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La démission surprise, le 30 septembre 2019, deux ans avant la fin de son mandat, de Sabine Lautenschläger, membre du directoire de la BCE, est tout un symbole des tensions qui existent dans cette institution et de la lutte qui va s’engager, dans les semaines qui viennent, entre d’une part les soi-disant « faucons », partisans d’une politique sérieuse d’orthodoxie monétaire correspondant exactement à l’esprit des traités ainsi qu’aux statuts de la BCE, et d’autre part les soi-disant « colombes », partisans d’une politique monétaire laxiste ainsi que d’une fuite en avant vers, à terme, l’inévitable catastrophe hyper-inflationniste.
Consternation dans le microcosme de l'audio-visuel français - qui se prend pour le centre du monde... - lorsqu'il doit annoncer la très forte poussée de l'AFD, ce tout nouveau parti allemand, qui, face aux vieux dinosaures du SPD (gauche) et de la CDU (droite), vient de réaliser des scores impressionnants dans les deux élections de ce dimanche, en Saxe (graphique ci-dessus) et dans le Brandebourg (photo ci dessous).
On se console comme on peut : les journaleux (au féminin, on dit "journaleuses" ?) poussent un "Ouf" de soulagement - mais qui, en fait en dit long - : l'AFD ne dirigera pas ces deux Länder !...
1. Avant-hier matin, à 10h55, Frédéric de Natal postait le premier message suivant (que lafauteraousseau relayait, à 15h24, à la fois sur sa page facebook et sur son quotidien sur la toile) :
Info de dernière minute : Le premier ministre Boris Johnson n'a pas exclu de suspendre le Parlement pour l'empêcher de bloquer ses projets de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne pour le 31 octobre. «Nous avons appris que la reine pourrait être invitée à accepter de suspendre le Parlement dès aujourd'hui», a déclaré Nick Robinson, ancien rédacteur en chef politique de la BBC, en précisant que l'information restait à confirmer.
Le chef de l'opposition travailliste Jeremy Corbyn a quant à lui affirmé qu'il ferait tout son possible pour empêcher un Brexit sans accord. Une telle éventualité, a-t-il dit, mettrait le Royaume-Uni à la merci du président Donald Trump et des entreprises américaines. Les partis d'opposition ont d'ailleurs annoncé mardi un accord de coopération en vue de prévenir un «no deal», après des discussions entre Jeremy Corbyn, le Parti national écossais (SNP), les libéraux-démocrates, le Parti Vert et le Groupe indépendant pour le changement. (Le Figaro)
Voici maintenant, en quelque sorte, "le film" des événements, au fur et à mesure que les rapporte Frédéric de Natal, à partir de ce "coup" surprise de Boris Johnson...
Le prince Emmanuel-Philibert de Savoie déplore la situation politique actuelle qui prévaut en Italie, un pays "rendu malade par 65 gouvernements depuis 1946 accompagnés de nombreuses fraudes".
"Félicitations à ceux qui sont arrivés au pouvoir sans être passés par le vote des italiens" a ironisé l'héritier de la couronne d'Italie...
En France, tout ce qui pèse et qui compte se veut et se dit «sans frontières». Et si le sans-frontiérisme était un leurre, une fuite, une lâcheté? Partout sur la mappemonde, et contre toute attente, se creusent ou renaissent de nouvelles et d'antiques frontières. Telle est la réalité. En bon Européen, je choisis de célébrer ce que d'autres déplorent : la frontière comme vaccin contre l'épidémie des murs, remède à l'indifférence et sauvegarde du vivant.
— Éloge des frontières, Régis Debray.
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(Ces lignes ont été rédigées, et envoyées, début août; aujourd'hui, Salvini n'est plus au gouvernement, Giuseppe Conte ayant remplacé son alliance avec lui par une alliance avec le Centre gauche : les jeux politiques du Pays légal italien ressemblent furieusement à ceux du Pays légal français ! Mais la vague de fond qui porte Salvini le servira certainement lors des prochaines élections, qu'il a rendu obligatoires en mettant fin lui-même à son alliance avec les "5 étoiles")...
