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Actualité Europe - Page 30

  • Brexit. Rien n’oppose la démocratie directe et l’Etat de droit. Bien au contraire ! par Christian Vanneste (2/2)

    L’Europe, l’Europe technocratique de Bruxelles aura donc réussi cet exploit de mettre en difficulté l’une des plus anciennes et solides démocraties du monde, qui a instauré le vote universel pour les deux sexes depuis 1928, et qui est, sans doute depuis la Grande Charte (1215), le modèle des Etats de droit ! L’Union Européenne, dont on chercherait avec peine les succès depuis sa création, a multiplié les obstacles au départ du Royaume-Uni, pourtant légitimé par un référendum. Or le débat actuel conduit à accuser Boris Johnson de pratiquer une sorte de coup d’Etat en ayant demandé constitutionnellement à la Reine d’ajourner le Parlement durant cinq semaines, le temps de mener à bien le Brexit, c’est-à-dire d’accomplir la volonté du peuple britannique, et de présenter un programme « audacieux et ambitieux ».

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  • En Espagne : Monarchie, ou République ? par Frédéric de Natal

    Monarchie versus république, le combat a commencé en Espagne.

    Érigé en défenseur de la monarchie, Santiago Abascal (au centre, photo ci dessus) a pris la tête d’une marche composée de monarchistes et d’anti-indépendantistes à Barcelone où il a réaffirmé que son parti serait le « garant de la constitution » contre ceux qui tentent de renverser la monarchie.

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  • Le défi de « Bojo » : réussir le Brexit ! par Christian Vanneste (1/2)

    L’arrivée de Boris Johnson au 10 Downing Street laisse espérer la fin du tunnel… celui du Brexit. Le personnage est qualifié d’extravagant, d’excentrique, de tonitruant, d’imprévisible, certains diront donc de typiquement britannique. Pourtant, si ce souci d’afficher son originalité est une spécialité répandue chez les Anglais, on ne peut pas dire qu’elle ait été l’apanage de leurs hommes politiques, à l’exception imposante de Winston Churchill. Au travers de cette ressemblance superficielle, c’est le volontarisme du premier qu’on souhaite retrouver chez le second. Or, le choix du Brexit a été sans doute pour Johnson davantage une décision de stratégie personnelle que l’expression d’une conviction profonde. Engagé dans cette voie qui lui vaut d’avoir été élu par la majorité des adhérents du Parti Conservateur pour succéder à Thérésa May, il se trouve comme elle confronté à de multiples difficultés. Il lui faudra plus que son énergie ou son humour pour les surmonter.

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  • Quel est l’ennemi de l’OTAN ? (2) par Christian Vanneste

    Il y a une incroyable distance entre la prodigieuse puissance militaire de l’Otan, le poids économique de ses membres, et la réunion mondaine dont le 70e anniversaire a donné l’affligeant spectacle à Londres. M. Macron avait joué les matamores en renversant la table avec la formule ravageuse de « l’Otan en état de mort cérébrale ». Des critiques acerbes lui avaient répondu : Le président turc Recep Tayyip Erdogan n’avait pas hésité à l’insulter, le Président Trump à le gourmander, et Mme Merkel à se désolidariser…. On allait voir ce que l’on allait voir…. Et, on n’a rien vu du tout !

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  • Espagne : l'extrême-gauche veut la mort de la monarchie, par Frédéric de Natal

    L’extrême-gauche espagnole réclame un référendum sur le maintien de la monarchie. Partie prenante de la coalition au pouvoir, le parti Podemos (« Nous pouvons ») a d’ores et déjà annoncé la couleur sur les réseaux sociaux, ces derniers jours. Le mouvement d’extrême-gauche a invité ses militants à se rassembler vendredi prochain à Madrid afin d’assister à un colloque au thème évocateur et qui en dit sur ses futures intentions : « Au revoir monarchie, bonjour la démocratie ».

