En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Voici les 751 ZUS, joliment (?) appelées Zones urbaines sensibles, comme on dit "incivilité" pour des coups ou une tentative de viol, comme on dit "emprunter" au lieu de voler un deux roues, comme on dit "jeune(s)" pour ne pas donner un prénom africain/maghrébin etc... etc...
Il s’agit des quartiers sensibles de France où règnent la délinquance, les revendeurs de drogue, les armes et les islamistes, bref les "zones de non-droit" (joli, là aussi, non ?), répertoriées ville par ville, département par département...
Et, depuis des décennies, l'Etat et le Système ont gaspillé des milliards dans des plans bidons, allant de la simple (re)peinture des cages d'escalier à des stages dits de formation mais qui n'apportent aucune formation ni aucun emploi...
Ce sont ces milliards qui manquent aux Pompiers, à la Santé (Urgentistes, infirmier(e)s...), aux Policiers, à tout le monde, à toute la France...
Le philosophe dénonce la dictature macronienne comme une dictature douce.
'' La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude ...'' (de Aldous Huxley, dans Le Meilleur Des Mondes)
Ne passons pas d'un système qui fonctionne à un Système qui ponctionne. Avocats, kinés, infirmiers, professions libérales dans leur ensemble se voient menacer d'un doublement de leurs cotisations, pour des retraites finalement inférieures. Les avocats, par exemple, ont un système excédentaire, et qui reverse chaque année cent millions au Régime général...
Quand on fait des réformes, c'est pour améliorer ce qui ne marche pas, ou mal, pour que cela marche mieux.
Prétendre aligner la totalité des métiers sur un seul système, c'est du jacobinisme centralisateur aberrant et indéfendable : oui, il faut supprimer les injustices créées par les "régimes spéciaux" (un conducteur de bus à Bordeaux est moins bien traité qu'à Paris : pourquoi ?) mais il ne faut pas toucher aux régimes autonomes, qui marchent bien, qui sont excédentaires, alors que l'Etat est un piètre gestionnaire.
Et, là, il ne s'agirait en fait, sous couvert de justice, d'égalité et autres fadaises, que de "prendre" à ceux qui ont bien géré pour jeter, dans le tonneau des Danaïdes - par définition "sans fin" - de ceux qui ont mal géré !...
Finalement, la réponse à la problématique des retraites, c'est - sous une forme ou sous une autre, qui reste à ré-inventer - le "retour" à quelque chose qui reprendrait tout ce qu'il y avait de bon dans les Corporations, qui faisaient aussi office de Caisses de retraites...
Plusieurs centaines de personnes ont assisté - le vendredi 6 septembre dernier - aux obsèques de Timothy Bonnet, victime de "l’attaque de Villeurbanne" (!).
La petite église de Bonvillard était bondée et des hauts-parleurs avaient été installés pour que la cérémonie puisse être suivie depuis l’extérieur.
Des discours ont été lus par sa famille, ses amis mais aussi par le maire de la commune.
Christian Vanneste, fidèle "ami" de notre page facebook nous a fait parvenir l'article suivant, avec lequel nous sommes - est-il besoin de le dire ? - en plein accord...
Il est en plein accord avec ce qu'écrivait ici-même, samedi matin, un autre excellent ami, Marc Rousset :
(Tiré du Bloc-Notes d'Ivan Rioufol, Le Figaro du vendredi 30 août dernier)
"...L'avenir d'une nation ne peut se réduire à des chiffres, des courbes et des taux de CO2, comme s'en persuadent les tenants du tout économique et de l'homme planétaire. Emmanuel Macron se trompait dès 2017, quand il assurait : "La force de notre économie, quand nous l'aurons pleinement retrouvée, c'est le socle même de notre projet de société."
Ce discours est de ceux que produisait le Gosplan soviétique. Il est d'ailleurs troublant de constater les similitudes entre la pauvreté intellectuelle produite en URSS par l'indépassable communisme et la glaciation imposée aux sociétés libérales, surtout en France, par les gardes-chiourmes du politiquement correct.
Certes l'expression y est plus libre et les goulags n'existent pas. Mais quiconque ne récite pas les mérites de la diversité, de la non-discrimination, du "soi-mêmisme" ou de la contrition occidentale a droit au même statut de dissident.
Le pays s'est habitué à vivre dans une prison intellectuelle. Un projet de société ne peut s'épanouir derrière des barreaux..."
Le numéro de septembre de Politique magazine est paru. Aujourd'hui et lundi, nous vous invitons - à la demande de son rédacteur en chef, Philippe Mesnard - à en découvrir deux articles d'importance : le premier, aujourd'hui, est celui d'Hilaire de Crémiers, intitulé "Du multilatéralisme au monocentrisme".
Nous donnerons, demain, l'éditorial de Philippe Mesnard : "Deviser le monde"...
Voici l'article d'Hilaire de Crémiers :
"En dehors de quelques grincheux de gauche et de droite, le sommet de Biarritz n'a peovoqué que des louanges. Oui, mais pourquoi ?...
La polémique sur la PMA/GPA prend en quelque sorte, mais sur le plan de la bioéthique, la suite d'un été caniculaire, et semble nous promettre une rentrée et un automne aussi chauds !
La Caisse d'Epargne passe en ce moment une série d'excellentes pubs, dont une traite de l'apprentissage, à partir du cas d'un jeune, nommé ici Martin, qui veut devenir mécanicien. Tous (parents, amis, copine...) se moquent de lui et tentent de l'en dissuader, alors que, pour Martin, c'est une passion :
Le jeune Martin veut devenir mécanicien. Mais on lui a dit plein de choses : tu plaisantes ou quoi ? qu'est-ce que tu vas devenir si tu deviens mécanicien ? Avec les notes que tu as, tu pourrais être médecin. La banque lui a répondu qu'il n'y a pas d'études supérieures et d'études inférieures.