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Revue de Presse et d'Actualité... - Page 113

  • S'il revient en France, ce doit être la Cour Martiale pour  Kevin Guiavarch, renégat terroriste, polygame et pédophile

    Kevin Guiavarch

     

    Mur-bleu gds.jpgRenégat (dictionnaire de l'Académie française) : « Il s'est dit de celui, de celle qui a renié la religion chrétienne pour embrasser une autre religion. Il s'est fait renégat. C'est une renégate. Il se dit figurément de celui qui, par des motifs intéressés, abjure sa religion quelle qu'elle soit, renie sa patrie ou ses opinions politiques. Les renégats sont également méprisés dans les deux partis ». 

    Kevin Guiavarch a aujourd'hui 23 ans. Il a rejoint la Syrie fin 2012, d’abord dans les rangs du Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, avant d’intégrer l’organisation État Islamique (EI). Il est soupçonné d’avoir été un recruteur très actif de l’EI, directement impliqué aussi dans son financement, mais son rôle était aussi, essentiellement, de recruter des femmes, y compris mineures : on imagine aisément la suite ... 

    Après avoir quitté et renié son pays (?), la France, celui qui est devenu un terroriste veut maintenant y revenir, avec ses quatre compagnes françaises et leurs six enfants. Il faut savoir qu'il a eu un ou plusieurs de ces enfants avec une ou plusieurs mineures : il faut dire que, en matière de pédophilie, il n'a fait que suivre l'exemple de son maître Mahomet, qui a épousé à 52 ans, en troisièmes noces, Aicha, une fillette de 6 ans, avec laquelle il a attendu qu’elle ait 9 ans pour avoir des rapports sexuels ... « notre » Kevin ayant pris ses mineures plus âgées que six ans, il n'a pas eu à attendre, lui, pour consommer ses mariages. 

    S'étant fait librement soldat de l'armée ennemie, ce Guiavarch-là est devenu traître à sa (?) patrie ; et, accessoirement, terroriste pervers et hors-notre-loi : s'il revient, il doit être immédiatement traduit devant une Cour martiale, puisqu'il a pris les armes pour une armée avec laquelle nous sommes en guerre.  

    Peloton d'exécution, fusillé, et on n'en parle plus... 

  • Aucune arrestation un mois après l'assassinat manqué de Viry-Châtillon : à quoi sert le gouvernement ?

     

    Mur-bleu gds.jpgA quoi sert Bernard Cazeneuve ? Comment peut-il justifier - nous sommes tout de même au XXIe siècle - qu'avec tous les moyens dont disposent l'Etat et les forces de l'ordre il n'y ait aucune arrestation, aucune avancée décisive dans l'enquête, un mois après l'ignoble et terrifiante tentative d'assassinat de policiers à Viry-Châtillon (qui n'était, d'ailleurs, pas la première) ? A quoi sert tout notre appareil d'Etat, de Ministères, de Services, Agences et tout ce qu'on voudra, quand un semble-gouvernement et un semble-Ministère de l'Intérieur sont infoutus, en un mois, de savoir qui a fait quoi, ou, au moins, d'être sur une ou plusieurs pistes sérieuses ?

    Il est clair que, dans un pays normal, des démissions en cascade suivraient cette inertie, cette mort clinique, cet électro-encéphalogramme plat des services de notre semble-Etat. Mais nous ne sommes pas dans un régime politique normal, nous sommes dans une république idéologique, et cela change tout.

    Et si la vérité, pour en revenir à cette affaire de Viry-Châtillon qui, curieusement, piétine, était en réalité très facile à trouver ?

    1. Il n'est pas interdit de trouver impossible que la police et les services qui ont - mal - succédé aux Renseignements généraux ne sachent pas, au moins en gros, quel groupe est à l'origine de la tentative d’assassinat ; ni, toujours en gros, où se trouvent tout ou partie de ses membres. Mais pour suivre attentivement l'actualité, nous savons bien, aussi, que l'on ne compte plus le nombre de fois où des policiers, contrôlant ou cherchant à arrêter une ou plusieurs personnes ont vu, instantanément, une cinquantaine ou plus de « voisins » se regrouper pour empêcher physiquement l'interpellation. Et la police battre en retraite, car des projectiles divers étaient lançés des fenêtres et, autre joyeuseté - des parpaings tombaient des toits-terrasses.

    2. Il n'est pas interdit non plus de penser que, en réalité, à quelques mois des élections, le gouvernement sait très bien ce qu'il doit savoir, mais qu'il ne veut pas prendre le risque d'un embrasement de Viry-Châtillon et, par contagion-solidarité, des banlieues de la France entière, la racaille de toutes les zones de non-droit volant au secours de la racaille de Viry. Le « Un pour tous, tous pour un » de nos chers Trois mousquetaires inversé, en somme, et mis au service de la délinquance. Le syndrome de Malik Oussekine, qui paralysait tant Jacques Chirac, est toujours agissant dans notre classe politique, dont on peut dire que ce n'est pas le courage qui l'étouffe...

    Certes, on pourra toujours nous dire que nous échafaudons des hypothèses : alors, il faudrait admettre que la totalité des services de police et de renseignement d'un grand pays développé, en plein XXIe siècle, ne peut savoir ce qui se passe dans le pays. Et, là, franchement, c'est cela qui nous paraîtrait incroyable... 

  • 27ème accident du travail : « Islamo-Gangstérisme », la preuve par Marseille... 

     

    Mur-bleu gds.jpgLe 27e tué par balles a été retrouvé, ce samedi 5 novembre, à La Rose, cet ancien quartier paisible de Marseille, devenu, depuis l'immigration-invasion déclenchée par les décrets Chirac sur le regroupement familial, l'un des pôles majeurs de l'insécurité, de la violence, des trafics en tous genres... et des accidents du travail qui vont avec !

