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Le philosophe, Michel Onfray, publie « Le temps de l’étoile polaire » (Robert Laffont) où il dit sa passion pour les écrivains de la liberté comme Camus ou Proudhon et célèbre les philosophes à travers la peinture. Il réagit également au débat actuel sur le voile en France.
Depuis longtemps déjà les Français soucieux de la survie de leur pays pensaient avoir le choix entre ceux qui voulaient en finir avec lui et leur proposaient une France métissée promise à la faillite économique et ceux qui leur promettaient de remettre à flot le pays tout en colmatant les brèches par où entrait une population différente de moins en moins disposée à s’assimiler. La troisième option leur était présentée comme l’horreur absolue aussi bien pour l’économie que pour l’humanité, et servait d’épouvantail pour faire triompher l’une ou l’autre des deux premières. Finalement, c’est une quatrième solution qui l’emporta : la France serait sauvée par un génie de la finance, et la peur du marasme fit disparaître celle de l’invasion. Depuis deux ans, la France n’a guère amélioré ses performances économiques, mais le thème du changement de population perçu naguère comme un fantasme paranoïaque est devenu beaucoup plus puissant, avec l’extension d’une « communauté » musulmane venue d’ailleurs, de moins en moins encline à l’assimilation et de plus en plus disposée à la provocation, voire plus.
La messe est dite pour les travailleurs de Belfort : lundi 21 octobre, une majorité de salariés a adopté à main levée le plan de licenciement de la direction de General Electric.
Au lieu de virer 792 salariés du site de Belfort, comme initialement prévu, la multinationale américaine n’en vire que 495 ! La belle affaire ! Une technique de négociations somme toute assez classique lorsque les partis sont déséquilibrés : tu sauves ton bras, mais tu n’as plus ta main.
En 2014, la branche énergie du groupe Alstom est rachetée par l’américain General Electric. Cinq ans plus tard, cette cession continue de faire couler beaucoup d’encre.
Le parquet national financier, notamment, a récemment indiqué s’être saisi de l’affaire après qu’un député a émis des soupçons quant à un potentiel «pacte de corruption» impliquant Emmanuel Macron.
Petite remise à l'heure de G-William Goldnadel au président Macron. La trahison de l'inculture de ces politiciens apatrides.
Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent de remplir autour d'eux. Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d'aimer ses voisins... (Jean-Jacques Rousseau)
Nous voyons qu’avant l’immigration, les fascistes se baladaient impunément dans des rues de Paris désespérément mono-ethniques. Fort heureusement depuis, les combattants de la diversité veillent au grain afin que le vivre-ensemble soit préservé. Ici, l’un deux piétine la tronche d’un facho qui l’a bien mérité.
Andréa Kotarac Conseiller Régional Auvergne-Rhone-Alpes nous révèle que l’Institut islamique inauguré à Lyon est financé par l’Arabie Saoudite ET la France.
En soutenant ce projet, Castaner et sa clique se rendent ainsi complices des exactions commises par le gouvernement saoudien sur leur population.
En mars 2020, lors des municipales, dans votre ville où votre village, votez utile, votez souverainiste !
Un député suppléant LREM des Yvelines, cadre local de la majorité présidentielle à Reims, est mis en examen dans le cadre d'une enquête portant sur un trafic de stupéfiants entre le Maroc et la France. Moussa Ouarouss est notamment mis en examen pour importation, transport et détention de produits stupéfiants en bande organisée et association de malfaiteurs.
Nous savons que cette décision est du domaine du symbolique puisque, au final, c'est l'Assemblée qui décide. Il n'empêche : pour cette fois et sur ce point, le Sénat a été à l'écoute du pays réel...
France info ouvre son "5/7" de ce matin avec l'annonce de l'entretien accordé par le président à VA, à paraître demain, et les principaux points sur lesquels il portera.