Le premier ministre Boris Johnson n'a pas exclu de suspendre le Parlement pour l'empêcher de bloquer ses projets de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne pour le 31 octobre.
«Nous avons appris que la reine pourrait être invitée à accepter de suspendre le Parlement dès aujourd'hui», a déclaré Nick Robinson, ancien rédacteur en chef politique de la BBC, en précisant que l'information restait à confirmer.
Le chef de l'opposition travailliste Jeremy Corbyn a quant à lui affirmé qu'il ferait tout son possible pour empêcher un Brexit sans accord. Une telle éventualité, a-t-il dit, mettrait le Royaume-Uni à la merci du président Donald Trump et des entreprises américaines. Les partis d'opposition ont d'ailleurs annoncé mardi un accord de coopération en vue de prévenir un «no deal», après des discussions entre Jeremy Corbyn, le Parti national écossais (SNP), les libéraux-démocrates, le Parti Vert et le Groupe indépendant pour le changement. (Le Figaro)
Le Premier ministre hongrois a déclaré, le samedi 27 juillet dernier, que l’Union européenne avait commis de « graves erreurs » au cours des cinq dernières années en matière d’immigration et d’économie...
Si l'on prend note de tout ce que l'on entend sur les chaînes de radio/télévision, et de tout ce que l'on peut lire de ci, de là dans la presse écrite, une tendance semple s'imposer, en ce qui concerne la santé économique de l'Allemagne : précisément, le fait qu'elle n'est peut-être pas, ou plus, en si bonne santé que cela. Et la question qui vient tout de suite à l'esprit est : cela est-il vraiment fondé ? Et cela peut-il, va-t-il durer...
Quand on pose juste le pied à terre à Bagheria, on ressent tout de suite cette chaleur, cette quiétude propre à l'endroit. Il est agréable tout en se promenant dans cette ville tellement atypique de voir les visages radieux des habitants et la sérénité qui y règne. On ne discerne aucune animosité ou crainte alors que la Sicile, à tort ou à raison, a cette réputation d'être méfiante voire indifférente.
On voit encore de très nombreuses affiches de Mattéo Salvini et surtout on remarque les drapeaux de l'Italie et de la Sicile mélangés aux fenêtres, balcons ou tout simplement accrochés sur les devantures des magasins locaux.
Les passages remarqués de Salvini dans cette ville ont marqués les esprits de ses habitants non seulement par son discours, qui a convaincu jusqu'aux plus récalcitrants, mais aussi par sa personnalité joviale, charismatique, chaleureuse.
Lorsque l'on rentre dans un simple bar afin de se désaltérer, au milieu de toutes ces petites conversations, on entend souvent les noms de Salvini, Sofo (cheville ouvrière et bras droit du mouvement de Salvini) et les mots de "remplacement", "migrants".
Il n'y aucune gène de la part des habitants à parler de ces thèmes ouvertement et librement. Ils se sentent enfin écoutés par des personnes qui s'intéressent à leur vie quotidienne.
Les choses avancent en Italie, dans toute l'Italie, y compris chez eux, si longtemps abandonnés, et cela les habitants le voient et croient à nouveau en un futur meilleur pour eux et leur descendance.
Il est clair que Bagheria est d'ores et déjà conquise et il semble bien que toute l'Italie soit en voie de l'être...
BAYARD
En guise de confirmation de ce billet, vous lirez avec intérêt cet article du Figaro :
En refusant l'offre d'accueil de l'Espagne, les militants d'Open Arms démontrent qu'ils ne sont pas dans une démarche humanitaire mais politique. En affrontant Matteo Salvini l'objectif est de faire plier celui qui refuse l'immigration imposée.