    Nous avons emprunté ce terme - bien trouvé - d'islamo-gangstérisme à quelqu'un qui a bien de la chance, lui, car il peut tout dire : ancien président de SOS Racisme, aujourd'hui député socialiste (mais probablement dépité après les prochaines législatives...), Malek Boutih n'en finit plus de prôner - mais en paroles seulement, c'est là que le bât blesse... - une politique de fermeté dans les cités et autres zones de non-droit. Il est même allé jusqu'à demander au gouvernement (comme s'il y en avait encore un...) une vraie « offensive anti racailles dans les banlieues ».

    Oui, Malek Boutih a bien de la chance de pouvoir se produire un peu partout (journaux, radios, télés) et dire franchement ce qu'il pense, à savoir que l'islamo-gangstérisme règne en maître dans les banlieues. Il a de la chance comme Louis-Georges Tin - mais, lui, c'était il y a trois ans déjà : il semble plus lucide, ou plus rapide, que Malek Boutih* - qui regrettait que François Hollande ait abandonné son électorat des banlieues, lui qui est l'élu « des Noirs et des Arabes ».

    On imagine le tollé, et ses suites, si Lafautearousseau parlait de « noirs et d'Arabes », et demandait une « offensive anti racailles ».

    Mais peu importe au fond : l'important est que les choses soient dites. Et qu'elles le soient par des responsables du CRAN et - même ancien - de SOS Racisme. Le problème de fond de cette violence, multiforme, qui monte de partout, irrésistiblement, c'est celui des conséquences de l'accueil insensé, en quarante ans, d'une trop grande quantité de personnes, trop différentes par les mœurs, la religion, les mentalités etc.., et à qui, de plus, on n'avait rien de sérieux à offrir en leur ouvrant si follement les portes.

    Maintenant que ces masses sont installées, que veut-on qu'elles fassent ? Que les enfants issus de l'immigration - ces « enfants de la République » dont parlait ingénument ou stupidement Jacques Chirac - deviennent, par un coup de baguette magique, de gentils et doux petits Français, bien polis, bien élevés, bien sages en classe, où ils prépareraient consciencieusement un avenir forcément radieux, « républicain » et « citoyen » ?

    Il faut en finir avec l'angélisme et le déni de réalité, et voir les choses en face : la greffe voulue par Chirac ne prend pas. Et, curieusement, le rejet ne vient pas, essentiellement, du peuple français, mais bien des populations allogènes, surtout des jeunes, et même des très très jeunes, véritables bêtes fauves dans de très nombreux cas.

    Le Système pourra mener toutes les « opérations anti racailles » qu'il voudra, dans les cités, banlieues et autres zones de non droit, ainsi que le demande Malek Boutih; il pourra, comme le demande Louis-Georges Tin, essayer de reconquérir son électorat de « noirs et Arabes », ce qui ne peut conduire, dans les faits, qu'à tenter d'acheter la paix sociale, tentative aussi lâche qu'inéluctablement vouée à l'échec : le « pays parallèle », la « société à côté » (en Afrique du Sud, naguère, on disait « apartheid ») se fiche bien pas mal de notre « République », de ses « Droits de l'Homme » et autres nuées pathétiquement inadaptées à ses propres règles. Cette autre France, qui n'a de France et de Français que le nom et quelques grammes de plastique, ne connaît pas la place Vendôme et son Ministère de la Justice : sa justice à elle, elle ne passe pas par des tribunaux encombrés et des prisons surpeuplées, elle se fait au quotidien, dans la rue, à coup de kalachnikov ; et son seul Code pénal est celui du plus fort : les 27 morts par balle de Marseille sont là pour le rappeler.

    Maintenant que le mal a été fait, il n'y a pas d'autre solution que d'y remédier, sous peine de le voir tout submerger : par l'arrêt des entrées en France de nouveaux étrangers, d'abord ; par des déchéances massives de nationalité - suivies d'expulsion immédiate - de toute personne naturalisée qui ne se conformerait pas aux lois de notre pays ou mènerait des actions de terrorisme, ensuite ; enfin, par une politique de longue haleine, permettant à ceux qui se sont mis dans une impasse en venant chercher ici un Eldorado qu'ils n'ont pas trouvé et ne trouveront pas, de retourner se ré-enraciner chez eux, en les y aidant de toutes les façons utiles.

    Encore faut-il appeler un chat un chat, et remonter aux sources de ce mal : la folie économico-idéologique de l'immigration, qui a vu se réunir - c'en serait presque drôle - l'extrême-gauche révolutionnaire et les intérêts du grand capital ! Dans une même folie suicidaire qui ne peut conduire qu'à l'implosion du cher et vieux pays...

    « A moins que... » comme le disait Charles Maurras, en conclusion de L'Avenir de l'Intelligence ...  

     

    Révélation sensationnelle du CRAN : François Hollande est un président « ethnique »

  • Primaires de la droite, 2e débat : nous voulons un Roi qui rassemble les Français, pas un Système qui les divise

     

    Mur-bleu gds.jpgPar Academos

    Avez-vous regardé le deuxième « débat des sept » ? Moins soporifique que le premier, je vous l'accorde, serez-vous d'accord avec moi sur une remarque que je me suis faite durant l'émission, et qui n'a fait que se confirmer par la suite : au fond, il n'y a qu'un seul sujet qui les mette tous d'accord : l'exclusion du Front national. Et, sans appartenir ni de près ni de loin à ce parti, je dois dire que cela me choque.

    Dans les années soixante-dix, le précédent Comte de Paris avait parlé en roi, lorsqu'il avait déclaré - dans une France où le Parti communiste réunissait 25% des voix - que l'on ne pouvait pas exclure de l'effort national un quart des Français sous prétexte qu'ils votent communiste. Celui qui aurait pu être Henri VI parlait comme un Henri IV, pacificateur entre les catholiques et les protestants, ou un Louis XVIII, trait d'union entre les Français après la secousse révolutionnaire. Il fut d'ailleurs appelé « le prince rouge » par beaucoup, à droite : ironie de l'Histoire, certains de ceux qui l'ont insulté alors - ou leurs héritiers - sont aujourd'hui rejetés à leur tour...