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  • Dans Le Parisien, attaque de Londres : l’assaillant, déjà condamné pour terrorisme, avait été libéré sous caution

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    http://www.leparisien.fr/faits-divers/attaque-de-londres-l-assaillant-deja-condamne-pour-terrorisme-avait-ete-libere-sous-caution-30-11-2019-8206281.php?fbclid=IwAR3UhPhQ20-dJhNZ5V3KuEC7pYhuhgdIk0VeSmpVh62Ibbbxu4Jv2i_nxI0

  • 2 morts à Londres : la cinquième colonne islamo-terroriste a encore frappé...

    Les gouvernements européens qui pratiquent depuis des décennies une politique folle d'immigration incontrôlée ont obtenu ce qu'ils ont cherché : l'insécurité est devenue aussi habituelle qu'aléatoire.

    C'est la pire des situations que des gouvernements inconscients ou idéologues - maintenant appuyés par un Pape lui aussi "migrantophile" - pouvaient nous léguer...

    Il ne s'agit pas de dire que tous les immigrés sont des assassins islamistes en puissance. Il s'agit de reconnaître les réalités, et, là, c'est Zemmour qui a raison : la violence est le fruit pourri des sociétés multi-etniques, multi-culturelles.

    Les pays comme le Japon, l'Australie, la Hongrie... qui rejettent l'immigration sont ceux qui ne connaissent pas, ou quasiment pas, ou plus de violence(s).

    Alors ?

    lafautearousseau

  • Le Salut de l'Europe par la Russie ? - Le Zoom - Anna Gichkina

    De nationalité russe, Anna Gichkina est docteur ès lettres diplômée de l'université Paris-Sorbonne et présidente du cercle de réflexion franco-russe à Strasbourg "Cercle du Bon Sens".

    Elle publie un essai remarquable L'Europe face au mystère russe : transcendance, nation, littérature aux éditions Nouvelles Marge.

    Face aux problèmes que subit l'Europe : déchristianisation, crise du libéralisme, dogme droit de l'hommiste, transhumanisme... elle propose, comme remède, un retour à la littérature russe, gardienne de l'Evangile.


  • Et pour rire un peu (pendant trente secondes), avec Gaspard Proust à propos de la chute du mur...

  • Espagne/Vox : Un portrait de Santiago Abascal, par Frédéric de Natal

    (ndlr : article rédigé par notre ami une semaine avant les élections législatives, qui viennent de voir le triomphe du mouvement d'Abascal, Vox, il y a onze mois sans aucune représentation, dans aucune institution, aujourd’hui, la troisième force politique en Espagne, avec plus de 3,5 millions de votes et 15 % des voix, passant de 24 à 52 sièges au Parlement espagnol...) 

     

    Santiago Abasacal s’érige en défenseur de la monarchie espagnole. Il est celui vers qui, tous les regards se tournent aujourd’hui à la veille d’importantes élections législatives. L’homme incarne l’image de la nouvelle droite conservatrice monarchiste dont il s’est fait le porte-bouclier officiel. Proche du prince Louis-Alphonse de Bourbon, Santiago Abascal pourrait bien être un faiseur de roi au lendemain de ce scrutin crucial, prévu le 10 novembre.

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  • Les preuves de la réalité du grand remplacement, par Jean-Yves Le Gallou

    Les preuves de la réalité du Grand Remplacement

     

    Si la désinformation est extrêmement répandue, l’immigration est assurément le domaine où elle est la plus forte, notamment sur la question du grand remplacement.  Sur ce point, curieusement, les grands médias tiennent conjointement des propos contradictoires puisqu’ils affirment à la fois que le grand remplacement n’existe pas… mais également qu’il n’est pas voulu !

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  • Catalogne : la réponse aux révolutionnaires indépendantistes qui voudraient créer un "Cuba sur Méditerranée"

    Depuis quelques décennies, les indépendantistes catalans ont infiltré, pour le dénaturer, un ancien mouvement sain et légitime de défense du particularisme local; un mouvement traditionaliste, pour qui les libertés locales et la langue régionale sont un plus. Ils essayent d'opérer une véritable  captation d'héritage, un détournement du sain fédéralisme en se servant du particularisme pour dynamiter l'unité espagnole, au lieu de l'enrichir...