D'emblée le journaliste annonce la couleur : le président veut cajoler "sa jambe droite" : il va se montrer ferme sur l'immigration, il souhaite notamment plus d'efficacité dans les reconduites à la frontière, il va lutter contre l'immigration illégale, il va exiger un plus grand contrôle des soins, des actes médicaux auxquels ont accès les migrants.
Il va, il va, il va...
Il va surtout nous prendre pour ce que nous ne sommes pas !
La question sociale mérite que l’on y prête attention et que l’on y réponde, autant que possible et selon les règles d’une justice sociale que nombre de nos concitoyens semblent parfois avoir oubliée : il est vrai que la lecture des manuels scolaires ou universitaires démontrent une certaine négligence sur le sujet, comme on peut le constater dans les manuels de géographie de Première des nouveaux programmes qui n’évoquent la question du chômage en France, par exemple, que par le biais d’une photo ou d’un titre de presse, sans s’y attarder plus longuement, comme si les quelques cinq millions de Français confrontés à ce drame étaient destinés à l’invisibilité ! Comment pourrait-il en être autrement quand la mondialisation, vantée sous tous les angles et couplée avec une métropolisation conquérante, est présentée comme le progrès par excellence, ce progrès obligatoire et « évidemment accepté par tous » (ou presque), désormais un peu verdi par les projets dits de développement durable, un progrès auquel il faut s’adapter pour accroître « l’attractivité », nouveau maître-mot des programmes d’aménagement du territoire ? Du coup, chômeurs et territoires en déshérence ne sont plus vus que comme les « perdants de la mondialisation », formule dont, le plus souvent, on ne retient que le premier mot, péjorativement prononcé et compris comme symbole d’un échec à imputer, non au système économique ou politique, mais aux seuls chômeurs ou aux territoires désertés… Le plus grave est peut-être que cette opinion négative est intégrée par les victimes mêmes de cette situation, un peu de la même manière que lorsque les petits Bretons ou Basques étaient moqués pour leurs langues et coutumes particulières dans l’école de Jules Ferry, au nom d’un progrès qui, à l’époque, se déclinait dans les manuels scolaires sous la formule de « République une et indivisible », et qu’ils en développaient parfois un complexe d’infériorité.
En 2011, les militants du Groupe d'Action Royaliste apposaient cette affiche à Rennes et dans ses environs, et certaines personnes haussaient les épaules en la lisant : "cela n'arrivera jamais, voyons !"...
Et c'est arrivé dans de nombreux pays d'Europe, et cela risque bien d'arriver chez nous, même par des biais détournés...
Mais les choses semblent encore s'accélérer ces derniers jours : la Bundesbank, soutenue par la Commission européenne, veut aller plus loin encore que 67 ans : 69 ans sont maintenant évoqués pour l'ouverture légale des droits à la retraite, en Allemagne en attendant de l'étendre à toute l'Union européenne !
Nous avons passé dès mardi matin l'intégralité du débat passionnant de la veille au soir, sur CNews, entre Eric Zemmour et BHL : voici, extraites de ce long débat, les sept minutes où Zemmour défend l'Action française, parle de Bainville, remet les idées à l'endroit et la vérité à sa place...
Zemmour, dès la dixième minute, parle de Bainville et de l'Action française; dès la quinzième, il défend Maurras contre le pervers reproche d'antisémitisme (qui vient d'abord, hier, de la gauche, et, aujourd'hui, de l'Islam); à la minute 51.45 il remet l'Histoire à jour : 90% des combattants en 40 à Londres sont des gens de l'action Française et 90 % des collabos viennent de la gauche radicale...
BHL traite Zemmour d' "incendiaire de l'esprit", Zemmour lui rétorque qu'il est un Harry Potter, que les événements lui donnent toujours tort et que, par exemple, "l'Islam des Lumières est un oxymore" : bref, à gauche, le rêveur, à droite, celui qui voit les choses comme elles sont; qui parle de Bainville et de l'Action française, qui ont annoncé ce qui allait se passer... etc... etc...