    Nos sept aspirants présidents, eux, ne parlent pas ainsi : ils n'ont à la bouche que les mots de « respect » ou « compréhension » (pour tous), « vivre ensemble » et « ouverture à l'autre », « différences » et « diversité » (pour plusieurs), sans oublier bien sûr la « tolérance » mais, pour les millions de Français qui votent Front national, c'est : dehors ! Ils ne disent pas « sales Français », mais ils le pensent tellement fort que cela heurte les tympans.

    Franchement, est-ce bien raisonnable ? Peut-on exclure, aujourd'hui, et selon les endroits, 20, 30, 40, 50% et souvent plus, selon les lieux, des Français de l’effort national, sous prétexte qu'ils votent Front national ? Ne feraient-ils pas mieux, nos « sept » condamnateurs de se demander quelle est leur part de responsabilité dans ce vote Front national qu'ils dénoncent, insultant une part croissante du peuple souverain : entre leurs actes au gouvernement et leur idéologie, elle est énorme, et cela les condamne...

    Comme les condamne cette seconde remarque que je me faisais en les écoutant - l'une et l'autre résumant, pour moi, cette séquence politicienne d'assez bas niveau : certes, on a entendu, et plusieurs fois, le mot « la France ». C'est vrai. Mais, avec chaleur ? A-t-on parlé d'une France charnelle, à la Péguy, à la Barrès ? Des terroirs, des traditions, de la culture et de la civilisation, de la langue française, de notre art de vivre (ou de ce qu'il en reste après cent cinquante ans de déconstruction de notre identité - malheureuse... - par le Pays légal) ? Non, tout ne fut que très technique, très technocratique, froid ; chiffres et statistiques... Pourtant, la dernière partie du débat, sur l'Ecole, était l'occasion rêvée d'élever le débat, de sortir la tête du marigot pour respirer un peu : non, rien de chaleureux, d'affectif, d'humain. Que du discours, du verbiage, de l'idéologie, des constructions cérébrales et abstraites. La palme revenant à cette pauvre NKM qui a osé faire l'éloge du « Collège unique » - créé par la droite, ajoute-t-elle, avec raison - alors que partout on reconnaît que c'est ce Collège unique qui fut la pièce maîtresse, mais pas unique - du naufrage de notre système éducatif, jadis de qualité.

    Voilà : je ne sais pas vous, mais moi, une chose est sûre, après ce pénible « débat des sept » : je ne voterai pour aucun d'entre eux, et encore moins pour « elle ». Le vote blanc étant, enfin, reconnu (compté à part, mais toujours pas décompté dans les suffrages exprimés), le suspense reste entier... 

  • Dénonciation et repentance de l'esclavage passé : Valls  oublie de condamner l'esclavage actuel...

    Dans le monde entier : Plus la couleur est foncée, plus l'esclavage moderne est présent 

     

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    Pour oublier peut-être le triste spectacle qu'offre son pauvre parti - encore appelé « socialiste », mais où les condamnés et mis en examen ne se comptent plus... - Valls est parti prendre l'air en Afrique de l'Ouest (Togo, Ghana, Côte d'Ivoire...). Evidemment, il en a profité pour condamner l'esclavage, montrant sur ce sujet la même inculture, la même ignorance dont il avait fait preuve lorsqu'il avait évoqué - toujours « à l'étranger », qui, décidément, ne lui réussit pas... - une république française qui savait accueillir les étrangers. 

    Bien sûr, condamner l'esclavage d'hier, tout le monde est d'accord là-dessus. Valls a peut-être cru que s'aplatir et faire la carpette, sur ce sujet, devant le politiquement-historiquement-moralement correct serait bénéfique pour sa cote de popularité. 

    Mais il n'a oublié qu'une chose : oh, trois fois rien, une paille, direz-vous. Pourtant, ce trois fois rien, cette paille mériteraient amplement d'être dénoncés : l'esclavage d'aujourd'hui, encore pratiqué dans plusieurs pays d'Afrique. Seulement, voilà, il y a un problème de taille : les pays où subsiste encore l'esclavage, aujourd'hui, sont des pays noirs, arabes et, pour la plupart, musulmans. Alors, là, évidemment, c'est silence radio. 

    Critiquer les Blancs, les Chrétiens, l'Europe... pas de problème ! Mais, des Noirs ! des Arabes ! des Musulmans ! Vous n'y pensez pas, c'est interdit dans le Code du politiquement correct, qui prime sur tous les autres. 

    Et pourtant ! Puisqu'il était proche de ce pays, comme on aurait aimé entendre Valls dénoncer le gouvernement mauritanien : là-bas, treize Mauritaniens noirs proches de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste ont été jugés pour « attroupement armé » et « rébellion » ; jugés mais aussi torturés et condamnés à quinze ans de prison. Et, comme on aurait aimé, au moins, entendre Valls ne serait-ce que citer le nom de Biram Dah Abeid, la voix des esclaves modernes de la Mauritanie... 

    En 2014, l’ONG Walk free estimait qu’il y avait encore 4 % d’esclaves en Mauritanie, soit environ 150 000 personnes, tout de même... : une paille, trois fois rien, on vous dit. Et, le 20 août 2015, Biram Dah Abeid, figure emblématique de la lutte contre l’esclavage, était condamné à deux ans de prison, pour en avoir réclamé la fin. 

    Cela, soit Valls l'ignore, ce qui est grave pour un Premier ministre ; soit il le sait, et il le tait. Et, là, c'est encore plus grave... 

     
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    Retour sur son passage à Barcelone : erreurs en série et ignorance crasse pour Manuel Valls

  • Au faïencier breton créateur de la Marianne noire

    Les citoyens français à la peau noire - que nous ne mésestimons pas - se sentiront-ils flattés, honorés, représentés par cet objet assez hideux ? On en doute ...