    Ils ont osé ajouter au beau drapeau catalan, surgi du fond des âges, l'horrible emblème à l'étoile bleue du castrisme oppresseur : importer la tyrannie marxiste aussi oppressive que périmée, faire de Barcelone un Santiago sur Méditerranée, et, pourquoi pas, importer toutes les recettes qui ont conduit Cuba au fond du trou, voilà leur conception de l'avenir pour la Catalogne ?

    Leur choix de l'étoile bleue castro/marxisto/tyrannique est révélateur de leurs options politiques : le choix d'une écrevisse comme logo, et de la devise "j'avance en reculant", traduite en catalan, évidemment !... -  eût été plus conforme à ce qu'ils sont, et au désastre vers lequel ils voudraient conduire la Catalogne et les Catalans...

     

    lafautearousseau

  • Mario Draghi s’en va et le krach se rapproche : l’assurance-vie sous pression par Marc Rousset

    « Super Mario » quittera la BCE le 1er novembre sans rendre le casque à pointe prussien que lui avait offert le journal Bild, après s’être bien payé la tête de l’Allemagne, puisqu’il a pratiqué une politique monétaire diamétralement opposée à celle de rigueur sur laquelle il avait été élu.

    « Donner, c’est donner », a-t-il pu même ironiser au sujet du cadeau de Bild, dans la langue de Goethe. Il est vrai que « le comte Draghila » a sauvé momentanément la France et l’Italie de la faillite, mais ce n’est que partie remise en pire.

    Le président de la Bundesbank Jens Weidmann est le cocu magnifique de l’histoire, d’autant plus qu’il s’est fait voler le poste de président de la BCE par Christine Lagarde, une diplomate juriste sans formation économique.

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  • ESPAGNE : LA HONTE POUR LES SOCIALISTES DE GUERRE CIVILE QUI EXHUMENT LE CERCUEIL DE FRANCO

    Que faire et que dire d'autre devant ce lamentable et misérable spectacle de dirigeants passéistes haineux, au coeur et à l'esprit habités de guerre civile, qui au lieu de s'attaquer aux nombreux problèmes de l'Espagne d'aujourd'hui, déterrent un cercueil et voudraient rallumer des braises éteintes depuis cinquante ans ?

    Simplement ceci : vous pouvez bien couvrir votre nom de honte pour les siècles à venir en vous livrant à une telle bassesse et ignominie; mais vous n'empêcherez jamais ce qui fut d'avoir été :

    En écrasant le marxisme-léninisme, alors en pleine expansion, Franco a d'abord sauvé son pays de la barbarie marxiste et lui a évité le sort des malheureuses démocraties populaires de l'Europe de l'Est pendant quarante ans.

    Ensuite, lors de son entrevue avec Hitler à Hendaye, le 23 octobre 1940, Franco a sauvé l'armée française d'Afrique du Nord en refusant à Hitler le passage de son armée par l'Espagne; il a ainsi hâté la fin de la guerre, le retour de la paix et la victoire finale des Alliés..

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  • ESPAGNE : LA HONTE POUR LES SOCIALISTES DE GUERRE CIVILE QUI EXHUMENT LE CERCUEIL DE FRANCO

    Que faire et que dire d'autre devant ce lamentable et misérable spectacle de dirigeants passéistes haineux, au coeur et à l'esprit habités de guerre civile, qui au lieu de s'attaquer aux nombreux problèmes de l'Espagne d'aujourd'hui, déterrent un cercueil et voudraient rallumer des braises éteintes depuis cinquante ans ?

    Simplement ceci : vous pouvez bien couvrir votre nom de honte pour les siècles à venir en vous livrant à une telle bassesse et ignominie; mais vous n'empêcherez jamais ce qui fut d'avoir été :

    En écrasant le marxisme-léninisme, alors en pleine expansion, Franco a d'abord sauvé son pays de la barbarie marxiste et lui a évité le sort des malheureuses démocraties populaires de l'Europe de l'Est pendant quarante ans.

    Ensuite, lors de son entrevue avec Hitler à Hendaye, le 23 octobre 1940, Franco a sauvé l'armée française d'Afrique du Nord en refusant à Hitler le passage de son armée par l'Espagne; il a ainsi hâté la fin de la guerre, le retour de la paix et la victoire finale des Alliés...

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