Richard Gere est venu s'afficher devant les caméras avec plusieurs jeunes envahisseurs, rebaptisés "migrants", histoire de "faire sa pub", de se payer un bon "coup de com", comme on dit dans le jargon... Au passage, notons la très belle forme physique de ces envahisseurs, manifestement bien nourris, et l'un d'entre arbore même un assez beau collier (en or ?)
Hélas pour Gere, avec Salvini, il est tombé sur un os - restons dans la familiarité !... - et le "pan sur le bec" bien mérité n'a pas tardé : Matteo a demandé à Richard combien de ses nouveaux protégés il avait invité dans sa villa (sa, ou ses ?) et lui a suggéré... de les emmener à Hollywood : on a l'air si généreux, là-bas, dans ce milieu si riche, que cela ne devrait poser aucun problème de se répartir plusieurs milliers de "migrants" (!) dans plusieurs dizaines de villas toutes plus immenses et plus luxueuses les unes que les autres !...
Eh, oui, Richard, tu l'a bien cherché, celle-là ! Aussi, pour rester et finir avec Molière, qu'allais-tu faire... dans cette galère !
Voici la villa à 64.000.000 de dollars de Richard Gere dans la baie de Long Island.
La maison de rêve se compose de 3 lots individuels et séparés, couvre un impressionnant 6.30 acres, comprend 90 mètres de baie en façade, des quais de bateaux et une salle pour le tennis, et rénovée au plus haut niveau possible; elle dispose de 2 chambres d’hôtes entièrement rénovées pour un total de 12 chambres et 12 salles de bains. On trouve également sur la propriété plusieurs garages, une salle de fitness et un terrain de basket. La propriété paysagée comprend également une piscine chauffée de 18 mètres avec vue sur les jardins et la baie.
«Nous ne sommes pas des esclaves» ou «des proies faciles» : plusieurs voix s’élèvent actuellement en Allemagne contre les violences émanant des migrants illégaux que subissent les femmes.
Se considérant comme des victimes de la politique migratoire, dans le cadre du mouvement #120dB les femmes en accusent les autorités européennes.
Pas certain que la bien-pensance aime ce genre d'initiative.
A Constantinople, en cette triste année 1453 qui vit la ville (et, après elle, une bonne partie de l'Europe du sud-est) tomber aux mains des Turcs, il y avait 100% de chrétiens comme habitants de la ville.
Aujourd'hui, le chiffre "tend vers zéro" comme disent les professeurs de mathématique.
De ce point de vue-là, si on compare les Turcs avec les nazis (la Turquie a été alliée de l'Allemagne durant les deux guerres mondiales...) on peut se dire qu'au fond les Turcs sont des nazis qui ont réussi : là où Hitler a échoué, lui qui voulait une Allemagne sans juifs, les Turcs ont réussi, eux qui voulaient une Constantinople sans chrétiens : c'est fait.
Moyennant quoi l'actuel maître des lieux se permet de nous donner des leçons : alors que chez lui, en Turquie, en 18 mois d’état d’urgence, 160 000 personnes ont été arrêtées, 152 000 fonctionnaires licenciés, des enseignants, juges et avocats ont été renvoyés ou poursuivis, des journalistes arrêtés, des médias fermés et des sites web bloqués etc... etc... Erdogan a critiqué les pays européens au motif qu'ils étaient présents en Egypte, en février dernier, cautionnant ainsi le régime du maréchal Sissi, qu'Erdogan juge dictatorial !
Il a tenu ces propos en juillet dernier - hier... - lors du Sommet du Processus de coopération de l'Europe du Sud-est, à Sarajevo, la capitale de la Bosnie-Herzégovine.
Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd, certes, mais elle est quand même bien grosse, cette grossière "hénaurmité". Mais Erdogan s'en fiche : pour lui, comme pour Goebbels, "plus c'est gros, plus ça passe" (croit-il) !...