     

    Mur-bleu gds.jpgUn faïencier breton - nommé Henriot Quimper - aidé du plasticien Yannick Cohonner, vient d'éditer et de mettre en vente 250 statues d'une Marianne noire, symbole de « l'amour intercommunautaire » et de « l'abolition de l'esclavage ».
     
    Il n'a pas dit s'il dédiait cet « amour intercommunautaire » à Mohamed Lahouaiej Bouhlel et à ses 84 victimes de Nice ; à Larossi Abdallah, assassin du couple de policier de Magnanville ; à Yassine, qui a assassiné son patron puis coupé sa tête pour la planter sur l'une des piques de la grille de son usine ; aux assassins des terrasses de Paris, aux tueurs du Bataclan, à Mohammed Merah, aux frères Kouachi, à tous les autres...
     
    Non, il ne l'a pas dit. Peut-être qu'il n'a ni télé ni radio, et qu'il ne lit pas les journaux, non plus, allez savoir ! En tout cas, lui, il aime les « extra-communautaires », et il semble ignorer qu'une part d'entre eux nous assassinent dans les rues. Ou alors il s'en fiche. Là aussi, allez savoir !

    Ce qu'il dit, c'est que, pour lui, « la France est tout sauf une Blanche catholique ; c'est un pays athée ; et la Marianne est un super symbole. Etre noir ce n'est pas quelque chose d'exotique, ce n'est pas être un citoyen à part, il a le droit d'être représenté». C'est un peu - beaucoup - jargonneux, mais que voulez-vous ! C'est une créature de l'école de Jules Ferry à qui l'on a enseigné le rejet de tout ce qui avait « fait » la France...

    Pourtant, n'allez pas croire que nous allons injurier ou, même, simplement critiquer ce pauvre ignare, victime, au fond, innocente du lavage de cerveau de l'école républicaine idéologique. Au contraire, et au risque d'étonner, nous allons dire que ce faïencier - roi des sots - a très bien fait de faire ce qu'il a fait et de dire ce qu'il a  dit. Puisque ce très pauvre symbole de marianne (qui ne mérite pas ici la majuscule) est la très pauvre représentation de notre république, il est bon de la montrer telle qu'elle est, en réalité : frontalement opposée à tous nos héritages, venus du fond des siècles, et fondamentalement différente de tout ce qui nous fait ; de tout ce qui a fait la France, et qui lui a permis, selon le joli mot de Jean Dutourd, d' « étonner le monde ».

    Au moins, pour les ignares et les incultes, grâce à ce faïencier breton, les choses sont claires, même s'agissant de couleur noire. « Leur » république idéologique s'est bien voulue, pensée, construite, sans, en dehors et contre toutes nos traditions fondamentales.

    On ne remerciera jamais assez notre faïencier de l'avoir exprimé d'une façon aussi parlante... 

  • Bonne Toussaint à Jean Regourd, président de la Libre pensée de Vendée, et à tous « les siens » !

    « Paris Ramadan »

     

    Mur-bleu gds.jpgAujourd'hui, cela ne vous aura pas échappé, c'est jour férié, puisque c'est la Toussaint. Il n'y a pas de « cri » ou d'exclamation pour cette fête, comme les « Joyeux Noël » ou « Joyeuses Pâques » que l'on s'adresse à ces autres moments de l'année, et pourtant, la Fête est grande pour l'Eglise catholique. Pensez : on n'honore pas, ce jour-là, un saint ou une sainte, mais tous les saints et les saintes reconnu(e)s, ce qui en fait un sacré paquet ! Sainte Angadrème (très aimée de Louis XI...) ou Sainte Gudule ; les saintes Melaine, Ida et Alida, Marietta et autres Pélagie (pour commencer par les femmes, galanterie française oblige); et saint Thècle, Modeste, Aubin, Paterne et autres Saturnin, pour les hommes (sans oublier, bien sûr, Urbain, Pancrace, Mamert et Servais, les fameux « saints de glace ») !

    Mais, qu'est-ce qu'il leur prend de commencer leur billet comme ça, allez-vous penser, et où diable (en parlant de saints ...) veulent-ils en venir ? Avouez que c'est un peu ce que vous vous dites, à cet instant, non ?

    XVM0ecb2564-978b-11e6-9f79-32c53643ac11.jpgVoilà la raison : il s'agit de « l'affaire des crèches », et de l'arrêté du Conseil d'Etat déclarant licite l'installation de  crèches dans des espaces publics (mairies, aéroports, places, rues et autres...) mais sous certaines conditions. Une « affaire » qui ne date pas d'hier (la bêtise étant intemporelle) mais qui a a été remise à l'ordre du jour l'année dernière lorsque Jean Regourd, très connu dans son immeuble, et accessoirement président de la Libre pensée de Vendée, avait obtenu d'un tribunal administratif le retrait de la crèche installée par le Conseil régional dans ses locaux. Même charivari à Melun, à Béziers, un peu partout... les laïcards montant au créneau contre tout ce qui représente nos traditions chrétiennes, mais se gardant bien de protester quand une pléthore d'élus locaux se joint aux musulmans pour le repas de rupture du jeûne du Ramadan ou quand des panneaux Decaux souhaitent « Joyeux Ramadan » aux musulmans.

    Nous avons donc une pensée émue, en ce jour où l'on célèbre TOUS les saints du ciel, pour ce pauvre Jean Regourd, qui doit certainement se trouver à son bureau, à l'usine, bref, au boulot, car il ne saurait être question, pour lui et les siens, d'honorer sainte Angadrème ou saint Mamert : non mais ! D'ailleurs, rien que d'évoquer ce « saint de glace », cela fait froid dans le dos, vous ne trouvez pas ?

