Firas M., sans domicile fixe, n'en était pas à sa première arrestation : huit condamnations sont inscrites dans son casier judiciaire, notamment pour vol, proxénétisme et violences; né et élevé en Tunisie, il est arrivé en France avec sa mère, à l'âge de 8 ans : quelle "chance pour la France", comme dirait l'autre !...
Mais le problème n'est plus là : le JT de midi de France 2 ce mercredi 31 juillet, nous apprend que, depuis, Marie Laguerre vit un véritable enfer, parce qu'elle est l'objet de harcèlements incessants.
Bravo à Jean-Baptiste Marteau d'avoir envoyé ce sujet, le révélant ainsi au grand public et brisant l'omerta qui, scandaleusement, l'entoure : le racisme inversé que nous subissons aujourd'hui, et qui est devenu la norme, fait que, lorsqu'un immigré agresse une Française, même s'il est incarcéré, la violence contre la personne agressée ne cesse pas, et l'on ne dit rien, l'on ne fait rien.
Dans le cas contraire - que nous condamnerions tout autant - on verrait, n'en doutons pas, se déchaîner tout un tas d'associations anti-racistes, grassement subventionnées par nos impôts (qui seraient mieux employés pour nos pompiers ou nos infirmiers/urgentistes et autres soignants...). Et, bien sûr, l'inénarrable monsieur Toubon, Défenseur des Droits∗ monterait au créneau pour appeler à la lutte contre la peste brune et le retour des heures sombres de notre histoire...
Au moins en parler, au moins le dire, le dénoncer, c'est la première des façons d'aider Marie Laguerre : qui a dit : "Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" ?
∗ "Défenseur des droits" : voilà un poste à supprimer d'urgence, dans le cadre des économies à réaliser...