Autour du Prince Jean ! À Senlis, acte I...(2/3)
On est plus que très largement en avance. On a flâné dans les rues de la ville, et on souhaiterait jeter un oeil dans le jardin du château d'Hugues Capet, mais, comme le Vin d'honneur s'y prépare, on nous demande courtoisement d'attendre après la messe...
Le mieux est donc d'entrer dans la cathédrale, où l'on voit déjà pas mal de monde, les portes étant grandes ouvertes. On a donc bien tout le temps de l'admirer dans ses moindres détails, cette cathédrale, et on a le plaisir de croiser, en passant, pas mal d'amis et de connaissances. On retrouve avec plaisir Yvan Aumont, puis Pierre de Meuse et Catherine son épouse. On croise et on salue Henri Bec, Gérard Leclerc, Bernard Pascaud, Jean Sevillia, Hilaire de Crémiers et son épouse...
Au détour d'un pilier, on tombe sur Henri de Lumley et son épouse. On en profite pour leur raconter comment nous avons tâché de rendre un peu du merveilleux travail qu'il ont effectué pour le Prince, à Tautavel et à la Vallée des merveilles; et on leur redit l'admiration que suscitent leur énergie et leurs compétences, mondialement reconnues. Toujours bouillonnant d'idées, Henri de Lumley lance un projet plutôt fumant, mais il est encore trop tôt pour en parler. De toutes façons, vous serez évidemment tenus au courant...



Les Tribunes du Prince Jean sont des prises de position occasionnelles sur des sujets de fond, liés ou non à l'actualité. D'une longueur maximale d'une page, elles permettent au Prince soit de faire connaître sa position sur une question brûlante faisant débat dans l'opinion, soit de faire le point sur un des grands sujets marquant la vie et l'évolution de notre société.
Le 12 mars 2007, le Prince Jean a commencé un voyage important en Pologne. Nous en avons déjà parlé, et nous en parlerons encore...
Après avoir lu attentivement le discours du Prince tenu à Vizille, voici donc maintenant, en laissant divaguer librement notre réflexion, quelques propos inspirés par cette grande occasion manquée, ou ratée, ou dénaturée (qu'on prenne les mots que l'on voudra...) que fut 1789, ce "grand mouvement" dont parlait le Comte de Chambord, et qui est à la base de ce qu'a développé le Prince devant les mebres du Coseil général de l'Isère..
En 2007, le Prince Jean, Dauphin de France, s'est donc rendu dans le Dauphiné : l'image est facile, mais on rappellera malgré tout le Traité de Romans de 1349, par lequel Charles V a réuni cette belle province à la France. Une des clauses du Traité stipule que le Prince héritier portera dorénavant le nom de Dauphin.
Le Prince Jean s'est rendu plusieurs fois en Provence : illustrant l'image que nous avons souvent prise d'un arbre qui monte d'autant plus haut dans le ciel qu'il pousse plus profondément ses racines dans le sol, il s'est montré attentif, curieux et intéressé par tout ce qui s'y passe, et dans tous les domaines, rencontrant aussi bien la Nation Gardianne et ses traditions vivantes que les scientifiques de Cadarache préparant l'énergie du futur : les deux bouts de la chaîne pourrait-on dire....
Maintenant que nous savons mieux, grâce aux précisions fournies par Jean Gugliotta, comment se passent les voyages du Prince, et que nous avons même, en quelque sorte, pénétré quelque peu dans les coulisses de ces voyages (encore ne peut-on pas tout dire et tout raconter...), nous allons nous intéresser un peu plus, au moyen de photos et d'extraits de ses discours, que nous consulterons alternativement, à certains des déplacements du Prince, en France et à l'étranger.
Depuis trois semaines maintenant nous préparons à notre façon le mariage du Prince Jean et de Philomena.
Nous n'allons pas avoir le mauvais goût de tenter de faire de la récupération, ou de mettre des préoccupations de politque politicienne là où elles n'ont que faire, ou des choses de ce genre . Nous nous contenterons simplement de dire que les quelques mots prononcés par la Ministre, Maire du VII° arrondissement de Paris, nous ont paru, tout simplement, positifs dans l'ensemble.