    Et Jean Regourd - et tous « les siens » - recommenceront, stoïquement, à aller bosser le 25 décembre, les lundis de Pâques et de Pentecôte, le jeudi de l'Ascension, le 15 août (s'il ne tombe pas un dimanche); d'une façon « citoyenne » et « républicaine », comme on dit aujourd'hui, puisque le ridicule ne tue plus. En posant une sorte de « RTT à l'envers », et histoire de ne pas porter atteinte au principe de laïcité, devenu sacro-saint (pardon, on a dit « saint », faites excuse, ô mânes de Marat, de Danton, de Robespierre ou de... Saint Just - qui, lui, n'était ni saint, ni juste, mais, là, c'est une autre histoire...)

    C'est beau l'adéquation entre conduite privée et pensée « politique » (?), vous ne trouvez pas ?...

    Allez, Jean, du courage, une journée de boulot ça finit toujours par... finir ! Et répète après nous : Vivent les grands principes et les grands ancêtres ! 

  • En France depuis le 27 avril, six mois déjà : quand défèrera-t-on Salah Abdeslam devant une Cour martiale pour trahison ?

     

    Mur-bleu gds.jpgEn temps de guerre, toujours et partout, les traîtres - normalement... - on les fusille. Or, il paraîtrait, selon notre président à 4% (pas de matière grasse, de « satisfaits » : c'est le record du monde !) que la France est en guerre.

     

    Donc Salah Abdeslam, Français mais « de plastique », qui s'est fait soldat de l'armée ennemie, est un traître : il a fait la guerre à son pays. Les traîtres, dans toutes les guerres, on les traduit devant une Cour martiale qui, généralement, les condamne à être fusillés. Et ils sont fusillés quasiment sur le champ.

     

    Pourquoi donc, depuis six mois, traiter Salah Abdeslam de façon différente ? Parce qu'il est d'origine algéro-marocaine ? Mais, ne serait-ce pas du racisme ? Egalité ! Il serait scandaleux de discriminer un immigré - devenu français par la grâce d'un Système idéologique et anti national - sous prétexte qu'il est d'origine maghrébine : en traitant Salah Abdeslam de la façon qu'on sait (salle de sport privée, cellule isolée par deux cellules vides...) l'Etat républicain-idéologique vient d'inventer une nouvelle forme de racisme inattendue.

     

    Ce scandale doit cesser, Salah Abdeslam doit enfin être traité comme tout le monde, comme tous les Français, sans discrimination ni stigmatisation aucune, et non comme un étranger. Il doit immédiatement être déféré devant une Cour martiale, dont on attend avec impatience le verdict... et surtout l'application de ce verdict : le peloton d'exécution. 

     

  • Spectacles • « Je suis Français » dit le rappeur - « Toi non plus ! » répond l'écho...

     

    Mur-bleu gds.jpgLe rappeur Black M s'auto-nomme chanteur : on n'est jamais si bien servi que par soi-même ! Il a donné un spectacle à Marseille, invité par la sénatrice double nationalité (franco-algérienne) Samia Ghali, vous savez, cette élue des Quartiers Nord paupérisés à l'extrême, mais qui vit bien loin de là, au Roucas-Blanc, tout à côté de la magnifique Corniche, l'équivalent - en gros - du XVIème arrondissement à Paris, à des kilomètres de la misère et des trafics des quartiers abandonnés qu'elle est censée représenter.

    Deux choses sont frappantes, dans le compte-rendu évidemment élogieux que La Provence propose de l'évènement (?) :

    une expression orale, de toutes les parties présentes, truffée d'incorrections et de mots anglais qui reviennent en boucle - comme feeling, star, happy fews, featuring... - et qui ne font que rendre un peu plus obscur le langage déjà pas très clair par lui-même... C'est vrai que, si l'on commence par s'appeler Black M, on n'a que peu de raison de respecter la langue de Molière...

    mais, surtout, la haine. Oui, la haine, en l'occurrence contre le Front national, parce que celui-ci est à l'origine de l'annulation de sa participation aux cérémonies commémoratives de Verdun, en mai dernier. « Je suis chez moi... Je suis français...» répète le rappeur, dans un  texte assez pauvre, que la répétition forcément lassante des mêmes formules contribue à rendre plus pauvre encore ... Samia Ghali en rajoute une couche, déclarant ce rap « fédérateur » (!) et « porteur d'intégration » contre la « campagne haineuse » du Front national. Fermez le ban ! La Provence - sous la plume de Marie-Eve Barbier, la journaliste qui a « commis » la relation de l'évènement - s'extasie, Samia Ghali est contente, et le rappeur aussi.

    On objectera juste à ce petit monde refermé dans sa bulle, loin de la vraie vie et des vrais gens, et de leurs vrais problèmes, que si l'on veut se faire admettre dans une communauté, le mieux est peut-être de ne pas commencer par injurier et insulter une partie extrêmement nombreuse de cette communauté. Et qu'il ne suffit pas de dire les choses pour qu'elles soient, et que c'est Mathias Leridon qui a raison : « On n'est pas Africain parce qu'on naît en Afrique mais parce que l'Afrique bât dans votre cœur ».

    Le propos est « retourné » à Black M... 

  • Culture & Société • « La lice et sa  compagne » : vraie fable de La Fontaine pour notre époque d'immigration

     

    Mur-bleu gds.jpgIl circule tout et n'importe quoi sur le Net : une fausse fable - bien imitée, d'ailleurs - attribuée à La Fontaine, nous a été communiquée par plusieurs lecteurs; elle se veut une critique de l'immigration, mais il s'agit d'un faux. Si l'on veut évoquer l'immigration insensée, voulue et organisée par le Système, dans le but bien précis de « changer le peuple », pourquoi faire du faux La Fontaine ? Il n'y a qu'à prendre le vrai, telle cette fable de « La lice et sa compagne ». Pour ceux qui, habitant Paris, auraient du mal à comprendre : prenez le métro et sortez à Saint-Denis Basilique. Là, en un seul regard, vous aurez tout compris... Et, en province, si vous êtes courageux - et un très gros brin téméraire - allez dans une des Cités qui entourent vos villes. Mais, un conseil, vérifiez vos assurances et mutuelles santé avant, et que vous êtes bien à jour de vos cotisations...

