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Le Cercle Aristote avait l'honneur de recevoir le 22 juin 2020, Charles-Henri Gallois pour une conférence sur son ouvrage intitulé "Les illusions économiques de l'Union Européenne" paru chez Fauves Editions.
Le 5 juillet dernier, juste avant le départ du Grand Prix d’Autriche, 14 des 20 pilotes, dont le Britannique Lewis Hamilton (Mercedes) vêtu d’un T-shirt Black Lives Matter, ont posé un genou à terre sur la grille de départ.
6 pilotes ont sauvé l'honneur en refusant de se prêter à cette mascarade malsaine, pleine d'arrières-pensées politiques, émanant de la mécanisation des esprits (pour reprendre l'expression de Pierre Boutang) manipulés par le politiquement correct : Max Verstappen, Antonio Giovinazzi, Daniil Kvyat, Carlos Sainz, Kimi Raikkonen et Charles Leclerc.
Le mardi 30 juin 2020, pliant à son tour sous l’air du temps, le roi des Belges a présenté « ses plus profonds regrets pour les blessures infligées lors de la période coloniale belge au Congo ». Des « regrets » qui n’avaient pas lieu d’être. Pour au moins quatreraisons principales :
Les mots ont une signification, ceux utilisés dans le langage diplomatique en sont une autre très particulière. Depuis la publication de la lettre adressée par le roi Philippe au président de la République démocratique du Congo, les réseaux sociaux comme les médias n’en finissent pas de se diviser sur le sens des termes utilisés par le monarque belge.
...à propos du silence de BHL sur l'accusation de crimes contre l'humanité par le TPI contre Hashim Thaçi, dont BHL n'a cessé de faire l'apologie pendant et après la guerre du Kosovo.
On a l’impression que le Président souffre davantage d’indécision que de machiavélisme.
Qui est Emmanuel Macron? C’est la question qu’on se pose après sa dernière intervention télévisée.
C’est la question qu’on se pose depuis qu’il a conquis l’Élysée. Sa prestation de dimanche dernier n’a pas permis de répondre à la question. Le Président s’est posé en héraut de l’ordre public contre les contempteurs des «violences policières», mais il a donné un crédit à la complainte infondée de ceux-ci contre les discriminations en fonction « du nom, de l’adresse, de la couleur de peau ».Il a défendu l’honneur de la police, abandonnée par son ministre, mais il n’a pas renié la démarche scandaleuse de sa ministre de la Justice, qui se proposait de recevoir la famille Traoré. Il condamne le « séparatisme », mais laisse prospérer les mosquées salafistes. Il rejette les attaques contre les statues de nos grands hommes au nom d’un révisionnisme antiraciste, mais c’est le même qui a dit que la colonisation française avait été « un crime contre l’humanité ».
En dépit de la multiplication des scandales au sein de la maison royale d’Espagne, de la crise politique qui secoue le royaume depuis l’abdication du roi Juan Carlos Ier en 2014, les espagnols continuent de faire confiance à leur système institutionnel. Un récent sondage, publié ce week-end et repris par différents médias, montre clairement que la monarchie serait loin d’être aussi menacée que certains experts sur la question l’affirment.
Depuis quelques jours, nous assistons aux États-Unis et en Europe à une vaste entreprise iconoclaste. Il faut prendre le mot au sens purement étymologique. L’iconoclaste c’est simplement un briseur d’images. Si l’on consulte le Petit Littré, on est renvoyé à tout un contexte religieux ancien, notamment à cette secte qui sévit au VIIIe siècle pour faire la guerre aux saintes images. Voilà qui parle d’ailleurs directement à nos amis orthodoxes qui célèbrent, chaque année, le triomphe de l’orthodoxie, précisément sur l’iconoclasme, c’est-à-dire l’interdit jeté sur la vénération des icônes du Christ, de la Vierge et des saints.
Persécutons les minorités tant que les persécuteurs sont europhiles et tant que les persécutés sont europhobes ! Telle pourrait être la nouvelle devise de l’Union européenne quand on observe comment celle-ci se comporte dans l’affaire de la minorité hongroise de Roumanie.