après leur arrestation, on a revu la plupart de ces jeunes délinquants à Noailles", confirme un policier.

              Ces adolescents des rues seraient actuellement une cinquantaine à vagabonder à Marseille. Victimes, eux aussi, des chefs de réseaux qui savent que leur jeune âge leur garantit une quasi impunité."

    (1): "Depuis cet été, on en est à deux arrachages de collier par jour" (un policier).....

  • Douce France républicaine, ou chronique de l'insécurité ordinaire...(2)

              Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Denis Trossero, publié dans le quotidien "La Provence" du vendredi 19 octobre, sous le titre: "Petits caïds ou racketteurs, ils font régner la rude loi des cités"

              C'est l'histoire sans cesse recommencée du jour qui se couche sur les cités chaudes de Marseille. Histoire de zones de non-droit qui n'osent dire leur nom. Histoire que Rafik Gmati, 27 ans aujourd'hui, pourrait raconter mieux que quiconque. Depuis trois ans il gérait l'épicerie de la rue Saint-Pierre (10°), voisine de la cité Air-Bel, à La Pomme (11°). Il en avait connu des sous-entendus, des vilaines pressions, des petits mots glissés à la hâte en forme de menaces larvées.

              Mais les 14 et 15 Mai 2006, il n'imaginait pas vivre pareille situation. Le premier jour, il se fait dérober la caisse. Dans la nuit, deux hommes encagoulés et armés débarquent dans son commerce et avant qu'il n'ait pu esquisser un geste, l'un d'eux tire deux coups dans sa direction. Une balle lui traverse la cuisse. Son calvaire ne fait que commencer. Le projectile est passé à deux millimètres de l'artère fémorale. Suivront trois opérations, la pause de dix huit broches, cinq mois de fauteuil roulant. Rafik a reconnu ses "cow-boys" d'un jour. Ils sont de la cité Air-Bel et de La Mazenode (11°). Lui est de La Cravache (9°). A Air-Bel on n'aime pas "les étrangers" (1). Pourtant Rafik est courageux. Il est venu au Tribunal défier le regard désinvolte de ses agresseurs. Il y a là le tireur, Abderahmane Friga, 19 ans, et son complice du même âge, Nacer Bendrer.

              Friga évoque une "vengeance". Parce qu'il aurait été humilié la veille devant toute la cité, quand Rafik a récupéré sa recette. Petits caïds aux vils desseins. Rafik explique qu'ils avaient commencé par lui voler des sandwiches, puis qu'ils auraient bien aimé qu'il lui cède son épicerie sans payer. Racket ordinaire en 2007 à Marseille. Le procureur Candau, dans une synthétique géopolitique de nos cités, fustigera "l'attitude de ces groupes qui tentent de faire régner leur loi". Friga a écopé de cinq ans, Bendrer de trois ans. A l'énoncé du jugement, ce dernier a craché en direction du Tribunal, en criant "Fils de Pute!". Il devrait retourner en garde à vue.

    (1): en français dans le texte! c'est trop beau! à verser dans la catégorie: "Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd".....!

  • Déchoir et expulser...

               Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique"entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Douce France républicaine, ou chronique de l'insécurité ordinaire...(1)

              Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Sophie Manelli, publié dans le quotidien "La Provence" du mercredi 3 octobre, sous le double titre: "Une trentaine de "jeunes" suspectés d'actes de délinquance interpellés / Tout un quartier terrorisé par des ados squatters."

              Armés de couteaux, parfois de harpons de pêche, ils attendent les passants au coin de la rue. "Cet été, il ne s'est pas passé deux jours sans qu'une petite vieille soit jetée à terre" (1), raconte un boulanger de la rue Longue des Capucins. Depuis cet été, d'ailleurs, il garde en permanence...une hache de boucher à portée de main, cachée sous son plan de travail. En deux mois, pas moins de 20 plaintes pour des vols avec violences ont concerné le secteur Noailles. La plupart des victimes étaient des femmes âgées (1bis), sauvagement agressées sous l'oeil impuissant des caméras de surveillance.....
              Certaines ont reconnu leur agresseur: dix au total, âgés de 15 à 20 ans, interpellés mardi dernier dans une descente de police effectuée dans leur repaire de la rue du Musée. Un trottoir entier, ou presque. Du numéro 22 au numéro 32, ces immeubles en ruine abritaient le plus gros
    foyer de ces "petits" délinquants qui terrorisent le centre-ville. Au total, 32 personnes ont été interpellées dans le squat. Pour la plupart en situation irrégulière, ces jeunes sont originaires de la région d'Annaba en Algérie, qu'ils ont quitté en bateau jusqu'à Naples ou la Sardaigne, avant de rejoindre Marseille; sans doute attirés par des filières de passeurs qui promettent les trafics faciles du trafic de cigarettes ou de contrefaçons.
              "Ils sont arrivés par vagues, depuis le mois de juin dernier. Certains ont trouvé du boulot, mais la plupart se mettent à voler, en repérant des proies faciles", raconte Farid, qui tient un point phone dans le quartier. Comme d'autres commerçants, il n'hésite pas à mettre en garde les touristes qui s'engouffrent imprudemment dans le quartier. "Le coup de filet de mardi, ça va calmer les choses, mais pour combien de temps?" interroge Yves Baussens, charcutier au marché des Capucins, qui a vu tant de fois la délinquance "simplement déménager".
    Dimanche dernier, une touriste anglaise a été blessée à la tête après avoir été jetée à terre et dépouillée de son camescope;

    (1): on admirera le courage de ces "jeunes", avec un couteau ou un harpon contre "une petite vieille": rappelons-nous Chirac: "ce sont les enfants de la république...une chance pour la France...."
    (1bis): idem....

  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser..

               Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique", entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquerons ici font partie du premier tiers des "français de plastique", entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

              1°):..... Hakim Mekideche, 33 ans, qui n'a même pas daigné se présenter devant ses juges: il montre ainsi le mépris dans lequel il tient la France et les Français, lui qui, convoqué le 13 décembre 2006 au commissariat du Merlan (Marseille 14°) pour menaces à une éducatrice a injurié en ces termes le policier qui l'interrogeait: "Vous n'êtes pas dignes de porter l'uniforme. L'Europe et la France sont pourries. La police n'est pas digne. Oui, je suis raciste contre les Français et je tiens des propos racistes !" D'autres propos ont été tenus en langue arabe...

              Ce monsieur n'a été poursuivi "que" pour outrage à policier, et n'a écopé "que" d'un mois de prison avec sursis: autant dire, rien! Un français "de souche" qui aurait fait la même chose aurait-il bénéficié de la même mansuétude ? On ne sait pas ce qui est le plus scandaleux et le plus révoltant dans cette affaire où tout est minable : le pauvre type, qui n'a rien à faire chez nous (puisque de toutes façons nous sommes des pourris, et qu'il ne nous aime pas ! un comble !....); ou la république-foutoir qui tolère un tel mépris (absence au tribunal après injures racistes) et transforme ainsi la France en poubelle....