    Voici le texte; place au grand La Fontaine (la lice est la femelle du chien de chasse; ici, elle va mettre bas) : 

    400px-Chauveau_-_Fables_de_La_Fontaine_-_02-07.pngUne Lice étant sur son terme,
    Et ne sachant où mettre un fardeau si pressant,
    Fait si bien qu'à la fin sa Compagne consent
    De lui prêter sa hutte, où la Lice s'enferme.
    Au bout de quelque temps sa Compagne revient.
    La Lice lui demande encore une quinzaine.
    Ses petits ne marchaient, disait-elle, qu'à peine.
    Pour faire court, elle l'obtient.
    Ce second terme échu, l'autre lui redemande
    Sa maison, sa chambre, son lit.
    La Lice cette fois montre les dents, et dit :

    Je suis prête à sortir avec toute ma bande,
    Si vous pouvez nous mettre hors.
    Ses enfants étaient déjà forts.

    Ce qu'on donne aux méchants, toujours on le regrette.
    Pour tirer d'eux ce qu'on leur prête,
    Il faut que l'on en vienne aux coups ;
    Il faut plaider, il faut combattre :
    Laissez-leur prendre un pied chez vous,
    Ils en auront bientôt pris quatre.    

    La Lice et sa compagne est la septième fable du livre II des Fables de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables, édité pour la première fois en 1668.

     

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    Saint-Denis en France ...

  • Les Brigades Internationales ? Arte reprend les mensonges les plus éhontés de la propagande marxiste-léniniste

     

    Mur-bleu gds.jpgCe mardi 25 octobre, Arte a présenté, en début de soirée, une émission sur les Brigades internationales. En soi, en tant que documentaire, une telle émission est forcément extrêmement intéressante. Mais, comme l'annonçaient les magazines de programmes télé, le parti-pris « pro-Brigades » était évident. Pour résumer : à ma gauche, les tout gentils, les tout bons, on n'ose pas dire les saints mais c'est l'idée : j'ai nommé, les Brigades internationales ; à ma gauche, le grand méchant loup, la bête immonde, l'horreur absolue : comprenez, Franco. 

    Que les marxistes - ou ce qu'il en reste - pensent cela, au fond, ce n'est pas surprenant. Mais qu'une grande chaîne de télévision, avec le recul que donnent les quatre-vingts ans qui nous séparent de la Guerre d'Espagne, reprenne ce schéma faux, tout simplement « historiquement faux », voilà qui dépasse l'entendement. On veut bien que, pour vulgariser - au bon sens du terme - les chaînes fassent des choses simples et accessibles au grand public ; c'est le but de la manœuvre. Mais, là, on passe directement du simple au simplisme, et carrément au simplet.

    Qu'on nous permette donc, en deux mots, de remettre les choses à l'endroit...

    En 1936, le féroce Staline règne sans partage sur l'Union soviétique ; et, avec lui, sa dictature sans pitié, la pire horreur qu'ait connu le monde depuis les origines de l'humanité. Et il a son plan, dont il ne fait pas mystère : étendre le Paradis soviétique à l'Europe entière, d'abord, puis au monde entier, ensuite. Il arrivera, en 45, par la faiblesse et la nullité politique de Roosevelt, à s'emparer de la moitié de l'Europe, et on sait ce qu'ont souffert les peuples d'Europe de l'Est - en plus du peuple russe qui, lui, la subissait déjà depuis 30 ans - de la part de cette monstruosité sans nom qu'était le marxisme-léninisme.

    Mais, en 36, Staline ne martyrise « que » la Russie, devenue Union soviétique. Et il voit dans la guerre civile espagnole l'occasion rêvée de prendre l'Europe de l'Ouest à revers, par l'Espagne. Le Komintern triomphant de l'époque jette toutes ses forces - par la propagande et par les armes - dans cette bataille pour s'emparer de l'Espagne et, forcément, du Portugal : la possession de la péninsule ibérique, c'est le début de la conquête de l'Europe, du monde...

    220px-generace5c-30dbc.jpgMais - car il y a un « mais » - Staline va tomber sur un obstacle majeur : Franco. Franco va être le premier, et le seul, à vaincre militairement, sur le champ de bataille, les armées de la sinistre révolution. « En campo abierto y buena lid », comme on dit en castillan ; c'est-à-dire, "à la loyale", sur le champ de bataille, et « Cara al sol », face au soleil... 

    Cela, bien sûr, ne sera jamais pardonné à Franco. En dépit du simple bon sens, de la simple observation des faits, la propagande effrénée du Komintern va déverser une telle quantité de mensonges que sa grossière propagande va devenir une vérité, « la » vérité officielle. Et le reste, même quatre-vingts ans après, du moins pour ceux qui ont des oreilles pour entendre mais ne veulent pas entendre ; et des yeux pour voir, mais en veulent pas voir : Arte, en reprenant à son compte tous les clichés les plus faux sur le sujet, a dignement représenté le camp du mensonge révolutionnaire soviétique, ce mardi soir, et elle n'a vraiment pas de quoi en être fière... 

    Franco a écrasé la révolution marxiste-léniniste, car c'est de cela qu'il s'agit lorsqu'on parle de cette horreur que fut la République espagnole. Et il a bien fait.  

    Il a rendu service à son pays, d'abord, à qui il a évité les Stasi, les Ceaucescu, les désastres écologiques, les goulags et autres abominations qui furent le lot de ce que l'on a osé appeler les « démocraties populaires » !

    Il a rendu service à la France, ensuite, lorsque, Hitler ayant écrasé les troupes d'une république qui n'avait su ni préparer ni éviter la guerre, il refusa à ce même Hitler, lors de son entrevue avec lui, à Hendaye, le passage des troupes nazies par l'Espagne : elles auraient alors fondu sur nos forces libres d'Afrique du Nord, et l'on imagine aisément la suite... 

    Il a rendu service à l'Europe et au monde, enfin, en hâtant la fin de la guerre, refusant à Hitler toutes ses demandes, n'entrant pas en guerre à ses côtés, ce qui équivalait à agir dans le sens des intérêts de la paix - en refusant une extension encore plus grande du conflit - des intérêts de l'Europe et de la Civilisation.  

    Constatant son échec complet, et conscient de s'être fait berner, Hitler devait d'ailleurs déclarer, en substance, qu'il préférerait se faire arracher trois ou quatre dents plutôt que de recommencer une négociation avec un homme pareil...  

    En face de Franco, et contre lui, les Brigades internationales : ces hommes, jeunes pour la plupart, qui ont mis leur fougue, leur courage, leur héroïsme au service de l'Empire du Mal ; qui l'ont d'ailleurs amèrement regretté (au moins, cela, on le montre bien dans l'émission...) mais qui ont droit à tous les éloges sur Arte. 

    Chacun choisira son camp !... 

  • Contre Juppé !

    Où la France passe après la République. Pas pour nous ! 

     

    Bien-sûr, il y a toutes sortes de sérieuses raisons politiques de fond de s'opposer à Juppé ; notamment - ce qui les résume - qu'il s'apparente, comme naguère son mentor Chirac, avec tout ce que cela implique, aux radicaux-socialistes de jadis. Tel le père Queuille, celui qui osait dire « Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. » Ce grain de sel pointe des motifs très actuels, voire ponctuels, de dire Non à Juppé. Il en va de l'intérêt de la France.  LFAR

     

    Mur-bleu gds.jpg1. D'abord, et c'est une question de principe, parce que il a été condamné ; et qu'élire comme Chef de l'Etat un condamné, comme on le dit aux comptoirs des bistrots, « ça la fout mal...»

     

    1bis. Et aussi, dans la ligne de ce qui précède, pour son parcours personnel indigne : Alain Juppé - déjà quarante ans de vie politique derrière lui ! - a pris sa retraite d'Inspecteur des Finances à l'âge de 57 ans, en ayant cotisé 38 ans et 3 mois, lui qui propose - pour ne prendre qu'un exemple... -  que les Français prennent leur retraite à... 65 ans !

     

    2. Ensuite, parce qu'il est le faux nez de l'Islam, avec son cher Tarik Oubbrou et ses « accommodements raisonnables » à la Justin Trudeau (lequel sévit au Canada, où il ouvre toutes les portes à un Islam qui aura tôt fait de s'y engouffrer, dévorant tout ce qui est tiède, pâle, falot et sans consistance sur son passage). Or, « Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée », dit Musset. Pour l'Islam, il est certes bien plus prudent qu'elle reste fermée ! - Juppé a contourné la fameuse loi de 1905 si chère aux laïcards, haineusement anti catholiques et « anti racines chrétiennes de la France » pour offrir à son cher imam de quoi construire sa grande mosquée : cela permet d'imaginer ce que serait son quinquennat ! Et, rien que d'y penser, c'est NON !

     

    2.bis. Et surtout parce que, comme Robespierre, il croit ce qu'il dit : Juppé a fait sienne vis-à-vis de l'Islam la vision qui fut celle de tant d'intellectuels vis-à-vis du marxisme dans la seconde moitié du XXème siècle. Le triomphe final du marxisme est inéluctable, le marxisme est l’horizon philosophique indépassable de notre temps, « l'accommodement raisonnable » avec lui (revoilà notre Trudeau !) est de se préparer à vivre avec lui, dans « son » monde et sous « sa » loi. On sait ce qu'il est advenu de cet horizon indépassable !

     

    La même erreur est commise aujourd'hui avec l'Islam : les défaitistes, traîtres et collabos par anticipation le déclarent vainqueur d'avance, et ne songent qu'à trouver avec lui un « accommodement raisonnable » : Juppé est de ceux-là.

     

    Voilà, très rapidement, pourquoi, si d'aventure il venait à remporter l'élection, dès le résultat annoncé, l'ennemi s'appellerait : Juppé !

     

  • Le Pape a osé critiquer la théorie du genre : il doit être exécuté, et c'est NVB qui s'y colle...

     

    Mur-bleu gds.jpgNotre ministre de l’Éducation accuse carrément le Pape - avec l'air moqueur qui est le sien, et qui ne lui réussit pas du tout... -  de relayer « la campagne de désinformation massive conduite par des intégristes » lorsqu'il dénonce l’ « affabulation » (sic) d’une « théorie du genre qui n’existe pas ».

    Elle a oublié qu'elle fut secrétaire du Parti Socialiste aux questions de société (dans les années 2011, elle qu'elle militait, alors, pour le maintien de cette même « théorie du genre » contre des parlementaires demandant son retrait des manuels : « Le politique... doit changer la société, déclarait-elle. La théorie du genre, qui explique l'identité sexuelle des individus... a pour vertu d'aborder la question des inadmissibles inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ou encore de l'homosexualité, et de faire œuvre de pédagogie sur ces sujets. »  

    Et aujourd'hui, dans les écoles, c'est d'une façon devenue habituelle, donc « normale », que l'on fait tout pour « dépréciser, c'est-à-dire neutraliser » les repères sexués des enfants. On invite à modifier le prénom des élèves, ou à les désigner avec un pronom neutre ! Pour expliquer « le genre », cette « théorie qui n'existe pas », il a même circulé, à un moment, une sorte de bande dessinée d'une fabrique où rentrent des petits personnages indifférenciés sexuellement ; là, ils se font attribuer un kit de fille ou de garçon ; puis, à la fin, ils sont invités à échanger leur kit... 

    Cette façon de procéder est devenue tellement courante, donc invisible, que le ministre peut bien affirmer, en effet, avec la plus parfaite hypocrisie : la théorie du genre n'existe pas, puisqu'elle elle imbibe tout, elle est sous-entendue partout, comme une évidence qui ne se discute même plus ; elle est passée dans les faits, les habitudes, les programmes ; on dirait presque : les mœurs enseignantes... 

  • Juste avant ses 67 ans, Amanda Lear prend sa retraite.  Pas Laurent Fabius, ni... Alain Juppé !

     

    Mur-bleu gds.jpgOn trouve de tout, on lit et on entend de tout dans les médias : le plus souvent, c'est le pire, et nous ne nous gênons pas pour le dire, parfois presque quotidiennement, en dénonçant la « cléricature médiatique », les journaleux confondant carte de presse et carte de parti. Nous n'en sommes que plus à l'aise pour signaler les quelques fois où - chose étonnante ! - c'est le meilleur que, tout d'un coup, croyant rêver, l'on entend...

    Comme ce jeudi 20 octobre, à 6h50, sur France info, juste avant le 7-9 de Fabienne Sintès, régulièrement « épinglée » ici. Guy Birenbaum fait une entrée en fanfare, déclarant, l'air goguenard et le ton manifestement enjoué « Amanda Lear prend sa retraite ! ». On est surpris et de l'annonce (dont, franchement, on se fiche un peu; et puis, il y a tellement plus grave en ce moment...) et, surtout, de l'humeur manifestement joyeuse et rigolarde du dit Birenbaum.

    Et il commence sa courte chronique en citant l'actrice : «...Je ne supporte plus de me voir à la télé... de me maquiller tous les jours... d'être dans l'oeil du public...»; puis il conclut : « Amanda Lear vient d'annoncer son départ à la retraite l'an prochain, après 40 ans de carrière...»

    On écoute toujours, toujours surpris, en se demandant toujours ce que tout ce discours vient faire là. Et puis, on va très vite comprendre, et, franchement, là, cela va devenir intéressant. et on ne regrettera plus d'avoir écouté ! Car il va y avoir une leçon politique : Birenbaum signale que ce qui vaut pour cette artiste ne vaut pas pour... les hommes politiques; en tout cas, en France...

    Amanda Lear a sorti son premier album en 1977, « le Moyen-Âge ! », dit Birenbaum qui signale que, moins d'un an après, un conseiller technique au Ministère de la Coopération, du nom d'Alain Juppé, âgé de 33 ans et déjà à la chevelure « plus dégarnie qu'Amanda » se présentait à sa première élection législative dans la 1ère circonscription des Landes, où il devait d'ailleurs être battu.

    Le premier mai prochain, Amanda partira, Alain sera toujours là, persifle l'impertinent; pourtant, lui aussi aura 40 ans de carrière, mais il ne prendra pas sa retraite. Retraite politique, s'entend, précise le persifleur, devenu presque accusateur, puisque, pour la retraite professionnelle, c'est déjà fait : Alain Juppé a pris sa retraite d'Inspecteur des Finances à l'âge de 57 ans, en ayant cotisé 38 ans et 3 mois.

    « In cauda venenum » : voilà ce qu'a fait, dit Birenbaum, celui qui propose que les Français prennent leur retraite à... 65 ans !

    Mais ce n'est pas fini : il y en a pour le camp d'en face aussi (si tant est que ce soit « le camp d'en face ...). Et là, Birenbaum redevient narquois et goguenard, ce qui fait plus mal encore : « Il y a mieux - dit-il. Celui qui validera le résultat de l'élection présidentielle de 2017, c'est-à-dire le président du Conseil Constitutionnel, Laurent Fabius, a pris sa retraite du Conseil d'Etat en 2001, à l'âge de 55 ans !...»

    Et Birenbaum de conclure par une chute que nous pouvons reprendre intégralement à notre compte : « Chapeau, messieurs ! Retraite chapeau, bien sûr...» 

     Amanda Lear, artiste, à l'exposition Jean-Paul Gaultier à Paris, le 30 mars 2015.

    Pour écouter, cliquez sur l'image

  • Nicolas Doze, un « chroniqueur éco » de grand talent sur BFM-TV...

     

    Mur-bleu gds.jpgCe n'est pas la première fois que nous évoquons ici Nicolas Doze, cet excellent vulgarisateur d'un sujet parfois difficile, voire rebutant pour le grand public : l'économie.

    De par son sujet - probablement - mais aussi parce qu'il doit l'être au fond de lui-même, Nicolas Doze n'apparaît pas comme un esprit sectaire, dogmatique, confondant sa carte de presse avec la carte d'un parti. Il parle juste et vrai, s'en tient aux faits et s'abstient de tout commentaire ou jugement partisan. Ce qui, dans un monde journalistique où le politiquement correct règne quasiment en maître, mérite d'être salué...

    Ecoutez les 2'34 de cette courte « chronique éco » (courtes, donc pédagogiques et assimilables par le grand public, toutes ses chroniques le sont) : passée la première minute où il annonce deux bonnes nouvelles pour notre économie, Nicolas Doze commence à établir avec justesse et vérité un état des lieux de la situation globale de la France : ses points faibles, qu'il ne cache pas, bien au contraire (ses « trois boulets »+ : fiscalité trop lourde et inefficace, rigidités administratives, dépense publique...) et que nous ne cessons de dénoncer; mais aussi ses points forts, son attractivité malgré tout, et les multiples raisons de celle-ci....

    L'ensemble est instructif, intéressant et juste ; et, surtout, dans la morosité ambiante, où l'anxiogène est presque partout, Nicolas Doze donne des raisons d'espérer : l'écouter, c'est comme respirer un grand bol d'air frais dans notre monde radio-télé si pollué par le conformisme et le parti-pris, à sens unique (de gauche) évidemment; et si déprimant, le plus souvent, à entendre tous ces prophètes de malheur nous expliquant que la France est finie ...

    Sa conclusion, que vous allez entendre, nous la faisons nôtre, bien sûr, et c'est tout le sens de notre combat politique pour un changement d'Institution. 

     

    Attractivité et effet Brexit